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Amandine amoureuse

Chapitre 11

Lesbienne
Clémence Elles arrivent dix minutes plus tard. –Nous pouvons prendre une douche ?–Bien sûr, suivez-moi. Je les emmène à la salle de bain, en arrivant, on entend Soraya exprimer son bonheur. Quand nous entrons, nous voyons Capucine agenouillée devant elle, sa tête entre ses jambes, elles sont toujours sous la douche. Elles nous voient, nous sourient et quittent la douche. Lou et Carla les remplacent, je vois qu’elles n’attendent que ça pour se faire plaisir, je sors de la salle de bain en même temps que Soraya et Capucine. Nous allons dans le salon.  –Comment ça va les filles ?–Ça n’a jamais été aussi bien, j’espère que je peux rester avec Capucine.–Pourquoi tu me pose cette question ?–Parce que je vois bien que vous vous sentez de plus en plus à l’étroit, j’ai de temps en temps l’impression d’être de trop. Je viens vers elle et la prends dans mes bras. –Mais non ma petite Soraya, tu es ici chez toi, mais c’est vrai que nous serions mieux avec moins de monde.–Je dois demander à Capucine de partir ?–Il n’en est pas question ma chérie, je n’ai pas le droit de te priver de ton amour, mais simplement rester que toutes les quatre au maximum le soir. De vivre nos amours tranquillement sans être entourées de sexe toute la journée. –On ne fera plus l’amour ensemble ?–Bien sûr que si, tu sais très bien que je t’adore comme Charlotte d’ailleurs, et Capucine est une compagne charmante, mais simplement vous deux en plus de nous. Bien sûr que de temps en temps on pourra faire une petite fête entre amies, mais exceptionnellement et en concertation. –Je comprends et j’adhère, on est trop bien chez toi, et je commence à ne plus pouvoir me passer de Capucine, je crois que je l’aime. Sur ces paroles Capucine se jette sur elle pour l’enlacer et l’embrasser passionnément. Elles tombent sur le divan, Capucine pivote pour venir s’emparer du sexe de Soraya, elle lui rend la politesse. Heureusement que Capucine ne dépasse pas le mètre cinquante-cinq, Soraya n’a pas trop de mal à lui gober le sexe, elles peuvent se mettre en soixante-neuf, ce qu’elle n’arrive pas à faire avec Charlotte et moi, mais elle sait compenser, c’est une maîtresse de la vulve. Quand on les voit, elles ont exactement les mêmes proportions, on dirait le même modèle à une échelle différente. Lou et Carla reviennent de la douche, je les sens un peu gênées, je vais vers Carla. 
–Quelque chose qui ne va pas ?–Je ne sais pas, je ne me sens pas très à l’aise, je vois bien que nous sommes en surnombre, je ne voudrais pas vous déranger.–Si vous nous dérangiez, Charlotte ne vous aurait pas invitées, détendez-vous, vous allez passer la nuit ici, c’est obligatoire, il est dix-neuf heures trente, le couvre-feu est tombé.–Ok. Elle se détend un peu et va voir Lou. Deux minutes plus tard, Capucine prend Lou par la main et va l’allonger sur le grand divan. Elle s’allonge sur elle tête bêche. Elles se font plaisir, Soraya se met derrière Capucine pour lui titiller l’anus en lui écartant les fesses avec ses mains. Elle semble adorer, c’est peut-être pour ça qu’elle jouit très vite en se raidissant d’un seul coup. Soraya l’aide à se relever, Carla se penche sur le sexe de Lou qui est toujours sur le dos les jambes ouvertes. Elle la fait jouir en très peu de temps. Quand Lou a joui, Soraya pose ses mains sur les fesses de Carla et se glisse entre ses jambes, elle est assise par terre, sous son ventre et s’occupe de son sexe. Elle plaque ses fesses contre sa figure, je vois que Carla apprécie ce qu’elle lui fait, elle se redresse un peu, elle commence à donner des signes d’un orgasme proche. Lou se lève et vient la soutenir au moment où son corps explose dans un gigantesque orgasme. Elles s’embrassent pendant que le corps de Carla est secoué de soubresauts. Soraya se relève, elles sont toujours dans les bras l’une de l’autre à échanger un long baiser. Soraya vient vers nous. –Je crois qu’elle a bien joui.