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Amandine amoureuse

Chapitre 6

Lesbienne
Soraya Nous nous allongeons sur les deux autres tables, nous commençons à suer sérieusement dans cette chaleur humide, c’est un véritable hammam.  La porte s’ouvre brusquement, trois femmes nues entrent dans la pièce, deux grandes et une toute petite. Ce sont deux magrébines jeunes et très belles et une troisième de type plus européen. Elles se dispatchent sur les tables, nous font mettre sur le ventre et commence leur massage. C’est la plus petite qui vient vers moi, elle va chercher une sorte d’estrade étroite qu’elle met à côté de la table pour monter dessus. Au début, c’est un massage classique de hammam, avec le gant de crin, celle qui s’occupe de moi est petite mais sa main est ferme et dynamique. Elle passe le gant sur mon dos, mes jambes et finit par mes fesses sur lesquelles elle insiste. Une fois qu’elle a fini le dos, elle me fait retourner. Elle commence le nettoyage de peau devant, je dois dire que j’aime bien ce qu’elle me fait, ce n’est pas super agréable, surtout avec le gant de crin, mais c’est relaxant. Je vois que Charlotte et Philippine en sont elles aussi sur le dos. Ma masseuse termine par la poitrine, elle est un peu plus douce, plus délicate, le gant de crin est moins agressif. Elle s’arrête, me fait mettre sur le ventre et reprend son massage, mais à mains nues. Cette fois, ce n’est plus un massage nettoyant, c’est un massage relaxant, c’est beaucoup plus cool. Ces mains sont toujours aussi fermes, mais sans le gant de crin, c’est super agréable. Elle commence par les pieds, remonte le long des jambes, elle me masse les mollets et les cuisses, c’est très doux, elle prend son temps. Elle passe sur les fesses assez rapidement, passe sur mon dos et finit sur mes omoplates, ça a duré vingt bonnes minutes, je somnole sous ses mains qui reviennent sur mes fesses. Elle les masse, les secoue, les malaxe, ses mains se crispent de temps en temps dessus, elle passe du temps sur elles. Une fois fini, elle passe doucement ses mains de mes omoplates à mes fesses, cette fois, c’est plus une caresse qu’autre chose, elle m’enduit d’huile et semble particulièrement intéressée par mes fesses sur lesquelles elle s’attarde.  Elle me fait mettre sur le dos. Elle recommence en commençant par les pieds pour remonter, je ferme les yeux pour mieux apprécier ce moment de détente. Elle évite mon sexe et remonte sur le ventre et vers mes seins. Ses mains s’en emparent et les masse, les secoue, les malaxe, comme pour mes fesses, là aussi elle s’attarde un peu. Je commence à couler grave. Elle redescend sur mon ventre, mais comme pour le dos, ses mains sont plus légères, plus caressantes, d’autant que comme pour le dos, elle étale de l’huile sur tout mon corps, seins, ventre, jambes, pubis. Elle me caresse plus qu’autre chose, je me laisse faire, j’adore qu’on s’occupe de moi. Mais mon corps est tendu, il veut jouir, quand sa main arrive sur mon pubis, je donne un coup de rein en avant, c’est instinctif. Elle comprend mon attente et sa main se glisse entre mes lèvres intimes. J’ouvre un peu mes cuisses, son majeur vient rouler sur mon clitoris, mon corps explose. Je jouis sous sa main, c’est intense mais pas explosif, c’est assez doux. Je reste sur le dos à apprécier le moment. D’un seul coup, je sens une peau sur ma peau, c’est ma masseuse qui s’est couchée sur moi. Elle bouge sur moi, elle s’est enduite d’huile, nos deux peaux glissant l’une sur l’autre m’excitent, je la regarde, je vois qu’elle n’est pas indifférente à ce contact, ses yeux la trahissent. Je ne bouge pas, les jambes légèrement écartées, les bras le long du corps. Je ferme mes yeux et apprécie le moment. Je sens mon corps commencer à donner des signes de plaisir, une boule se forme au bas du ventre, je ne peux m’empêcher de poser mes mains sur ses fesses rondes et très douce. Elle ne manifeste pas de rejet, elle continue son massage avec son corps. Nos pubis se frottent, nos seins s’excitent, je sens ma cyprine couler sur mon périnée et mon anus. Au bout de quelques minutes, je sens son corps devenir un peu plus raide, elle va jouir, je n’en peux plus, j’explose dans un merveilleux orgasme, elle me suit de très près. Je l’enlace et la sert très fort contre moi, nos corps s’épousent. Je suis