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Alphonse, mon clébard de frère

Chapitre 1

Inceste
Mon petit frère, Alphonse, vient d’emménager chez moi depuis deux mois pour poursuivre ses études à l’université. L’appartement n’est pas grand, alors il dort sur le canapé-lit du salon. Alphonse est plutôt facile à vivre et je dois dire que cela m’a assez étonné. Lorsqu’il était plus jeune, il était capricieux et énergique. Il courait partout, sautait partout, cassait tout ; c’était un enfer d’être son grand frère. Mais l’Alphonse que j’ai à présent devant moi est une tout autre personne. Je me suis absenté durant à peine trois ans et voilà que mon frère change de personnalité. Cependant, je ne vais pas m’en plaindre. Il nettoie la vaisselle, lave les linges, sort les poubelles, passe le balai, fait la cuisine, ne laisse aucun désordre. C’est une vraie fée du logis !
— Tiens, tu peux laver mes draps, s’il te plaît, je demande à mon frère alors qu’il regarde la télé.
Il se lève de suite et prend les draps que je lui tends. Il est bien empressé. Je hausse les épaules ; tant mieux, mes draps seront propres plus vite. Je m’assieds sur le canapé à sa place, et regarde l’émission qui passe. Encore une série ennuyeuse. Je change de chaîne encore et encore jusqu’à ce que je me rende compte qu’Alphonse n’est toujours pas revenu. Cela ne prend tant de temps pour allumer et lancer la machine à laver.Je me lève et me dirige vers la salle de bain. Plus j’approche de la porte, plus j’entends des bruits, comme si deux choses s’entrechoquaient, ou se frottaient. Je pousse doucement la porte et vois mon frère de dos. Il a le pantalon baissé sur les chevilles, le cul à l’air, et bouge frénétiquement des hanches.
J’entre et m’approche de lui sans qu’il ne m’entende, ni ne me voit à cause de ses yeux clos. Je découvre alors mon frère en train de se masturber dans mes draps sales. Son poing serré retient le tissu autour de son sexe tendu. Il donne de nombreux coups de reins dans le morceau de tissu en haletant. Puis rapidement, dans un râle contenu avec difficulté, Alphonse jute. Il explose dans les draps et sa semence humidifie la matière.Enfin délivré, il ouvre les yeux.
Son regard passe très vite de comblé à catastrophé. Il reste bouche bée devant moi, alors que c’est moi qui devrais être dans cet état. Je le vois pâlir sous mes yeux et je crains durant quelques secondes qu’il ne s’évanouisse.
Je m’approche alors et je le sens rapetisser devant moi. Les draps qu’il tenait tombent et son sexe se révèle à mes yeux. Il a complètement débandé, sa queue pend au milieu d’une forêt de poils noirs.
— Tu te rends compte de ce que tu viens de faire ? Je lui assène avec une voix dure. Tu as joui dans mes draps !— Je-je-je suis d-d-désolé, bégaye-t-il en voulant se fondre dans le mur.— Tu ne pouvais pas faire comme un mec normal et aller te branler dans les toilettes ou la douche ? Non, il a fallu que tu jutes dans mes draps !— C’est q-que j’ai du mal-mal à...— Quoi ?— J-J-ai du mal à-à...— À quoi ? Parle ! je lui ordonne.— J’ai du mal à-à, me soulager c-ces temps-ci, le s-s-seul moyen que que j’ai trouvé, c-c’est dans t-tes draps...
Je suis choqué ; j’ai dû mal entendre, n’est-ce pas ?
— Quoi ? Tu n’arrives à jouir que grâce à mes draps ?! Je répète, éberlué.
Alphonse acquiesce, penaud. Puis se rendant soudain compte de sa nudité, il cache son sexe de ses mains. Mes yeux se posent sur les draps souillés de son jus et je grimace.
— C’est vraiment dégueulasse ce que tu fais, je grommelle, contrarié.
Mais Alphonse prend très mal mes paroles et son visage se déforme en une moue affligée. Son menton tremble et ses yeux se remplissent de larmes. Il jette des coups d’œil aux alentours, comme s’il cherchait un endroit où se cacher. Je regrettai de suite mes mots.
Il s’accroupit soudain au sol, je perçus un sanglot. Il se cachait entre ses bras comme un enfant désespéré. J’eus pitié de lui.
— Pleure pas, Al, pleure pas, je murmure.
