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Alphonse du gros caillou

Chapitre 7

Erotique
DERNIER COUPLET
« Main’nant ma mèr’ s’est r’tirée des affaires« Moi j’continue mais c’est en amateur« Mes sœurs ont tout’s épousé des notaires« Mon père est membr’ de la Légion d’honneur« De notr’ vertu la récompense brille« Et si notr’ sort a pu faire des jaloux« On dit tout d’mêm’ « c’est un’ belle famille )« Que la famille Alphons’ du Gros Caillou » ) (bis)

— Alphonse… Alphonse ! Je me réveille brutalement. Je m’étais assoupi en remuant tous ces souvenirs. — Hein ! Quoi ! Joséphine, ma tendre épouse me sourit. — A quoi pensais-tu ? — Au passé, au chemin parcouru depuis que mon père et ma mère ont ouvert le Gros Caillou. — Regretterais-tu ? Non ! Il n’y a rien à regretter. Le succès du Gros Caillou ne s’est pas démenti au cours des années suivantes. Papa a acheté une maison aux alentours pour se loger lui et toute la famille. Nos anciennes chambres ont été transformées et décorées pour recevoir une clientèle de plus en plus nombreuse. Puis mes sœurs se sont mariées, Mariette la première. Elles ont toutes trouvé de bons partis parmi les fils de notables fiers de s’allier à une famille si respectable. Mon père leur a donné à chacune en dot un immeuble acquis dans des conditions avantageuses grâce aux conseils de nos fidèles clients, juges, procureurs et avocats auprès des tribunaux. Moi-même j’ai convolé en justes noces avec Joséphine la fille d’un riche négociant. Il a fallu nous trouver des remplaçants. Papa et moi avons fait le tour des villages environnant à la recherche de jeunes garçons et filles sérieux, appliqués ne rechignant pas à la besogne. Nous avons lié contact avec des familles de paysans qui présentent toutes les garanties de moralité. Ils nous confient leurs enfants dès qu’ils ont l’âge sachant que chez nous ils seront nourris, logés et éduqués convenablement et même payés. Cela vaut mieux que de les voir traîner dans les rues à ne rien faire. Au bout de trois à quatre ans environ, ils retournent au village avec un pécule qui leur permet de s’établir dans de bonnes conditions. Une fois leurs filles casées, mes parents ont pris leur retraite, me laissant la charge de l’établissement que je gère avec l’aide de Joséphine. De nos trois premières filles embauchées, seule Chloé reste parmi nous. Les deux autres, Marie et Fanchon nous ont quittés après quatre ans de bons et loyaux services. Elles sont mariées à de riches paysans et font l’envie de leurs anciennes copines qui n’ont pas eu leur chance. La semaine dernière, Marie est venue nous rendre visite au Gros Caillou. Cela m’a fait grand plaisir de la revoir après de longues années. Nous avons bavardé. Chloé qui avait un instant de libre, est venue embrasser son ancienne camarade. Nous avons évoqué les bons souvenirs de son séjour, elle nous a présenté sa fille. Elle souhaitait que nous la prenions comme apprentie après les vendanges. J’étais embêté car elle est trop jeune. — J’ai beaucoup d’estime pour vous Marie et j’aimerais vous faire plaisir. C’est impossible cette année. Votre fille doit attendre d’avoir l’âge requis. — Ah ! dit-elle déçue. Ne pourriez-vous pas monsieur Alphonse, faire une exception ? — Malheureusement non. Comme vous le savez, notre établissement est très surveillé et le maire est à cheval sur les principes de morale. Revenez l’année prochaine. Ce sera avec plaisir que je m’occuperai de cette charmante enfant. — Je comprends, soupire Marie. C’est que j’ai beaucoup de mal à la surveiller. Je ne voudrais pas qu’elle tourne mal.