dans un autre monde, c’est un plaisir que je ne connais pas, plus diffus, plus intérieur. Je reviens lentement à moi, ma masseuse est toujours sur moi à bouger pour me caresser avec son corps. J’entends Charlotte jouir, je la regarde, elle aussi a sa masseuse couchée sur elle, elles jouissent. Je regarde de l’autre côté, je vois Philippine avec la tête de sa masseuse entre ses cuisses. Ma masseuse glisse vers le bas de mon corps, sa bouche traine sur ma peau jusqu’à arriver entre mes lèvres intimes. Sa langue me lape le sexe, je recommence à bouger, mais cette fois plus ostensiblement, je lui montre que j’aime ce qu’elle me fait et que je veux qu’elle continue. Elle passe ses mains sous mes fesses, j’écarte les jambes en les montant vers le ciel, je lui offre mon sexe grand ouvert, elle semble apprécier et continue de me laper la chatte. J’ai l’impression qu’elle s’abreuve de ma cyprine et qu’elle y prend plaisir. Je tourne la tête à gauche pour voir Philippine à quatre pattes sur sa table en train de se faire bouffer le cul. Sur ma droite, Charlotte est sur le dos, jambes ouvertes avec sa masseuse au milieu de ses cuisses. Elle me regarde et me sourit, m’envoie des baiser avec ses lèvres, je lui réponds la même chose. Mais ma masseuse me ramène à la réalité, maintenant, elle me lèche de l’anus au clitoris, je suis au bord de l’orgasme, je mets les bras en croix et tombe sur la main de Charlotte, elle s’en empare et la serre, je sens qu’elle jouit sous la langue de sa masseuse, je la suis immédiatement. Nous jouissons ensemble en nous serrant la main. J’apprécie ce moment de complicité entre nous, j’aime la sentir jouir, et je sais qu’elle aime me sentir jouir. Lentement, je reviens à moi sous les coups de langue de ma masseuse. Elle pose ses lèvres entre mes lèvres et aspire ma cyprine, apparemment, elle la veut toute. Ce geste me fait redémarrer, mon corps réagit, elle s’en rend compte et recommence à me titiller le sexe et le clitoris. Mais en plus, Charlotte s’est levée et est venu pour poser ses lèvres sur les miennes et ses mains sur mes seins pour les caresser et en pincer délicatement les tétons. Il ne me faut qu’une minute pour jouir de nouveau. Cette fois, la fille me quitte et vient me regarder. –Ça vous a plu madame ?–Tu ne peux pas savoir à quel point, je pense que je reviendrais te voir là où tu pratique.–Ce n’est pas du tout mon métier.–Tu n’es pas avec les autres ?–Non, je ne suis pas masseuse professionnelle.–Tu t’appelle comment ?–Soraya madame. Philippine se lève de sa table, elle semble assez fatiguée, un peu comme moi, mes quatre orgasmes de suite me laissent des traces.  –Venez les filles, on va se relaxer dans le salon.  Nous la suivons, mais à ma grande surprise, les trois filles nous accompagnent, elles viennent s’installer avec nous. Je ne suis absolument pas contre. Je les regarde mieux, les deux autres masseuses sont assez grandes, super bien foutues, je pense que c’est un critère d’embauche, elles ont des seins fermes et hauts, un ventre plat, un pubis lisse mais fuyant et de belles fesses. Soraya est complètement différente, elle est toute petite, elle doit tout juste atteindre le mètre quarante, une vraie poupée, mais une poupée magnifique, elle est très jolie avec ses yeux bleu ciel et ses long cheveux châtain clair lui arrivant sous les omoplates. Elle a des seins petits mais très fermes et bien ronds, un petit bonnet B, très beaux sur son petit corps. Elle a un ventre plat sur un pubis bien rebondi lui aussi lisse laissant à peine voir la fente de son sexe très discret. Elle a de superbes fesses, petites, rondes, fermes, lisses et très douces comme le reste de sa peau. Elle s’assoie à ma droite, Charlotte à ma gauche qui en profite pour m’embrasser goulûment. Sa main glisse facilement sur mon corps encore couvert d’huile. Une main de Soraya se pose aussi sur mon flanc, elle commence une exploration complète de mon corps. Charlotte libère ma bouche et lui sourit. La main de Soraya arrive sur la commissure de mes lèvres, juste sur le capuchon de mon clitoris. J’écarte les cuisses, je vois Philippine se glisser entre les cuisses de Charlotte qui abandonne mon corps pour se consacrer à son plaisir, mais je suis amplement compensée par la bouche de Soraya qui s’est posée sur mes seins et descend lentement vers mon sexe. 
