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Amandine amoureuse

Chapitre 5

Lesbienne
Philippine Nous sortons vers onze heures, il fait encore un peu froid, moins qu’hier, mais le léger vent et la température fraîche nous caressent nos fesses nues sous nos jupes courtes. Nous avons pris l’habitude de ne plus mettre quoi que ce soit sous nos jupes, même au travail ou en fac. Cette situation nous excite, je regrette de ne pas pouvoir m’assoir à une terrasse, ça devrait être assez excitant, mais ça va être possible bientôt quand cette foutue pandémie se sera tirée et que les bars réouvriront. Charlotte passe sa main sur ma taille, elle me plaque contre elle. Nous n’avons plus aucune réticence à montrer notre homosexualité et notre amour. Je suis bien avec elle, je crois que j’ai trouvé mon âme sœur, je veux passer ma vie avec elle. Nous nous entendons parfaitement, nous sommes amoureuses, mais comme beaucoup d’homosexuels, nous aimons bien découvrir d’autres peaux, d’autres sexes, d’autres émotion, mais nous, c’est à condition d’être ensemble. Nous marchons toutes les deux guillerettes, en sautillant de temps en temps pour faire un peu voler nos jupes. Nous avons constaté que nous aimions bien faire voir nos fesses, ça nous excite et quand nous rentrons à la maison, c’est l’apothéose. Nous devenons de plus en plus exhibitionnistes.  –Houa !! Quelles belles fesses, on en mangerait. Nous nous retournons pour voir derrière nous une femme d’une bonne quarantaine d’années. Grande, jolie, poitrine arrogante tendant son blouson de cuir, jupe très courte à peine moins que les nôtres, jambes d’enfer, mais je ne peux pas juger de son cul, il me tourne le dos. Nous la regardons étonnées de sa remarque en pleine rue. Elle s’approche de nous, nous restons sur place. Nous sommes juste à côté de la place de la comédie, il y a pas mal de monde, surtout que ce soir, il faudra être à la maison à dix-huit heures, tout le monde fait ses courses.  –Vous permettez les filles ? Elle se colle pratiquement à nous et pose ses mains sur nos sexes à travers nos jupes. Un doigt relève le tissu et se glisse entre nos lèvres. Elle se recule et suce ses doigts en nous regardant.  –Délicieux, j’aimerais bien en profiter un peu plus longtemps. C’est exactement une des situations sur lesquelles nous avions fantasmé. Nous ne voulons pas rester sur notre faim, nous nous approchons d’elle, nos mains se posent sur sa jupe, la mienne remonte le tissu, celle de Charlotte se glisse dessous. –Oh là, mais elle n’a pas de culotte, et c’est ruisselant là dessous.–Jamais, j’aime avoir mon cul libre, comme vous j’ai pu le constater, et comme vous, ça m’excite. Je glisse ma main sur sa vulve liquéfiée, trempe entièrement mon majeur dans son sexe et le porte à ma bouche en même temps que Charlotte. Je la regarde. –Qu’en penses-tu ?–Bien, j’aimerais bien approfondir.–Moi aussi. 
Je la regarde dans les yeux. –D’accord pour nous suivre dans notre salle de torture ?–Non, c’est vous qui venez dans ma salle pour me supplicier.  Nous nous regardons, Charlotte sourit, c’est d’accord. –Ok, montre-nous le chemin.  Elle fait demi-tour et s’engage dans une petite rue. –C’est juste là, mais je vous préviens, il n’y a pas d’ascenseur, c’est un très vieil immeuble et j’habite au dernier.–Comme nous.–C’est un vieil immeuble, j’habite au troisième plus un entresol, mais ce sont des étages à l’ancienne, plus de cinq mètres de haut, ce qui fait qu’il y a quatre-vingt-quinze marches, l’équivalent de six étages. Ça muscle les fesses comme vous allez pouvoir le constater. Nous arrivons devant un immeuble assez long, nous entrons dans un grand hall, elle nous précède dans l’escalier assez large. Nous restons deux marches derrière elle, sa jupe courte dévoile le haut de ses cuisses jusqu’au pli avec les fesses, Charlotte avance la main, remonte sous sa jupe et lui caresse la fesse gauche. Elle passe ses mains derrière son dos et fait descendre le zip, Charlotte retire sa main et la jupe atterrie sur une marche, elle l’enjambe, je la ramasse et porte ma main sur son autre fesse. Elle a un superbe cul, des fesses très fermes qui bougent sous nos mains, merci