Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 204 J'aime
  • 4 Commentaires

Amandine amoureuse

Chapitre 3

Lesbienne
Laurence
Nous nous installons autour de la table de salon, nous buvons joyeusement, plaisantons, mais aussi discutons sérieusement. Nous apprenons qu’Hélène a trente-deux ans, qu’elle est mariée, a une fille, qu’elle et son mari sont échangistes, ils connaissent très bien mon patron qui l’est aussi. Je suis sur le point de faire passer tout le monde à table quand on sonne. Je regarde par le Juda, c’est Laurence ma voisine qui semble pleurer. C’est une très belle jeune femme née à Dakar, son père est sénégalais, sa mère française. Machinalement, je lui ouvre, oubliant que je suis à poil. Elle a un mouvement de recul en me voyant, mais se jette sur moi.
— Le salaud, il me largue le salaud.— Qui ça, Pierre ?— Oui, Pierre, il vient de me téléphoner, il ne rentre pas, il a bien préparé son coup le salaud, il n’y a plus aucune de ses affaires dans l’appartement, il a tout emporté en début d’après-midi, comment je vais faire ?— Tu vas en retrouver un autre, ne t’en fais pas.— On s’aimait tant.— A priori lui ne t’aimait pas tant que tu l’imaginais, si tu veux tu peux rester avec nous passer la soirée, mais je te préviens ça va être très spécial.— M’en fous, pourvu que je ne sois pas seule.— Allez, entre et reste calme.

Quand elle pénètre dans le salon, elle s’arrête net, Charlotte et Hélène sont en soixante-neuf sur le divan, elles s’activent sur le sexe de leur partenaire avec enthousiasme. Je la sens prête à faire demi-tour, elle me regarde.
— C’est une partouse entre femmes ?— On peut le dire, nous allons passer la nuit à faire l’amour, mais nous commencerons par manger et il y a assez pour quatre, tu fais ce que tu veux, si tu restes après manger, c’est à poil et tu participes aux festivités, mais si tu ne veux pas rester, tu es libre de rentrer chez toi.— OK, je reste un peu avec vous, je ne peux pas rester seule en ce moment, mais je n’ai jamais eu de contact avec une femme, je ne sais pas si je pourrais rester après.— Comme tu veux Laurence, c’est toi quoi décides.

Charlotte et Hélène jouissent en même temps, elles finissent par se lever et viennent vers Laurence. Charlotte lui tourne autour et l’entraîne au fond de la pièce. Hélène les laisse et vient vers moi, elle s’agenouille, pose ses mains sur mes fesses et tire. Sa bouche atterrit sur mon sexe, elle commence un broute minou d’enfer sous les yeux de Laurence, stupéfaite. Mon corps en redemande et elle m’amène au nirvana en à peine plus d’une minute. Je jouis debout en me retenant à elle. Quand je reviens à moi, Hélène se redresse, pose ses lèvres sur les miennes et nous échangeons un long baiser. Mes mains parcourent son corps, ses mains parcourent mon corps.
— J’en avais envie depuis que je l’ai goûté ce matin.
— Moi aussi, j’avais envie que tu me bouffes la chatte, mais j’ai aussi envie de te bouffer la tienne.