 Elle se positionne entre mes cuisses et me lèche la vulve. Dans l’état dans lequel je suis, je ne mets même pas une minute à jouir. Elle remonte sur mon corps, pose sa tête entre mes seins. –J’adore votre corps, il est magnifique et très réactif, c’est un vrai plaisir de jouer avec. –Parce que maintenant je suis ton jouet !! Elle se redresse, me regarde effarée. –Excusez-moi madame, je ne voulais pas vous vexer. J’éclate de rire. –Mais tu ne me vexe pas au contraire, je plaisante, et je dois te dire que j’adore être ton jouet, tu sais très bien t’amuser avec un corps de femme, mais, comme tu es une petite poupée, puis-je jouer à la poupée avec ton corps ?–Bien sûr madame.–Et arrête avec les « madame », je suis Amandine et tu me tutoies, compris ?–Oui Amandine, j’adore ce nom.–Debout. Nous nous levons, elle fait pratiquement une tête et demie de moins que moi, mais a des proportions exceptionnelles. Je la fais allongée sur un divan, je promène ma main sur son corps, elle glisse sur l’huile qui la couvre, j’aime cette sensation. Ma main se promène sur tout son corps, elle commence à bouger, elle me regarde, je lui souris, mais ce que je veux, c’est la voir exploser de plaisir, je veux la sentir jouir. Je me penche sur elle, je la saisis à la taille et la ceinture avec mes bras, je me redresse, son corps suit, mais j’ai du mal à la soulever, une des masseuses vient m’aider avant d’aller rejoindre l’autre pour un soixante-neuf. Je réussi à plaquer Soraya contre mon corps, la tête en bas, son sexe au niveau de ma bouche. Je la ceinture en serrant son ventre contre ma poitrine, elle comprend ce que je veux faire et ouvre ses jambes. Mon nez est envahi de l’odeur de sa cyprine, je vois qu’elle est très excitée à l’aspect de son sexe inondé.  Je pose mes lèvres sur sa vulve, elle essaye de faire la même chose avec moi, mais sa tête arrive tout juste sur mon pubis à quelques centimètre de mon clitoris, elle est trop petite. Je m’active sur son sexe, elle bouge de plus en plus, elle m’enlace de ses bras, elle se serre contre mon corps, je sens ses seins juste sur mes côtes, je me déchaine sur sa vulve et son clitoris. Cette miniature m’émeut, je la sens vivre contre ma peau, je sens son corps se tendre doucement, elle commence à s’exprimer en poussant des gémissements de plaisir. J’ai ma langue sur son sexe, mais mes yeux sont focalisés par ses petites fesses magnifiques. Ses jambes se tendent, son corps se raidi, elle se tend comme un arc et explose dans un terrible orgasme qui la secoue au point de que j’ai du mal à rester en équilibre. Elle dégouline de cyprine, je m’en délecte en l’aspirant sans oublier de titiller son clitoris. Elle jouit pendant plus d’une minute, je ne cesse de lécher sa vulve, je bois littéralement sa cyprine à grand coup de langue.  Son corps s’est un peu détendu, mais je sens qu’il recommence à réagir. Je lui mordille un peu les lèvres, son corps réagit instantanément, je plonge sur son clitoris que j’aspire en le titillant avec ma langue, je commence à fatiguer à la porter contre mon corps, mais je veux la faire jouir une nouvelle fois. Je sens son corps se raidir, elle me serre de plus en plus fort et repart dans un nouvel orgasme qui me semble encore plus intense. Je la lèche jusqu’à ce qu’elle se détende de nouveau. Mon dos commence à me faire très mal, mais je continu de m’abreuver à sa divine source. J’entends les deux masseuses jouir, ainsi que Charlotte, tout le monde a pris son pied. Quand elle se détend, je l’allonge sur le divan et m’agenouille à côté. Ma main se promène sur ce merveilleux corps de poupée, elle reste les yeux fermés, sa respiration est calme et profonde, elle est encore dans son trip, je ne veux pas l’en sortir. Elle finit par ouvrir les yeux, elle me sourit. Je la regarde. –Ça va ?