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Alphonse du gros caillou

Chapitre 4

Erotique
QUATRIEME COUPLET
« Moi j’travaillais dans la magistrature« Le haut clergé, les gros officiants« J’avais pour ça l’appui de la préfecture« Où je comptais aussi quelques clients« J’étais si beau qu’on m’prenait pour une fille« Tant j’étais tendre et caressant et doux« Aussi j’étais l’orgueil de la famille )« De la famille Alphons’ du Gros Caillou ) (bis)

J’étais un peu déçu : à part servir à boire, je ne faisait pratiquement rien d’autre les premiers mois. Maman à qui je m’étais plaint m’a enjoint à être patient : — Tout viens à point à qui sait attendre ! Ton tour viendra et plus vite que tu ne le penses. Enfin Papa me pris en particulier un soir après le travail…
« - Alphonse me dit-il, il a plusieurs mois que nous sommes installés ici. Il est temps pour toi que tu joues un rôle plus effectif. — Oui Papa. Je suis content de pouvoir enfin participer. — Tu sais ce que font les messieurs qui nous rendent visite quand ta mère ou tes sœurs vont avec eux dans les chambres ? — Oui Papa, je les ai souvent vu caresser leurs bites et les recevoir dans leur fente. — Il est évident que tu ne pourras pas les remplacer totalement mais je montrerai comment toi tu peux leur faire plaisir. — Oh oui Papa ! Tu veux bien m’apprendre ? — Oui mon fils, on commence aujourd’hui. Va dans ta chambre, je t’y rejoindrai. Une bouffée de fierté m’envahit : mon père s’occupe de moi ! Je ne comprends pas pourquoi ma mère m’embrasse. — Courage mon fils.
Je hausse les épaules que peut-il m’arriver de mal ? Je monte dans ma chambre. Au bout de quelques instants mon père entre. — Tu sais que les messieurs qui viennent nous voir, s’il aiment mettre leur quéquette dans la fente de ta mère et de tes sœurs, me dit-il, ils adorent se faire sucer et peut être même te sucer à ton tour, mais toi en plus, certain voudrons te mettre leur bite dans le cul. — Oh non, je veux pas ! — Alphonse, me dit gravement mon père, nous ne sommes pas sur terre pour faire selon nos seuls désirs. Nous devons penser d’abord aux autres. Tu sais que la maison que nous avons ouverte a pour but le plaisir de nos visiteurs et si ce plaisir passe par une bite dans ton cul je compte sur toi pour satisfaire au mieux ces messieurs, tu as compris ? — Euh… Oui Papa. — J’en suis content. Tes sœurs aussi ont fait des difficultés au début mais maintenant, elles ont surmonté leurs préventions. J’en attends autant de toi. Je vais te montrer comment feront les messieurs. — Oui Papa. Que dois-je faire ? — Enlève ton pantalon et ton slip… Mets-toi à quatre pattes sur le lit… Ecarte un peu les genoux. Je ressens une douce caresse autour du trou du cul. Quelque chose s’enfonça doucement et se mit à tourner. — Aah !… C’est ça une bite dans le cul ? J’aime bien. — Non, ce n’est que mon doigt, c’est pour te préparer. Passons aux choses sérieuses. Mets la joue sur le coussin… Là… Ecarte tes fesses avec les mains… Plus que ça que je vois bien ton trou du cul… Je pose ma queue contre, tu sens ?… Reste bien calme… Moins tu te contracteras, moins tu auras mal. Tu es prêt ? — Ou-oui Papa. — Aïe ! Aïe ! Aïe ! Une douleur fulgurante embrase mon cul. Oh que ça me fait mal ! — Tu as serré les fesses au dernier moment. C’est pour ça que c’est douloureux. Détends-toi… Oui… Ça va mieux ? — Un peu. Le manchon dans mon cul tire moins fort. Papa pousse encore. Je gémis. Je sens les poils de son sexe contre mes fesses. Il se retire. — Ooooh ! — Qu’est-ce qu’il y a encore ? Si tu as mal, serre les dents. Les messieurs n’apprécient pas les plaintes. — Non, c’est pas ça, ça fait une drôle d’impression quand tu as reculé. — Je vois que ça va mieux, je continue alors. Il me tient par les hanches et fait entrer et sortir sa grosse queue. La douleur bien que lancinante devient supportable. — Alors ? Comment se comporte-t-il ? interroge ma mère en entant dans ma chambre. — Mais comme le grand garçon… Han !