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Alyssa, mon frère et moi

Chapitre unique

Alyssa découvre le plaisir à trois

Avec plusieurs hommes
Alyssa et moi avons vécu il y a quelque temps une soirée vraiment particulière.
Nous nous étions rendus comme souvent à notre plage naturiste préférée et avions décidé de manger tout près de là. Alyssa et moi étions parfaitement rasés, sexes nus, lisses, tellement excitants à contempler. Il n’en fallait pas plus pour que nous cherchions à nous exciter mutuellement. Je la fis jouir sur notre plage et elle me prit profondément dans sa bouche, me prodiguant une superbe fellation.
Après cette mise en appétit ma fois fort réussie, nous nous sommes rendus dans un petit restaurant au bord du lac où nous avons bien mangé et bien bu. Ah le petit rosé du coin, superbe ! Alyssa ne portait que deux pièces d’habit sur elle : un top qui dévoilait ses mamelles par un très beau décolleté et une mini-jupe blanche qui couvrait le haut de ses cuisses. Vous l’aurez compris sous ces habits Alyssa était totalement nue.
Comme à notre habitude, l’alcool aidant, notre conversation tournait de plus en plus autour du sexe, du plaisir que nous prenons tous les deux à jouir. C’est donc passablement excité que nous quittâmes le restaurant pour aller nous balader sur la jetée du port. Il faisait nuit noire, la jetée n’était éclairée que par quelques lampadaires. Nous nous sommes arrêtés sur le ponton d’un débarcadère, assis les pieds au-dessus de l’eau. Je commençai à embrasser Alyssa goulûment en malaxant ses belles mamelles ce qui la fit gémir de désir. Ma main partit à la découverte de son sexe nu sous sa jupe.
— Oh oui, fais-moi jouir, me dit ma belle Alyssa.

Mon doigt glissait entre les lèvres de son sexe s’arrêtant sur son clitoris. Toute sa vulve était trempée de désir. Elle se coucha sur le ponton et je relevai sa jupe pour bien voir son sexe totalement lisse. Je penchai ma tête et donnai un petit coup de langue sur le haut de ses lèvres intimes. La position n’était cependant pas très confortable et je m’assis, dos à la barrière, faisant venir Alyssa au-dessus de moi. Elle comprit de suite ce que je désirais lui faire et en écartant les jambes, elle vint poser son sexe dégoulinant sur ma bouche. Des gens passaient à quelques mètres de nous mais heureusement, grâce à la noirceur de la nuit personne ne se rendit compte de ce qui se passait.
Je bouffais littéralement son sexe, le mordillant, léchant l’intérieur de ses petites lèvres, prenant son clito entre mes dents pour la faire encore plus gémir de plaisir. Mes deux mains malaxaient ses fesses, deux doigts allaient s’égarer sur et dans son anus. Alyssa jouit ainsi deux fois, se retenant de crier pour ne pas ameuter les badauds se tenant un peu plus loin.
— Oh c’était tellement bon, me dit-elle en se blottissant contre moi.— J’aime te faire jouir, t’entendre gémir de plaisir.
Je me relevai, elle sortit ma queue bandée de mon pantalon et elle l’avala au plus profond de sa bouche gourmande. Elle faisait aller et venir ses lèvres tout au long de ma bite avant que sa bouche ne vienne se placer sur mon gland qu’elle suçait merveilleusement bien. Je sentais la sarabande de sa langue sur cet endroit si sensible de mon sexe ce qui me faisait bander de plus belle. Elle était accroupie à mes pieds, je voyais son sexe entre ses jambes largement écartées. Quelle beauté. Je ne voulais cependant pas qu’elle me fasse jouir à ce moment-là. J’avais d’autres projets en tête.
J’avais reçu un message de mon frère mentionnant qu’il serait ce soir-là tout près d’où nous nous trouvions Alyssa et moi. Il dormait à l’hôtel.
— Ca te dirait d’aller boire un verre ensemble ? Mais vers les 22h30 car j’ai une soirée avant.— Je ne sais pas si ce sera possible, ça fera assez tard ça mais je te redis.