–Je ne sais pas ce qui m’arrive.–Tu as été mon jouet, et je crois que ça t’a plu, tu as bien joui ?–Comme rarement dans ma vie, je n’ai jamais ressenti une telle explosion de joie dans mon corps.–Tu m’en vois ravie.–Merci, Amandine, merci.–Sans indiscrétion, tu mesures et tu pèses combien.–Un mètre quarante et un et quarante kilos, je suis considérée comme naine.–Non, tu n’es pas naine, tu es une adorable petite poupée. Philippine vient vers nous. –Je vois que vous vous êtes bien entendues, j’en suis très heureuse, Soraya, tu fais ce que tu veux, Fatima et Enno doivent retourner au hammam, ok ?–Ok, je reste ici si Amandine et Charlotte le veulent bien.–Bien sûr que nous le voulons bien, tu restes. Elle se lève et va vers la salle de bain. Je ne comprends pas très bien comment une fille si différente des critères de ce métier peut le pratiquer. –Philippine, tu les connais bien ces filles ?–Oui, ce sont mes filles.–Tes filles ?–Oui, elles travaillent dans mon hammam, elles viennent toutes du Maroc, elles peuvent travailler en France, elles sont régulières, elles ont toutes leurs papiers en règle.–Tu les recrute comment ?–J’ai un commando de découvreurs de talents aux Maroc, trois hommes et trois femmes, en fait, trois couples, à Meknès, Marrakech et Casablanca. Des amis qui vont souvent au hammam un peu partout dans le pays. Quand j’ai besoin d’une personne dans le hammam je leur fais signe et ils me signalent les filles qui ont quelque chose de plus, mais jamais dans le sens sexuel.–Pourtant, nous avons eu la preuve du contraire aujourd’hui.–Ça, ce sont celles qui aiment le sexe, mais jamais dans le hammam, c’est pour ça que j’organise ces petites rencontres avec des amies chez moi. Le hammam doit rester un lieu de détente, on y fait des massages nettoyants, des massages relaxants, mais rien d’autre, ce n’est pas un bordel. Elles font ça par plaisir, elles ne reçoivent rien en contrepartie. Je ne reçois ici que des femmes, elles sont toutes lesbiennes.–Tes masseuses du hammam ?–Non, les amies que je reçois, mes masseuses sont hétéros pour la plupart, à l’exception de Fatima, Enno et deux autres qui sont bi.–Et Soraya, elle ne correspond pas aux critères, comment se fait-il qu’elle soit venue.–Simplement parce qu’elle est ma fille, ma fille adoptive.–Ta fille adoptive ?–Oui, je suis allé à Marrakech début deux mille-deux voir des amis d’enfance, c’est là que j’ai vécu jusqu’à mes dix-huit ans. Nous avons visité la ville et terminé dans un orphelinat, elle était là, elle avait six mois et était la plus petite de tous les gosses présents, j’ais fondu devant cette magnifique poupée, j’ai mis plus d’un an pour pouvoir l’adopter. Nous sommes devenues inséparables.–Quand l’as-tu adopté ?–J’ai eu le documents définitifs en juin deux mille trois, ça va faire dix-huit ans, c’est ma fille et je l’aime.–Elle ne travaille pas avec toi ?–Pas du tout, elle habite ici, dans l’autre partie de l’appartement et ne vient dans une partie de sexe que pour le plaisir ou quand elle est intéressée par quelqu’un.–Et qui l’intéressait ?