… Qu’il est… Han !… Nous pouvons lui… Han !… Faire confiance. — J’en attendais pas moins de toi mon petit. Maman s’assied sur le lit. Sa main glisse sous mon ventre et ses doigts triturent mon robinet. — Aaah ! — Oui mon petit, détends-toi. Mon père s’active dans mon cul. — Aah !… Aah !… Aah !… Aah !… Aaaaah ! Je ressens plusieurs ondes de pression puis la queue diminue de volume. Papa se retire. — Ooh ! L’impression de vide que je ressens me fit trembler. — Là, mon petit Alphonse, là, c’est fini. Maman va te nettoyer le cul. — Alors ? C’était si terrible que ça ? demande mon père. — No-no-non Papa. — Nous recommencerons, je veux que tu sois fin prêt lorsque tu recevras tes premiers clients. — Oui Papa. Je ne bouge pas du lit, laissant Maman m’essuyer tendrement… »
Les jours suivants il poursuivit mon entraînement. Il m’a appris aussi à sucer une bite. A la fin de la semaine je savais comme mes sœurs caresser, sucer et avaler le foutre et sa grosse queue ne me faisait plus mal. Le Dimanche avant l’ouverture…
« - Alphonse, me dit mon Père, tu es prêt. A partir d’aujourd’hui tu as droit de satisfaire toi aussi les visiteurs qui voudront. — Oh merci Papa ! J’ai hâte de participer. — J’aime te voir dans cette disposition d’esprit. Je dois auparavant t’expliquer les règles de la maison. — Oh je sais pour mes sœurs et Maman ! Dans les salons du rez-de-chaussée, uniquement caresses et sucettes. Dans les chambres roses et jaunes, le visiteur peut faire entrer sa quéquette, et dans les chambres verte, bleue et rouge, on se déshabille en plus. — Tu as bien observé mon fils. Pour toi ce sera la même chose mais les premiers jours je te demande de refuser de monter dans les chambres. Si le visiteur insiste, appelle-moi. — Pourquoi Papa ? — Tu es mignon, tu aurais des clients tout de suite, mais je tiens à ce que tu les fasses patienter, il n’est pas bon pour les affaires qu’ils découvrent tout du premier coup. Une question me vient à l’esprit. — Euh… Dans un salon du rez-de-chaussée, le visiteur peut me sucer, moi, comme t’as dis que certains le feraient ? Il réfléchit une seconde. — Oui, mais seulement si tu ne le suces pas. Autrement il devra payer double. Tu as bien compris mon fils ? — Oui, Pap… Je m’interromps à temps devant la ride qui barre son front et corrige immédiatement. — Oui, monsieur Alphonse… »
Le premier qui m’emmena dans un salon particulier après avoir discuté en aparté avec mon père, est un juge au tribunal, comme il me le confia. Il me fit asseoir sur ses genoux et caressa mes jambes et mon sexe par dessus le velours de la culotte…
« - Vous voulez que je vous fasse pareil ? demande-je en frottant la bosse de son pantalon. — Non, mon petit, pas aujourd’hui. Est-ce que je peux baisser ta culotte ? Je déboucle la ceinture et ouvre le premier bouton. — Non, m’interrompt-il, laisse-moi faire. Il me fait descendre de ses genoux et ouvre l’un après l’autre les boutons. La culotte glisse au sol. — Aah ! Que tu es mignon ! Il avance la main pour prendre mon zizi. Ses doigts tremble en le tenant. Cela me fait du bien et je le sens grossir. — Aah ! soupira-t-il en le manipulant. Que tu es joli et désirable ! Quel dommage qu’il ne me soit pas permis…— Que voulez-vous dire monsieur ? — Rien mon enfant, rien. Tourne-toi s’il te plait. Je lui montre mon cul. Il le caresse, passe les doigts dans la raie, tourne autour du trou du cul. — Aaah ! Non monsieur, je vous en supplie, pas d’introduction ! Mon… Monsieur Alphonse me grondera. — Ce n’est qu’avec le doigt je t’assure, il ne peut rien te reprocher. Son autre main, devant, triture mon robinet. Que ça fait du bien ! Je le laisse s’amuser avec moi. Tout à coup sa respiration