Je m’accroupis devant elle, elle écarte un peu les cuisses. Je me jette sur ce sexe ruisselant, mais tellement délicieux. Je me déchaîne, tout y passe, périnée, grandes lèvres, petites lèvres, vagin, clitoris, je me promène dans ce sexe accueillant avec plaisir. Je sens son corps se raidir, elle se tend, appuie sur ma tête et explose dans un superbe orgasme, je la maintiens en place en lui enlaçant les fesses. Quand je la sens détendue de nouveau, je me relève pour échanger un long baiser. Nous nous séparons pour voir Charlotte déboutonner le corsage de Laurence, elle ne réagit pas et lui sourit. Une fois le corsage entièrement déboutonné, elle l’enlève, dévoilant deux magnifiques seins maintenus par un soutien-gorge balconnet en dentelle rose. Laurence sourit toujours, elle semble complètement subjuguée par Charlotte qui pose ses lèvres sur chacun d’eux, ce qu’elle semble beaucoup apprécier. Je ne comprends pas, elle vient de me dire qu’elle n’a jamais rien fait avec une femme.
Hélène en redemande, elle pose son doigt sur mon clitoris, je lui fais la même chose. Nous nous masturbons mutuellement, l’orgasme arrive très vite, elle se colle à moi, je la serre contre moi avec mon bras libre.
Une fois calmées, nous regardons les filles. Je vois que Charlotte et Laurence discutent ensemble, cela semble animé, mais très cordial, elles ont le sourire. Laurence s’éloigne un peu, elle passe ses mains derrière son dos et dégrafe son soutien-gorge. Elle le laisse tomber à terre laissant apparaître deux magnifiques seins. Elle passe ses mains derrière sa taille et fait descendre le zip de sa jupe. Elle écarte les mains, la jupe atterrit sur le sol la laissant en tanga de dentelle fine rose très sexy. Elle enjambe sa jupe et fait suivre le même chemin à son tanga, l’enjambe et se tourne vers nous. Laurence est nue devant nous, ce qui n’a pas l’air de la gêner. Elles viennent vers nous, c’est la première fois que je la vois nue. Elle est très belle avec sa peau chocolat au lait, grande, beaux seins bonnet C hauts et fermes, belles hanches, longues jambes musclées à la Tina Turner, pubis lisse et rebondi, sexe discret entre ses jambes et surtout superbes fesses.
On distingue à peine de vieilles traces de maillot une pièce, ce qui me confirme que même les noirs bronzent.
— Tu vois, il suffit d’expliquer, je lui ai simplement dit que c’était naturel d’être nu, qu’on était entre femmes, que le contact entre femmes était beaucoup plus doux qu’avec un homme. Qu’au moins, tant qu’elle était avec nous, elle essaie de voir comment elle réagit. Rien ne l’engage, elle arrête quand elle veut. En plus, quand il ne fait pas froid, on n’a aucune raison de s’habiller et surtout, on est beaucoup plus libre à poil. Il faut dire que vous l’avez convaincu que deux femmes peuvent se donner beaucoup de plaisir. Elle a été subjuguée par la beauté d’une femme qui jouit.— En plus, j’ai vu que vous étiez naturistes, donc que la nudité était naturelle pour vous, je veux voir comment je vis le fait d’être nue en groupe. C’est vrai que c’est la première fois que je vois deux femmes s’aimer, c’est beau.— Et ça va ?— Pour l’instant, tout va bien.

Laurence sourit, elle est beaucoup plus à l’aise que je ne l’aurais cru, tant mieux. Nous passons à table, j’ai fait réchauffer les plats du traiteur. J’ai une table ovale en verre, ce qui fait qu’on voit ce qui se passe dessous en face de nous. Je suis à côté de Laurence en face de Charlotte et Hélène. Je dois dire que je porte souvent mes yeux sur leurs sexes légèrement ouverts et brillants. Nous mangeons en discutant de tout et de rien. Nous en sommes au dessert quand je vois la main de Charlotte se poser sur la cuisse d’Hélène. Elle ouvre ses jambes et la main vient se plaquer sur son sexe. On voit distinctement le majeur de Charlotte tourner sur le clitoris d’Hélène. Celle-ci ferme les yeux et se laisse aller, on distingue parfaitement son corps se tendre vers le plaisir qui ne va pas tarder. Le doigt continue ses caresses, il s’enfonce de temps en temps dans son vagin pour se lubrifier.
Son corps se tend, elle ouvre la bouche comme pour reprendre son souffle, elle est secouée de spasme de plaisir, je regarde Laurence qui n’en perd pas une miette. Elle a l’air complètement fascinée par le spectacle de ces deux filles qui se donnent du plaisir. En baissant encore un peu les yeux, je vois que ses cuisses s’ouvrent lentement, je ne résiste pas et pose ma main sur l’une d’elles. A mon grand étonnement, elle les ouvre encore un peu et ferme les yeux. Ma main remonte sur son sexe et tombe sur des lèvres ruisselantes de cyprine. Je caresse ses lèvres du plat de la main, je fais quelques tours en accélérant, je plonge mon majeur dans son vagin et le remonte bien lubrifié pour lui titiller le clitoris. Je n’ai pas à m’appliquer longtemps, mon doigt sur son clitoris la fait jouir presque instantanément.
— MMMMMMMMRRRRRRRRR.