les marches. Je commence à mouiller, je fais descendre moi aussi mon zip et enlève ma jupe. Charlotte porte son autre main sur ma fesse gauche mais elle garde sa jupe. La femme descend le zip de son blouson, nous voyons qu’elle fait quelque chose devant mais nous ne pouvons pas voir ce que c’est. Nous comprenons quand elle écarte les pans de son blouson accompagné d’un corsage et le laisse tomber. Charlotte lâche ma fesse et les rattrape au vol. La femme est maintenant nue dans l’escalier, je glisse ma main entre ses cuisses pour constater qu’elles sont bien arrosées, elle se liquéfie. Je réussi à glisser ma main plus loin entre ses cuisses pour aller titiller son clitoris. Elle s’arrête, écarte les cuisses et se maintient au mur. Elle jouit en moins de quinze secondes, Charlotte la maintient en position pendant que son corps est secoué de spasmes. Je n’arrête pas de la masturber, elle se détend quelques secondes mais je sens son corps redémarrer sous mon doigt. Charlotte l’enlace et lui pince les tétons. –Oui mes chéries, oui, oui, je suis votre esclave, oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Elle jouit une nouvelle fois, cette fois-ci, je la libère quand je sens qu’elle se détend. Elle se retourne, nous sourit, ses yeux sont clairs et luisants, elle respire la joie de vivre et le bien-être. –Comment t’appelles-tu ?–Philippine.–Moi, c’est Amandine et mon amour, c’est Charlotte.–Suivez-moi, il y en a encore deux étages. Elle reprend l’ascension de l’escalier, il est un peu dur, mais le spectacle de ses fesses rondes et lisse m’émeut, je mouille en les regardant. Une main se pose sur mon pubis, Charlotte me titille le clitoris, je n’en peux plus, je fais comme la femme, j’enlève mon blouson et mon corsage, je suis nue comme elle. Sur un palier, nous passons devant un grand miroir, elle voit que je me suis déshabillé, elle s’arrête et viens s’agenouiller devant moi. Sa bouche se pose sur sexe, sa langue s’active entre mes lèvres, elle ne touche pas le clitoris, elle s’abreuve de ma cyprine. Au bout de quelques secondes, elle remonte sur mon bouton d’amour pour me faire exploser dans un splendide orgasme. Elle se relève, me sourit et reprend son chemin. Nous arrivons au dernier étage, elle ouvre une porte, nous fait entrer et s’immobilise au milieu de corridor. Elle regarde Charlotte. –Tu comptes rester habillée ?–Bien sûr que non. Elle se déshabille lentement en la regardant dans les yeux. La femme la regarde en se caressant le corps, elle finit par ses seins qu’elle pince assez violemment. Quand Charlotte est nue, elle se recule un peu. Je peux la regarder un peu mieux. Elle est là, devant nous, nue et splendide, elle a un très beau corps, ses seins en poire m’attirent, ils me semblent fermes avec ses tétons qui pointent orgueilleusement. Son ventre plat est assez musclé, ça doit être la conséquence des trois étages à l’ancienne. Elle se tourne pour nous présenter ses fesses, que nous connaissons bien, elle n’est absolument pas bronzée, sa peau est laiteuse, magnifique. Elle se tourne à nouveau, son pubis n’est pas très bombé, mais lisse juste au-dessus de son sexe très discret, à peine visible entre ses cuisses. Elle nous regarde. –Putain, quels corps, vous êtes magnifiques, je n’ai jamais vu une telle perfection.–N’exagérons rien, nous savons que nous sommes canons, mais il ne faut pas exagérer.–Non, je suis sincère, vous êtes les deux plus belles femmes que j’ai vu dans ma vie, et j’en ai vu des milliers. –Merci.–Suivez-moi. Nous entrons dans un salon, il y a deux grands divans, des poufs, une grande table, l’appartement à l’air assez grand. Elle nous guide vers une autre pièce. Celle-ci n’est décorée que de plusieurs poufs en skaï, deux bancs et est entièrement recouverte de lino. En regardant bien, je constate que les bas des murs sont imperméabilisés, je me demande pourquoi. –Je suis votre esclave. Nous lui prenons les mains et l’installons sur un pouf, je lui écarte les jambes, elle se laisse faire, Charlotte la fait basculer, sa tête touche un autre pouf, ses pieds touchent le sol de l’autre côté du pouf. Elle est cambrée au maximum, les jambes grandes ouvertes. Je