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Amandine amoureuse

Chapitre 9

Lesbienne
Capucine Je lui présente mon sexe et plonge ma tête entre ses jambes. Elle se déchaîne sur mon sexe, je l’imite. Nous nous donnons à fond, ses mains me plaquent contre elle, je sens l’orgasme monter en moi, mais je sens aussi l’orgasme monter dans son corps. Nous allons synchroniser nos orgasmes, je le sens. Je ralenti mon action, je veux que ça dure un maximum, elle le comprend et fait comme moi. Je veux rester sur ses lèvres et son vagin le plus longtemps possible, goûter à son élixir d’amour à en avoir plus soif. Je me délecte de sa cyprine, je pose mes lèvres en entonnoir sur son vagin et j’aspire. Mais le corps commande, nous sommes toutes les deux au bord de l’orgasme. Je remonte lentement vers son clitoris, elle m’imite et nous explosons toutes les deux dans un sublime orgasme. Je la sens vivre son plaisir sous mon corps, cela décuple le mien. Lentement je reviens à moi, je me redresse et pivote pour aller m’emparer de ses lèvres. Nous échangeons un nouveau baiser, elle a des soubresauts, je la regarde, elle pleure. –Que t’arrive-t-il mon amour ?–C’est la joie d’avoir vécu tout ça avec toi, mon cœur explose, je n’ai jamais été aussi heureuse de ma vie, je t’aime mon amour, je t’aime. Je la serre le plus fort possible contre mon corps, je veux qu’elle sente à quel point mon corps vit pour elle, à quel point moi aussi je l’aime. Quand elle s’est calmée, je tourne la tête. Charles et Laurence nous regardent. –Cousine, je viens de voir la plus belle scène d’amour de ma vie. Je vous envie toutes les deux, j’aimerais vivre la même chose avec une femme.–Moi par exemple. Il se jette sur Laurence pour l’embrasser. Charlotte est complètement remise, elle les regarde avec tendresse. Quand ils se séparent, elle regarde Charles. –Je crois que c’est elle Charles, c’est elle que tu cherches sans le savoir. Garde la.–Tu vois Laurence, je t’avais bien dit que tu trouverais l’amour, je crois que c’est fait. Laurence se blotti contre lui, elle est manifestement très éprise, cela en trois heures, une sorte de record. Je les regarde quand je sens une langue sur mon sexe, c’est de nouveau Soraya. Charlotte se penche à mon oreille. –A ton tour mon amour, tu sais que Soraya déteste faire des jaloux. Je me laisse aller, elle farfouille dans mon sexe, le plaisir monte doucement, Charlotte se penche sur ma bouche pour échanger un long baiser. Je jouis en deux minutes, quand je reviens à moi, Charles et Laurence sont serrés l’un contre l’autre en nous regardant. Soraya me regarde. –Il n’y a que Laurence que je n’ai pas goûtée encore, je ne connais pas son goût. 
Elle se tourne vers Charles, il la regarde. –Toi aussi tu aimerais te faire brouter le minou par Soraya ?–Oui, j’adorerais, elle ne me l’a jamais fait, tu ne le sais pas, mais j’aime aussi faire l’amour avec des femmes, et je pense que ça ne changera jamais.–Ça fait vingt-trois ans que je connais Amandine, tu penses bien que je sais ce que sont les femmes qui aiment les hommes et les femmes, fais ce que tu veux ma chérie, tu es libre de ton corps.–Ok, mais qu’avec les femmes, ok mon chéri ?–Oui ma chérie, qu’avec des femmes.–Dont ta cousine.–Dont ma cousine bien sûr ma chérie.–Vous en êtes déjà à mon chéri, ma chérie, c’est l’amour fou.–Oui cousine, je pense avoir rencontré la femme de ma vie, et c’est grâce à toi, tu es ma fée bienfaitrice.–Que d’honneur !! Elle l’enlace et l’embrasse, mais Soraya s’est déjà glissée entre ses jambes en les écartant et commence à lui bouffer la chatte. Elle se cabre en arrière les ouvre au maximum. –Oh oui, j’aime ta langue, fais-moi jouir comme Charlotte, fais-moi jouir. La tête de Soraya monte et descend entre les cuisses de Laurence, celle-ci se donne en avançant ses fesses, Soraya l’agrippe par les hanches et la plaque contre elle. Charles s’occupe de ses seins, et sa main gauche parcoure sa peau. Laurence jouit assez vite, il faut dire que Soraya connait la musique. L’après-midi n’est que rigolade, sexe et plaisir. Charles n’a fait l’amour qu’avec Laurence, il n’a pas voulu que Soraya s’occupe de lui. Il a téléphoné à ses parents en leur disant qu’il ne passerait pas la nuit chez eux, il est allé récupérer ses affaires et est venu passer la nuit chez Laurence. Nous sommes restées toutes les trois, Soraya a été adorable, elle est allée se coucher dans sa chambre vers onze heures, nous laissant seules. Nous étions assez fatiguées et avons dormi assez vite.  