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Alphonse, mon clébard de frère

Chapitre 2

Inceste
Le lendemain matin, après une bonne nuit de sommeil, j’allai dans la cuisine, vêtu de mon seul boxer. Le matin, j’étais toujours dans cette tenue, c’était confortable et il faisait plutôt chaud pour la saison. Je m’avançai donc dans la cuisine, sans me soucier du tissu serré du boxer qui moulait mon sexe et mon érection matinale. Je cassais des œufs au-dessus de la poêle, quand j’entendis du bruit derrière moi. Alphonse entra dans la cuisine, habillé d’un t-shirt et d’un short qui lui servaient de pyjama. Il me détailla des pieds à la tête pensivement.
— Qu’est-ce que t’as ? Je lui demandai.— Oh rien... bredouille-t-il en rougissant.— Tu ne m’appelles plus « maître » ?— Oh, si... enfin, oui... maître...
Je ris de sa maladresse, il était mignon malgré son rapport plus qu’étrange avec mes vêtements. Il sortit la bouteille de lait du frigo et c’est là que je vis que lui aussi avait son érection matinale. Son short est tendu vers l’avant.
— Tu es bien « éveillé », je me moquai en désignant son entrejambe.
Il rougit et s’assoit sur une chaise autour de la table afin de cacher son érection.
— Tu ne vas pas te soulager tout de suite ? Je demandai pour le mettre encore plus mal à l’aise.— Je-je ne peux pas... je n’y arriverai p-pas.— Comment ça ?— Tous tes vêtements s-sont lavés...— Oh !
Il me regarda avec des yeux si gênés et suppliants que cela me serra le cœur. Encore une fois j’ai pitié de lui. J’hésitais à faire ce qui me passait par la tête, mais me disant que cela n’améliorera pas les choses qu’il garde une érection pareille, j’agis. Je glissai mes doigts sous l’élastique de mon boxer et le fis descendre le long de mes jambes. Ma queue jaillit et pointa devant moi. Ma verge était longue et effilée comme une épée. Alphonse en me voyant faire, déglutit péniblement. Son visage devient de plus en plus rouge. Il admira mon membre rigide avec des yeux ronds. Moi, je lui lançai mon boxer à la figure. Il n’arriva pas à le rattraper, mon sous-vêtement lui atterrit en plein sur le nez. Il saisit alors le tissu et me jeta un regard effaré. Je haussai les épaules comme si ce n’était rien.
— Branle-toi maintenant, décharge-toi dans mon boxer, je lui intimai.— Oui, maître, souffla-t-il.— Ah, les « maître » sont revenus ?!— Oui, maître.