–Ça, je peux te l’affirmer, je ne pense pas qu’elle ait souvent joui comme ça.–J’espère qu’avec Lou elle jouit autant.–Moi aussi. Elles se séparent, Carla regarde Soraya, elles viennent vers nous. –J’ai rarement joui comme ça, seule Lou m’a donné autant de plaisir que toi, mais Lou, je l’aime d’amour, toi, c’est la technique, tu voudras bien nous apprendre ?–Oui, mais je suis très chère la séance.–A bon, combien.–Une minette par leçon, il faut que je contrôle si vous avez bien compris le cours.–D’accord, on commence quand ?–Demain chez vous si vous voulez.–Non, demain, on va à St Guilhem du désert pour y passer le week-end dans une ferme, on est invitées par une autre cousine. –Vous allez prendre l’air et vous balader dans la campagne ?–Pas vraiment, on va certainement rester dans la maison, on n’y va pas pour ça il y a autre chose à faire là-bas.–Je vois, elle est comme vous et vous allez passer le week-end à faire l’amour c’est ça ?–Oui, mais pourquoi ne viendriez-vous pas avec nous, je suis sûre qu’elle aimerait bien prendre une ou deux leçons. Soraya se tourne vers Capucine, elle semble d’accord, elle lui fait oui de la tête. Lou me regarde. –Non, pas nous, nous préférons rester ici, nous avons besoin de récupérer, si on y va, on sera encore plus fatiguées en fin de week-end et je vous rappelle que je bosse lundi.–Ok, on part à quatre demain.–On peut y aller avec ma voiture, elle n’est pas loin.–Ok. Il est temps de manger, les filles ont amené un énorme gâteau et commandé quatre pizza pour vingt et une heures, ça fait rigoler Charlotte. –On l’accueille comment le livreur ?–A poil évidement, ça lui fera un souvenir.  J’enlace Charlotte pour l’embrasser, quand nos bouches se séparent, je la regarde avec tout l’amour que je peux mettre dans mes yeux. –Moi, ça m’a amené mon amour, mon bel amour. Nous échangeons un nouveau baiser. Nous nous installons toutes autour de la table basse, en couple, pour prendre un apéritif. Nous ne faisons que discuter, Lou et Carla nous parlent de ce qui va se passer demain, ça promet d’être chaud, la cousine est à priori une folle de sexe. Plus d’une heure sans sexe, c’est presque un record, on sonne, c’est le livreur. Charlotte se lève pour aller ouvrir, j’entends la porte s’ouvrir. –Clémence, ce n’est pas possible, c’est toi qui livres le quartier aujourd’hui ?–Oui, mais que fais-tu à m’accueillir à poil ?–Tu me connais bien pourtant.–D’accord, mais ce n’est pas une raison, d’autant que tu ne savais pas que c’était moi.–Rentre, tu vas comprendre. Charlotte revient dans le salon accompagnée d’une jeune fille avec un casque et moulée dans une combinaison double peau qui la moule de la tête aux pieds. Il est évident qu’elle ne porte rien dessous, c’est extrêmement sexy. –Je vous présente Clémence, mon ex-copine.–Rassurez-vous, nous nous sommes quittées en très bons termes. Elle pose les quatre boites de pizza sur la table, elle nous regarde toutes, je vois dans son regard une sorte d’envie. Je suis sûre qu’elle aimerait bien rester avec nous. Il est évident qu’elle aime beaucoup les femmes, ça se voit à son regard gourmand. Charlotte me regarde, je comprends son interrogation. Je lui fais oui de la tête. –Tu as d’autre livraison ?–Je ne sais pas, il faut que j’appelle.–Tu n’aimerais pas rester avec nous pour partager les pizzas ?–Ça serait super, mais je vois que vous êtes en couple, je ne veux pas être une gêne.–Ne t’en fais pas, nous ne sommes pas exclusives, j’en connais qui meurent d’envie de s’occuper de ta plastique.