Cependant, les sanglots de mon petit frère ne faiblissaient pas et j’eus peur qu’il ne s’étouffe à respirer aussi mal. Voulant l’arrêter au plus vite, je suivis la première idée qui me vient : je pris le drap souillé de son sperme et le lui mis sous le nez. Il sursauta et me regarda avec des yeux ronds.
— Je préfère que tu jutes dans mes draps que pleurer, alors, cesse tout de suite de chialer ! Je lui dis.
Il essuya les larmes qui perlaient au coin de ses yeux et prit entre ses petits doigts le tissu. Avec appréhension, il fit la navette entre moi et les draps, hésitant encore. Mais après avoir pris sa décision, il enfonça son nez dans les traces humides du drap et respira fort. Il parut se calmer immédiatement.
— J’aime beaucoup l’odeur que tu laisses sur tes draps, m’avoua-t-il à demi-voix. Surtout les tâches que tu laisses.
Je me crispai en me rappelant que les tâches que je laissais étaient dues à mon foutre.
— Tu ne fais que respirer mon odeur, c’est déjà mieux qu’autre chose.— Je goûte aussi, ajouta Alphonse timidement.— Quoi ? Tu « goûtes » ?— Je passe ma langue sur les tâches que tu laisses. Ça a bon goût.— Tu es irrécupérable, comment tu as fait pour devenir comme ça ? je m’étonnai.— Je me suis branlé dans tous tes anciens vêtements, ceux que tu as laissés à la maison après ton départ...
J’ouvris de grands yeux en imaginant tous mes vêtements souillés du sperme de mon frère. Dites-moi que c’est une mauvaise blague...
Je me sentais perdu, trop d’informations d’un seul coup. Je ne pouvais pas gérer tout cela en un jour. Je ne savais pas comment réagir face à...ça ! Je me sentais en colère parce que mon frère n’agissait pas de façon normale et en même temps, je me sentais quelque peu flatté que mon frère ne puisse jouir que dans ce qui m’appartenait. J’étais responsable de son excitation sexuelle, c’est un rôle que n’importe qui trouverait flatteur.Alphonse n’avait que dix-huit ans, il était fin et même un peu frêle, ses jolies et grandes boucles noires surmontaient son crâne comme un nid d’oiseaux. Il avait des yeux caramel très brillants, les mêmes que les miens. Un héritage familial qui ne laissait personne indifférent. Alphonse devait bien avoir connu quelques filles depuis, et aucune ne l’avait excité ?
— Je te laisse juter dans mes draps à condition que tu te trouves une petite-amie rapidement, je lui dis.
Il parut étonné et demanda :
— Pourquoi cette condition ?— Je veux que tu trouves une fille qui te contentera, comme ça tu ne te masturberas plus dans mes draps !— Euh...— Ne crois pas que je te laisse le choix, Alphonse. Trouve-toi une copine et vite !
Alphonse soupira et je partis rejoindre le canapé du salon. Tandis que je changeai de chaîne, j’entendis de profonds soupirs dans la salle de bain et encore des bruits de frottement. Apparemment, Alphonse continuait de s’amuser !

Le soir venu, je m’en allai dans la salle de bain pour prendre ma douche avant de me coucher. Je me déshabillai et balançai mes vêtements dans la corbeille à linge sale. Je rentrai dans la cabine de douche et me lavai avec soin. Lorsque j’eus fini, je m’essuyai et c’est ma serviette serrée autour de la taille que je rejoignis ma chambre. Quand j’entrai dans la pièce, le spectacle que j’y vis fut des plus aberrants :
Alphonse, nu, se frottait sur mon couvre-lit. Il balançait son bassin d’avant en arrière contre le tissu et je voyais ses fesses se contracter à chaque mouvement. Je l’entendais gémir assez fort et ses mouvements accéléraient. Je me précipitai avant que le pire n’arrive.
— Qu’est-ce que tu fous sur mon lit ?! Je hurlai, stupéfait et irrité.— Tu m’as dit que je pouvais juter dans tes draps, me répondit Alphonse, intimidé.— Je ne parlais pas des draps dans lesquels je m’apprête à dormir ! Seulement dans ceux qui sont déjà sales, bordel ! T’es con ou quoi ?!— Je-je-je suis désolé, je-je pensais que, hum...
Tout son corps se crispa soudain et il lâcha un râle qui me terrifia. Ne me dites pas qu’il a fait ce que je crois qu’il a fait ? Non, pas ça ! Je me penchai et regardai sous le ventre d’Alphonse, si, il l’avait fait. Cet abruti avait joui sur mes draps, il n’avait pas pu se retenir !