Un grondement sourd sort de sa bouche, je reste sur son sexe, elle laisse ses cuisses ouvertes, Hélène me regarde en une sorte d’interrogation, je fais oui de la tête, elle se glisse sous la table et vient se mettre entre les cuisses de Laurence. Sa bouche se pose sur ses lèvres, elle ouvre ses cuisses au maximum et reste les yeux fermés, la tête d’Hélène fait des mouvements caractéristiques, je me mets derrière Laurence et lui caresse les seins. Je la sens calme, son corps est détendu, elle laisse Hélène faire monter le plaisir en elle. Je sens son corps repartir vers un nouvel orgasme. Elle ondule du bas-ventre, donne des coups de bassin en avant, ses fesses se soulèvent un peu pour accentuer la pression de la bouche d’Hélène sur son sexe. Elle se tend comme un arc et explose.
— Oui, oh oui, mon Dieu, mon Dieu que m’arrive-t-il ? Oh lala, oh lala.

Son corps nous transmet son plaisir, Hélène se déchaîne sur son sexe, Laurence se donne encore plus et finit par s’écrouler sur sa chaise, son corps est devenu flasque, en fait, elle est à moitié consciente. Je tire la chaise, Hélène sort de sous la table et nous l’amenons dans ma chambre, elle reprend de la vigueur au moment où nous l’allongeons sur le lit. Elle me regarde, ses yeux expriment un immense bonheur, elle me sourit, elle ouvre les jambes au maximum.
— Tu ne voudrais pas toi aussi t’occuper de mon minou ?

J’hallucine, il y a un peu plus d’une heure elle était en larme à regretter son Pierre qui s’était tiré, affirmant qu’elle n’avait jamais rien fait avec une fille. Maintenant, après avoir pris son pied sous mon doigt et la langue d’Hélène, elle veut que je m’occupe de son sexe avec ma bouche pour de nouveau prendre son pied. En fait, j’en suis très heureuse, j’aurais une voisine très intéressante, qui pourra éventuellement occuper mes soirées solitaires. Je me glisse entre ses cuisses et pose mes lèvres sur ses lèvres inondées de cyprine. Je la lèche, la suce, l’aspire, je bois littéralement son sexe, elle coule à flots. Je suis à quatre pattes, je sens une bouche sur mon anus, j’en reçois une violente décharge électrique, j’adore qu’on me titille l’anus, la langue descend sur le sexe, se glisse entre mes lèvres pour venir se poser sur mon clitoris. C’est Charlotte qui est sur le dos sous moi.
Je me retourne pour voir Hélène entre les jambes de Charlotte, nous formons un arc de cercle sur mon lit, il est assez grand pour ça. Laurence finit par jouir une troisième fois, j’ai l’impression que c’est de plus en plus intense, je sens son corps complètement lui échapper, je la suis rapidement sous les coups de langue de Charlotte qui jouit elle aussi. Laurence finit par se calmer, son corps se détend, elle reste les yeux fermés, sa respiration est calme, elle savoure l’instant. Je me redresse, j’ai soif, je vais boire un grand verre d’eau bien fraîche, j’en amène un verre à chaque fille, elles apprécient.
Nous restons un petit quart d’heure allongées côte à côte sur le lit, personne ne parle, tout le monde est dans son trip. C’est Laurence qui rompt le silence.
— Je vais finir par le remercier ce con, jamais je n’ai joui comme ça, surtout pas avec lui, merci les filles. Je découvre ma vraie nature, j’ai adoré m’abandonner à vos mains, vos bouches, vos langues. J’ai réalisé que j’aimais mieux donner mon corps à une femme qu’à un homme, je me sens plus sereine. Mais je ne connais qu’une partie, celle où je reçois, je veux donner, donc maintenant, je dois pratiquer et pratiquer encore. D’un autre côté, je n’ai connu qu’un jeune con, il doit y avoir des hommes bien.— Bien sûr, très bien et même doux.— Qu’est-ce que tu as aimé dans le rapport avec une femme ?— La douceur des contacts, ce n’est que pas un rapport de force comme avec les hommes, c’est un don, un partage.— Tu crois que c’est ce que tu recherchais ?— Oui, je le pense, j’ai découvert que j’adorais ces rapports tendres, doux.— Tu n’aimes plus les hommes ?— Non, je n’ai pas dit ça, je peux très bien tomber sur un homme qui me fasse chavirer, ce n’est pas impossible et je ne le rejette pas. Bien sûr que je ne cracherais pas sur une bonne bite dans un de mes trous, mais on n’en est pas encore là. Et puis, j’ai découvert une merveilleuse voisine, j’aimerais qu’on se voie souvent, d’accord ?— Bien sûr Laurence, ma porte t’est ouverte en permanence.— La mienne aussi.— Et nous, on n’existe pas.— Il est évident que c’est la même chose pour vous.