s’accélère. Je le regarde, il devient tout rouge, ouvre et referme la bouche sans bruit, puis tout à coup ses épaules s’affaissent, il me lâche. — Tu peux te rajuster, me dit-il. — Qu’est-ce vous avez monsieur ? Vous n’êtes pas content de moi ? — Si mon petit, si. Très content au contraire. Je reviendrai et j’espère qu’alors, nous pourrons faire plus ample connaissance. Je sors le premier. Après avoir emmené le monsieur dans son bureau, Papa m’interroge. — Qu’avez-vous fait ? Tu l’as sucé ? — Non, il m’a caressé. — Que ça ? — Je t’ass… Je vous assure monsieur Alphonse… »
Ce dimanche là, j’ai sucé huit quéquettes et me suis fait caresser deux fois. Un seul de mes visiteurs a tenté de s’introduire. Papa que j’ai appelé à la rescousse a su lui faire entendre raison. — Quel succès mon fils pour ton premier jour ! me félicita-t-il une fois les portes du Gros Caillou refermées. Dix clients ! Bientôt tu rattraperas tes sœurs ! Continue ainsi, c’est bien… Et j’ai continué à avaler des bites et à me faire sucer les jours suivants. Papa ne m’autorisait toujours pas à pratiquer tout ce qu’il m’avait appris. Ce n’est qu’à la fin de la semaine que…
« Nous profitons d’un instant de calme pour bavarder. La sonnerie de la porte d’entrée précipite mon père dans le vestibule. — Oh Monsieur le procureur ! Vous ici ? Quel honneur vous nous faites ! Il introduit l’important personnage. Maman et mes sœurs se lèvent et font une profonde révérence. — Je vous en prie, madame et mesdemoiselles, veuillez vous rasseoir. Depuis plusieurs mois que j’ai l’intention de venir vous rendre une visite de courtoisie et voir comment vous vous débrouillez. Je n’ai pu me libérer qu’aujourd’hui. — Nous faisons de notre mieux monsieur le procureur, lui répond ma mère. — Je n’en doute pas. Je m’excuse de vous avoir fait patienter de longues années avant de vous autoriser à vous faire aider par vos enfants, mais vous comprenez, les dures contraintes de la loi… — Je comprends, monsieur le procureur, je comprends. — Ainsi ce sont là vos filles ? — Voici Mariette, l’aînée, présente mon père, puis Claudine et Claudette nos deux jumelles… — Qui ont dépassé l’âge, n’est-ce pas ? — Oui depuis plusieurs mois déjà. — C’est bien, c’est bien… Euh… Et celui-ci est votre petit dernier, Alphonse je crois qu’il s’appelle. — Monsieur le procureur est trop bon de s’en souvenir. Il vient lui aussi de franchir ce cap.— Ah ? Très bien, très bien… Approche mon petit, n’aie pas peur. Il caresse ma tête. — Quelles jolies boucles ! dit-il en s’amusant à les tortiller. On dirait presque une fille. Tu dois avoir beaucoup de succès mon jeune garçon. — Euh… — Mon enfant, que dirais-tu si nous nous isolons quelques instants ? — C’est que, intervient timidement ma mère… Il est bien jeune. — Mais il est grand maintenant. Allons madame Thérèse, je suis sûr que vous vous faîtes du mauvais sang pour rien. Montrez-moi le chemin jeune homme. Je ne sais où aller, en haut ou en bas ? Je regarde mon père. — Conduis monsieur à la chambre rouge, me dit-il. Compris ! Je devais me déshabiller et accepter l’introduction. Je suis impatient de savoir si les autres hommes font comme Papa. — Je vous en prie monsieur le procureur, intervient Maman en me fixant droit dans les yeux, notre petit Alphonse est novice, ce sera pour lui une inauguration. Pourquoi dit-elle cela en me regardant ? Elle sait bien que j’ai subi l’entraînement de Papa. Ah oui je comprends : il faut faire croire à ce monsieur qu’il est le premier ! — Je vous promets de faire attention madame. Vous pouvez me faire confiance. Je conduis le procureur à l’étage. Une fois la porte refermée, je déboutonne ma chemise. — Non, c’est moi qui vais te déshabiller, petit. Je le laisse faire. Je commence à avoir l’habitude : seulement en deux occasions depuis le dimanche précédent, j’ai