–Toi, elle a flashé sur toi. Elle t’a vu dans le salon et m’a demandé de participer à la suite pour s’occuper de toi. Et comme je ne peux rien lui refuser, elle est venue pour toi. Tu es la première sur laquelle elle ait flashé comme ça.–J’en suis très honorée, je dois dire que je l’adore, elle a un corps de rêve, le tout en modèle réduit. J’adore ses petits seins toniques, j’adore ses petites fesses rondes et fermes, son sexe rose et délicieux aux lèvres si fines. Elle a en plus un très joli prénom, c’est toi qui l’as choisi ?–Oui, elle s’appelait Fédoua, je trouvais que ça ressemblait trop à fatwa, la première fois que j’ai entendu son nom, c’est ce que j’ai compris, j’ai été choquée, je l’ai donc changé.–Tu as eu raison, mais pourquoi Soraya ? –Pour l’impératrice, je trouvais cette femme extraordinairement belle.–Comment se fait-il qu’elle ait ces yeux bleu clair.–Son père était berbère, il parait qu’il était aussi blond, beau blond aux yeux bleu, ce n’est pas rare dans l’Atlas, c’est même courant.–Tu ne l’a pas connu ?–Non, ses parents se sont tués en voiture dans l’Atlas, ente Ouarzazate et Zagora quinze jours avant que je ne la voie.–Et elle n’a pas été excisée à ce que j’ai vu.–Non, d’une part, elle était trop jeune pour l’être quand je l’ai adopté, mais en plus, au Maroc l’excision n’existe pas, comme en Algérie et en Tunisie.–Ah, d’accord. Soraya revient s’assoir à côté de moi, elle est légèrement parfumée. Je me tourne vers elle. –Si tu ne travailles pas chez ta mère, que fais-tu dans la vie Soraya ?–Je suis étudiante, je suis en fac de sciences au campus Triolet. Je me destine à la recherche.–Excuse-moi Soraya, je n’avais pas compris que tu n’étais pas de l’équipe de ta mère.–Ce n’est pas grave Amandine, mais il va falloir tout de même te faire pardonner.–Comment ?–En me faisant jouir encore une fois, j’adore ta bouche sur mon sexe.–Je peux me faire aider par Charlotte ?–Bien sûr.–Tu accepte tout ?–Sauf les coups. Je me lève, la prends par la main et l’emmène dans la salle urophilie, je veux lui pisser dessus et qu’elle me pisse dessus avec Charlotte sur nos sexes, nous nous occuperons d’elle après. Arrivées dans la pièce, je l’installe sur le dos sur un pouf, elle est complètement cambrée, sa tête sur un autre pouf, ses pieds touchent à peine le sol. Elle se laisse faire docilement et avec un plaisir évident. Je l’enjambe pendant que Charlotte lui ouvre les jambes. Elle pose sa boche sur son sexe, Soraya a un mouvement de son bassin. Une fois au-dessus de son pubis, je me libère, mon urine gicle sur son ventre en éclaboussant Charlotte. Soraya commence à bouger, j’arrose ses seins et remonte sur son cou, elle ouvre la bouche, je vois qu’elle a l’habitude de cette pratique. Charlotte porte ses mains sur ses seins pour en pincer les tétons, elle se cambre encore plus au moment où mon jet arrive sur sa bouche. Elle jouit tendue comme un arc en recrachant l’urine, Charlotte se déchaine sur son sexe, un grondement sourd sort de sa bouche, mais elle est pleine d’urine. Elle recrache l’urine, pose ses mains sur mes fesses et m’attire sur sa bouche, sa langue se déchaine sur mon clitoris. Je ne tarde pas à jouir sous cette langue qui finit par s’enfoncer dans mon vagin. Elle me lape comme un chat boit son lait. Je me dégage, je me penche sur elle et pose ma bouche sur la sienne. Nous échangeons notre premier baiser. Elle a le goût de l’urine, mais je n’en ai cure, ma langue s’active sur la sienne, elles se plaisent et s’enlacent. Elle se redresse, je prends sa place. Charlotte se met entre mes