Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 96 J'aime
  • 2 Commentaires

Amandine amoureuse

Chapitre 10

Lesbienne
Lou Capucine se précipite vers moi. –Je suis une très bonne cuisinière, j’adore cuisiner, qu’est-ce qu’il y a dans le frigo ?–Tu veux faire la cuisine ?–Oui, j’adore ça.–Comment as-tu appris à cuisiner à ton âge ?–J’ai été élevée par mes grands-parents, ma grand-mère ne travaillait pas, elle n’arrêtait pas de cuisiner pour son mari, j’étais tout le temps avec elle à faire la cuisine quand je le pouvais, elle m’a tout appris. –Ok, vas-y, tu veux de l’aide ?–Juste qu’on me dise où sont les ustensiles de cuisine.–Je te montre mais d’abord, à la douche.–Vous me laisserez seule, je vous dirais si j’ai besoin d’aide. Nous allons à la douche, Soraya est de corvée de nettoyage de la pièce, c’est indispensable après chaque utilisation. Une fois douchées, je montre à Capucine l’agencement de la cuisine, en cinq minutes, elle semble déjà chez elle, elle me jette une fois qu’elle a tout repéré. Je retourne dans le salon, Soraya n’est pas encore revenue de la douche, Charlotte est assise sur le grand divan. Je m’assoie à côté de mon amour. Soraya arrive de la douche et s’assoie à côté de moi. –Ça va Soraya ?–Je ne sais pas ce qui se passe, je suis complètement chamboulée, que m’arrive-t-il ?–As-tu déjà vécu un grand amour ?–Non, jamais, une petite amourette avec un garçon il y a un an, mais rien de plus.–Et bien tu tombes amoureuse ma chérie, Capucine s’est emparé de ton cœur, tu n’y pourras rien, il va falloir que tu assumes.–Tu plaisantes.–Pas du tout, en ce moment sa peau te manque, ses caresses te manquent, sa bouche te manque, son sexe te manque, je n’ai pas raison ?–Oui, j’avoue que j’aimerais bien être contre elle.–Est ce que tu ne préfèrerais pas qu’elle soit entre tes bras en ce moment ?
–Oui, j’en crève.–Tu vois bien, elle accapare ta tête, ton cœur, tous tes sens, mais c’est très bien, tu vas vivre une belle histoire d’amour avec elle, j’en suis sûre.–Que Dieu t’entende.–Ne mêlons pas Dieu à nos turpitudes. Nous rigolons et discutons tranquillement, pas de sexe pendant un quart d’heure, une performance, mais je vois Soraya sur les charbons ardents, elle veut rejoindre Capucine, elle en crève. Soudain la voix de Capucine retentie. –Tu peux venir m’aider ma chérie ? Soraya bondi comme une panthère et se précipite dans la cuisine. Un grand silence suit, elles doivent être bouche à bouche et échanger un long baiser. Charlotte me sourit et se couche sur moi. –J’ai envie de toi mon amour.–Moi aussi mon amour. Nous faisons l’amour pendant que Capucine et Soraya préparent le repas. Nous jouissons deux fois avant qu’elles ne réapparaissent. Capucine amène un grand plat, elle a utilisé ce qu’il y avait dans le frigo, ça n’a pas de nom, mais c’est extraordinairement bon, je n’en reviens pas. Après le repas, nous allons sur les divans, la soirée est assez calme, juste un orgasme chacune, Soraya est aux petits soins avec Capucine, elle ne la lâche pas d’un pouce. Je suis assez fatiguée et il faut aller au boulot demain. Je prends Charlotte par la main et l’entraine dans notre chambre, les filles vont dans la chambre de Soraya. Après un gros câlin, je m’endors dans ses bras. Le lendemain, je me lève tôt, je choisi mes fringues dans ma garde-robe, jupe courte très moulante, corsage assez sage et veste en tweed. J’arrive comme d’habitude assez tôt au bureau, je tombe sur le patron, c’est rare qu’il soit là avant moi. –Amandine, vous prenez ma voiture et vous allez voir Hélène, elle a un problème avec le dernier programme que nous lui avons livré, celui de gestion des stocks, elle n’arrive pas à le paramétrer sur certains produits.–Comment vous a-t-elle contacté ?–Vous savez que nous nous connaissons très bien, elle a mon portable, elle m’a appelé hier soir à vingt heures.