Le lendemain, je suis allé bosser comme tous les jours de la semaine, mais, maintenant, j’ai deux furies qui m’attendent à la maison et me font jouir comme une folle tous les soirs. Elles s’entendent très bien, Laurence et Charles viennent pratiquement tous les jours nous voir, Charlotte l’a accepté, ils sont très copains, il peut même la prendre dans ses bras et lui faire deux bises en étant nus tous les deux, je suis aux anges. Mais il est reparti à Toulouse, question d’emploi du temps modifié, Laurence l’accompagne jusqu’à la fin de la semaine, elle revient dimanche. J’ai fait venir mon père le lundi pour les travaux de la chambre aveugle, Soraya lui a expliqué ce qu’il fallait faire. Je lui avais dit que c’était très urgent, il est venu le mercredi avec deux employés pour faire les travaux, ils ont terminé le jeudi matin. Nous avons utilisé Choupette tous les jours, même Laurence en présence de Charles, il accepte tant que ce n’est pas un homme de chair. Je me suis fait sodomiser par Choupette, j’en ai tiré un grand plaisir, mais rien ne remplace la peau de ma Charlotte, son corps, ma bouche sur son sexe, sa bouche sur mon sexe, rien ne remplace l’amour qu’on se porte. Le jeudi vers midi, mon père me téléphone pour m’annoncer la fin des travaux. Il a refait l’électricité, étanchéifié la pièce, lissé le sol, amené l’eau et fait une évacuation vers la salle de bain à côté. Il est un peu étonné mais ne demande rien de plus. Vers seize heure, je suis dans mon bureau, je recherche sur internet une société susceptible de me fournir du matériel de bureau et des ordinateurs quand mon patron entre en coup de vent. -Amandine, Amandine, j’ai besoin de vous, la femme qui est dans mon bureau vient de tomber dans les pommes, j’ai appelé le SAMU, venez m’aider s’il vous plait.–J’arrive. Je me précipite dans son bureau, je vois une jeune femme allongée sur la table qu’il utilise quand nous sommes nombreux. Elle porte une robe moulante rouge mi-cuisse boutonnée devant, je l’avais entre aperçu quand elle est entrée tout à l’heure. En fait, elle ne m’est pas étrangère, je la reconnais, c’est Capucine, une jeune commerciale qui était venu me voir il y a quelques jours pour que je la briefe sur nos nouveaux produits pour un nouveau client. Nous avions passé un très agréable après-midi à travailler sur les produits, elle était très enjouée, très motivée et me paraissait assez intelligente. Elle est consciente, je viens vers elle. –Ça va Capucine ?–Ah, bonjour mademoiselle Amandine, je ne sais pas très bien, je me sens un peu mieux, mais ce n’est pas encore ça. Je ne sais pas ce qui s’est passé, d’un seul coup j’ai senti le sol se dérober, je ne comprends pas. –Le SAMU arrive, restez calme.–J’aimerais me lever, je commence à avoir un peu mal au dos allongée sur cette table dure.–Ok, je vous aide. Je me penche sur elle, je l’aide à se redresser, elle descend de la table en pivotant sur ses fesses, ses cuisses s’ouvrent un peu et découvrent ses jambes jusqu’en haut me dévoilant un sexe nu et glabre, elle ne porte rien sous sa robe. Je ne réagis pas et l’aide à s’assoir dans un fauteuil dans la salle de repos vitrée. Encore une fois, j’ai une vue imprenable sur son sexe, et en plus sur ses seins bien ronds. Sa robe est remontée pratiquement jusqu’à son pubis, et les trois derniers boutons du haut de sa robe ne sont pas boutonnés. Elle se comporte comme si je n’existais pas, on dirait que ça ne la gêne pas de me montrer son sexe et ses seins, comme si une femme n’était pas un être humain, mais une chose sans importance, à moins qu’il n’y ait autre chose. Je la regarde droit dans les yeux, elle soutient mon regard avec un sourire étrange, elle a l’air triste. Je commence à me demander ce qui se passe. Le SAMU arrive, une jeune femme accompagnée par le patron se précipite vers nous. –Je peux l’examiner seule ?