Nous avons déjà fait les quatre cent coups mon frère Vincent et moi et nous avions déjà eu l’occasion de nous occuper ensemble du plaisir d’une femme. Je lui avais bien sûr raconté les folies que nous vivions Alyssa et moi et il s’était montré très intéressé. Nous nous étions donc rencontrés les trois pour boire un verre et papoter de choses et d’autres mais surtout de sexe. Et bien sûr nous discutions également de ce que peuvent faire deux hommes vicieux comme nous avec une femme cochonne comme Alyssa. Mais elle était loin d’être convaincue par la chose.Ils s’échangèrent par la suite des textos et s’envoyèrent même la photo de leur sexe ou pour Alyssa de ses mamelles. Bien sûr Alyssa ne me cachait rien de ces petites incartades virtuelles.
— Que penses-tu, ça te dirait d’aller boire un verre avec mon frère ?— Euh oui, pourquoi pas, mais on est d’accord, seulement boire un verre, rien d’autre. Je vous connais les deux.— Ne t’en fais pas, on ne te forcera à rien.— Ouais ouais ouais, c’est ce qu’on dit.
Nous partîmes du restaurant où nous avions mangé et quinze minutes plus tard nous étions à l’hôtel où dormait Vincent. Il ne devait arriver qu’environ une heure plus tard et nous avions la possibilité d’aller boire quelque chose ou alors...
— Et si on allait prendre sa chambre ?— T’es fou ? Ca va jamais marcher.— Chiche.
Nous nous sommes présentés à la réception de l’hôtel où je demandai à la réceptionniste
— Mon frère est descendu chez vous et il nous a demandé de l’attendre dans sa chambre. Cependant nous n’avons pas de clé, pouvez-vous nous la donner ?
La réceptionniste était quelque peu surprise.
— Comment s’appelle votre frère ?— Vincent Untel.— Je ne sais pas si je peux faire ça car je dois vous donner un passe.— Allons je vous redescends le passe dès que j’ai ouvert la porte.
Ce que je fis.
La voix étonnée de mon frère quand je l’appelai sur son mobile pour lui dire "On t’attend dans ta chambre". Je dus lui expliquer l’épisode de la réception et je lui fis bien comprendre que nous l’attendions sur son lit.
Arrivés dans la chambre il était clair qu’Alyssa et moi ne pourrions résister à l’envie que nous avions l’un de l’autre. Nous fûmes nus en un éclair et déjà je léchais le sexe d’Alyssa la faisant gémir de plaisir et de désir. Je la fis jouir à plusieurs reprises ainsi avant qu’elle ne s’occupe de mon sexe. Elle l’engloutissait au fond de sa gorge en gémissant, léchait mes couilles pendant que je me branlais, suçait mon gland. Hummm quelle adorable gourmande.
Je la fis mettre à quatre pattes pour lui lécher l’anus. J’adore lui faire ça et elle adore avoir ma langue à cet emplacement de son anatomie. Je la léchai un bon moment avant qu’elle ne se retourne et me dise:
— Attends, j’ai un préservatif dans mon sac, je veux que tu m’encules.
Tout ça très vite, comme dans un souffle de désir à peine retenu.Elle prit le préservatif et l’appliqua sur mon sexe avant de se mettre à nouveau à quatre pattes sur le lit.
— Cambre-toi, donne-moi ton cul, ouvre-le avec tes mains.
Elle écarta ses fesses de ses deux mains me laissant admirer son sexe ouvert et son anus palpitant.
— Qu’aimerais-tu ma belle petite chienne?— Que tu m’encules.— C’est vraiment ce que tu veux?— Oui, oh oui.— Alors tu vas avoir ma queue tout au fond de toi.
En disant cela, j’avais posé mon gland sur son trou et sans même devoir forcer j’enfonçai mon sexe d’une seule traite jusqu’aux couilles dans son cul.
— Oh ouiiiii, c’est bon, c’est tellement bon.
J’enculais ma belle Alyssa par de profonds mouvements de mon bas-ventre. Ma queue entrait dans son cul avec une déconcertante facilité arrachant des cris de plaisir à ma belle sodomite.
Cette enculade dura longtemps. Alyssa jouit trois fois de cette saillie. Sans que je n’aie joui, je sortis mon sexe de son cul et nous nous couchâmes sur le dos. Elle caressait ma bite pendant que ma main se perdait entre ses jambes. Je la fis jouir plusieurs fois du clito lui arrachant des cris de plaisir.Puis elle prit à nouveau ma queue dans sa bouche pour m’offrir une formidable fellation et pendant qu’elle me suçait je lui donnai quelques fessées comme elle aime les recevoir.