–Très bien monsieur, je m’en occupe, mais pourquoi moi ?–Parce qu’elle l’a demandé, elle ne veut plus entendre parler du technicien qui l’a formé au départ, je ne comprends pas trop pourquoi, il est excellent.–Moi si monsieur, moi je comprends très bien. Il me regarde un peu dubitatif et réalise tout à coup. –Ah oui, ok je vois, comment n’y ai-je pas pensé, mais c’est égal, allez-y quand même, et faite ce qu’il faut pour arranger ça, ce sont des amis, mais surtout, nos meilleurs clients, je compte sur vous.–Vous pouvez monsieur.  Il me donne les clés de sa splendide Jaguar xj8, en souriant malicieusement, elle a plus de vingt ans, mais elle est encore magnifique, comme neuve. Une heure plus tard, j’arrive dans la société d’Hélène à Béziers, je suis accueilli par une magnifique jeune fille à la réception qui me guide jusqu’à son bureau. J’adore voir onduler ses très belles fesses moulées dans une jupe très courte. Je ne pense pas qu’elle ait grand-chose dessous. Je réalise qu’en voyant ces magnifiques fesses danser devant moi, je ne mouille pas, il y a à peine deux mois, j’aurais senti ma fontaine s’ouvrir en grand. Hélène se lève en me voyant, et vient vers moi moulée dans une superbe robe seconde peau boutonnée devant, elle pose ses lèvres sur les miennes et m’embrasser goulument devant la jeune fille. J’ai un mouvement de recul, mais je me dis qu’elle doit savoir ce qu’elle fait chez elle. Son baiser est assez court, elle me regarde avec un grand sourire. –Ne sois pas étonnée, cette magnifique jeune fille est ma fille Lou, elle connait mes penchants qu’elle partage d’ailleurs. Je la regarde, elle me sourit, elle est beaucoup trop vielle pour être le fille d’Hélène ou elle l’a eu à douze ans. –Ta fille, mais tu l’as eu à quel âge ?–A dix-neuf ans, quand je me suis marié, en fait, c’est la fille de Guillaume mon mari, mais je la considère comme ma propre fille, moi, je ne peux pas avoir d’enfant. Guillaume a onze ans de plus que moi, c’est un enfant de son premier mariage. Sa première femme est partie avec un autre mec quand Lou avait six ans, personne ne sait où elle est. Ça fait treize ans que je m’occupe d’elle, qu’elle est ma fille chérie, mon amour. Lou vient vers sa mère et l’enlace en se serrant très fort contre elle. On sent beaucoup d’amour entre elles.  –Je comprends mieux, bon, que fait-on, pourquoi suis-je là ?–Nous avons vraiment un problème avec la gestion des stocks, je sais que tu connais parfaitement ce soft, je pense que ce n’est pas très grave.–Pourquoi moi ?–Et pourquoi ne pas joindre l’utile à l’agréable, en plus, j’ai beaucoup parlé de toi à Lou, elle voulait te connaitre.–Tu as le chic pour tout obtenir de moi, tu veux mon string, je te le donne, tu veux venir chez moi, je te donne mon adresse, tu me veux chez toi, mon patron m’y envoie.–Et oui, je suis une bonne cliente à qui on ne refuse rien, même pas son string.–Sauf que maintenant, tu ne l’aurais pas, je n’en porte plus. Tout le monde rigole, je reprends mon sérieux.  –Ok, on travaille où ?–Dans mon bureau, on sera plus tranquille, ma secrétaire filtre. Et si on commençait par un café ?–Volontiers.–Ok maman, je m’en occupe.–Laisse ma chérie, Carla va s’en occuper, sucré pour toi ?–Oui, un sucre. Elle prend son téléphone de bureau. –Carla, peux-tu nous amener trois cafés s’il te plait, avec du sucre, merci. Je la regarde étonnée, elle tutoie sa secrétaire. –Oui, Carla est ma nièce, tu sais c’est une entreprise familiale, il y a aussi son frère qui s’occupe des expéditions, ma sœur à la comptabilité et le frère de Guillaume, le père de Carla, au bureau d’étude.