–Je téléphone. Elle enlève son masque et compose un numéro. –Allo, c’est Clémence, j’ai un problème, j’ai crevé le pneu arrière, je suis bloquée, ……………., oui , je fais la livraison, je ne suis qu’à quelques dizaines de mètres, mais c’est foutu pour ce soir, …………………., d’accord, à lundi, merci. Elle raccroche en souriant.  –Il va falloir que je trouve un pneu de scooter crevé, il veut me le remplacer.–Il est où ton scooter ?–Je l’ai rentré dans le hall, je pensais ne rester que cinq minutes.–Très bien, il ne risque rien et avec le couvre-feu, plus personne ne rentre, on est tranquille, mais tu as vu la tenue de rigueur.–Oui, et ça m’a donné faim. Tout le monde rigole alors qu’elle commence à faire glisser sa combinaison vers le bas. Elle est nue dessous et extrêmement bronzée. Ses seins apparaissent déjà bien tendus, elle se tourne pour finir de l’enlever, et nous montrer ses fesses rondes et fermes. Quand elle nous fait face, nous découvrons un canon, il n’y a pas d’autre mot. Elle est canon de chez canon. Je me retourne vers Charlotte.  –Je ne suis pas étonnée qu’elle ait été ta copine, quel canon !!–Oui, mais invivable, belle, attachante, merveilleuse amante mais chiante, hyper chiante.–Je t’entends Charlotte, mais tu as raison, je suis chiante, mais j’assume.–Et tu as raison ma chérie, tu aimes toujours te faire bouffer la moule ?–Plus que jamais.–Je connais une spécialiste.–Je suis à elle.–Oui, mais après avoir mangé ces pizzas, à table. Je vais chercher ce qu’il faut avec Lou dans la cuisine, Charlotte et Soraya discutent avec Clémence, quand nous revenons dans le salon, Soraya et Capucine s’occupent de Clémence allongée sur le dos sur le grand divan. Soraya est sur son sexe, Capucine sur ses seins, elles la font monter au nirvana. Clémence jouit en s’exprimant, aucune personne de l’immeuble ne doit ignorer qu’elle a jouit comme une folle. Nous finissons de mettre la table avec Lou quand elles arrivent pour se mettre à table. Le repas se passe très bien, Clémence est le centre d’intérêt des filles, elle papillonne au milieu d’elles sachant qu’elle va être la reine de la soirée, qu’elles ont toutes envie de s’occuper de son corps. Je vois dans tous les regards une envie de cette magnifique plastique, toutes sauf Charlotte et moi. Bien sûr que ce corps parfait ne nous laisse pas indifférentes, surtout pour Charlotte qui a été sa maîtresse, mais notre manque d’intérêt vient du fait que nous nous suffisons à nous même, nous avons atteint un seuil qui nous permet de rester entre nous deux et d’en être parfaitement heureuses. A la fin du repas, Lou et Carla débarrassent, elles veulent payer le loyer comme elles disent. Lou charge le lave-vaisselle, elles nous rejoignent dans le salon. Je sens la tension monter, personne ne veut déclencher les hostilités, tout le monde se regarde l’air interrogateur. C’est Charlotte qui débloque la situation. –Je suis sûre que Clémence adorerait faire un tour dans la salle uro.–Vous avez une salle uro ?–Oui, elle n’est fonctionnelle que depuis hier, mais elle a déjà pas mal servi.–Tu sais très bien que c’était un de mes fantasmes, bien sûr que j’adorerais.–Alors les filles amenez moi cette esclave dans la salle des supplices !!! Elles se lèvent toutes et suivent Soraya dans la pièce. Nous les rejoignons quelques minutes plus tard. Soraya est déjà au-dessus d’elle en libérant sa vessie. Lou lui broute la moule pendant que Carla et Capucine sont têtes-bêches sur l’autre banc. Trois minutes plus tard, après des cris de joie de Clémence et des filles, c’est Lou qui urine sur Clémence et Carla sur son sexe, les deux autres regardent. Nous supposons qu’elles vont se remplacer jusqu’à ce que tout le monde ait uriné sur elle. Elle semble y prendre un immense plaisir. Nous les quittons, Soraya est assez grande pour savoir ce qu’il faut faire. Nous allons nous coucher, nous faisons l’amour tendrement, doucement, à l’écoute du corps de l’autre, nous commençons à plus apprécier l’amour tendre que l’amour violent. Après avoir joui plusieurs fois, nous nous endormons dans les bras l’une de l’autre.  