–Bien sûr. Je sors de la pièce, la jeune femme l’examine, elle se retourne au bout de trois minutes, me regarde, elle semble ne pas trop s’en faire. Elle ressort au bout de dix minutes. –Rien de grave, je pense que ça se passe plus dans sa tête que dans son corps, elle est à côté de ses pompes.-Je ne comprends pas.–Et bien elle n’a rien, c’est du flan, je pense qu’elle voulait simplement attirer l’attention.–Mais de qui.–A vous de voir, mais vous semblez vraiment l’intéresser, elle n’a pas arrêté de poser des questions sur vous, questions auxquelles je n’ai pas pu répondre ne vous connaissant pas. Je me passerais bien de ce genre d’urgence bidon, j’ai autre chose à faire. Elle s’en va, elle n’est pas très contente et le montre. –Font chier toutes ces conneries !! Moi, je ne supporte pas ce genre de comportement puéril, je rentre dans la salle en ouvrant la porte sans précautions, je suis un peu énervée. –Alors, on fait semblant d’avoir un problème ? Elle me regarde complètement surprise. D’un seul coup, elle s’effondre, elle fond en larme. –Je suis complètement pommée, aidez-moi.–Comment pourrais-je vous aider si ce que vous dites n’est pas la vérité ?–Excusez-moi, mais je voulais que vous vous occupiez de moi, j’ai flashé sur vous lors de notre dernière rencontre. Excusez-moi, excusez-moi, je vous demande pardon. Je suis complètement abasourdie par sa réaction, d’un seul coup mon énervement disparait, je vois une fille complètement à côté de ses pompes comme disait la toubiba. Je viens vers elle en lui souriant.  –Bon alors, qu’est ce qui se passe, que puis-je faire pour vous ?–Je suis perdue, je suis venu voir votre patron pour une embauche, la dernière fois, quand vous m’aviez briefé, j’avais cru comprendre que vous cherchiez un commercial. Il m’a dit qu’il n’avait pas de poste de commerciaux à pourvoir en ce moment, je n’ai pas pu le supporter.–Vous me prenez vraiment pour une bille, la personne qui vient de sortir d’ici m’a dit que c’était du pipo, que voulez-vous ?–Je vous promet que je cherche un travail, ma société vient de me licencier, je suis à la rue, je suis complètement pommée, je ne savais plus à qui m’adresser et j’ai pensé à vous. –Ok, suivez-moi. Nous allons dans mon bureau, elle relève sa robe et s’assoie directement cul nu sur la chaise sans resserrer ses jambes, j’ai une vue imprenable sur son sexe. Je la regarde étonnée, mais elle semble parfaitement naturelle. Là, elle se livre, elle cherche vraiment du boulot, mais elle veut aussi vivre autre chose que sa vie de merde comme elle dit. Elle a tout juste dix-neuf ans et simplement un CAP de dactylo mais déjà un an d’expérience comme commerciale. Elle vient de se faire virer de sa boite, compression de personnel, ils sont cinq licenciés. Je lui fais part de mon étonnement, j’avais discuté avec son directeur commercial qui paraissait très satisfait d’elle. En fait, ce sont les derniers embauchés qui ont été licenciés, concession aux syndicats. Nous discutons un long moment, elle me raconte une partie de sa vie, mais je veux en savoir plus. J’insiste pour qu’elle me parle de problèmes plus intimes, je sens que c’est là que ça se passe.  