–Ok, je comprends mieux. Elle s’installe sur une table ronde en verre dans le coin du bureau, un ordinateur tourne sur le programme de gestion de stock. Je m’assoie à côté d’elle, Lou en face de nous. Sa jupe est remontée, mais elle ne se rajuste pas, je vois à la limite de son sexe. Je pense qu’elle doit en être au même point avec moi, je ne peux pas serrer mes jambes constamment, d’autant que je n’en ai pas envie, et avec ma jupe moulante courte, elle doit se régaler. On frappe à la porte, c’est Carla qui amène les cafés. Je n’avais remarqué que la beauté de son visage, mais pas quelle était si bien foutue derrière son bureau. Beaux seins libres tendant un corsage sage, jupe courte moulante sur des fesses d’enfer, jambes infinies, un beau petit canon. Toutes les nanas du coin sont bandantes, je commence à me demander comment je vais faire pour rester calme et performante. Après la parenthèse café, Hélène me montre le problème, nous nous organisons à trois, Lou lit la procédure, pendant qu’Hélène m’explique ce qui se passe en saisissant les données. J’analyse l’ensemble, il me faut un peu plus d’une heure pour trouver la source du problème et y remédier. Lou a noté toutes les modifications nécessaires au bon fonctionnement du soft. Vers onze heures trente, tout est réglé, seulement, moi, je suis complètement à côté de mes pompes. J’ai eu pendant plus d’une heure Hélène à côté de moi qui n’arrêtait pas de me toucher et surtout, Lou en face de moi qui ne faisait rien pour cacher son sexe de plus en plus brillant. Je la voyais regarder le mien qui s’humidifiait au même rythme que le sien, je sens ma cyprine couler jusqu’à mon périnée, je suis sûre que ma jupe a une énorme auréole sous mon sexe. Soudain, une main me saisit la cuisse, instinctivement, j’écarte brusquement mes jambes. Ma jupe reste à mi-cuisses, elle ne remonte pas et cède en se déchirant jusqu’à la taille. Hélène explose de rire, Lou a l’air de trouver aussi ça amusant. Je dois dire que je ne suis pas du tout dans cet état d’esprit, je fais plutôt la gueule. Hélène se penche sur moi.  –Ne t’en fait pas ma chérie, j’ai ce qu’il faut pour te changer, mais je crois que Lou a autre chose en tête. Je suis assise sur une chaise, les cuisses ouvertes, ma jupe déchirée jusqu’à la taille, je suis un peu sonnée, je distingue à peine Lou se laisser glisser et passer sous la table. Je ne réalise que quand je sens sa bouche se coller à ma vulve. Un frisson parcoure mon corps, mon cerveau m’abandonne, j’ouvre encore plus mes jambes. Il ne lui faut même pas une minute pour m’amener au nirvana, je jouis assise sur la chaise en appuyant sur sa tête pour mieux la sentir me bouffer. Hélène a passé une main sous mon corsage pour me caresser les seins. Quand je reviens à moi, Carla est devant moi en me tendant une jupe. Hélène me fait lever et m’enlève la mienne. Drôle de boite et drôle de famille, tout le monde et plus ou moins à poil. Carla s’agenouille devant moi pour me présenter la jupe. Je l’enjambe et elle la fait remonter le long de mes jambes, ses mains en profitent pour trainer sur ma peau, je la laisse faire, je suis calme pour l’instant. Je sens son souffle sur mon pubis, j’ai un réflexe, je donne un coup en avant. Elle pose ses lèvres sur lui une fraction de seconde. Arrivée en haut, elle boutonne la ceinture et remonte le zip. Elle se redresse en me regardant, elle a un léger sourire. Hélène vient vers moi. –Tu sais que j’ai téléphoné à Charlotte ce matin pour lui dire que tu allais venir et que je ne savais pas comment ça allait se terminer. Elle m’a répondu que tu étais libre et que si c’était avec moi ça ne la dérangeait pas.–Peut-être, mais tu sais que je n’aime pas trop faire l’amour sans elle, Lou m’a eu par surprise, mais j’aimerais que ça s’arrête là. J’aime trop Charlotte pour faire l’amour sans elle.