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Amandine amoureuse

Chapitre 8

Lesbienne
Charles Il commence à se faire tard, je suis complètement cuite, j’ai envie de dormir, j’entraine les filles dans ma chambre, Soraya s’étonne. –Je dors avec vous ?–Pour cette nuit, mais ce sera exceptionnel, tu as ta chambre.–Je comprends parfaitement, alors, à moi d’en profiter cette nuit.–Comme tu dis. Nous nous allongeons sur le lit, ça a été une nuit d’amour, Soraya est insatiable, mais c’est aussi une amante hors pair, nous n’avons dormi qu’à partir de trois heures. Le lendemain dimanche, je me réveille assez tard, vers neuf heures, je suis seule dans le lit. Je me lève et vais dans le salon, personne, l’appartement est vide. J’en déduis qu’elles sont allées faire des courses sur le marché plan cabanes, celui que l’on fait tous les dimanches avec Charlotte, c’est à cinq minutes à pied. Je vais prendre une douche. Quand je sors de la salle de bain, j’entends des rires dans l’escalier, j’ouvre la porte, elles arrivent, elles s’arrêtent sur le palier, je saute sur Charlotte pour l’embrasser. Je ne réalise pas que je suis nue sur le palier. –Bonjour mon amour.–Bonjour mon amour. Soraya vient déposer ses lèvres sur les miennes quelques secondes. –Bonjour Amandine.–Bonjour Soraya.–Tu as fini ta nuit ?–Oui, je me lève, mais vous êtes debout depuis combien de temps ?–A peu près deux heures, nous avons fait les courses, mais pas que.–C’est-à-dire.–Charlotte m’a fait passer pour sa fille, elle me tenait la main comme une maman, on s’est bien marré. 
–Drôle de tenue pour une mère et sa fille. Elles sont toutes les deux en jupe moulante ultra courte qui montre bien qu’elles sont nues dessous. –Justement, c’est ça qui faisait réagir des gens, certaines personnes rigolaient, d’autres la traitaient de mère indigne, voire de salope.–Et ça vous a fait rire.–C’est ce que ne comprenaient pas les gens, sauf une femme d’une soixantaine d’années qui nous a dit ne pas nous croire et qu’elle était sûre que nous n’étions pas mère et fille, que nous racontions des fariboles.–Et vous l’avez convaincu ?–Non, on lui a dit la vérité, mais c’était une vielle vicieuse, elle nous a mis la main au cul.–Et c’est ça qui vous a fait rire.–Oui, mais pas que ça, une femme nous a cru, elle m’a regardé et m’a dit « qu’est-ce que tu seras belle quand tu seras grande ».–Evidemment. La porte de Laurence s’ouvre, elle est aussi nue et nous regarde, je lui fais signe de venir. –Tu veux venir déjeuner avec nous ?–Et plus si affinités ?–Bien sûr.–J’arrive. Nous entrons et allons déposer les courses dans la cuisine, il y a évidemment des croissants pour le petit déjeuner. Nous le préparons lorsque Laurence arrive nue de chez elle. –Tu te balade à poil sur le palier ?–Oui, tu y reste bien au moins une minute à discuter avec les filles. Et puis, nous ne sommes que trois appartements, il n’y a pas de danger, et même s’il y en avait, ce serait excitant.–Je ne m’étais même pas rendu compte que j’étais nue, c’est naturel pour moi. Je te présente Soraya, elle vit ici depuis hier. Elle se penche vers elle pour lui faire deux bises, mais Soraya détourne sa tête et leurs lèvres se soudent. Laurence ne réagit pas en répond à son baiser. Les mains de Soraya glissent sur le corps de Laurence qui le lui rend bien. Elles se séparent et vont s’assoir autour de la table. Nous petit déjeunons joyeusement, tout le monde est heureux, Charlotte et moi parce que nous sommes ensemble et que nous nous aimons comme des folles, Soraya parce qu’elle vit un moment très particulier de sa vie de jeune fille. Laurence parce qu’elle a de nouvelles amies avec qui elle peut s’éclater. Soraya ramène tout dans la cuisine et nous nous installons sur le divan, mon téléphone sonne.  –Allo, bonjour Charles …..., tu es où ? …………………, ok, tu n’as qu’à passer en début d’après-midi, je suis tellement heureuse de te revoir, ça fait cinq mois, à tout à l’heure. Je repose mon téléphone, elles me regardent avec un air interrogatif.  –C’était mon cousin Charles, il a mon âge, c’est mon cousin préféré, on était toujours ensemble quand on était petit, je m’entends très très bien avec lui, vous verrez, il est super. Je ne l’ai pas vu depuis cet été. Je vois Charlotte s’assombrir, je l’enlace. –Ne t’en fait pas mon amour, il sait que j’aime les femmes et il sait que nous vivons ensemble. Il est très respectueux des personnes et ne s’immisce jamais dans les histoires des autres. En plus, il ne restera que quelques heures, il est chez ses parents pour une semaine.–Tu ne le vois pas souvent ?–Non, depuis cinq ans tout au plus trois ou quatre fois par an, il fait ses études à Toulouse, à l’ENAC, il est en dernière année, il veut devenir pilote de ligne. Il a fait trois ans en sciences à Rangueil avant d’intégrer l’ENAC. C’est une grosse tête, mais très sympa avec beaucoup d’humour. Il ne vient voir sa famille que rarement, il a fait sa vie à Toulouse. Nous nous téléphonons de temps en temps.–Vous avez fait l’amour ensemble.–Non, jamais, et ça n’arrivera jamais.–Il a une copine ?–Drôle de question ma petite Laurence, mais je n’en sais rien, en tout cas, pas à ma connaissance, il ne m’a jamais parlé d’une quelconque nana.–J’espère qu’il n’est pas dragueur, je déteste.–Ne t’en fait pas Laurence, il est très gentil, tu verras. Charlotte se lève. –Bon, c’est pas tout ça, j’ai envie de bouger, j’ai envie d’aller me balader et de montrer mon cul, d’avoir de la fraîcheur sur mes fesses et mon sexe, quelqu’un qui m’accompagne ?–Moi.–Moi.–Moi.–Alors, allons-y.–J’enfile une jupe et je vous rejoins.–Et autre chose j’espère.–Moi aussi, j’arrive. Laurence se précipite chez elle. Je vais récupérer une jupe moulante très courte, comme les leurs, j’enfile un corsage et mon blouson de cuir. Laurence revient très vite, elle a mis une jupe moulante raz la chatte. Nous voilà toutes les quatre dans la rue en micro-jupe sur des escarpins en se tenant par la main, Soraya étant trop petite pour qu’on puisse se balader bras-dessus bras-dessous. Quatre nanas masquées à moitié à poil dans la rue froide, même s’il n’y a pas énormément de monde, nous ne passons pas inaperçues au milieu des gens emmitouflés. Il ne fait pas super froid, mais notre tenue n’est vraiment pas de saison, mes fesses et mon sexe apprécient la fraîcheur du matin et ma fontaine à cyprine s’ouvre doucement. Nous nous baladons dans les rues de Montpellier, de temps en temps un groupe se forme derrière nous, mais c’est ce que nous cherchons, nous sommes là pour montrer nos culs. Au bout d’une heure et demie, nous rentrons à l’appartement, nous avons envie de nous défouler ensemble, mais Charles est devant la porte, masqué lui aussi avec un sac à la main et un bouquet de fleurs. Je me précipite pour lui faire deux grosses bises. –Tu es déjà là ?–Oui, j’avais trop hâte de te revoir, mais il fallait me dire que tu avais tes amies, je ne serais pas venu tout de suite.–Non, entre, tu connais la tradition.–Oui, je m’en souviens. Il me tend les fleurs. –Pour ma cousine adorée. Nous entrons, Charles déboutonne son blouson et le pend à une patère dans l’entrée. Il enlève son pull, sa chemise et se retrouve torse nu, Laurence le regarde fixement, elle semble subjuguée par ce qu’elle voit. Charlotte et Soraya ont l’air indifférentes. Je vais mettre les fleurs dans un vase et reviens vers eux. Je veux détourner un peu l’attention de Charlotte, j’enlève mes fringues pour me retrouver nue, il me regarde. –Toujours aussi belle cousine, tu es magnifique. En disant ça, il défait sa ceinture, déboutonne sa braguette et fait glisser son pantalon à terre. Il est nu, il ne porte jamais de slip. Je regarde les filles. –Et oui, c’est la tradition entre nous, toujours à poil chez nous. Laurence a l’air complètement fascinée par Charles qui la regarde lui aussi très souvent, Charlotte semble un peu ailleurs, elles le regardent sous tous les angles. Elles voient un jeune homme de vingt-trois ans, bronzé intégralement, assez grand, et beau comme un dieu avec ses yeux verts perçants. Il a un torse puissant, un ventre en tablette de chocolat, c’est le résultat de séances de musculation qu’il fait depuis qu’il a quinze ans, des fesses rondes et musclées et un sexe glabre et volumineux