Le lendemain, nous nous réveillons vers neuf heures, Charlotte se blotti entre mes jambes pour me réveiller en beauté. Je la fais pivoter pour pouvoir m’occuper moi aussi de son sexe. Après une douche coquine, nous allons dans le salon. Il n’y a que Clémence qui feuillette une revue.  –Bonjour Clémence.–Bonjour les filles. –Tu es seule ?–Oui, elles sont parties il y a presque une demi-heure, elles étaient pressées d’arriver, la cousine est une folle de sexe et assez impatiente.–C’est ce que j’ai cru comprendre, elles vont bien s’amuser, mais nous, nous sommes bien toutes les deux.–Ne vous en faites pas, je vais partir tout à l’heure, je vous attendais juste pour vous dire au revoir.–Mais tu peux rester un peu plus si tu veux, si nous ne sommes que trois, tout va bien. On peut même passer une partie de la journée ensemble, ça te dit ?–Ok.–Tu t’es bien amusée hier ?–Je n’ai jamais autant joui de ma vie, elles m’ont toutes fait jouir au moins deux fois, j’ai dû demander grâce. Mais celle que je n’oublierais jamais, c’est Soraya, quelle langue !!–Oui, je dois dire que je suis d’accord avec toi, elle a une langue de diablesse et j’adore quand elle s’occupe de mon minou.–Moi aussi j’adore sa langue sur mon minou. –Tu as aimé l’uro donc.–Oui, j’adore, cette sensation de liquide chaud qui sort d’un sexe et qui coule sur ton corps, c’est une sensation inoubliable. Une fois, j’avais essayé de me faire couler de l’eau chaude sur le ventre allongée sur le sol de la salle de bain, j’avais été extrêmement déçue, aucune sensation particulière.–Je suis sûre que tu aimerais recommencer.–Ça c’est sûr, une autre fois peut-être.–Tout est possible, mais comment se fait-il que tu sois si bronzée, on est en plein hiver.–Un séjour en Thaïlande avec des copines, sur l’ile de Ko Lanta, nous allions sur une petite plage paumée complètement déserte, jamais personne, nous bronzions nues.–Je comprends mieux.–Et vous ne faisiez que bronzer ?–Tu sais très bien que non, on se baignait aussi.–Et vous vous faisiez jouir aussi non ?–Oui, mais vous devez vous sustenter, les filles ont acheté des croissants et du pain, il ne reste plus qu’à faire les cafés et petit déjeuner.–Tu n’as pas déjeuner avec elles ?–Non, je me suis réveillée trop tard, je vous ai attendu. Je vois que la table est prête, Clémence a tout préparé, et que les filles ont tout rangé, elles pourront revenir. Nous allons nous mettre à table, Clémence nous regarde. –Qu’est-ce que je vous sers mesdemoiselles ?–Expresso Roma pour moi et Ristretto italiano pour Charlotte.–Je sais qu’elle aime le café très fort, c’était un motif de dispute pour le café du matin, moi je l’aime moins fort.–Tu devrait dire que tu n’aimes que le jus de chaussette.–Vous n’aviez pas de machine à capsules ?–Non, on avait qu’une ancienne cafetière à filtre. Elle va dans la cuisine pour préparer les cafés, je me penche sur Charlotte. –Ça te plairait de refaire l’amour avec elle ?–Je dois dire que nous avons gardé d’excellents contacts, et j’ai un excellent souvenir de sa peau, mais tu es là mon amour, je ne veux rien faire qui puisse te faire de la peine.–Si ça pouvait me faire de la peine, je n’en parlerais même pas, je dois dire que si j’étais à ta place, j’aimerais que ma compagne me le propose, on garde toujours quelque chose d’une relation amoureuse.–Tu as raison mon amour, j’aimerais, mais à condition que toi aussi tu lui fasses l’amour, ce sera une autre manière de me connaitre.–Comment ça ?–En connaissant intimement une personne que j’ai aimé.–Ok ma chérie, tu crois qu’elle sera d’accord ?