Elle finit par me dire ce qu’elle veut vraiment. Elle veut vivre comme une femme libérée, elle veut avoir des amants, des amantes, connaitre enfin ce qu’est vraiment le sexe, ne pas se contenter de son copain qui la baise deux fois par semaine et avec qui elle vient de rompre. Je la laisse parler, je me rends compte que c’est une fille complètement pommée, elle ne sait pas qui elle est, d’où elle vient, où elle va, ce qu’elle veut faire et surtout, ce qu’elle peut faire. Elle me dit avoir vu en moi une personne très ouverte à qui on peut se confier. Quand elle finit de parler, je me lève et vais vers elle. Elle se lève et se jette sur moi pour m’enlacer, elle me serre dans ses bras, pose sa tête sur mon épaule. Sa robe est restée coincée sur le haut de ses fesses que j’admire dans le reflet de la vitre. –Aidez-moi, je vous en supplie, aidez-moi Je suis un peu surprise, je l’éloigne un peu. –Que fais-tu ce soir ?–Je ne sais pas.–Tu as un point de chute ?–Non, je suis seule et je n’ai pas d’endroit où aller.–Tu n’as pas d’appartement ?–Non, c’est mon copain le locataire et je vous l’ai dit, on vient de rompre, il ne veut pas d’un poids mort comme il dit.–Tes parents ?–Nous sommes un peu en froid en ce moment.–Je t’emmène chez moi d’accord ?–Oh oui.–Mais je dois te dire que je vis avec deux femmes, mon amour et une autre fille.–Vous êtes lesbienne, je m’en doutais.–Ça te gênes ?–Pas du tout, au contraire.–Comment ça au contraire ?–Je viens de vous dire que je voulais avoir des amants et des amantes.–Ok, on verra ce qu’on peut faire, mais ne compte pas sur moi, je suis amoureuse d’une femme, je ne me disperse pas. Je n’ai pas envie de m’investir, je pense que Soraya se fera un plaisir de trouver une solution. –Attends-moi ici, je termine dans trois quart d’heure, ça te va ?–Ok, j’attends ici. Elle se rassoie toujours sur ses fesses nues. Je ne lui dis pas qu’elle va devoir se déshabiller en arrivant à l’appartement, mais je suis sûre que vu son comportement, ça ne va pas la déranger. Trois quart d’heure plus tard, je vais la récupérer elle me propose de prendre sa voiture. Elle monte dans la voiture en remontant sa robe jusqu’en haut des fesses, les dévoilant à tout le monde. Elle voit que je la regarde. –Je ne supporte pas de m’assoir sur ma robe, j’ai peur de la tâcher. Je constate une nouvelle fois qu’elle n’a aucune pudeur, ça ne la dérange pas d’avoir sa robe en haut des fesses, elle discute normalement sans serrer les jambes, je peux parfaitement voir son sexe qui brille, je la regarde un peu mieux. Elle n’est pas très grande, moyenne basse, mais très jolie, des yeux noisette, des cheveux blonds lui tombant en cascade sur les épaules, belle poitrine haute pas très grosse avec une trace de maillot en triangle, belles fesses rondes et blanches aussi, je l’ai remarqué quand elle est montée dans l’auto, belles jambes, pubis glabre et blanc lui aussi, elle doit avoir de belles marques de maillot, plus grandes que celles de Charlotte en tout cas. Nous arrivons au pied de l’immeuble, nous avons de la chance de trouver une place pas loin. Elle met un certain temps à baisser sa robe en sortant de la voiture, elle prend une petite valise dans le coffre en se penchant, encore une fois, je vois ses fesses blanches. Tout en conduisant, elle n’a pas cessé de me regarder depuis notre départ de la boite, j’ai la sensation qu’elle cherche quelque chose. Une fois dans le hall, je la laisse passer devant moi dans les escaliers.  –C’est au sixième, après toi. Elle attaque la montée sans se presser, entre le premier et le second, elle pose sa valise sur une marche et remonte ses cheveux derrière sa tête, sa robe monte jusqu’à me dévoiler les trois quart de ses fesses. Ça, c’est une invitation ou je ne m’y connais pas. J’hésite une seconde, mais je finis par tendre la main et la poser sur une de ses fesses, elle s’immobilise. –Oui, j’attends ça depuis si longtemps caressez moi s’il vous plait, j’ai envie de sentir des mains câlines sur mon corps, j’en ai besoin. Je me colle à elle et lui caresse les fesses, elle tortille un peu du bas ventre, mes mains passent devant pour monter vers sa poitrine, sa robe suit, elle est pratiquement nue dans l’escalier. Mes mains tombent sur des seins fermes et bien ronds, une main redescend pour plonger entre ses cuisses. Elle se noie dans une marre de cyprine. Je lui effleure à peine le clitoris, elle jouit immédiatement collée contre moi et secouée de spasmes de plaisir. Je la maintiens debout, elle se laisse aller contre moi. –Merci mademoiselle Amandine, merci, je n’en pouvais plus.