–Qu’à cela ne tienne, Charlotte !!!! La porte du bureau s’ouvre, je vois Charlotte se précipiter sur moi pour se jeter dans mes bras. –Je t’aime mon amour, je t’aime. Nous échangeons un long baiser devant les filles. Quand nos lèvres se séparent elle me regarde avec tendresse. –Quelle preuve d’amour, merci ma chérie, merci.–J’ai envoyé quelqu’un la chercher chez vous tout à l’heure, contente ?–Comment peux-tu en douter ?–Bon, maintenant que vous êtes réunies, on va peut-être pouvoir s’amuser ? Tout le monde nous regarde, elle me sourit en me serrant dans ses bras.  –Tu es d’accord ?–Avec toi, bien sûr.–Alors, suivez-moi les filles. Elle sort du bureau, Carla retourne à son bureau, nous suivons Hélène au fond d’un couloir pour arriver sur une pièce avec un très grand lit dans un coin, un divan, une table basse, des fauteuils et des poufs. Une vraie garçonnière, « un piège à filles » comme ils disent. Hélène déboutonne sa robe, la laisse tomber à terre et tourne sur elle-même en écartant les bras. –Qu’en pensez-vous les filles ?–Super, mais c’est quoi ?–Mon petit havre de paix, j’y viens de temps en temps pour me reposer ou y faire des galipettes avec une copine toute seule ou un copain quand Guillaume est là.–Avec une copine tu peux être seule, mais pas avec un copain.–Question de respect vis-à-vis de son conjoint.–Ok. Hélène s’approche de Charlotte, elle déboutonne sa robe qui finit elle aussi à terre, elle vient vers moi pour m’enlever mon corsage et ma jupe, Lou nous regarde, Charlotte vient vers elle en même temps que moi, nous la déshabillons ensemble. Je regarde Lou, elle est splendide, son corps n’est pas loin de la perfection dans ses proportions. Nous sommes toutes les quatre nues et assez excitées. Je regarde Charlotte, elle me sourit et va vers Lou. Je la rejoins, nous lui prenons chacune une main et l’emmenons sur le lit. Charlotte l’allonge, je me mets entre ses jambes qu’elle écarte. Je ne veux pas lui faire un broute minou, je me couche sur elle et bouge dans tous les sens. Nos corps se caressent mutuellement, ses seins caressent mes seins, mon pubis caresse son pubis, la tension monte, je me laisse descendre le long de son corps, elle semble attendre que je plonge sur son sexe, au contraire, je l’évite et viens me mettre entre ses jambes en y glissant les miennes. Elle comprend et soulève ses fesses. Mes jambes s’imbriques dans les siennes jusqu’à ce que nos sexe s’épousent. Je sens ses lèvres sur mes lèvres, sa cyprine se mélange à ma cyprine, son clitoris glisse sur ma cuisse gauche humide, mon clitoris est excité par sa cuisse gauche humide. Elle ondule du bassin au même rythme que j’ondule du bassin. Je sens son corps se tendre lentement, elle commence à émettre des sons de plaisir, je commence à gémir à mon tour, nos corps se soulèvent ensemble, je sens ses jambes me serrer, je suis moi aussi sur le point de jouir, mais je l’attends, je ne me laisse aller que quand elle exprime sa joie de jouir. –Oh oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Je me laisse envahir par une multitude de feux d’artifice qui me propulsent au nirvana. Nous jouissons un bon moment, je suis encore sous l’effet de mon orgasme quand je sens un corps sur le mien, c’est Lou qui vient de s’allonger sur moi. Elle pose ses lèvres sur les miennes, nous échangeons un long baiser. J’arrive à me mettre sur elle en nous faisant rouler sur le lit, nos bouches se séparent, je me laisse glisser sur le côté, Charlotte me remplace sur elle. Lou met les bras en croix. –Vas-y, fais-moi jouir encore une fois. Charlotte se positionne entre ses cuisses, elle commence un broute minou classique, mais très vite elle abandonne son sexe pour se mettre dans le même position qu’avec moi. Lou a l’air d’apprécier, elle se donne une nouvelle fois à fond avec sa nouvelle partenaire. Elles jouissent à quelques secondes d’intervalle, je me jette sur mon amour, j’ai envie de partager son orgasme. Lou se dégage et vient se