me positionne au milieu d’elles pendant que Charlotte se met au-dessus de sa bouche et lui présente son sexe à honorer. Philippine n’hésite pas une seconde, elle agrippe ses fesses et se plaque sur ses lèvres. Je commence à lui bouffer la vulve, elle se tortille pendant qu’elle bouffe la moule de Charlotte. Elle semble parfaitement à l’aise. Je m’active sur son sexe, je sens son corps se tendre, cette femme réagit très vite aux stimuli, son corps est une bombe à retardement, elle jouit en me serrant la tête avec ses cuisses. Charlotte jouit à son tour en lui envoyant un jet de liquide sur la figure. –Oui, oui, pisse-moi dessus, pisse-moi dessus.  Charlotte me regarde, je vois qu’elle est complètement interloquée par cette demande, je me redresse, l’enjambe et remonte jusqu’à son ventre. Mon sexe est à dix centimètres de sa peau. Je commence à me libérer, mon urine coule sur son ventre. –Plus haut, plus haut, j’ai soif. Je remonte le long de son corps en lui pissant dessus, j’arrive au niveau de son visage, elle ouvre la bouche en grand pour boire mon urine, je dois dire que cette situation m’excite beaucoup plus que je n’aurais pu le croire. Charlotte nous regarde d’un drôle d’air, j’ai l’impression qu’elle aimerait bien être à la place de Philippine. Quand je n’ai plus rien à lui donner, je m’écarte, Philippine se redresse, elle me sourit. –Merci ma chérie, j’espère que ça ne vous dégoûte pas. –Non, pas du tout. –Vous êtes dans ma pièce urophilie, je suis urophile.–D’après l’étymologie, tu dois aimer l’urine ?–Oui, quelqu’un qui aime pisser sur une personne et se faire pisser dessus, je dois dire que j’ai découvert ça il y a vingt ans, j’aime me faire pisser dessus. Mais ça ne va pas au-delà, pas de scato.–Je dois dire que moi-même j’aimerais bien essayer l’urophilie.–Qu’à cela ne tienne, prends ma place. Charlotte s’installe à la place de Philippine, je me précipite entre ses cuisses pour me régaler de son jus d’amour. Elle coule déjà comme une fontaine. Philippine m’enjambe et remonte jusqu’à son ventre. Je vois un jet d’urine sortir de son urètre et gicler sur sa peau, je suis éclaboussée, mais ça ne me gêne pas, au contraire, j’en tire un certain plaisir. –Oui, vas-y, j’aime. Philippine continue de lui pisser dessus en remontant vers son visage, Charlotte se tortille de plaisir, elle finit par lui pisser sur le visage. Je sens le corps de Charlotte se tendre, elle jouit en ouvrant la bouche et recrache un peu d’urine. Je pose mes mains sous ses fesses, je me plaque sur son sexe, je m’abreuve de sa cyprine en recevant un jet beaucoup plus important que d’habitude dans la figure. J’en éprouve un certain plaisir. Je me lèche les babines, j’ai l’impression que c’est de l’urine très diluée, j’ouvre la bouche pour recevoir la fin de son jet, je le goûte, ça ne me déplait pas, j’hésite une seconde et l’avale. Je me redresse, Charlotte se lève et viens vers moi, nous échangeons un long baiser au goût d’urine mais pas déplaisant. Nous commençons à devenir un peu uro, je l’accepte, mais je ne crois pas que j’irais plus loin.  Quand nous nous séparons, je m’allonge sur le pouf en position cambrée. Philippine se précipite sur mon sexe, Charlotte l’enjambe et commence à me pisser sur le ventre. Ce liquide chaud qui coule sur mon corps m’excite, elle remonte vers mon visage en m’aspergeant les seins, je m’apprête à recevoir son jet dans la bouche. Je veux goûter son urine, aller jusqu’au bout, jouir en me faisant pisser dessus, en recevant son liquide chaud dans la bouche. Quand je sens l’urine entrer dans ma bouche, j’explose dans un gigantesque orgasme, l’urine déborde, j’en recrache une partie, je ne sais plus ce que je fais, je ne vis que pour goûter aux joies du plaisir intense que me délivre mon corps. Charlotte descend au maximum sur ma bouche, je gobe son clitoris bien dressé, lui donne des coups de langue, je la sens jouir au-dessus de moi, je suis au comble du bonheur, je jouis en faisant jouir la personne que j’aime le plus au monde. Tout le monde se redresse, Philippine nous guide vers sa salle de bain. Il y a une douche à l’italienne, mais surtout une immense baignoire à l’ancienne entièrement recouverte de bois sur les côtés dans laquelle nous pourrions tenir toutes les trois sans problème. –Douche ou bain ?