— C’est tout à votre honneur, Marie. Je me tournais vers la gamine. Elle était adorable. Elle ferait une bonne recrue j’en étais sûr. — C’est vrai que tu souhaites venir parmi nous ? Elle hocha la tête avec détermination. — Je te promets de t’accueillir dans un an, mais seulement à condition que tu restes aussi vertueuse qu’aujourd’hui. Pas de garçon ni de petit amis, ne traîne pas dans les rues et obéis à tes parents. Tu m’as bien compris ? — Oui, monsieur. Nous continuâmes à bavarder. Par boutade, je proposai à Marie de s’occuper de quelques visiteurs pendant qu’elle est là, justement nous apercevions par le guichet du bureau un de ses anciens fidèles clients qui entrait dans l’établissement. Je vis tout de suite que ma petite proposition la tentait. — Oh ! Monsieur Alphonse ! Ce n’est pas bien de me mettre ainsi l’eau à la bouche, mais je ne peux pas abandonner ma fille. Elle ne connaît rien à la ville. Je ne me le pardonnerais jamais s’il lui arrivait malheur ! — Il n’est pas question Marie de la laisse seule. Chloé ! Emmène cette petite aider nos jeunes stagiaires en formation à faire les chambres. Cela lui donnera un aperçu de ce qui l’attend si elle vient parmi nous. — Dans ces conditions, j’y consens avec joie. J’ai souvent regretté mon départ vous savez ! Elle a tenu à faire monter trois clients avant de nous quitter. J’ai du insister pour qu’elle accepte que je lui paye sa prestation. — Oh Monsieur Alphonse ! Vous ne me devez rien. La satisfaction d’avoir retrouvé la chaleureuse ambiance de travail me suffit. — Si, j’y tiens ! dis-je en lui fourrant la somme qu’elle avait gagné dans le creux de sa main. Nous nous sommes donné rendez-vous dans six mois. — Je pense obtenir pour votre fille une dispense. Le responsable à la mairie se souvient de vous, je suis sûr qu’il m’accordera cette petite faveur. Nous commencerons sa formation. Si elle est sérieuse et apprend bien, un mois plus tard elle pourra travailler chez nous. — Tu entends, ma fille, sermonne-t-elle, Monsieur Alphonse consent à te prendre à l’essai. Tu ne nous feras pas honte j’espère. — Si elle ressemble à sa mère, vous pouvez dormir tranquille. Nous avons un effectif permanent de six filles et deux garçons qui séjournent trois à quatre ans dans l’établissement, en plus de Chloé qui veille à leur bonne tenue et fait régner une stricte discipline. Elle a su maintenir la tradition de sérieux de la maison. Je conserve quelques clients personnels, des amis presque, le procureur en retraite par exemple ou l’ancien Archi prêtre. Je consacre une bonne partie du temps à la recherche de nouvelles recrues et à leur formation en compagnie de mon épouse qui m’est d’une aide précieuse pour juger de la moralité des postulants. Papa vient parfois nous rendre visite. Cela lui fait plaisir de discuter avec certains de nos plus anciens habitués. Régulièrement il me propose de m’aider à former le personnel, mais nos conceptions de l’éducation divergent. Il soutient qu’une bonne gagneuse ne doit pas laisser transparaître ses sentiments, moi je suis d’avis qu’un peu d’humanité ne messied pas dans notre travail. Néanmoins, par charité, je le laisse s’occuper de quelques filles à qui je fais la leçon auparavant. Mon épouse m’a fait la joie de me donner deux enfants, un fils Anselme et une fille Rosalie. Nous avons tenu à leur donner la meilleure éducation et nous les avons inscrits au grand collège. Rosalie est même allé à l’université où elle m’a convaincu de la laisser aller avec les quelques pionnières filles dans l’enseignement supérieur. Mais dès qu’ils ont eu l’âge, pendant les congés scolaires, ils ont rejoint leurs cousins et cousines pour un stage au Gros Caillou. Là pas de favoritisme. Ils étaient logés à la même enseigne que le reste du personnel avec qui ils vivaient. Il est bon que les jeunes nés avec une cuillère d’argent dans la bouche apprennent sur le tas que l’on n’obtient rien sans effort. J’ai veillé personnellement à leur formation. Ah ! Il m’en a fallu du