Nous nous levons et retournons au salon. Laurence s’assoit à côté de Charlotte, Hélène à côté de moi. C’est Laurence qui ouvre les hostilités. Elle se penche sur Charlotte et pose sa bouche sur la sienne. Elles échangent un long baiser pendant qu’Hélène me fouille le sexe avec sa main. Je vois la main de Laurence parcourir le corps de Charlotte, elle finit entre ses cuisses. Charlotte les ouvre en grand pour lui laisser le passage. Sa main se glisse entre ses lèvres, son majeur vient titiller son clitoris, mais sans insister, elle enfonce deux doigts dans son sexe et les porte à sa bouche, elle veut goûter le sexe de Charlotte. Ça a l’air de lui plaire, elle se lève et vient s’agenouiller entre ses cuisses. Sa tête s’avance vers son sexe, ses lèvres atterrissent sur ses lèvres, je vois sa tête monter et descendre, elle la lèche. Elle se recule un peu.
— Quel nectar, j’adore, ça me met dans tous mes états, au secours.

Elle replonge sa tête entre les cuisses de Charlotte, j’ai sous les yeux son magnifique cul qui semble m’appeler. Je me lève et viens me positionner derrière elle, j’ai une vue imprenable sur son anus et sa vulve ruisselante. Je commence à la lécher, elle se tortille un peu pour me faire comprendre qu’elle apprécie. Je ressens la même chose sur mon anus, c’est Hélène qui s’occupe de moi. Laurence fouille dans le sexe de Charlotte, celle-ci apprécie et le fait savoir.
— Oui chérie, oui, comme ça, oui, tu es la reine des broutes minou, je croyais que tu n’avais jamais touché une femme, où as-tu appris ?

Elle se tait en fermant les yeux, je replonge sur le sexe de Laurence. Charlotte jouit en exprimant sa satisfaction.
— Oh oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.

Laurence ne quitte pas son sexe, elle continue de la laper, la sucer, la mordiller, je sens son corps se tendre, elle jouit sous ma langue, je la suis de très près, mais elle ne quitte toujours pas le sexe de Charlotte, je ne quitte pas le sien, Hélène ne quitte pas le mien. Nous jouissons toutes les trois une nouvelle fois. Cette fois, j’abandonne le sexe de Laurence, je me retourne pour faire allonger Hélène sur le divan et me jeter sur son sexe. Je viens de réaliser qu’elle n’a pas joui depuis pas mal de temps. Je lui lèche le vagin pour en extraire sa cyprine, j’adore ça. Je suis bien installée sur son sexe quand je sens des mains me tirer en arrière, c’est Laurence qui m’écarte pour prendre ma place, je la laisse faire. Elle se jette sur ce sexe comme la vérole sur le bas clergé, elle se déchaîne, l’aspire, la suce, la lèche, la mordille jusqu’à ce qu’elle sente le corps d’Hélène exploser dans un gigantesque orgasme.
Mais elle ne la lâche pas, elle continue, elle est infatigable.
Quelques minutes plus tard, Hélène repart dans un autre orgasme aussi puissant, elle se tord dans tous les sens, elle repousse la tête de Laurence entre ses cuisses, mais celle-ci ne veut rien savoir et s’accroche à ses fesses et continue son broutage. Ça fait effet assez vite, Hélène recommence à participer, elle ondule du bassin, donne son sexe à cette bouche insatiable pour finir dans un troisième orgasme cataclysmique, elle se donne tellement qu’elle éjecte Laurence d’entre ses cuisses qu’elle referme immédiatement. Elle reste un long moment les yeux fermés, allongée sur le divan. Pendant ce temps, nous avons amené Laurence sur un pouf, allongée sur le dos, les jambes ouvertes, la tête et les pieds touchant le sol, complètement cambrée. Elle se laisse faire, elle attend ce qu’on va lui faire. Je m’occupe de ses seins, Charlotte de son sexe. Elle se tortille sous nos langues et nos bouches pour jouir une nouvelle fois.
Nous avons continué, moi sur son sexe, Charlotte sur ses seins, nous l’avons fait jouir quatre fois en inversant les rôles, jusqu’à ce qu’elle se redresse un peu.
— Pitié les filles, je n’en peux plus, vous allez me tuer, il faut que je récupère un peu, pitié.— Tu n’as pas aimé ? — Je crois que vous avez compris que j’ai adoré ce que vous m’avez fait, mais mon corps me demande un peu de paix.