–Bain.–Bain. C’est l’unanimité, cette baignoire nous attirent. Elle fait couler l’eau, nous entrons dans la baignoire dès que l’eau et réglée. Nous voulons sentir l’eau monter et recouvrir nos corps progressivement, mais pas en restant inertes. –Un instant, je vous rejoins dans deux minutes. Elle sort de la salle de bain, nous l’entendons parler au téléphone, elle revient trois minutes plus tard, elle entre dans la baignoire. Philippine est entre nous deux, je me penche sur son sexe, Charlotte sur ses seins. Je lui écarte un peu les jambes, autant que possible, son sexe sent l’urine mais ça ne me gêne pas, au contraire. Je la lèche, la suce, l’aspire, ma langue explore tout, se glisse partout, s’introduit entre ses fesses, je lui soulève, elles s’écartent un peu me laissant l’accès à son anus. Elle réagit violemment, elle aime. L’eau monte, son corps est maintenant presque entièrement recouvert mais elle se donne à nos bouches. Celle de Charlotte est maintenant sur sa bouche, sa main sur son clitoris. Elle la masturbe pendant que je m’occupe de son anus en y enfonçant mon majeur préalablement enfoncé dans son vagin liquéfié pour le lubrifier. Ma langue la lape, mon doigt la sodomise et Charlotte la masturbe, elle explose dans un extraordinaire orgasme, son corps va dans tous les sens, elle éclabousse tout le monde, l’eau déborde de temps en temps. Elle met très longtemps à se calmer, d’autant que nous n’arrêtons pas nos actions. Quand elle est vraiment calme, l’eau nous recouvre entièrement, elle ferme les robinets.  Nous sommes côte à côte, dans de l’eau très chaude, Charlotte à ma gauche, je me laisse aller un peu à somnoler, je suis bien peau à peau avec la femme que j’aime. Philippine est de l’autre côté, sa main se pose sur mon ventre, la bouche de Charlotte se pose sur la mienne, nous échangeons un long baiser. La main de Philippine descend sur mon pubis, elle le caresse, je réagis, elle descend un peu plus bas, j’ouvre au maximum mes jambes en les repliant. Un doigt me titille le clitoris, il descend entre mes lèvres pour s’enfoncer dans mon vagin, il en ressort pour descendre plus bas et venir titiller ma rondelle. Il cherche à s’enfoncer dans mon anus, mais l’eau a enlevé la cyprine qui le lubrifiait, ça coince, je me débrouille pour écarter mes fesses et ouvrir au maximum mon anus, le doigt réussi à entrer un peu, mais ce n’est pas très agréable, Philippine le comprend et le retire. Elle revient sur mon clitoris pour me faire jouir une fois de plus. Quand je reviens à moi, Philippine et Charlotte me caressent tout le corps, deux doigts me pince le sein gauche, pas trop fort, comme j’aime, c’est Charlotte qui me sourit. –Je t’aime mon amour.–Moi aussi je t’aime. Philippine nous regarde, elle semble assez émue. Elle sort de la baignoire et revient avec des serviettes. –Si vous voulez vous aimer mes chéries, c’est à côté. Nous sortons de la baignoire, j’ouvre l’évacuation de l’eau et prend une serviette pour m’essuyer. Une fois sèches, nous allons dans le salon, nous nous asseyons sur des poufs.  –Ok les filles, je vois que vous êtes amoureuses à en crever, je ne veux pas m’immiscer dans votre couple, je veux simplement pouvoir passer un peu de temps avec vous. Je ne peux imaginer ne pas pouvoir caresser de tels corps, je vous connais depuis à peine une heure et je suis déjà complètement obnubilée par vous, par vos courbes.–Je ne vois pas de problème à ce qu’on se voit de temps en temps, mais il ne faut pas que ça devienne une obligation, nous voulons rester libres.–Ça va de soi, je ne veux pas m’imposer, juste vous voir de temps en temps. Charlotte se lève et vient poser ses lèvres sur les siennes, elle y dépose un rapide baiser, je me lève et lui fais la même chose, elle nous regarde en souriant. –Je présume que vous êtes d’accord.–Tu présumes bien. Elle se lève et viens nous enlacer, nous sommes collées contre elle, ses mains se promènent sur nos corps, elle profite de toutes les occasions. Nous nous laissons faire jusqu’à ce qu’elle nous lâche et nous entraine vers la cuisine. –Il est temps de manger nous en avons besoin. –Il y a quoi à manger ?