Charlotte — Parfait Amandine, votre présentation est parfaite, comme d’habitude, vous avez bien bossé. Tirez-moi ce document à douze exemplaires, j’en ai besoin demain à dix heures pour la réunion des gros clients, ils sont cinq et j’ai besoin de deux exemplaires par personne plus un pour moi et un pour vous.— Mais monsieur, il est dix-sept heures quarante-cinq, ce document fait quatre-vingt-douze pages, j’en ai pour pas loin de deux heures, il n’y a plus qu’une photocopieuse qui fonctionne, et je dois être chez moi à vingt heures au plus tard, je vous rappelle que nous sommes sous régime de couvre-feu depuis hier.— Oui, je sais Amandine, mais c’est un cas de force majeure, vous n’aurez pas le temps de tout faire demain matin. Faites-en une partie tout de suite, vous finirez demain matin, c’est primordial pour la société. Quand vous aurez fini, prenez un taxi pour vous ramener chez vous et donnez-moi la note demain, en plus, je vous donne votre vendredi en compensation.— OK, merci monsieur le directeur.— Amandine, vous savez que demain c’est la dernière réunion de l’année avec nos gros clients, il faut qu’ils adhèrent aux nouveaux produits, je compte sur vous.— Je vais faire mon possible, monsieur, vous aurez ces documents demain matin.— Je compte sur vous ma petite Amandine, bonne soirée et à demain.
Sur ces paroles, mon directeur quitte son bureau et s’en va. Je vais à la photocopieuse pour lancer l’impression des douze exemplaires. Elle fait le tri automatiquement, mais elle est assez lente, j’arrête de faire les photocopies à dix-neuf heures trente, je finirais et ferais les reliures demain matin, je dois vite renter avant le couvre-feu. Je prends un taxi et rentre directement à mon appartement, juste avant vingt heures. J’habite au dernier d’un immeuble de six étages avec aucun vis-à-vis, c’est l’immeuble le plus haut du coin, malheureusement, il n’y a pas d’ascenseur, impossible d’en installer un, immeuble trop vieux et pas de place. Il est très grand, quatre chambres, une petite pièce aveugle, deux salons, deux salles de bain, une grande cuisine et deux terrasses en L donnant sur les deux baies vitrées du grand salon. J’ai une vue imprenable sur cinquante pour cent de la ville. Je l’ai acheté l’année dernière après avoir hérité de ma grand-mère. Il n’était pas cher, pas d’ascenseur, en plus, il nécessitait de gros travaux qui ont été faits par mon père gratuitement, il faut dire que c’est son métier. Je me commande une pizza pour vingt-deux heures et prends une douche, je sais qu’en général, ce sont les dernières livraisons de pizza. Ce soir, je veux m’amuser, je ne veux pas rester seule, j’ai envie de sexe. J’enfile une gandoura blanche légère sans broderie, échancrée sous les bras avec une fente jusqu’à la taille que j’ai faite sur le côté. Je vérifie dans la glace qu’on voit bien que je suis nue dessous et m’installe dans le salon en attendant ma pizza. J’ai déjà utilisé le stratagème de la gandoura pour draguer un livreur, ça avait été une super soirée, il était doux, prévenant et endurant. Mes pensées divaguent, je passe ma main sur un de mes seins, elle descend lentement sur mon ventre, arrive sur mon pubis. J’écarte un peu les cuisses, elle descend encore un peu, mon sexe commence à s’humidifier un peu, un doigt se glisse entre mes lèvres humides et s’enfonce un peu. On sonne, je retire mon doigt, le suce et vais vers la porte. — Entrez, c’est ouvert.