sans être monstrueux. Il pend ses affaires et va tout naturellement s’assoir sur le divan. Je regarde les filles, elles me regardent, Laurence et Soraya font valser le peu de fringues qu’elles ont sur le dos, Charlotte est un peu réticente, mais finit par se déshabiller. Je vais vers elle pour la prendre dans mes bras et l’embrasser tendrement. –Je sais, ça te rappelle de mauvais souvenirs un homme nu, mais Charles est un garçon adorable, tu vas très bien t’entendre avec lui j’en suis sûre. Elle me fait un sourire un peu triste, je la prends par la taille et l’entraine dans le salon, je sais qu’elle fait un effort colossal par amour pour moi. Charles regarde Laurence avec beaucoup de tendresse, je le connais par cœur, cette fille ne le laisse pas indifférent.  –Charles, je te présente Charlotte, mon amour, la femme qui partagera toute ma vie et Laurence et Soraya, de très bonnes amies. Les filles je vous présente Charles mon cousin préféré.–Bonjour les filles.–Bonjour Charles.–Bonjour Charles.–Bonjour Charles. Je sens qu’elles sont un peu tendues, surtout Charlotte, elles ne savent pas quoi faire, elles restent debout. Il les regarde. –Bon les filles, il faut que je vous dise, Amandine est ma cousine, mais pour moi, elle est plutôt ma sœur, nous avons vécu toute notre enfance et notre jeunesse ensemble, on se voyait tous les jours, rien ni personne ne pourra me séparer d’elle. Mais c’est ma cousine, je ne sais pas si elle vous l’a dit, il ne s’est jamais rien passé entre nous et il ne se passera jamais rien, je tiens trop à cette relation de confiance. –Vous voyez les filles, ça confirme ce que je vous ai dit.–C’est vrai.–Alors les filles, il reste ?–Bien sûr.–Evidemment.–Oui.–Allez, buvons un coup pour arroser ça. Je vais m’assoir sur le divan en face de lui, elles viennent s’assoir sur les divans, Laurence marche un peu vite et vient s’assoir à côté de Charles, Soraya et Charlotte m’encadrent. –Ah, j’oubliais. Charles se lève et va chercher le sac qu’il a posé dans l’entrée. Il en sort deux bouteilles de champagne bien fraîche. Il m’en tend une. –Il fallait bien fêter nos retrouvailles, met celle-là au frais, ce sera pour vous plus tard.–Ça ne fait que cinq mois qu’on ne s’est pas vu.–Une éternité pour moi.–Pourquoi deux bouteilles ?–La dernière fois que nous nous sommes téléphoné, tu m’as dit que tu vivais avec une fille, que c’était l’amour de ta vie, je voulais que vous puissiez fêter ça ensemble en pensant à moi, l’autre, c’est pour maintenant.–Merci, tu es un chou.–A la crème j’espère. Je vais mettre la bouteille au frigo pendant qu’il pose sa bouteille sur la table basse et s’assoie à côté de Laurence, je remarque que la distance entre eux s’est un peu réduite. Laurence ne bronche pas. Je vais chercher les flûtes et des biscuits à la cuillère. L’atmosphère se détend, Charles plaisante, raconte des histoires, tout le monde rigole bien. Laurence est à priori sous le charme et Charlotte rigole avec nous, elle a l’air de bien l’accepter, je suis soulagée. Charles est là pour une semaine, il est en cours déplacés.  Je me lève pour préparer le repas. Charlotte et Soraya me suivent laissant Laurence et Charles ensemble. Nous nous embrassons avec passion, nous en avons besoin, je me colle à elle, elle se soude à moi. Nous restons quelques minutes comme ça, bouche à bouche, corps à corps. Nos mains se sont glissées entre nos pubis, elle me titille le clitoris, je lui titille le clitoris. Nous finissons par jouir en nous embrassant, nos corps exultent dans un même bonheur.  –Ça va mon amour ?–Oui, très bien. Je vois que Soraya a porté sa main sur son sexe et qu’elle se masturbe adossé au plan de travail. Nous allons vers elle, je m’agenouille, lui écarte sa main et prend sa place. Charlotte s’occupe de ses seins. Elle jouit en silence en me plaquant la figure sur son sexe. Nous préparons le repas en entendant les éclats de rire de Laurence et de Charles dans le salon. Ils ont l’air de bien s’amuser. Quand le repas est prêt, nous retournons dans le salon, Laurence et Charles discutent toujours, mais il n’y a plus un seul millimètre entre eux, leurs hanches se touchent et ils ont l’air complètement complices. Je vois que les tétons de Laurence pointent fièrement, elle est excitée. Charles se lève, il vient vers moi, Il me murmure. –Cette Laurence est merveilleuse, tu as vu ce corps et la couleur de cette peau, une merveille, en plus, elle est marrante et intelligente, tout à fait ce qui me plait chez une femme. Je suis très heureux d’avoir fait sa connaissance.