–Je peux même te dire qu’elle en crève d’envie, il n’y a qu’à voir comment elle nous regarde, je la connais bien, mais elle ne fait rien par respect pour toi.–Sauf si je suis d’accord.–Sauf si tu es d’accord effectivement. Clémence arrive avec les café, il y en a trois sur un plateau. –Roma pour mademoiselle, Ristretto pour mademoiselle et Volluto pour moi, j’aime la douceur dans un café. Elle s’installe et nous déjeunons agréablement, Clémence est une fille directe, enjouée, saine, ne cachant pas ce qu’elle pense. Une fois tout débarrassé, nous décidons d’aller faire un tour dans la ville. Clémence va chercher sa combinaison, Charlotte la retient. –Tu ne vas pas mettre ça ?–Et quoi d’autre, je n’ai que ça.–Oui, mais nous, nous avons autre chose de plus marrant, suis nous. Nous allons dans la chambre, nous avons décidé de faire penderie commune, toutes nos affaires sont mélangées et nous prenons ce que nous voulons, quelle que soit la provenance des fringues. Nous achetons toujours ensemble, il faut que ça nous plaise à toutes les deux, ce qui est pratiquement toujours le cas, nous avons les mêmes goûts. Clémence regarde avec intérêt, je lui sors quelques jupes, toutes extrêmement courtes, elle regarde Charlotte. –Je peux mettre ça d’après toi.–Oui, c’est tout ce qu’il y a.–Mais il ne fait pas très chaud.–Tu verras, c’est super excitant. Elle choisit une jupe et un corsage, je lui prête aussi un blouson en cuir assez souple. Elle me regarde. –Il te manque quelque chose ?–Culotte ou string non ?–Non, pas du tout, d’abord, un string ça ne se prête pas, à poil dessous, comme toi hier.–Oui, mais j’étais entièrement couverte.–Et tu crois que ça changeait quelque chose, on aurait dit que tu étais à poil.–Ok, d’accord, rien dessous.–Ça n’a pas l’air de te plaire.–Au contraire, ça me plait, j’aime bien me montrer, mais je n’avais jamais pensé aux jupes ultra courtes. Nous enfilons nos fringues et sortons dans la rue. Nous prenons Clémence en sandwich bras dessus bras dessous. Arrivées place de la Comédie, une petite brise se lève, nos jupes se soulèvent de temps en temps, Clémence sautille un peu pour faire voler encore plus sa jupe. –J’adore, je commence à mouiller grave, il va falloir qu’on me calme une fois de retour ou je ne réponds de rien. Charlotte lui fait une bise rapide sur la joue. –Ne t’en fais pas, on va s’occuper de toi une fois rentrées, mais pour l’instant, il va falloir nous faire voir ce que tu sais faire. Elle se dégage et prend un peu d’avance sur nous, elle sautille un peu, sa jupe se soulève et nous montre deux magnifiques fesses. Elle entre dans un magasin de fringue, elle choisit une robe et va vers les salons d’essayage, mais avant d’arriver, elle a fait tomber sa jupe, arrivant cul nu au milieu de trois femmes qui essayent en déboutonnant son corsage qu’elle enlève avant de rentrer dans le box. Elles la regardent sidérées mais ne disent rien, l’une d’entre elle va même vers le box et regarde. Nous allons vers les salons, je récupère ses fringues par terre, quand nous arrivons, nous la voyons nue dans le box, la femme la regarde avec intérêt. Elle nous regarde et éclate de rire. –Alors, ça vous suffit ?–Quoi ?–Ce que je sais faire, ça vous suffit ?–Ok, remets tes fringues et suis nous. Je suis un peu gênée pour la patronne de la boutique que je connais assez bien, je vais la voir. C’est une femme d’une soixantaine d’années, encore bien conservée, et assez belle. –Excusez-nous, je suis vraiment désolée pour ce qui vient de se passer.–Ne vous en faites pas, je connais Clémence depuis qu’elle a dix ans, sa mère était une excellente cliente, je l’ai vue grandir, devenir cette superbe femme capable de tout. Ce n’est pas la première fois que je la voie nue au milieu du magasin, elle est un peu fantasque. Clémence arrive avec Charlotte elle va vers la patronne et la prend dans ses bras et lui fait deux grosses bises. –Bonjour Eva, il fallait que ça sorte, tu me connais.