jambes, Soraya l’enjambe, mais elle a un peu de mal, il faut qu’elle se mette sur la pointe des pieds, quand elle est au-dessus de moi, elle est plus à l’aise et commence à uriner, je reçois son urine sur le pubis, ça remonte vers mes seins et mon cou. Quand elle arrive sur mon visage, son sexe n’est qu’à un ou deux centimètres de ma bouche. Je l’attire à moi pour plaquer ma bouche sur son sexe et recevoir son urine directement dans la bouche, elle se soulève, je recrache une grande partie de l’urine dans ma bouche et avale le reste. Elle arrête assez vite d’uriner, sa vessie est vide. Je lui titille le clitoris, elle repart dans un nouvel orgasme. Je sens son corps vibrer sur ma bouche, ça et la langue de Charlotte sur mon clitoris déclenchent mon orgasme. Elle me libère et vient poser ses lèvres sur les miennes, nous échangeons un nouveau baiser. Je me redresse, Soraya est debout devant nous, je la fais mettre dans la même position, je vais me mettre entre ses jambes pendant que Charlotte m’enjambe et remonte sur son corps toujours mouillé par mon urine. Elle se libère, son jet rebondi sur son pubis et vient m’éclabousser le nez, je me redresse un peu pour en récupérer un peu, mais elle remonte le long de son corps pendant que ma bouche verrouille son sexe et que ma langue titille son clitoris. Elle se tend lentement, je sens ses jambes se resserrer sur mon cou, son corps se raidir, ses fesses se soulever. J’accélère les mouvements de ma langue, elle se bloque et jouit, secouée dans tous les sens par des spasmes de plaisir. Quand elle se détend, ses jambes me libèrent, je me redresse pour voir Soraya et Charlotte bouche à bouche. Je caresse les fesses de mon amour et y pose mes lèvres, je ne l’ai pas entendu jouir, ma langue se glisse entre ses fesses pour arriver au périnée. Elle écarte les cuisses pour me libérer le passage, ma langue se glisse entre ses lèvres pour arriver sur le clitoris. Quatre ou cinq coups de langue suffisent à la faire jouir. Nous nous redressons toutes les trois, je vois Philippine nous filmer, elle me regarde en souriant. –Je filme le plus souvent possible ma fille quand elle fait l’amour, c’est elle qui me l’a demandé, elle aime se voir jouir. En plus, j’aurais des images de vos somptueux corps.–Et moi aussi.–Bien sûr Soraya, toi aussi. Nous allons dans la salle de bain, Philippine a fait couler un bain, nous y entrons à trois, elle filme toujours. Soraya est au milieu de nous deux, nous nous penchons sur elle, l’une en haut, l’autre en bas. Nous la faisons jouir trois fois en inversant les rôles. Elle nous fait jouir chacune à notre tour entre deux orgasmes. Je regarde Charlotte, elle semble beaucoup aimer Soraya. Quand nous sommes plus calmes, nous sortons de la baignoire, nous nous séchons mutuellement, j’adore passer mes mains sur le corps de Charlotte, même au travers d’une serviette. De même pour Soraya qui a l’air d’apprécier la situation, elle se donne à nos mains sans retenue, elle est radieuse. Nous allons dans le salon pour reprendre nos esprits assises sur un divan. Philippine nous regarde, elle a arrêté de nous filmer, elle semble pensive. –Les filles je crois que je viens de perdre ma fille.–Pourquoi tu dis ça.–Je vois bien que Soraya est comme un poisson dans l’eau avec vous, et j’ai bien vu que vous l’adoriez, je pense que vous allez vous voir souvent. Je ne l’ai jamais vu comme ça avec d’autres personnes, j’ai senti comme une osmose entre vous. C’est ça Soraya ?