Hélène est venue nous rejoindre, nous avons fini par aller dans ma chambre, nous nous sommes allongées sur le lit, côte à côte en attendant que nos corps se rechargent un peu. J’ai Charlotte à ma gauche, Laurence à ma droite et Hélène à la droite de Laurence. Nous sommes peau à peau, je somnole plus ou moins, mais, Charlotte ne l’entend pas de cette oreille, elle pose sa bouche sur mon sein gauche, Laurence l’imite sur mon sein droit. Le lit bouge un peu, je comprends pourquoi quand je sens une bouche se poser sur mon sexe, c’est Hélène. Les trois filles s’occupent de mon corps, je sens des bouches sur mes seins, mon ventre, mon nombril, mon sexe. Elles me butinent, j’adore, je me laisse aller, je ne bouge absolument pas pourtant mon ventre à envie de se donner à cette bouche vorace.
Je résiste le plus longtemps possible, mais à l’impossible nul n’est tenu, je cède dans un fulgurant orgasme qui me transporte au nirvana. Ça dure et ça dure encore, les trois bouches plus les mains me maintiennent dans un état second de plaisir et de bonheur. Je mets un certain temps à me remettre de cette vague de plaisir, quand j’ouvre les yeux, c’est pour voir Charlotte et Hélène s’occuper du corps de Laurence. Elle se tord dans tous les sens, sa tête va de gauche à droite, ses yeux sont dans le vague, elle se cabre, ses fesses sont à quinze centimètres du lit, elle donne son sexe à manger à Hélène.
— AAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHH, oh lala, oh lala, oui, oui, AAAAAAAAAAHHHHHHHHHH.

Elle hurle son plaisir, tout l’immeuble doit savoir ce que l’on fait, mais je n’en ai cure. Je viens poser mes lèvres sur les siennes, nous échangeons un long baiser, jusqu’à ce qu’elle se détende. Elle me regarde, je vois presque de l’amour dans ses yeux, elle me sourit, ferme les yeux et tourne la tête, elle se laisse aller à somnoler. Charlotte et Hélène s’allongent à côté d’elle tête-bêche, elles s’activent sur le sexe de l’autre avec beaucoup d’entrain. Hélène est sur Charlotte, je me penche sur elle pour lui écarter les fesses et donner des coups de langue sur sa rondelle.
— Oui, j’aime, continue.

Je lui lèche, suce, mordille son anus, elle semble assez sensible, j’espère que ça va décupler son orgasme. C’est elle qui jouit la première, son corps se tend sur celui de Charlotte, elle lève la tête pour hurler sa joie.
— Oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, encore, encore.