ôté ma culotte tout seul ! Par contre c’est la première fois que je me retrouve entièrement nu. Je suis un peu intimidé. — Tu es joli tu sais. Il passe les mains sur tout mon corps, devant, derrière, sur les cuisses, les fesses, le ventre. Je tourne devant lui pour présenter toutes mes faces. — C’est un plaisir de te cajoler. Je suis sûr que tes sœurs n’ont pas la peau aussi douce. Il continue à me caresser. Il prend mon zizi entre les doigts. Il devient toute raide. Cela le fait sourire. — Tu aimes ça n’est-ce pas ? Il approche ses lèvres. — Oh… Vous voulez le prendre dans votre bouche ? — Tu verras comme c’est bon. C’est vrai qu’il suce bien, mieux que Papa. Ma quéquette durcit encore plus. J’aimerais que cela ne s’arrête pas mais le procureur se redresse. — Peux-tu me rendre la pareille ? — Vous voulez que je vous suce ? — Oui mon petit. Je réfléchis. Il doit se douter que ça je l’ai déjà fait. J’ouvre sa braguette avec détermination et sors son engin qui se développe entre mes doigts. Sa queue est de belle taille mais pas aussi grosse que celle de Papa. Elle ne me fera pas trop mal en entrant tout à l’heure, pense-je. Pour l’instant je la porte en bouche et lèche le bout et la tige. — Ouii ! Tu fais cela très bien… Aah ! Je pistonne en même temps la tige comme Papa m’a appris. — Ouiii !… Aaah !… Tourne-toi un peu. Il trace des signes avec le doigt sur mes fesses, fouille dans la raie et cherche à introduire l’index dans mon trou du cul. Je continue ma sucette. — Aaah ! Tu es un expert !… Aaah ! Tout à coup il me repousse. Je le regarde étonné. — Je vous ai fait mal ? — Non, pas du tout. C’est que je ne veux pas terminer ainsi dans ta bouche. Monte à quatre pattes sur le lit. Je comprends que c’est à partir de maintenant que je dois m’étonner de ce qui m’arrive. — Pourquoi ? Qu’est-ce que vous allez me faire ? — Rien que des bonnes choses si tu suis bien mes instructions. Je me place à quatre pattes sur les couvertures comme il me le demande. Il se positionne derrière moi. Je sens le bout de sa bite frotter contre mes fesses. — Avec quoi vous me caressez ? Oh ! C’est votre queue ? — N’est-ce pas que tu aimes ça ? Il pose le gland contre mon trou du cul. — Si mais… Oh ! Qu’est-ce que vous faites ? Vous voulez entrer ? — Laisse toi faire mon petit, tu verras comme c’est bon. — Vous… Vous croyez ? — Je t’assure. Il maintient mes hanches et appuie plus fort. Le gland écarte mon trou du cul et pénètre. Il est moins gros que celui de Papa, je le sens à peine mais je dois me manifester. — Aïe ! Aïe !… Oh ! Excusez-moi, je devrais pas. Aïe ! — Tu es tout excusé. Je sais que la première fois cela peut être douloureux. Tu as mal ? — No… Euh, un peu… Euh… Pas trop. La tige s’enfonce, mon cul la reçoit aisément. Le procureur butte contre mes fesses. Il stoppe son mouvement. — Aah ! Tu es courageux, je suis à fond. Je vais reculer maintenant. — Oooh ! Je n’ai pas besoin de feindre. J’avais la même impression avec Papa, de me vider par l’intérieur lorsque la queue ressort. Il se renfonce. Je ne pousse qu’un petit cri. Il recommence à aller et venir et ponctue ses coups de rein de gémissements. — Je ne te… Han !… Fais pas mal ?… Han !… Je peux… Han !… Continuer ? — La douleur… Aah !… Diminue. Il augmente la cadence. Mon cul devient sensible. Si Papa ne m’avait pas entraîné je suis sûr que j’aurais affreusement mal. Le procureur gémit plus fort. Je sens enfin les ondes de pression qui m’annoncent la fin de l’épreuve. Le foutre se déverse dans mes intestins. J’ai l’impression qu’il y en a plus qu’avec Papa, il faudra que je me nettoie avant de descendre. Mon visiteur s’affaisse sur mon dos. Il est lourd, je ne peux pas supporter son poids et je m’écrase sur la couverture pouvant à peine respirer. La queue diminue de volume puis sort presque toute seule. Le procureur