courage pour résister aux larmes de ma fille au moment crucial du dépucelage. Si j’avais écouté ma femme au cœur sensible, j’aurais abandonné. Mais j’ai tenu bon et le résultat est là ! Joséphine reconnaît maintenant que j’avais raison d’insister. Le caractère de nos enfants, comme celui de nos neveux et nièces s’est forgé à cette épreuve. Notre Rosalie s’est même intéressé de près à mon métier et a proposé de me succéder à la tête de l’établissement. Je n’ai pas eu le même succès auprès de mon fils. Anselme a opté pour l’armée et après le collège, a intégré une école d’officier. Ses séjours au Gros Caillou n’ont quand même pas été inutiles. L’expérience acquise l’a aidé dans ses relations avec ses supérieurs et a favorisé son avancement plus rapide que celui de ses camarades d’école. C’est un fringant capitaine, aide de camp du général commandant la région militaire qui vient de temps en temps nous rendre visite. Il va bientôt monter en grade et fait la fierté de sa mère qui trouve qu’aucune jeune fille dans notre belle ville n’est digne de lui. J’ai acheté l’immeuble mitoyen du Gros Caillou que j’ai légué à Rosalie. Malgré ses prières, je ne l’autorise pas à y résider. Ce ne serait pas correct pour une jeune fille seule, même diplômée de l’Université. C’est un sujet de dispute entre nous, mais je tiens bon, soutenu en cela par Joséphine. Comme elle ne s’entend pas bien avec Chloé, j’attends que celle-ci prenne sa retraite pour lui céder la direction de l’affaire. Pour l’instant elle s’occupe des produits dérivés. Elle fourmille d’idée. Dans son immeuble, elle a installé un studio photographique où elle fait poser nos pensionnaires. Au début, j’étais réticent, cette nouveauté m’inquiétait. Rosalie, grâce à ses amis de l’université, a monté un réseau de distribution qu’elle gère en professionnelle. J’ai du me rendre à l’évidence, son département photo couvre largement ses frais. Ses sujets artistiques se vendent bien. Deux employés travaillent à plein temps pour développer les tirages qui sont expédiés dans tout le pays et même à l’étranger, jusqu’à Paris où notre fille a de très gros clients. Il y a quelques jours elle nous a exposé son dernier projet. Elle avait entendu parler d’une nouvelle invention française, le cinématographe. Elle était enthousiaste, ne tarissant pas d’éloge. — Cette nouvelle technique va révolutionner les loisirs Papa, je t’assure. Rends-toi compte ! C’est comme la photo mais en bien mieux car les images sont animées. L’inconvénient… — Ah parce qu’il y a un inconvénient ! Je suis bien aise de l’apprendre. — Papa, ne te moque pas ! Oui, le matériel est onéreux tant pour la prise de vue que pour la projection et nous ne pourrons distribuer notre production que dans des circuits spécialisés. Mais je t’assure, c’est maintenant qu’il faut se lancer. J’ai contacté un ancien condisciple qui fait du théâtre. Il m’a promis de m’aider à la réalisation des premiers spectacles. J’ai pensé à utiliser les chambres du Gros Caillou comme studio d’enregistrement. Je suis prête à me lancer. J’ai pris rendez-vous la semaine prochaine, avec l’inventeur, un certain monsieur Lumière à Lyon en France. Tu serais chou si tu m’accompagnais. — Je vois que tu as tout prévu. Nous n’avons si je comprends bien, plus notre mot à dire ta mère et moi. — Tu… Tu ne veux pas ? — Tu sais bien que je ne te refuse rien et tu en joues ! C’est d’accord, ta mère et moi t’accompagnerons en France ! Cela nous fera des vacances. Mais je ne veux pas m’embêter avec les formalités administratives. Je te laisse le soin de prendre les visas, retenir les billets de chemin de fer et réserver les hôtels. — Oh merci Papa ! Elle nous embrasse sur les deux joues et s’enfuit comme un oiseau. Arrivée à la porte, elle se retourne et annonce en riant. — C’est déjà fait ! — Quoi ? — Ben les visas et les chambres d’hôtel. — Oh ! La chipie !…