–Elle te plait ?–Tu ne peux pas savoir à quel point, j’espère que c’est réciproque.–Je pense que oui, mais je ne peux rien t’affirmer, fais tout de même attention, elle vient de rompre avec son copain et elle a horreur qu’on la drague.–Reçu cinq sur cinq. Nous mettons la table ensemble, à un moment je me trouve seule avec Laurence, elle se penche pour me parler à l’oreille. –Il est super ton cousin, je ne serais pas étonnée qu’il se passe quelque chose entre nous.–Déjà ?–Oui, j’ai flashé sur lui, et je crois que c’est pareil pour lui.–Je le connais depuis toujours et je crois que tu as raison, fonce, vas-y ma chérie fonce. Elle s’installe à côté de lui à table, nous sommes Charlotte et moi en face d’eux Soraya est en bout de table. Le repas est prétexte à des histoires de notre enfance, surtout celles qui se passaient dans le camping naturiste du Cap d’Agde où nous passions toutes nos vacances avec nos parents. Ils avaient chacun une caravane installée à l’année sur deux emplacements mitoyens, nous y allions pratiquement tous les week-end de mai à mi-octobre et les mois de juillet et août avec nos mères. Je l’ai vu devenir homme, il m’a vu devenir femme.  –Comment se fait-il que vous n’ayez jamais fais l’amour ensemble ?–Nous ne nous voyions pas comme homme et femme, nous ne nous voyions que comme frère et sœur, c’est tout.–Et vous n’avez jamais fait l’amour avec des copains et des copines du Cap ?–Bien sûr, c’est d’ailleurs une des copines d’Amandine qui m’a dépucelé, c’était lors d’une soirée sur la plage.–Et elle ?–Tu es bien curieuse Laurence.–Moi aussi c’est sur la plage du Cap que j’ai perdu ma virginité, et c’était bien et j’en garde un bon souvenir.–Mais vous étiez tout le temps à poil, jamais tu ne bandais quand tu voyais une jolie fille complètement nue ?–Non, la nudité n’était pas synonyme de sexe pour nous, c’est un art de vivre.–Pourtant vous étiez tout le temps à poil.–Oui Charlotte, je peux dire que j’ai vu plus souvent Amandine nue qu’habillée, comme ma tante et mon oncle, ses parents, depuis toujours. On se voyait le week-end au Cap, les vacances au Cap, même les vacances de Noël, au total pratiquement la moitié de l’année, sans compter que nos parents vivaient nus chez eux et que quand on allait chez eux ou qu’ils venaient chez nous, deux ou trois fois par semaine, on était nous aussi nu. Et ceci, même chez nos grands-parents paternels, ils sont eux aussi naturistes purs et durs. C’est une tenue naturelle pour nous, nous avons toujours vécu comme ça, rien d’érotique.–C’est quoi votre lien de parenté ?–Nos pères sont frères jumeaux dizygotes.–Dizy quoi ?–Dizygote, deux jumeaux nés de deux œufs différents, ce qu’on appelle communément des « faux jumeaux ».–J’apprends quelque chose, bonne journée.–Tu n’aime pas être nue ?–C’est un peu plus difficile pour moi devant un homme. Charles la regarde mais n’insiste pas, il doit sentir qu’il y a quelque chose de pénible derrière ça. Le repas se termine gaiement, tout le monde rigole, mais ce qui est le plus intéressant, c’est de voir Laurence poser souvent sa main sur la cuisse gauche de Charles qui semble ne pas s’en rendre compte. A la fin du repas, nous débarrassons avec Charlotte, je lance la machine et retourne au salon. Laurence et Charles sont assis sur le divan et serrés l’un contre l’autre, il a son bras droit sur ses épaules. Elle se colle à lui, a posé sa tête sur son épaule et une main sur sa cuisse droite. Je vois que le sexe de Charles a un peu réagit, mais rien de spectaculaire. Elle me regarde avec ce regard franc et joyeux qui la caractérise. Elle est bien. Charlotte et Soraya sont assisent en face d’eux, je m’assoie à côté d’elles. –Ça va Laurence ?