descend péniblement du lit. Je ne bouge pas. Il flatte mon cul, caresse entre les cuisses, étend sur mes fesses quelque gouttes qui suintent. — Tu es un grand garçon maintenant. Tu as été très courageux, je t’en remercie. J’ai rarement autant pris de plaisir. Je t’en suis reconnaissant. Il se lève, referme sa braguette sur son sexe mou. Je le regarde faire sans bouger. — Tu ne descends pas avec moi ? — Euh… Je dois remettre de l’ordre ici. — Je comprends. Je t’attends en bas, je tiens à ce que tu sois présent quand je dirais à ton père tout le bien que je pense de toi. Il me laisse seul. Je passe dans le cabinet de toilette attenant à la chambre et me nettoie le cul, puis je me rhabille, change les draps et refais le lit. Le Procureur termine un verre de boisson, assis entre Mariette et Claudine quand je rejoins le salon. — Ah ! Voilà notre jeune ami ! Viens ici, petit ! Monsieur Alphonse, Madame Thérèse, je vous félicite d’avoir un tel fils ! Il a été très courageux et m’a donné entière satisfaction au point que j’ai un instant envisagé de l’attacher à mon service exclusif. Mais rassurez-vous, sourit-il devant la ride qui barre le front de mon père, je ne suis pas égoïste et je le recommanderai à mes amis du tribunal et de la préfecture. — Nous vous en remercions vivement, dit mon père flatté du compliment. Le procureur repose son verre. — Je suis obligé de vous quitter, les obligations de ma charge… Mais je reviendrai, ne serait-ce que pour faire plus ample connaissance avec vos charmantes filles que j’ai délaissées aujourd’hui. J’espère qu’elles ne m’en tiendront pas rigueur. — Oh ! Monsieur qu’allez-vous imaginer là ! s’exclame Mariette. Vous serez toujours le bienvenu. Il se lève. — Dites-moi mon cher Alphonse, à combien se monte ma participation ? — Oh ! Monsieur le procureur, je vous dois tant, je ne saurais vous demandez de l’argent. — Si j’y tiens, je veux que vous me considérez comme un client normal. Ils s’enferment dans le bureau de Papa. Maman se dirige vers l’étage. — Je monte faire la chambre rouge. — Inutile Ma… Madame Thérèse, j’ai tout rangé. — Même changé les draps ? — Oui ! — C’est parfait… Au revoir monsieur le procureur, lance-t-elle à celui-ci qui sort du bureau. — Au revoir madame, au revoir mesdemoiselles, au revoir jeune Alphonse. Il croise trois hommes qu’il salue distraitement. Je vais chercher les verres de punch de bienvenue. A mon retour de la cuisine, le procureur n’est pas encore parti. Il discute avec un monsieur tout petit, pas beaucoup plus grand que moi, mais très digne. — Vous verrez monsieur l’Archiprêtre, ce jeune garçon est étonnant. — C’est que je ne m’attendais pas à rencontrer un gar… Euh… Ce type de service en ce lieu. C’est… Euh… Une agréable surprise. — Vous ne serez pas déçu. Ah ! te voilà jeune Alphonse. Occupe-toi de monsieur, il a hâte de voir ce que tu sais faire. Je regarde Papa. Il me sourit et déclare au nouveau venu. — Notre petit chérubin est à votre disposition et va commencer par vous offrir un rafraîchissement. Je tends un verre plein au petit homme. Il me fait asseoir sur ses genoux et boit en me caressant la cuisse. Papa, lui montre la liste des salons et chambres. Il ne la regarde pas. — Je vous fais confiance pour me permettre de converser avec ce jeune garçon en toute tranquillité. — Il vous conduira à la chambre rouge… Pardon, j’oubliais, elle est occupée. Alphonse vous mènera à la chambre bleue dès que vous le désirez. — Hé bien allons-y tout de suite, dit-il en posant son verre… »
A partir de ce jour, mon cul contribua autant que la fente de ma mère et de mes sœurs à la prospérité du Gros Caillou. Notre réputation grandit dans la ville et tout le monde nous saluait lorsque nous venions à la grand-messe dans la cathédrale.
A suivre…
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