La porte s’ouvre, surprise, c’est une jeune fille, j’attendais un homme, tant pis, je m’amuse autant avec les femmes qu’avec les hommes. Je m’efface pour la laisser entrer, elle porte un casque intégral ouvert qui ne dégage que ses yeux, elle me regarde, entre et se dirige vers le salon. Elle pose la pizza en se penchant sur la table basse. Je ne peux savoir si elle est jolie avec son casque, mais je remarque son super cul moulé dans un pantalon noir en tissu extensible une taille en dessous et sans culotte c’est sûr. Elle se retourne, je me suis mise de côté en faisant semblant de regarder le thermomètre sur la cheminée. Elle ne peut pas ne pas voir mon sein droit et que je suis nue sous mon vêtement. La fente sur le côté dévoile ma jambe en entier et même le bas de mon ventre, voire mon pubis rebondi dans certaines positions, je l’ai vérifié dans un miroir. Elle me regarde de nouveau, je me tourne vers elle, je vois que son pantalon est tellement serré qu’il sépare les lèvres de son sexe en s’incrustant entre elles, je lui souris. — Vous avez fini votre journée ?
— Oui, vous êtes ma dernière livraison.— Vous devez retourner à votre boutique ?— Non pourquoi ?— Partager la pizza avec moi, ça vous dit ?
Elle enlève son casque, me regarde, je vois à ses yeux qu’elle a parfaitement compris où je voulais en venir, elle me détaille et je pense que ce qu’elle voit lui plaît, surtout que ma gandoura n’est pas très opaque, on distingue bien mon corps en dessous. — Vous recevez toujours les livreurs de pizza dans cette tenue ?— Non, mais ce soir, j’avais envie.— De quoi ?— De la partager.— La pizza ?— Et plus si affinités.— Avec moi ?— Puisque tu es là.— Et c’est quoi le plus ?— Ne fais pas l’innocente.
Elle me fixe, son regard est franc et perçant, il va de la tête aux pieds. — OK, mais j’ai besoin de me rafraîchir.— Une douche ?— Pourquoi pas, mais seule.— Il va sans dire.
Elle me sourit en coin, elle n’est pas dupe, je l’accompagne dans la salle de bain, lui donne une serviette et fais demi-tour. — Tu n’aurais pas quelque chose à me filer pour me changer, j’aimerais être un peu plus à l’aise.— Oui, bien sûr, je t’amène ça tout de suite.
Je quitte la salle de bain pour aller chercher une autre gandoura, je peux, j’en ai cinq, j’en achète une à chaque fois que je vais à Marrakech. J’en choisis une crème très légère, assez transparente et échancrée sous les bras, mais sans fente de côté. Si elle veut autre chose, elle me le fera savoir, j’en suis sûre. Je retourne dans la salle de bain, y pénètre juste au moment où elle entre dans la douche à l’italienne, elle est de dos, nue. Je suis subjuguée par ce cul d’enfer encore bien bronzé avec des traces de ficelles de string, j’ai envie de me jeter dessus et de lui bouffer, mais je me retiens, on verra ça plus tard. Je pose la gandoura sur une chaise et sors. J’entends couler l’eau, je m’imagine cette splendide fille passer ses mains sur tout son corps pour se laver, j’aimerais tant que ce soit les miennes qui parcourent ses merveilleuses courbes. Je mets la pizza dans mon four pour la maintenir en température et prépare un apéritif en l’attendant. Elle arrive au bout de dix minutes. Son corps bouge sous la gandoura qui ne cache rien. Je la regarde mieux, elle est en fait très jolie avec des yeux de biche aux longs cils. — Tu m’as donné cette gandoura qui ne cache pas grand-chose pour me mater, c’est ça ?— Je l’avoue, c’est exactement pour ça, et je dois dire que j’adore ce que je vois.— Sans me demander mon avis.— J’en avais vraiment besoin ?— Pas vraiment non.— Ça te gêne, tu veux que je te donne autre chose ?— Ce n’est pas la peine, on sait très bien toutes les deux comment ça va se terminer, alors autant jouer franc jeu et dévoiler ses atouts.