— Mais tu es un vrai porc, ma parole ! Je criai. Tu me nettoies ça, tout de suite, Al ! Tout de suite !
Alphonse pâlit et chercha un instant de quoi essuyer, en vain.
— Dépêche ! Je lui ordonnai, furieux.— Oui, je-je, mais j’ai r-r-rien pour ess-essuyer !— Alors, tu lèches, je m’en fous, je ne veux plus voir ton jus de couille sur mes draps !
Alphonse s’empressa alors de m’obéir et dégaina sa langue pour lécher son sperme qui a été abondant. Il s’appliqua à bien nettoyer le tissu, mais une large tâche humide s’était formée à cause de sa salive. Ça me dégoûta, ça m’écœura, ça m’énerva ! De quel droit cet idiot s’était permis de juter sur mon lit, bon sang ? J’avais dit qu’il était facile à vivre ? Bah, je m’étais trompé !
— Je suis désolé, couina Alphonse, honteux.— Espèce de porc, je devrais te punir pour ce que tu viens de faire !— Me punir ?— Oui, te punir ! En voilà une bonne idée tiens ! Et si je te donnais la fessée, hein ? T’es plus un môme, mais tu te comportes comme tel, alors je pense qu’une bonne fessée te remettrait les idées en place ! Viens là !
Alphonse hésita et cela me rendit d’autant plus furieux. Je l’attrapai par le bras, m’assis sur le lit et l’obligeai à se coucher sur mes genoux. Il était déjà nu très bien, cela facilitera les choses !
Sans attendre, je donnai une grande claque sur le cul d’Alphonse. Il sursauta et gémit de douleur. Je poursuivis ma tâche, donnant une seconde claque, puis une troisième, puis une quatrième. Alphonse se mit alors à manifester de plus en plus bruyamment sa souffrance. Des gémissements, il passa aux cris. Il se tortilla sur mes genoux, voulant s’échapper, mais je le maintins contre moi. Je lui donnai des coups encore plus forts. Ses fesses devinrent rouges et brûlantes, j’eus presque envie d’y poser la joue pour savoir si elles palpitaient.
Je frappai, je frappai, je frappai et Alphonse tenta de protéger son cul. J’attrapai ses mains et les bloquai dans son dos, puis repris sa punition. Lorsqu’il se mit à pleurer, je le relâchai enfin. Je l’obligeai à s’agenouiller devant moi, attrapai son visage pour lui parler les yeux dans les yeux :
— Tu ne recommences plus jamais à juter sur mes draps, on s’est bien compris ?— Oui, maître, gémit-il faiblement.— Maître ?!
Cela me surprit, mais d’un côté, ce titre n’est pas pour me déplaire.
— OK, je serai ton maître dorénavant, et tu auras affaire à moi, si tu recommences tes bêtises ! Je lui rétorquai durement.— Oui, maître.
C’était même plutôt agréable de se faire appeler « maître »...
— Mais maître, balbutia-t-il, les yeux baissés au sol, comment je f-fais pour me, soulager, si tous vos draps s-sont propres ?
Je réfléchis un instant, puis demandai avec hésitation :
— Tu serais prêt à juter, euh, dans mes sous-vêtements ?
Son visage s’illumina soudain et je ne pus me retenir de penser que ce garçon avait des soucis qu’il allait falloir régler.
— Oui, bien sûr maître ! s’écria-t-il avec enthousiasme.— OK, je te passerai mes slips, caleçons, boxers et autres pour que tu te décharges. Je ne voudrais pas que tu te retrouves frustré, j’ai peur de ce que tu serais capable de faire si tu l’étais...— Me donnerez-vous un nouveau nom, mon maître ?— Pourquoi ? T’aimes pas « Alphonse » ?— Je voudrais que ce soit vous, mon maître, qui me nommiez.— T’es vraiment étrange comme gars, tu le sais, Alphonse ? Je râlai. Comment voudrais-tu que je t’appelle ? J’en sais rien moi ! Et puis, tu sais quoi ? Sors de ma chambre, je t’ai assez vu pour aujourd’hui !— D’accord, maître.
Alphonse se redressa alors et quitta ma chambre. La dernière chose que je vis fut son cul tout rouge à cause de mes mains. Putain, mais quel idiot cet Alphonse !
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