…Joséphine me sourit. — Je vois que tu es reparti dans tes rêveries. Tu as l’air d’oublier que nous devons faire passer l’examen d’entré au Gros Caillou à Stéphanie et Antoine. Si nous ne le faisons pas aujourd’hui cela risque de reporter trop loin surtout avec la perspective du voyage en France. — Tu as raison ! Merci de me l’avoir rappelé. Je me lève du fauteuil, m’étire. — Aah !… Bon, on y va tout de suite. Ma femme me présente ma veste et couvre ses épaules d’un châle. Le Gros Caillou n’est pas loin, moins de cinq minutes de marche. Cela ne vaut pas la peine d’atteler. Nous saluons les clients présents. Chloé nous accueille. — Stéphanie et Antoine vous attendent dans la chambre rose. C’est celle qui perturbera le moins le service aujourd’hui. Vous avez besoin de moi ? — Pas spécialement, mais tu peux venir si tu le désires. — Je préfère rester ici. J’attends la visite du nouveau président du tribunal. Je vais m’en occuper personnellement. — Je te fais confiance. Joséphine et moi grimpons à l’étage. Les deux postulants se lèvent à notre entrée. Ils sont intimidés. Leur avenir en cette maison va se jouer. S’ils échouent aujourd’hui, ils n’auront le droit de repasser qu’une fois l’examen, un échec supplémentaire sonnerait le glas de leurs espérances. Ils n’auraient pas leur place au Gros Caillou et devraient rentrer au village affronter les moqueries de leur entourage, voire le courroux de leurs parents, ou se rabattre sur d’autres maisons qui n’ont pas notre réputation et sont moins regardantes sur la qualité de leur personnel. Mais je ne suis pas inquiet, ces deux là se sont révélés bons éléments tout au long de leur formation. L’examen se déroule suivant un protocole soigneusement mis au point avec Joséphine. D’abord les candidats doivent se déshabiller le plus élégamment possible, ensuite me gratifier d’une sucette au cours de laquelle ils doivent faire preuve d’ingéniosité sans déclencher l’éjaculation, synonyme d’échec à l’examen. C’est d’après moi l’épreuve la plus difficile pour eux. Puis ils doivent me déshabiller. Ils sont jugés sur la rapidité, les attentions prodiguées, les soins apportés aux vêtements. Viennent ensuite les pénétrations, devant et derrière pour les filles. Là, c’est à moi de faire attention à ne pas m’effondrer prématurément surtout en cas de plusieurs candidats. La dernière épreuve, l’avalement du sperme, est souvent reportée par manque de disponibilité de ma part. C’est pour cette raison qu’elle n’est pas éliminatoire. Quelques jours d’entraînement supplémentaires avec moi, mon père ou les garçons du personnel suffisent à corriger le défaut s’il y en a. Joséphine contrôle tout. Elle inscrit ses observations dans un carnet sur la manière d’agir, le maintient qui doit rester naturel et digne en toutes circonstances, les sentiments affichés, etc. C’est elle qui donne la note finale, car je suis trop concerné pour être impartial surtout en ce qui concerne les pénétrations. — Antoine, à toi de commencer. Le garçon déboutonne sa braguette, extrait son sexe qu’il caresse pour le faire raidir et le montrer au client. Il défait la ceinture, la culotte courte tombe sur les chevilles. Il n’arrive pas à sortir ses pieds du premier coup et doit s’y reprendre à deux fois. Un peu fébrile, il ouvre sa chemise et l’envoie choir sur une chaise d’un geste élégant. Je consulte Joséphine. Elle est de mon avis, à part l’incident de la cheville, ce n’est pas mal. Voyons la fille. Elle nous gratifie d’un déshabillage parfait. On voit qu’elle s’est entraîné dur ces derniers jours. Antoine s’agenouille entre mes jambes. Ses doigts tremblent en déboutonnant ma braguette. Aïe ! Un ongle égratigne mon sexe. Joséphine note une remarque au crayon. Le garçon déploie la hampe encore souple et la porte en bouche. C’est passable. Les dents ne raclent pas, les coups de langue sont donnés au bon moment, peut-être un peu rapides. Ses mains fouillent dans le pantalon à la recherche des bourses dont il fait rouler la glande entre ses doigts. Il ne me fait pas mal. Il s’arrête quand il sent ma queue frémir. Bon ! Je remballe tout, m’accorde un peu de