–Je dois dire que je ne me suis jamais senti aussi bien avec d’autres personnes, j’adore le contact de leurs peaux, de leurs lèvres, de ma bouche sur leurs sexes, de leurs bouches sur mon sexe, il y a cinq minutes que je ne suis plus contre l’une d’elle et elles me manquent déjà. Charlotte me regarde d’un air interrogatif, je comprends ce qu’elle veut me dire, fait oui de la tête et regarde Philippine. –Elle peut même venir chez nous, nous l’accueillerons comme il se doit.–Qu’en penses-tu Soraya ?–Ça ne te dérangerait pas maman ?–Pas du tout ma chérie, tu as dix-neuf ans, tu dois vivre ta vie maintenant. Si tu veux aller chez Amandine et Charlotte, je suis entièrement d’accord, je sais que tu y seras très heureuse et c’est le principal pour moi. Soraya se lève et se jette sur sa mère pour l’enlacer et l’embrasser. Philippine la serre dans ses bras, comme une mère, pas une amante. Je suis un peu étonnée par ce comportement. Philippine se rend compte de mon étonnement. –Il n’y a jamais eu de sexe entre ma fille et moi, je suis sa mère, elle est ma fille, c’est tout. Je n’ai embrassé son sexe qu’une fois dans ma vie, c’était la première fois que je la changeais, le jour où elle est arrivée à la maison de manière définitive en juin deux mille trois, elle n’avait pas deux ans. Une fois que je lui ai donné son bain et bien séché, elle me regardait tout sourire en gesticulant. J’ai posé mes lèvres sur son sexe une fraction de seconde, j’étais au comble du bonheur, elle était enfin avec moi après plus d’une année de bagarre avec l’administration.–Mais ils ont donné un enfant à une femme seule ?–Non, à l’époque, j’étais officiellement mariée.–Officiellement ?–Oui, j’avais passé un deal avec un ami cinq ans plus tôt, nous nous sommes mariés officiellement juste parce que je voulais adopter un enfant, je ne voulais pas en faire un. –Pourquoi ?–Tout bonnement parce que je déteste les hommes et que je n’ai pas envie de me faire baiser pour avoir un enfant.–Ok, et alors ?–Alors, ça n’a pas marché, nous n’étions pas mariés depuis assez longtemps. Nous avons décidé de rester mariés officiellement jusqu’à ce que je puisse adopter, notre couple étant stérile, le contraire eu été bizarre, nous n’avions jamais couché ensemble. Nous avons divorcé tout aussi officiellement cinq ans après l’adoption, il ne m’a jamais touché, je suis lesbienne pure et dure, toujours vierge. C’est le seul homme que j’adore, c’est un ami sincère et désintéressé.  –Toi aussi Soraya tu es lesbienne pure et dure ?–Non, moi je suis bisexuelle, j’aime bien recevoir un sexe d’homme dans la chatte ou ailleurs, mais j’ai une grande préférence pour les femmes.–Tu aime avoir un sexe d’homme de temps en temps dans ton sexe ?–Et pas que.–Parfait, nous sommes faites pour nous entendre.–Sauf que moi, il n’est toujours pas question qu’un homme me touche. –Je sais Charlotte, mais il n’y a pas que les hommes, il y a aussi des instruments. Tu n’es pas vierge à ce que j’ai compris.–Non, mais personne ne m’a pénétré depuis.–On verra à l’occasion, tu me fais confiance ?–Bien sûr mon amour.–Dites les filles, je ne veux pas vous jeter dehors, mais ou vous partez tout de suite, ou vous passez la nuit ici. Je regarde Charlotte, nous décidons de partir tout de suite avec Soraya. Nous l’accompagnons dans sa chambre pour réunir des affaires, on voit que ce n’est pas une fille malheureuse. Il y en a partout, une vraie garde-robe d’impératrice.
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