mettre sur nous. Je sens son pubis sur mes fesses, mais je suis rassasiée pour l’instant, je me contente du merveilleux baiser que j’échange avec mon amour. Quand elle se laisse glisser sur le côté, je me lève, prend la main de Charlotte et l’aide à se lever. Hélène nous regarde, je m’attends à ce qu’elle aille vers Lou, mais elle ne bouge pas. Carla entre dans la pièce, en dix secondes elle est nue et se jette sur Lou qui est toujours allongée sur le lit les jambes ouvertes, elles sont tête bêche et se bouffe la chatte avec entrain. Elles finissent par jouir ensemble, on sent qu’elles ont l’habitude de se donner du plaisir. Je regarde Hélène, j’attends qu’elle aille sur sa fille et Carla, mais elle les regarde attendrie, mais ne bouge pas. Je vais vers elle. –Elles sont belles hein ?–Magnifiques, elles se connaissent depuis toujours, mais elles ont commencé leur relation il y a peine deux mois, c’est venu ici, pendant une sieste.–Une sieste ?–Oui, nous étions venues toutes les trois nous reposer sur le lit, mais je ne peux pas dormir habillée, je m’étais donc déshabillée. Elles ont fait le même chose, elles étaient côte à côte, le contact de leurs peaux a réveillé leur libido et elles se sont jetées l’une sur l’autre, depuis, elles vivent ensemble. J’aime la voir faire l’amour avec ses copines, elle est lesbienne pure et dure, mais je crois qu’elle a trouvé la personne qu’elle attendait.–Elles sont cousines germaines.–Oui, mais elles s’aiment, et je ne vois pas ce qui pourrait les empêcher de s’aimer.–La loi.–Sauf si rien n’est officiel.–Ok, je trouve ta fille magnifique, et toi ?–Je vois ce que tu veux dire, il n’y a jamais eu et il n’y aura jamais rien de sexuel entre nous, c’est ma fille, je l’ai élevée, je l’ai vu grandir, c’est ma fille, mon amour, mais je n’ai aucune envie de caresser son corps pour prendre du plaisir.–Je te comprends parfaitement. Décidément, je ne rencontre que des mères de substitution qui portent plus d’amour à leurs enfants que certaines mères naturelles. Le temps a passé, il est temps d’aller manger, nous enfilons nos fringues et suivons Hélène. Nous allons au self de la boite, nous mangeons assez bien, tout le monde nous regarde, il faut dire que les robes de Charlotte et d’Hélène, ma jupe, celles de Lou et Carla ne sont pas particulièrement longues, c’est un festival de jambes dénudées. Je suis étonnée que la patronne soit aussi libre dans sa boite. Elle doit s’en douter parce qu’elle se penche sur moi.  –Je crois qu’il y a plein de monde à cette heure-ci parce qu’on vient toutes les trois manger à la même heure, et nous sommes toujours habillées sexy.–Ça ne te gêne pas que tout le monde te regarde ?–Pas du tout, au contraire, j’adore qu’on me regarde, un petit côté narcissique.–Ou exhibitionniste.–Un peu des deux peut-être. Après le repas, je dois retourner au bureau, il faut que je fasse faire les modifications dans le soft. J’en fais part à Hélène. –Bien sûr chérie, ne t’en fais pas, je fais raccompagner Charlotte par mon chauffeur, elle sera chez vous à ton retour. Je rentre à la boite, mon patron est très heureux que ça se soit si bien passé, je lui ai quand même épargné certains détails. Je lui rends sa voiture intacte, je dois dire qu’elle m’a bien plu. Il me regarde de la tête aux pieds. –Vous n’avez pas la même jupe que ce matin.