–J’avais remarqué, mais je crois qu’au point où nous en sommes, les « mademoiselle » sont de trop, tu me tutoies et tu te contentes d’Amandine.–Ok Amandine, je te tutoie.  Elle reprend l’ascension de l’escalier sans toucher à sa robe qui reste coincée sur les fesses, je reste un peu en deçà, j’adore voir ses fesses blanches bouger devant moi. Nous arrivons au dernier étage, la robe a fini par se remettre presque en place, j’avais passé un coup de fil du bureau pour prévenir les filles, Soraya et Charlotte sont nues sur le pas de la porte. Capucine les regarde, elle se tourne vers moi. –C’est la tenue de rigueur ?–Oui. Cinq secondes plus tard, elle est nue sur le palier. Elle est là, devant nous, une valise dans une main, sa robe dans l’autre. Soraya vient vers elle, elle l’enlace pour lui planter deux bises sonores sur les joies, je vois leurs corps se coller l’un à l’autre. Capucine lâche ce qu’elle tenait pour l’enlacer. Les mains de Soraya glissent sur le corps de Capucine en insistant sur les fesses, elle se laisse caresser en se serrant contre elle. Elles se séparent au bout de quelques secondes, Soraya lui prend la main et l’entraine vers l’appartement. Charlotte lui fait deux bises en passant et se précipite sur moi pour échanger un long baiser au milieu du palier. Nous entendons des pas dans l’escalier, nous entrons dans l’appartement un peu précipitamment, j’ai à peine le temps de récupérer les affaires de Capucine. Quand nous entrons dans le salon, nous voyons Soraya et Capucine tête-bêche, Capucine sur Soraya. Elles se donnent à fond, Capucine a l’air d’être très à l’aise. Nous venons vers elles, Charlotte caresse les fesses de Capucine, les seules accessibles. Je vois le visage de Soraya, elle rayonne de joie. Elle jouit un peu avant Capucine en la serrant très fort, je ne l’ai jamais vu comme ça, elle semble parfaitement heureuse. Quand Capucine jouit, Soraya se déchaine sur son clitoris, Capucine se cabre, elle semble à court d’air, elle replonge sa tête entre les jambes encore ouvertes de Soraya. Elle a des soubresauts, son corps est secoué de spasmes, les mains de Soraya glissent sur lui et s’arrêtent sur ses fesses pour les immobiliser. Capucine jouit pendant un long moment, je vois son corps se détendre lentement pour se poser sur celui de Soraya qu’on ne voit plus. Elles se redressent et s’assoient côte à côte, Capucine passe son bras sur les épaules de Soraya et la plaque contre elle, elles échangent un long baiser. Charlotte pose une main sur ma fesse gauche, je la regarde. –Ça ne te rappelle rien ?–Je ne vois pas.–Laurence et Charles, ça s’est passé pratiquement de la même manière dimanche.–Sauf qu’il a fallu un peu plus de temps pour les voir s’embrasser comme ça et faire l’amour. Là, elles se broutent le minou et se roulent une galoche deux minutes après s’être vu pour la première fois, c’est du rapide.–Ou le coup de foudre. Je les regarde avec un autre œil, elles se séparent et semblent toutes les deux très heureuses de ce qui vient de se passer. Capucine me regarde. –Tu vois, j’avais raison de te faire confiance, je viens de rencontrer une personne extraordinaire, une personne qui peut me redonner goût à la vie.–N’exagérons rien, tu n’avais pas perdu le goût à la vie, tu ne m’as pas parlé de suicide que je sache.–Mais j’y ai pensé très fort ce matin, quand j’ai eu ma lettre.–Bon, c’est fini maintenant, reste ici, je pense que Soraya voudra bien partager sa chambre avec toi.–Bien sûr, il n’est pas question qu’elle aille ailleurs si ça ne vous dérange pas.