Ce fut à cet instant que Vincent entra.
— Oh non, me dit Alyssa en se blottissant contre moi.— Euh, on entend dans le couloir quand tu lui frappes les fesses, fit mon frère.— Oups, désolé, lui répondis-je avec un grand sourire.— C’est sympa d’entrer dans sa chambre et de découvrir un couple nu sur son lit. Ne faites pas attention à moi, je vais vite me rafraîchir.
Etonnamment Alyssa et moi étions très sereins sur notre lit. J’étais épaté par la réaction d’Alyssa qui ne chercha jamais à se rhabiller et à partir. Au contraire, nous continuâmes à nous caresser avant que Vincent ne vienne nous rejoindre habillé d’un seul boxer.
Il s’allongea sur le lit à côté d’Alyssa et elle fut ainsi entourée de deux frères qui allaient s’occuper d’elle. Nous lui caressâmes les seins, les lui malaxant, tirant sur ses tétons comme elle aime que je le lui fasse. Alyssa, les yeux fermés s’abandonnait complètement à ses sensations et c’est tout naturellement qu’elle écarta les cuisses lorsque ma main descendit vers son sexe. Nos bouches avaient pris possession de ses tétons et elle gémissait d’excitation sous ces succions et autres mordillements.
Mon frère enleva son boxer laissant apparaître une belle bite bien bandée. Il remplaça mes doigts sur le sexe très mouillé d’Alyssa. Ses caresses faisaient gémir ma belle qui prit nos deux queues dans ses mains. Hummm quelle superbe image que de voir cette belle femelle s’abandonner au plaisir que nous lui donnions.
Je me plaçai entre ses jambes pour lécher sa vulve trempée. Je la vis pencher sa tête vers la queue de Vincent et commencer à le sucer comme elle le fait avec moi. Fellation bien profonde, léchage de couilles, suçotement du gland. Mon frère est également totalement sans poils et Alyssa appréciait grandement de le pomper ainsi. Je continuais mon cunnilingus et elle se laissa aller à une très belle jouissance étouffée par la bouche de Vincent qui l’embrassait. Elle fut d’ailleurs très surprise qu’il l’ait embrassée et m’avoua plus tard qu’il embrassait exactement comme moi. Que voulez-vous, on est frères ou on ne l’est pas!
— Tu as envie que Vincent t’encule, demandai-je à Alyssa?— Tu m’as tuée avec toutes les jouissances que tu m’as offertes et je n’ai plus de préservatif.— Et moi je suis fatigué et je dois me lever très tôt demain matin, renchérit mon frère.
Il est vrai qu’il était presque minuit.
— Mais tu peux nous sucer les deux et on peut jouir sur tes seins, dit Vincent.— Hummm pourquoi pas.
Alyssa s’assit au bord du lit et nous présentâmes nos queues durcies à sa bouche. Elle prit les deux glands en même temps entre ses lèvres jouant avec sa langue pour nous faire bander encore plus. On aurait dit qu’elle avait fait ça toute sa vie ! Puis elle quitta ma queue pour engouffrer celle de mon frère bien profondément dans sa bouche pendant que je me branlais en admirant le spectacle. Elle prenait maintenant nos bites alternativement dans sa bouche tout en nous branlant.
C’est Vincent qui jouit le premier en sortant son sexe d’entre les lèvres d’Alyssa. Il gicla sa semence sur les mamelles de ma belle en gémissant fortement, retenant ses cris de plaisir. Il ne me fallut pas longtemps pour le rejoindre et c’est une Alyssa maculée de notre sperme qui nous dit:
— Hummm, il y en avait beaucoup.
Après ces moments torrides Alyssa et moi partîmes sous la douche.
— Je dois pisser, me dit-elle une fois dans la baignoire.
Elle laissa couler sa miction sur ma main pendant que je caressais son sexe.
— Moi aussi je dois pisser.
J’arrosai copieusement son bas-ventre avant que nous ne finissions de nous doucher.
Il était temps de prendre congé de mon frère et dans la voiture ma chère Alyssa me dit avec un sourire coquin :
— Je ne veux pas de question.
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