repos et bois une gorgée. Il ne faut pas que Stéphanie soit défavorisée en s’occupant d’une queue prête à éjaculer. J’attends que mon sexe retrouve sa dimension de repos en comparant avec Joséphine nos observations avant de continuer l’examen. — A ton tour Stéphanie. Elle ne tremble pas. Ses gestes sont doux mais décidés, sans hésitation. Une main sur la tige l’autre sous mes testicules, elle alterne les introductions du gland avec des baisers légers sur la hampe. Un bon point pour elle. Oh ! Elle a failli se laisser surprendre. Une goutte sourde du méat. Tremblante, elle arrête tout mouvement, n’osant à peine respirer. Non, fausse alerte ! Je me réajuste. Je souris d’entendre son soupir de soulagement. Je me lève et me livre aux mains du garçon pour la mise à nu du client. Ses gestes sont caressants. Il range correctement les habits prenant soin de ne pas faire de faux plis. Ses paumes sont fraîches. Elles papillonnent sur mon corps sans s’attarder à un endroit précis. Il a bien retenu ses leçons. Je renfile mes vêtements. Au tour de Stéphanie. Rien à dire non plus. La pénétration à présent, je ne me rhabille pas. — Monte sur le lit Stéphanie. Elle me regarde étonnée ainsi que Joséphine. Tout le monde sait au Gros Caillou que je préfère gicler dans un con de fille. D’habitude si un garçon et une fille passent l’examen ensemble, j’expédie les pénétrations anales et termine par le sexe féminin. Une fois n’est pas coutume. Antoine est ravi, c’est lui qui recevra le sperme ! La jeune fille se couche sur le dos. — Non, le cul d’abord. Elle se positionne à quatre pattes, genoux bien écartés, la joue sur un coussin, les mains sur les fesses. Je me positionne. Je chatouille le trou du cul du bout du sexe. Stéphanie écarte les lobes fessiers. Son anus bâille, signe qu’elle s’est bien entraînée. Je pose le gland et pousse. Elle accompagne en lançant le bassin contre moi. Ma queue franchit le barrage du muscle et s’enfonce, avalée par l’intestin. Je me retire lentement puis me renfonce. Trois coups de rein. Stéphanie pousse des petits cris très convaincants. Ses gémissements sont parfaits, ni trop forts ni trop faibles. Le juste milieu entre la peine que cette pénétration est censée infliger et le plaisir que malgré tout elle doit afficher pour satisfaire le client. Je ressors une queue luisante juste un peu maculée de brun. Stéphanie se précipite. Elle prend le mouchoir disposé à cet usage sous l’oreiller et essuie la verge. Je regarde Joséphine. Elle me fait un signe de tête approbateur. — Tourne-toi maintenant. Stéphanie se couche sur le dos, genoux écartés légèrement pliés. Je m’avance. La jeune fille empoigne ma queue et la présente devant l’orifice de son vagin et avance le bassin. Je fronce les sourcils. C’est beaucoup trop rapide ! Elle a oublié de caresser le clitoris et la vulve avec le gland ! Un coup d’œil à Joséphine. Elle aussi note le manque de préparation. Par contre la position des mains sur mes hanches est parfaite. Elle me guide sans me forcer. Ses petits cris sont bien dosés, plus de plaisir que de souffrance, ce qui est normal en cette position. Je me retire. — Remets-toi à quatre pattes. -Vous revoulez dans le cul ? interroge la jeune fille, ce qui fait tiquer Joséphine : les remarques aux clients ne sont pas les bien venues ! — Non, aurais-tu oublié qu’il y a d’autres positions pour baiser ? — No-non. Excusez-moi. Consciente d’avoir fait une bourde, Stéphanie s’empresse de se mettre en position. Une main entre ses cuisses elle attrape ma queue qui s’avance entre ses fesses et la place dans son sexe. — Aaah ! Est-ce un cri dicté par l’envie de bien faire, ou un gémissement involontaire ? Toujours est-il que la jeune fille avance et recule sur ma queue. Je n’ai presque pas besoin de bouger. — Aah !… Aah !… Aah !… Aaah !