Elle fait passer le vêtement par-dessus sa tête, le jette à terre et me regarde. Je me lève et en fais autant, nous sommes maintenant nues face à face. Elle a de sacrés atouts, seins hauts et fermes, bien ronds, pas trop gros, ventre plat, pubis rebondi juste agrémenté d’un minuscule ticket de métro, ce que je n’aime que modérément, jambe et cul d’enfer. Elle est assez bronzée, mais a des marques de bronzages minuscules sur les seins et le pubis, juste le ticket de métro. Le maillot ne devait pas excéder trois grammes, un par triangle. Je distingue son clitoris qui pointe le bout de son nez sous son capuchon, il n’a pas l’air énorme. Mes atouts sont à peu près les mêmes, à l’exception de mon pubis lisse et bien bronzé. Je pense que nous avons le même âge à peut-être un an près. Elle vient vers moi, s’arrête à dix centimètres, nos seins se touchent presque. — Tu as envie de moi ?— Oui.— Avant ou après la pizza ?— En tout cas, après l’apéritif, assois-toi sur ce divan.
Elle s’assoit, je m’assois en face d’elle, de l’autre côté de la table. Elle me refait son sourire en coin et écarte les cuisses, j’écarte mes cuisses. — Je vois qu’on n’a pas besoin de te demander, tu sais ce qu’il faut faire.— Surtout quand je suis devant une fille qui me fait mouiller.— Les filles te font mouiller ?— Certaines, pas toutes, toi oui, et même grave.— Et les mecs.— Non, pas les mecs, je n’aime que les femmes.— J’ai de la chance.— On peut le dire.— Tu es vierge ?— Non, mais c’est tout comme, je ne veux pas qu’un mec me touche. — D’où te vient ce rejet des hommes ?— A quatorze ans, j’ai été violée par deux copains de mon frère, ils venaient le voir alors que j’étais au bord de la piscine en deux pièces. Mon oncle et mon frère sont arrivés quand ils se rhabillaient. Ils leur ont foutu une branlée dont ils doivent se souvenir encore aujourd’hui. Mon oncle m’a amenée directement chez la gynécologue de sa femme qui a constaté une déchirure de l’hymen, du sang, du sperme et aucune sécrétion vaginale, la preuve du viol. Ça m’a dégoutée d’avoir un contact avec un homme. — OK, je comprends.— En plus, ces cons ont porté plainte contre mon oncle et mon frère pour coups et blessures, quand nous sommes revenus de chez la gynécologue, des flics nous attendaient devant chez moi pour nous emmener au poste. En voyant le rapport de la gynéco, ils les ont foutus au bloc. Ils ont pris huit ans fermes, ils sont sortis il y a deux ans, remise de peine.— Ça m’a l’air d’avoir été rapide.— Mon oncle, sa femme et mon frère sont avocats pénalistes, ça aide.— A priori c’est de famille, et tu n’as pas été trop emmerdée pour le procès ?— Ça a été pénible au départ, prélèvement vaginal, analyse, questionnaire des flics, heureusement qu’ils connaissaient mon oncle, ça a facilité les contacts, il était toujours avec moi.— Tu les as revus depuis leurs sorties ?— L’un d’eux a quitté la région, mais l’autre rodait autour de chez moi dès qu’il est sorti de prison. Mon frère est allé le voir et lui a fait comprendre qu’il avait intérêt à se tenir à carreau. De toute manière, nous avons obtenu une ordonnance restrictive, il ne peut pas être trop près de moi.— Il aurait voulu se venger ?— Je ne sais pas, mais deux précautions valent mieux qu’une.— Tu as raison.— Je ne sais vraiment pas pourquoi je te raconte tout ça, on se connaît depuis à peine une demi-heure.— Les atomes crochus peut-être.— C’est vrai que tu me plais beaucoup, tu me fais mouiller de plus en plus.— Tu n’as qu’un frère ?— Non, j’ai aussi deux sœurs plus jeunes que moi, vingt et dix-huit ans.— OK.