–Bien sûr que non. Capucine lui saute dessus pour l’embrasser de nouveau. Je les regarde mieux, Capucine est à peine plus grande que Soraya, une quinzaine de centimètres tout au plus, elles peuvent s’aimer tête-bêche, ce que Soraya ne peut pas faire avec nous, trop petite, même si on se penche au maximum. Nous allons avec Charlotte dans la salle de bain pour prendre une douche. Nous les entendons gémir dans le salon, de temps en temps un petit cri de plaisir, elles font l’amour. Quand nous revenons une demi-heure plus tard dans le salon, elles sont toujours tête-bêche. Cette fois c’est Soraya qui est dessus, je vois ses adorables petites fesses bouger sous les assauts de Capucine. Elles jouissent en se manifestant bruyamment, Soraya pivote, elles s’allongent sur le divan pour échanger un long baiser. Une main de Capucine se promène sur le corps de Soraya, elle n’oublie pas un millimètre carré de ce magnifique corps miniature. Quand elles nous regardent, je vois très bien que c’est le bonheur absolu pour elles. Capucine me regarde. –Merci Amandine, merci, je renais à l’amour, merci. Elle vient vers moi pour m’enlacer et poser sa tête sur mon épaule. –Merci Amandine. Je ne sais comment réagir, Soraya s’en rend compte et vient vers nous. Elle prend Capucine dans ses bras. –Viens ma chérie, viens avec moi. Elles vont s’allonger sur un pouf. Soraya caresse Capucine avec beaucoup de tendresse, elle la calme. Quand Capucine semble somnoler, Soraya se redresse. –Tu sais que la pièce uro est achevée, ton père nous l’a livré à onze heures trente, elle ne demande plus qu’à servir.–Tu as envie ?–Oui, pas toi.–Oui, mais que faire de Capucine ?–Tu crois qu’elle ne va pas apprécier ?–Je vous entends, les filles, de quoi parlez-vous ?–D’une pièce où l’on peut se pisser dessus, tu connais ? Elle se relève comme propulsée par un ressort. –De l’uro ? mais je fantasme la dessus depuis plusieurs années, depuis que j’ai vu un vidéo porno avec deux femmes qui se pissaient dessus, j’ai envie de sentir ce liquide chaud couler sur mon corps, vous ne prenez pas pour une folle j’espère ?–Bien sûr que non.–Vous y allez ?–Tu nous accompagnes ?–Bien sûr, c’est où. Cette fille est étonnante, tantôt complètement pommée, tantôt prête à tout, mais surtout je vois qu’elle plait beaucoup à Soraya, elle ne la lâche pas d’une semelle. Nous allons dans la salle que je découvre, elle n’est finie que depuis aujourd’hui midi, merci papa. Elle est super, le sol est bien lisse, les murs sont refait et elle peut être nettoyée au jet d’eau, on pourra se laisser aller à fond. Les filles l’ont déjà installé cet après-midi, il y a deux bancs en plastique avec des coussins, l’un d’eux est plus bas que l’autre, un spécial Soraya, j’aime l’idée, et deux poufs en skaï. Choupette est dans un coin avec deux poufs qui paraissent plus confortables. Capucine tourne autour des bancs, Soraya lui prend le main et l’installe sur le bac le plus bas sur le dos. –Oui ma chérie, pisse moi dessus, je veux ton liquide chaud sur ma peau.  Je lui écarte les jambes pour me positionner à quatre pattes entre elles, Soraya se positionne au-dessus de son pubis, je plonge sur son sexe ruisselant. Soraya ouvre les vannes et commence à lui pisser dessus, je suis évidemment éclaboussée, mais j’aime ça, surtout que je sens la langue de mon amour me titiller l’anus. Soraya remonte le long du corps de Capucine, elle arrive assez vite sur son visage. –Ah ma chérie, j’aime ta pisse chaude, arrose moi, arrose moi le visage, j’ai envie. Capucine n’ouvre pas la bouche mais se saisie de ses fesses et la fait descendre sur elle. Elle lui bouffe la chatte à tel point que Soraya jouit assez vite, juste en même temps que moi. Je continu néanmoins à brouter le sexe de Capucine, elle est assez longue à venir, elle se raidi et me bloque le cou avec ses jambes, elle me fait mal, mais je sais qu’elle ne peut pas faire autrement. Je n’insiste pas, elle se détend et me libère. Je me redresse, elle est toujours allongée sur le banc, Soraya est sur elle, elles s’embrassent avec fougue. Mais il est temps de préparer le repas. –Il va falloir préparer le repas.
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