… Aaaah ! Oh ! Son vagin masse délicieusement mon pénis. Comment fait-elle ? C’est nouveau pour moi. On dirait comme une pompe, presque comme si j’entrais dans une bouche. La surprise me déconcentre. Je ne peux retenir l’épanchement de sperme. — Aarrgghh ! Je donne encore quelques coups de rein rageurs. Ah ! Elle m’a bien eu ! Je suis furieux mais je me contrôle. Ce n’est pas une faute de sa part, au contraire ! Je n’ai pas le droit de lui en vouloir. D’ailleurs Joséphine sourit. Ça l’amuse de me voir en position délicate. — Bon, un peu de repos nous fera du bien, déclare-t-elle. Pour toi Stéphanie l’examen est terminé et réussi. Il y a bien quelques petites choses à corriger par ci par là, demain nous en discuterons. Pour l’instant tu peux sortir. La jeune fille essaye sans succès de cacher sa satisfaction. Elle sait que bientôt elle pourra s’occuper des vrais clients. Je tente de tempérer sa joie. — Mais je veux savoir si elle est capable de me rendre ma raideur. — Laisse cette petite en paix elle l’a mérité. Toi Antoine, rendez-vous dans un quart d’heure pour terminer ton examen de passage. Ne traînez pas dans les couloirs dans cette tenue, ce ne serait pas correct… Je ne laisse cette tâche à personne, me sourit-elle en prenant ma verge molle et la portant en bouche dès que les deux jeunes gens, leurs vêtements sur le bras, ont refermé la porte. Un quart d’heure après, Antoine s’annonce par un léger grattement. — Entre mon petit, lui dit ma femme. Je n’ai pas pris la peine de me rhabiller. Antoine s’empresse d’ôter ses vêtements. — Bon, lui dis-je. Monte sur le lit. Il se place comme Stéphanie auparavant. La position est correcte, peut-être un peu trop décontractée. Il est bon que le client s’aperçoive que si le garçon ou la fille accepte l’introduction anale, cela choque sa morale. Mais ne soyons pas trop rigoriste. Il existe des clients qui sont heureux de voir que leur pine dans le cul est attendue. Antoine ne peut maîtriser un rictus de douleur à l’introduction. Manque de pratique non préjudiciable. Ça lui passera assez tôt. Je retire mon sexe qui fait en sortant du cul un petit plop ! Comme une bouteille qu’on débouche ! — Tu vas terminer en me suçant. Antoine me regarde désolé, ce n’est pas ce qu’il préfère, j’ai déjà eu l’occasion de le constater. Un petit instant de flottement et il s’empare du mouchoir pour m’essuyer. Sa sucette est de meilleure qualité que la première, peut-être parce qu’il sait qu’il n’a pas à craindre la monté de sperme. Il est doué le petit. Je ne peux m’empêcher de gémir et de caresser les cheveux du gamin sous le regard moqueur de Joséphine. Ah ! Le plaisir s’amplifie, monte dans la tige, éclate. — Arrgh ! Le pauvre Antoine a été surpris. Il a failli recracher, s’est repris de justesse mais n’a pu empêcher une grimace déformer ses traits. Après avoir dégluti, il termine de lécher et c’est une verge bien propre quoique ramollie qu’il me rend. Il attend anxieux le verdict, conscient de ne pas avoir été aussi bon que Stéphanie. Je discute à voix basse avec Joséphine tout en me rhabillant. Elle veut le recaler, je suis plus indulgent. Nous décidons de lui faire confiance. — Bon, malgré quelques fautes, l’ensemble est passable. Le soupir de soulagement qui soulève ses épaules nous fait sourire. — Simplement, continue-je, tu devras t’entraîner pendant une semaine à bien avaler. Monsieur Alphonse père s’en chargera. Le gamin fait une grimace, la queue de Papa est plus grosse que la mienne. — Tu n’es pas d’accord ? — Si, si monsieur Alphonse. Je vous remercie de votre bonté. Je suis très heureux d’avoir réussi. Mes parents seront très fiers de moi lorsque je leur écrirai. — Ah ! Tu sais écrire ? — Oui, un peu. — C’est bon à savoir. Madame Chloé pourra utiliser tes compétences. Allez, file mon garçon ! Et continue dans ces bonnes dispositions. Nous sortons ma femme et moi bras dessus bras dessous satisfait du devoir accompli. Les gens nous saluent au passage. Je sais, par une indiscrétion de la préfecture qu’en haut lieu on pense à moi pour un poste important. L’honneur en rejaillira sur mon père le principal artisan de notre réussite.
FIN
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