Je regarde son sexe, effectivement il brille comme l’étoile du berger, comme le mien, je suppose. Je lui sers un gin-tonic et me sers un whisky. Nous discutons un peu, j’apprends qu’elle s’appelle Charlotte, qu’elle a vingt et un ans, deux de moins que moi, qu’elle est en master deux de droit et que ses parents vivent en Normandie. Elle livre des pizzas pour se payer son loyer, ses parents n’ayant pas assez de sous pour tout payer. Mais elle n’est pas malheureuse, elle aime bien ce qu’elle fait. — Comment se fait-il que tu sois à Montpellier pour tes études, c’est loin de la Normandie.— C’est la fac qui m’a acceptée en master deux, j’avais postulé dans dix facs, c’est celle qui a bien voulu de moi.— Il y a une sélection ?— Oui, pour master deux, tu dois envoyer ton dossier aux facs, ils sélectionnent.— Je ne savais pas, tu veux faire quel métier ?— Avocate pénaliste.— Bonne chance, si je ne m’abuse, tu en as encore pour quatre ans avec la prépa avocat.— Oui, comment tu le sais ?— Je m’étais renseigné, mais la longueur des études m’a rebuté.— Pas moi.
L’atmosphère est détendue, chacune de nous sait comment la soirée va se terminer, les regards sont francs, directs, apaisés. Cette fille est zen, elle dégage une sorte de sérénité apaisante, on a envie d’être avec elle. C’est tout naturellement qu’elle se lève, fait le tour de la table basse pour venir poser ses lèvres sur les miennes. Elle se laisse tomber sur moi, ce qui entraîne ma chute sur le divan, je me retrouve allongée sous elle, à échanger un baiser langoureux. Ses mains parcourent mes flancs, mes mains parcourent son dos et surtout ses fesses. Nos langues s’amusent entre elles un long moment que je savoure. Quand elle redresse la tête, un merveilleux sourire éclaire son visage. Elle se lève et retourne s’assoir à sa place. — J’avais envie.— Moi aussi, tu as dû le sentir.— Non, mais j’avais envie, j’adore les lèvres des femmes, toutes les lèvres.— Je suis à ta disposition, fais comme chez toi.
Elle sourit et boit une gorgée, ses cuisses s’ouvrent lentement. Je comprends le message et me lève. Je contourne la table pour venir m’agenouiller entre ses jambes. Ma tête s’avance vers ce superbe sexe rose luisant comme une étoile. Ma bouche se pose sur ses lèvres, elle a un violent frisson. — Oh oui, j’adore des lèvres de femmes sur mes lèvres, vas-y, profites-en, mais fais-moi jouir, j’ai envie de jouir sous ta langue.
J’explore son sexe de fond en comble, tout y passe, les lèvres, le vagin, le périnée, jusqu’à l’anus, ce qui ne la laisse pas indifférente, je remonte sur le clitoris. Je suis un peu gênée par ses poils qui me grattent le nez, je n’apprécie pas beaucoup, mais ce sexe m’aimante, je veux le faire exploser. Son ventre n’arrête pas de faire des ronds, je me délecte de sa cyprine, je lui agrippe le côté des fesses et l’attire contre ma bouche, je veux la manger entièrement, la dévorer. Je sens son corps se tendre, elle va jouir, mon sexe ruissèle, je suis dans tous mes états, sentir ce merveilleux corps jouir sous ma bouche me transcende, elle explose en appuyant encore plus sur ma tête. Je sens un liquide m’arroser le menton, j’ai du mal à boire tout ce qu’elle me donne, mais quand je la sens se détendre un peu, je lui lape les lèvres, du périnée au clitoris pour récupérer un maximum de sa cyprine. Je suis sur le point d’arrêter quand je sens des frissons lui traverser le corps, elle redémarre, je veux participer. De nouveau, ma bouche parcourt son sexe de haut en bas, je lui mordille les lèvres, lui titille le périnée, lui aspire le clitoris, elle ne résiste pas longtemps et repart dans un nouvel orgasme qui me parait encore plus intense. De nouveau, je suis arrosée par un jet bref et