–Un accident fortuit, Hélène m’a prêté une jupe. Il me regarde en souriant, je pense qu’il se doute que nous n’avons pas fait que bosser sur le soft. Quand j’ai donné les instructions aux programmeurs, il me laisse partir plus tôt, plus le temps de démarrer une quelconque activité. Je rentre vers dix-sept heures, j’ai pris l’habitude de commencer à me déshabiller en arrivant au dernier étage pour entrer nue dans l’appartement. Je suis surprise de ne pas trouver Charlotte sur le pas de la porte, il faut dire que j’arrive un peu plus tôt que d’habitude. J’ai une autre surprise, je trouve Lou et Carla dans l’appartement avec Charlotte, Soraya et Capucine, elles sont évidemment toutes nues. Ça commence à faire beaucoup de monde, Charlotte viens vers moi, elle m’enlace pour échanger un long baiser. Nos corps se soudent l’un contre l’autre, nos mains se promènent sur le corps de l’être aimé, je me sens bien dans cet amour, je le vis à fond. Nos lèvres se séparent, elle me regarde avec une infinie tendresse.  –J’ai parlé de l’urologie à Lou et Carla, elles ont voulu essayer, mais nous t’avons attendu pour commencer, elles repartent demain matin, elles doivent aller chez une copine qui possède une ferme vers St Guilhem-le-désert, elles m’ont parlé d’une partie de jambes en l’air.–Ok. Je les rejoins dans le salon, je suis un peu fatiguée, je veux récupérer un peu avant d’entamer la séance de cul. Mais je réalise que je suis de plus en plus exclusive, je me rends compte que je ne jouis en me donnant corps et âme que quand c’est Charlotte qui s’occupe de moi, et j’ai l’impression qu’il en est de même pour elle.  –Ok les filles, Soraya et Capucine vont vous montrer la pièce, nous vous rejoignons dans cinq minutes. Soraya se lève et entraine les filles vers la pièce. Je décide d’aller prendre une douche, Charlotte m’accompagne. Quand nous sommes sous la douche, je suis prise d’une crise de larmes. Charlotte me prend dans ses bras. –Que t’arrive-t-il mon amour ?–Juste que j’aimerais être seule avec toi de temps en temps, et ça devient de plus en plus difficile.–Je suis comme toi, je ne supporte plus que Soraya entre nous, je crois qu’il va falloir en discuter avec elle.–Oui, mais elle a le droit d’avoir une copine quand même.–Bien sûr.–Aime moi mon amour. Elle me serre encore plus dans ses bras, l’eau qui coule sur nous me calme, je sens sa bouche sur mon cou, elle descend sur mes seins, arrive sur mon ventre pour terminer sur mon clitoris qui n’attendait qu’elle pour déclencher un sublime feu d’artifice dans tout mon corps. Je suis obligée de m’adosser au mur de la douche pour ne pas tomber. Nous sortons de la salle de bain un quart d’heure plus tard, nous allons dans la salle euro, les filles s’en donnent à cœur joie. Capucine urine sur Lou qui se fait bouffer le minou par Carla pendant que Soraya lui bouffe le cul. Je vois que Soraya y est déjà passé ainsi que Capucine, seule Carla a la peau sèche, à part quelques éclaboussures. Elles se redressent toutes, Carla se couche sur le grand banc, Lou la chevauche, Soraya se glisse entre ses jambes, Capucine se glisse derrière elle pour la lécher entre les fesses. Lou commence à lui uriner dessus, elle remonte doucement vers sa tête, Carla se tortille, elle fait glisser ses mains sur sa peau pour étaler l’urine, quand Lou arrive au-dessus de son visage, elle l’agrippe pour plaquer son sexe contre sa bouche, Lou urine toujours. Elle lui bouffe la moule avec appétit. Lou finit par jouir en même temps que Carla. Les filles finissent par se retrouver toute debout, Soraya et Capucine quittent la pièce. –Nous allons prendre une douche, à plus. Lou et Carla nous regardent. –C’est une superbe expérience, nous aimerions bien recommencer de temps en temps, se serait possible Amandine ?–Oui, mais de temps en temps comme tu dis, je ne veux pas que ça devienne le bordel uro du coin.–Evidement, je pensais à trois ou quatre fois par an, il faut que ce soit un plaisir rare.–Dans ces conditions, pas de problème, tu es d’accord Charlotte ?–Oui mon amour. Elles se regardent en souriant, elles ont compris que nous étions un couple et que je n’étais pas seule à décider. –En attendant, il faut nettoyer la pièce.–Ok, on s’en occupe. Nous allons dans le salon les attendre.
Diffuse en direct !
Regarder son live