Je continue mon léchage d’anus pendant que Charlotte s’occupe de son sexe. Elle jouit pendant presque une minute, elle retombe sur Charlotte et se laisse glisser sur le côté, complètement anéantie. Je vois que Charlotte est en manque, elle n’a pas joui, Hélène l’a abandonné dès qu’elle a joui. Je me penche sur son sexe et commence un super broute minou. Elle m’entoure la tête de ses cuisses, elle n’était pas loin et jouit assez vite en serrant ses jambes et en se cabrant pour m’offrir son sexe ruisselant. Je reçois de nouveau un jet de liquide, mais surtout, je m’abreuve de sa cyprine jusqu’à plus soif, j’adore. Elle se calme petit à petit, son corps se détend et descend sur le lit, ses cuisses me libèrent, ses mains se posent sur ma tête et m’attire à elle. Je fais glisser mon corps sur son corps, nos bouches se soudent dans un long et merveilleux baiser.
Nos bouches se séparent à regret au bout de quelques minutes, nous sommes seules sur le lit, Laurence et Hélène sont retournées dans le salon, nous entendons leurs gloussements de plaisir. Charlotte me regarde.
— Je suis tellement bien avec toi.— Moi aussi, je suis très bien avec toi.— Qu’est-ce que ça veut dire ?— Je n’en sais rien, mais je veux en profiter au maximum, d’autant que maintenant tu es parfaitement lisse, tu es allé chez une esthéticienne ?— Oui, tu m’as fait comprendre que tu préférais les pubis lisses, j’ai voulu te faire plaisir.— Pas trop souffert ?— Au contraire, j’ai joui.— Raconte.— Je suis allé chez une autre esthéticienne, la mienne ne pouvait pas me prendre, elle m’a adressé chez une amie, ce qu’elle ne m’avait pas dit, c’est qu’elle était lesbienne. Elle m’a accueilli dans une blouse blanche très courte, à peine boutonnée laissant deviner ses seins et son sexe nus. Elle m’a fait déshabiller en restant dans la pièce, elle me regardait fixement, j’ai tout de suite compris que je lui plaisais.— Ça se comprend parfaitement.— Ne m’interromps pas s’il te plaît. Je m’allonge sur la table, elle m’écarte légèrement les cuisses, elle trifouille dans mes poils et commence à me poser de la cire, elle était à peine trop chaude, je le lui fais remarquer. Elle s’excuse et pose sa main sur la cire étalée, mais son petit doigt se pose sur le haut de mes lèvres, j’en ressens un frisson qu’elle capte très bien. Elle me regarde, me sourit et m’enlève la cire, j’ai un mouvement en avant, la douleur. Elle pose de nouveau sa main sur la partie épilée, cette fois, son petit doigt se pose sur mon clitoris et bouge un peu. J’ai un petit mouvement machinal en avant, elle me sourit, je sais comment ça va finir, je ferme les yeux, je veux qu’elle fasse ce qu’elle veut. Elle continue son épilation, mais vu la surface à enlever, elle a très vite fini. Je reste allongée sur la table les yeux fermés. Elle termine le travail à la pince à épiler, une de ses mains constamment sur mon mont de Vénus, son pouce appuyant délicatement sur mon clitoris. Elle m’écarte un peu plus les cuisses et pose sa main sur mon sexe, là, je donne un coup de reins en avant. Son doigt me titille le clitoris, je suis déjà complètement liquéfiée, je jouis en quelques secondes. Je reste allongée les yeux fermés, je veux bien ressentir les messages de bonheur que m’envoie mon corps. Je suis sur le point de les ouvrir pour me lever que je sens une peau se coller à la mienne, j’ouvre les yeux pour voir un magnifique sexe de femme lisse et bien bronzé juste au-dessus de ma bouche. Il brille de mille feux, je pose mes mains sur des fesses fermes et l’attire à moi, au moment où il atterrit sur ma bouche, une bouche se pose sur le mien. Nous nous sommes donné du plaisir, j’ai beaucoup joui et je pense qu’elle aussi, mais ça n’a pas eu l’intensité des orgasmes que j’ai avec toi. — Peut-être un manque de sentiment ?— Sûrement.— Tu y retourneras ?— Ça te dérangerait ?— Pas du tout pourquoi ?— Juste que je n’ai pas envie de te faire de la peine, tu comptes beaucoup pour moi, j’ai l’impression que je tombe amoureuse de toi, aujourd’hui, j’ai vécu une journée d’enfer sans toi.— Du calme ma chérie, moi aussi je pense beaucoup à toi, mais tu as vu, on peut s’amuser entre filles, et je peux même te proposer quelque chose.— Quoi ?— Que dirais-tu de t’installer dans une des chambres de l’appartement, ça te ferait faire des économies et on se verrait tous les jours.

Elle me regarde avec de grands yeux, elle me tombe dans les bras.
— Oh oui ma chérie, oui, quand puis-je m’installer ?— Aujourd’hui, c’est trop tard, mais demain, je suis libre comme l’air.— Moi aussi, nous n’avons plus de cours jusqu’à janvier, je suis libre jusqu’à dix-huit heures.— Tu as besoin de ce travail si tu ne paies plus de loyer ?— Non, mais c’est toi-même qui me dis de ne pas m’emballer.— Tu as raison, garde ton travail jusqu’à la fin du mois, on verra après.— OK.

Nous retournons au salon pour voir Laurence et Hélène tête-bêche en train de se donner du plaisir. Nous attendons qu’elles jouissent ce qui arrive assez vite. Quand elles sont calmées, elles s’assoient sur le divan, nous leur disons ce que l’on vient de décider, Hélène me regarde avec un grand sourire.
— Ça a été rapide.— Oui, mais je suis sûre que ça va le faire.— Tant mieux, mais j’espère que ça ne termine pas notre relation.— Bien sûr que non.— Merci Charlotte.

Laurence se lève, prend Hélène par la main et l’entraîne vers la porte.
— Laissons les amoureuses ensemble, viens dormir chez moi.

Hélène se laisse entraîner, elles récupèrent leurs fringues et sortent de l’appartement, nues. Je ferme la porte derrière elles et retourne dans le salon. Charlotte est debout devant moi, elle m’ouvre ses bras.
— Vien mon amour, viens dans mes bras.

Je me jette dedans, nous échangeons un long baiser et allons dans ma chambre pour nous coucher.
Diffuse en direct !
Regarder son live