–Rien.–Et on fait comment ?–On attend en mettant la table. Elle nous donne des assiettes, des couverts et des plats, nous allons mettre la table sur la table ronde en verre. Nous avons à peine fini que l’on frappe à la porte. –Entrez, c’est ouvert. La porte s’ouvre, je regarde Charlotte, quelqu’un arrive et nous sommes nues, Philippine va vers l’entrée tout à fait naturellement, elle revient avec trois hommes portant un carton contenant quelque chose de semble-t-il très chauds. Ils nous regardent comme si nous faisions partie de décor, mais n’ont pas du tout l’air de trouver bizarre que trois nanas les accueillent à poil. Ils posent les cartons sur la table, se font payer et s’en vont. –Ils ont l’air de bien te connaitre.–Oui, à chaque fois que j’ai besoin d’un repas, je leurs commande, ils viennent, nous voient en général à poil quand ce n’est pas en pleine action et s’en vont sans rien dire après s’être fait payer, et quelquefois, il y a plus de dix nanas. –Que des nanas ?–Toujours, jamais d’homme, que des nanas, ce sont mes trois choux, les seuls hommes qui entrent ici. J’espère que vous aimez le couscous marocain, c’est le meilleur de la ville. Nous ouvrons les cartons, l’un d’eux contient la graine dans une grande boite et le raisin sec, un autre les légumes et la viande, le dernier le jus, des épices, la sauce piquante et une bouteille de Boulaoune rosé bien fraîche. Philippine rempli les plats et amène les cartons et les boites dans la cuisine. Nous mangeons de bon appétit, nos exercices nous l’on ouvert. Le couscous est en effet délicieux, je n’en connais qu’un seul de meilleur, celui de ma tante Aïcha, la femme marocaine de mon oncle Michel. Une fois le repas fini, nous buvons un très bon café sur la table basse. Philippine va dans sa chambre. –Je vous laisse quelques minutes, soyez sages. Elle est à peine sortie de la pièce qu’on se jette l’une sur l’autre, il nous faut cinq secondes pour être tête-bêche sur le divan. Je plonge avec délice dans la cyprine de mon amour, m’en abreuve en sentant sa bouche sur mon sexe. Nous sommes assez excitées, nous jouissons juste au moment où Philippine revient. –Je vous avais dit d’être sage les filles !! Elle nous laisse le temps de revenir à nous, nous nous asseyons l’une en face de l’autre, j’adore voir la silhouette de mon amour, Philippine s’assoie à côté de Charlotte. Nous discutons dans le salon, elle nous dit être née au Maroc et avoir encore beaucoup de contacts là-bas, c’est un pays qu’elle adore, elle y va souvent et a fait venir des spécialistes du massage relax qui bossent dans son hammam juste à côté. Je me lève et vais vers elle, Charlotte se tourne vers elle et l’allonge sur le divan. Je lui écarte les jambes et plonge au milieu. Elle se soulève pour m’offrir son sexe grand ouvert. Je m’abreuve à sa source jusqu’à ce qu’elle jouisse. Je me redresse et m’écarte, Charlotte prend ma place, Philippine n’a pas le temps de se remettre que Charlotte s’occupe de son sexe. Elle repart dans un délire sexuel. Elle jouit une nouvelle fois sans retenue. Quand Charlotte se redresse, nous la laissons récupérer seule. Au bout d’un quart d’heure, elle se lève. –Suivez-moi les filles. Nous la suivons, je suis scotchée par la taille de cet appartement, il m’a l’air immense. –C’est immense chez toi.–Oui, l’appartement fait toute la surface de l’immeuble, il n’y en a qu’un à cet étage, ça fait plus de trois cent cinquante mètres carrés.–Pourtant j’ai vu deux portes sur le palier.–Oui, la seconde donne sur une autre partie, en fait, c’est la réunion de deux appartements en un seul. Nous arrivons dans une pièce assez petite mais chauffée à mort et très humide, un véritable petit hammam. Il y a trois tables de massage au milieu, je présume qu’elle veut nous masser, mais elle s’installe sur l’une d’elle. –Faites comme moi les filles et attendez quelques secondes.–On es où là ?–Dans mon hammam personnel.–Que va-t-on y faire ?–Attendre, mais ça ne sera pas long, allez, allongez-vous sur les tables.
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