Alphonse enfonça alors son nez dans mon boxer, respira profondément. Il se gorgea de son odeur et je vis une expression d’extase se répandre sur ses traits. Il ferma les yeux de bonheur, il inspira encore une fois et je l’entendis gémir doucement. Je restai là, fasciné par la scène qu’il m’offrait. Alphonse serrait mon sous-vêtement contre sa bouche et son nez, ses mains trahissaient une certaine impatience. Sa respiration devenait de plus en plus forte et hachée. Tout à coup, une de ses mains alla sous la table. De ma position je ne voyais pas ce qu’il faisait, même si je le devinais. Je me surpris à vouloir voir ses mouvements et malgré moi je m’avançai vers lui, sur le côté de la table, pour avoir une vue sur son entrejambe qu’il malaxait à pleine main. Il tenait sa queue à travers son short, lui imprimant de vifs et forts coups de poignet. Une tâche humide apparût alors là où son gland pointait. Le spectacle était saisissant et je sentis ma verge tressauter. Ce fut à mon tour de déglutir quelque peu mal à l’aise.
Qu’est-ce que je devais faire ? Lorsque Alphonse sortit prestement sa queue de son short, mon sexe palpita et se tendit contre mon ventre. Bon sang, tout ça était tellement excitant ! Je devais avouer que le voir le nez enfoncé dans mon boxer en train de se masturber, ne me déplaisait pas... mais alors pas du tout... Alphonse enroula soudain mon boxer autour de son sexe et reprit ses va-et-vient impatients. Il gémit fort, il était essoufflé, sa bouche était grande ouverte. Il fit monter et descendre mon sous-vêtement sur son chibre. Puis dans un soupir, qui était proche du cri, Alphonse explosa dans mon boxer. Une large tâche d’humidité s’étala sur le tissu. Lorsqu’il éloigna le boxer de sa queue, je vis les tâches blanches qui le souillaient.Alphonse reprit peu à peu ses esprits et moi, je n’avais pas bougé d’un pouce, je restais là à le regarder. Mon sexe était plus dur que jamais, mes couilles ne veulaient plus qu’une chose : jouir sur mon frère. Oh mon Dieu ! J’eus du mal à croire que j’eus osé penser cela ! Mais pourtant, je m’approchai d’Alphonse, la tête complètement embrumée par le désir et je me mis à me caresser. Je laissai mes mains glisser, coulisser, monter et descendre sur ma queue, tout en regardant mon boxer souillé. Alphonse me vit approcher et ne rechigna pas, il resta sage et admira les mouvements que je faisais sur mon sexe. Je m’approchai assez pour que ma main qui s’agitait se cognait presque contre la mâchoire de mon frère. Je poursuivis mes va-et-vients, allant de plus en plus rapidement. Je sentais une délicieuse chaleur se répandre dans mon ventre, secouer mes couilles et là, je n’en pus plus. Je jutai avec générosité sur le t-shirt d’Alphonse. Une partie de mon jus éclaboussa sa mâchoire et sa joue.
Ma semence s’écoula lentement sur sa peau et le spectacle fut magnifique à voir. J’aimais cela. C’était beau. Alphonse n’avait pas bronché, il fixait toujours ma queue avec un désir évident.
— Puis-je vous nettoyer, maître ? demanda-t-il avec envie.— Me nettoyer ? je faisais en essayant de calmer ma respiration rapide.— Oui, vous nettoyer le membre.— Ma bite ? je m’étonnai. Comment tu voudrais la nettoyer ?— Avec ma bouche, maître.— Tu es vraiment un drôle de vicelard, Alphonse.— Vous acceptez ma proposition, maître ?
Son impatience était étrange à voir. Je ne pourrais dire si cela me plaisait ou non. Ma queue se ramollit entre mes cuisses et un goutte de sperme pendit au bout. La goutte s’apprêtai à tomber, mais Alphonse n’avait pas l’intention de la laisser être gaspillée, alors il tendit la langue et l’attrapa. Je sursautai, surpris.
— Alphonse ! je criai.— Maître ? Fait-il en sursautant lui-même à cause de ma réaction.— Tu es fou ?!— M-mais je voulais j-juste...
Et voilà qu’il se remettait à bégayer ! Ce gosse m’étonnera toujours !
— Comment tu peux vouloir goûter mon sperme ?! Je le sermonnai. Tu trouves cela normal toi ? Et puis, comment se fait-il que tu sois à ce point intéressé par ma bite, hein ?! Tu as goûté mon jus, putain !— Il é-é-était bon, maître... murmura-t-il en baissant les yeux.— Quoi ?— Votre sperme était bon, maître, fit-il d’une voix audible.— Tu en as plein sur la gueule, bon appétit, crevard ! Je lui crachai durement.
Alphonse osa alors récupérer mon jus qui coulait sur sa joue et le porta à ses lèvres. Il lécha et suce ses doigts mouillés comme un affamé. Je crus halluciner.
— M-maître, pourrais-je en avoir d’autre ? Bredouilla-t-il.— De mon jus ?!— Oui, maître.— Nonnn ! Je n’aurais jamais dû t’éjaculer sur la tronche, putain !— J’aimerais tant que vous recommenciez, maître !
N’en supportant pas plus, je quittai la cuisine et allai prendre une douche. J’avais besoin de réfléchir à cette situation. Tout s’enchaînait trop vite, j’avais besoin de me reposer et de digérer tout ça.

Note de l’auteur :Merci d’avoir lu mon histoire, j’espère qu’elle vous a plût ! 😍 Si c’est le cas, retrouvez la suite de "Alphonse, mon clébard de frère" sur Amazon ! Alphonse et son frère n’ont pas fini de vous surprendre et de vous émouvoir ! On ne cesse de me dire que la fin est mémorable ☺️, alors j’ose croire que mon récit vaut la peine d’être lu. À très bientôt !Belle Azrael ❤️ l’Amour sous toutes ses putains de formes !
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