–On ne peut mieux, je suis bien ici.–Ici ou contre le torse puissant de mon cousin ?–Les deux, tu n’es pas jalouse j’espère ?–Tu sais très bien que non. Et toi Charles, tu es bien ?–Tu me connais assez pour savoir que oui.–Vous n’avez besoin de rien d’autre ? Ils se regardent, je vois dans le regard de mon cousin une tendresse que je ne lui ai jamais connu. Elle tourne un peu sa tête vers lui, il tourne la sienne et leurs lèvres se joignent. Elle se tourne un peu pour plaquer ses seins contre son torse, passer sa main derrière sa tête et l’embrasser goulûment. Ils échangent leur premier baiser, ils le savourent longuement. Sa main droite lui caresse le flanc, je vois que son sexe commence à réagir. Je regarde Charlotte, elle a l’air impressionnée, mais pas révoltée. Elle les regarde fixement, je me penche vers elle. –Ça va mon amour ?–Oui, ne t’en fais pas, je suis simplement admirative de voir un amour s’épanouir devant moi.–Tu ne crois pas que tu vas un peu vite ?–Non, crois moi, ces deux êtres s’aiment, ils se sont aimés dès le premier regard, ça se voit, c’est évident.–Mais si ça continue, ils vont faire l’amour là, devant nous.–Et qu’y a-t-il de répréhensible à ça ?–Rien, seulement, je ne veux pas que ça te choque.–Ce qui me choquerait, c’est si Laurence n’était pas consentante, et à priori, ce n’est pas le cas.–Je confirme, je dirais même que c’est elle qui mène le bal.–Dans ce cas, où est le problème ? Le sexe de Charles commence à prendre des proportions intéressantes, la main droite de Laurence finit par se poser dessus, elle le caresse un peu. Elle se redresse un peu, passe ses bras autour de son cou et se laisse aller en arrière. Il se laisse entrainer et se retrouve à moitié allongé sur elle. Elle ouvre les cuisses, elle réussit à se glisser complètement sous lui. Je n’ai jamais vu mon cousin comme ça, il est complètement sous l’emprise de Laurence, il se laisse faire et ça a l’air de lui plaire. Il est maintenant sur elle, son sexe tendu vers la grotte de Laurence. Elle appuie sur ses fesses, il donne un coup de rein en avant, Laurence se cabre, elle avance son bassin pour qu’il la pénètre encore plus. Il s’avance sur elle en donnant des coups de rein. –Oh oui, viens en moi, je t’attends, oui, oui, fais-moi l’amour mon chéri, je te veux en moi. Nous n’existons plus, ils sont seuls au monde et s’aiment. Le rythme de Charles s’accélère, je vois que Charlotte ne les quitte pas des yeux, elle semble fascinée. Je l’enlace et me serre contre elle, elle se tourne et pose ses lèvres sur les miennes. Nous échangeons un long baiser, mais tout à coup, je sens Charlotte différente. Quand nous nous séparons, je vois que Soraya s’est glissée entre ses jambes et lui broute hardiment le minou. Charles fait toujours l’amour à Laurence, elle lui a ceinturé la taille avec ses jambes lui offrant son sexe grand ouvert. Elle se donne complètement à lui, elle l’enlace en le serrant très fort. Elle donne de violents coups de rein à la rencontre de son sexe, je vois qu’elle se raidi, que son corps se tend. –Oui, oui, je jouis, ah mon chéri, viens, vide toi en moi, féconde moi, je veux te sentir jouir en moi, te sentir me remplir, je t’aime. Charles se cabre, il jouit en donnant un dernier coup de rein très fort pour s’enfoncer le plus possible en elle, Laurence le serre comme une folle, elle referme ses jambes au maximum. –Oui, en moi, je te sens, oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, ah, je t’aime, oh que c’est bon, oh mon amour. Ils se calment, leurs corps se détendent, Charles se déporte un peu pour ne pas peser sur elle, il descend un peu sur son corps, leurs bouches se soudent une nouvelle fois. Charlotte joui à côté de moi en me serrant la main, elle regarde le couple devant elle. –Tu vois, ils s’aiment, c’est évident.–Je crois que tu as raison, c’est beau.–Je te l’accorde.–Tu as bien joui ?–Tu sais que Soraya est une experte. Je me tourne vers elle, elle semble bien dans sa peau, je me penche sur elle et la fais basculer sur le divan. Elle s’allonge en riant. –Oui mon amour, oui, c’est notre tour.
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