puissant, elle ne cesse de me secouer la tête, ses cuisses m’enserrent le cou, ma bouche ne veut plus quitter son sexe. Je continue de lui laper le sexe, je ne me lasse pas de ce merveilleux nectar d’amour. Ses cuisses me maintiennent en position, elle ondule toujours du ventre, je continue à lui titiller le sexe. Je commence à avoir un peu mal à la langue, mais je ne sens pas de volonté d’arrêter de sa part, je continue donc. Son corps se réveille une nouvelle fois, je suis secouée par ses cuisses qui me balancent à droite et à gauche. Je me laisse aller, je ne fais presque plus rien, ma langue est fatiguée, mais ça suffit, je sens son ventre se durcir, ses cuisses se raidir, elle repart de nouveau dans un troisième orgasme. Cette fois, j’ai l’impression qu’elle veut me couper la tête avec ses cuisses tellement elle les serre. Elle lève ses fesses en me soulevant. Je passe mes mains dessous pour les caresser en même temps que je la plaque sur ma bouche. Elle finit par redescendre, ses fesses touchent le divan, ses cuisses s’ouvrent, ses mains me prennent la tête et m’attirent vers sa bouche. Je me laisse glisser sur son corps, nous arrivons pubis contre pubis, ventre contre ventre, seins contre seins, bouche à bouche. Un long baiser nous unit, je sens ses mains glisser sur mon corps, je frémis. Je ne résiste pas quand elle m’allonge sur le divan. Sa bouche atterrit sur mon sexe, dans l’état dans lequel je suis, je jouis en une minute, mais elle ne s’arrête pas là, elle continue de me brouter le minou, mon corps est peu habitué à des récidives, il met un certain temps à réagir, elle insiste tant et si bien que je commence à ressentir les prémices d’un nouvel orgasme. Sa langue se faufile entre mes lèvres pour entrer dans mon vagin, un doigt se glisse dedans, en ressort et vient s’enfoncer dans mon anus, j’explose. Un violent orgasme secoue mon corps dans tous les sens, je me laisse aller à ce plaisir incroyable, je veux que ça dure toujours, mais mon corps est fatigué, il se détend et se repose sur le divan. Sa bouche continue de parcourir mon sexe, mais plus rien ne se passe, je lui prends la tête pour amener sa bouche sur la mienne et échanger un long baiser. Elle se redresse et me regarde. — J’ai rarement joui comme ce soir, surtout la troisième fois, et c’est la première fois que je jouis trois fois de suite.— Et moi, la première fois deux fois de suite.— C’est la journée des records.— Fêtons ça.
Nous nous levons pour aller nous assoir sur un divan côte à côte, je me plaque contre elle, ce qu’elle accepte en passant son bras sur mes épaules. — Tu me plais toi, j’aime ton corps, j’aime ma bouche sur ton sexe, j’aime aussi ta bouche sur mon sexe, nous sommes faites pour nous revoir.— Quand tu veux. Moi aussi j’aime ton corps, ta bouche sur mon sexe et ma bouche sur ton sexe, quoi que s’il était lisse.— Tu n’aimes pas les poils même raz ?— Je déteste.
Nous rigolons, mais je commence à avoir faim, je vais chercher la pizza dans le four, elle est à bonne température. Je la découpe et l’amène sur la table basse. Je m’assois à côté d’elle, elle prend un morceau bien chaud, m’écarte les cuisses, le frotte sur mon sexe encore ruisselant de cyprine et la porte à se bouche. Je suis électrisée par ce contact très chaud sur mon sexe. — Mmmm, délicieux, vraiment délicieux avec cet assaisonnement.
Elle m’allonge sur le divan, m’écarte les cuisses le plus possible et enfonce le bout de la part encore très chaud dans mon vagin, elle l’enfonce encore, il se désagrège. Elle porte ce qui reste à sa bouche et le mange. Une fois qu’elle l’a avalé, elle se penche sur mon sexe et mange les bouts de pizza qui y restent. — Hum, c’est encore chaud et bien assaisonné, miam.
Elle les retire un à un avec sa langue. Se faisant, elle excite mon clitoris, mon ventre bouge, elle termine ce qui reste de pizza dans mon sexe et m’aspire le clitoris en le titillant avec sa langue. J’explose dans un sublime orgasme, sa bouche toujours sur mon sexe. Quand j’émerge, je la vois sur l’autre divan, allongée, les jambes ouvertes. Je comprends l’invitation. Je prends une part de pizza toujours chaude, vais la tremper dans son sexe. Comme pour elle, elle se désagrège dans son vagin. Je mange le bout qui me reste et m’agenouille. Je me positionne entre ses cuisses et commence à récupérer les morceaux épars. Une fois que j’ai récupéré tous les morceaux, je commence un broute minou comme j’aime les faire. Son corps réagit tout de suite, il commence à onduler du bassin, ses mains se posent sur mes épaules, je ne comprends pas pourquoi. Je continue d’investiguer son sexe, son clitoris pointe le bout de son nez, je lui donne un coup de langue, elle réagit par un coup de reins en avant. Ma langue descend sur son périnée, je lui soulève les jambes, ses fesses s’ouvrent un peu me laissant le passage vers son anus que je lèche avec gourmandise. Elle réagit encore à cette caresse, c’est de bon augure. Je remonte vers son clitoris, je sens qu’elle est au bord de l’orgasme, je veux qu’elle jouisse comme une folle, comme tout à l’heure au troisième. Ses jambes me serrent, son corps se fige, elle jouit, je reçois un bref jet de liquide. Je reste sur son sexe, je bois sa cyprine, je lèche, j’aspire, je suce. Elle bouge, elle se détend, elle se raidit, elle se détend, elle me secoue dans tous les sens, mais je m’accroche à ce sexe qui me livre un nectar que je bois avec délice. Contrairement à tout à l’heure, elle se détend, son corps se ramollit, ses fesses atterrissent sur le divan, je remonte le long de son corps pour échanger un baiser. Quand nous nous séparons, je m’assois à côté d’elle et nous finissons la pizza en discutant. Je dois dire que ce merveilleux corps assis à côté de moi ne me laisse pas indifférente, je suis bi, mais elle, elle pourrait me faire basculer côté Sapho. L’atmosphère est très détendue, cette fille a beaucoup d’humour, nous rigolons bien lorsque son téléphone sonne. — Allo, ......., et c’est grave ? .........., OK, j’arrive.— Un problème ?— Oui, mon frère vient d’avoir une attaque cardiaque, il est à l’hôpital, il faut que je rentre chez moi.— Il est où ?— A Rouen.— Mais, il a quel âge ?— Quarante-deux ans, nous avons vingt et un ans de différence, je suis un retour de flame, comme mes sœurs.— Mais quel âge avaient ses copains quand ils t’ont violée ?— Trente-cinq ans, c’est un viol sur mineure par personne ayant l’autorité, circonstances aggravantes.— C’est ce qui t’a décidé à être avocate pénaliste ?— En grande partie oui.— Tu sors avec le couvre-feu ?— J’ai mon attestation professionnelle, rappelle-toi que je suis livreuse de pizza, et je peux justifier, ce ne sont pas des conneries, c’est un cas de force majeure.
Elle se précipite dans la salle de bain, en sort deux minutes plus tard, habillée, et se jette sur moi pour m’embrasser. Elle se serre contre moi, ses mains se promènent sur mon corps. Son baiser est fougueux et tendre en même temps. Nous nous séparons. — Amène-moi une pizza demain.— Pas possible, je ne travaille pas demain, je ne travaille pas le jeudi, c’est mon jour de repos.— Alors, tu viens avant le couvre-feu, d’accord ?— Tu seras ici à quelle heure ?— Dix-huit heures au plus tard, je sors du boulot à dix-sept heures demain.— OK, demain vers dix-huit heures trente ?— Je t’attends déjà.
Elle s’en va, me laissant sur ma faim, mais je la reverrais demain, et ça me plaît. Ce n’est pas la première femme avec qui je fais l’amour, loin de là, mais je sens une différence, jamais une femme ne m’a fait jouir comme ça, pourtant, elles faisaient toutes la même chose que Charlotte. Jamais je n’ai ressenti ce sentiment de plénitude avec une autre femme. Et jamais je n’ai eu autant de plaisir à sentir un corps jouir sous ma langue, une sorte de bonheur interne jusque-là inconnu. Je range tout et réalise que demain, je dois être en forme, mon goût du sexe me fait souvent oublier que je travaille. Je vais me coucher et m’endors en visualisant les merveilleuses courbes du corps de Charlotte, surtout ses fesses.
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