–Oui ma petite Clémence, je te connais depuis tellement longtemps et je t’aime, ne t’en fais pas, je te pardonne comme d’habitude. –Merci Eva. Nous sortons du magasin, nous nous baladons dans la ville pendant une bonne heure. Après avoir acheté ce qu’il faut pour manger, nous rentrons vers onze heures trente, Clémence est pressée d’arriver, elle est très excitée, elle monte devant nous, je vois que le haut de ses cuisses est assez brillant, elle doit se liquéfier. Arrivées au premier, elle enlève le blouson, au second elle enlève le corsage, elle est torse nu dans l’escalier, au troisième elle laisse tomber sa jupe. Charlotte la récupère, Clémence continu sa montée complètement nue. Elle ne se retourne pas, je suis un peu stressée, on est samedi et en général, il y a beaucoup de monde qui circule à cette heure-ci. Nous arrivons devant l’appartement sans avoir rencontré personne, Charlotte ouvre la porte, Clémence se met de côté. –Après vous mesdemoiselles.  Elle entre la dernière en prenant son temps. Je vois que Charlotte n’a apprécié que moyennement, elle la regarde. –Tu te crois maline, ce n’est pas toi qui aurais subi les conséquences si quelqu’un était apparu, je vois que tu es toujours aussi imprévisible et chiante, tu ne recommence jamais ça, je dois te dire que s’il ne tenait qu’à moi, tu valserais.–Charlotte chérie, tu me connais, je ne peux pas m’en empêcher, excuse-moi, tu sais que quand je suis excitée à ce point, je ne sais pas ce que je fais.–Charlotte, j’ai fait la même chose chez Philippine, on a même joui sur un palier.–Oui, mais c’était chez elle et c’est elle qui a commencé, tu n’as fait que suivre, là, elle fait n’importe quoi chez les autres. Je viens vers elle pour l’enlacer, je pose mes lèvres sur les siennes, elle finit par répondre à mon baiser. Quand nos lèvres se quittent, elle est calmée. Clémence est assise sur un pouf, elle a l’air un peu gênée, elle ne devait pas s’attendre à une réaction aussi violente de Charlotte. Celle-ci va vers elle en se déshabillant. Elle la fait lever et l’amène vers le grand divan. Elle se tourne vers moi. –Un cadeau pour toi mon amour.–Merci amour. Je me déshabille et vais les rejoindre. Clémence est sur le dos, Charlotte se penche sur ses seins, je plonge sur son sexe. Je joue avec lui pendant quelques minutes, elle se tortille dans tous les sens, elle ouvre ses cuisses le plus possible, mais le dossier du divan la gêne un peu. Ça ne l’empêche pas de jouir en ameutant tout l’immeuble. Quand elle se calme, Charlotte me remplace. Je m’occupe de ses seins et de sa bouche en plaquant mon sexe dessus. Sa langue s’active sur lui, elle me prend les hanches pour mieux me maitriser. Elle jouit une nouvelle fois en s’exprimant, je la suis de très près. Elle se lève pour empoigner Charlotte, la coucher sur le divan et se jeter entre ses cuisses. Charlotte me regarde, elle semble gênée, je me penche sur elle. –Laisse toi aller mon amour, je veux te voir jouir sous la langue de Clémence, donne toi comme elle s’est donnée, tu en tireras du plaisir.–Ok, mais donne-moi ton sexe, j’ai soif. Je me mets au-dessus de sa tête, elle me plaque contre sa bouche et m’aspire les lèvres. Je sens qu’elle commence à ressentir quelque chose, elle bouge de plus en plus jusqu’à jouir en me mordant la vulve, ce qui entraine mon orgasme. Trois minutes plus tard nous sommes de nouveau lucides, Clémence enlace Charlotte. –Tu as raison chérie, je ne suis pas contrôlable, mais sache que tu seras toujours dans mon cœur comme ma sœur, une sœur que j’aime.  Charlotte la regarde et pose ses lèvres sur les siennes, leur baiser est très court, mais les mains de Clémence sont bien sur les fesses de mon amour. Je n’en éprouve aucune jalousie, elles ont été amantes, ça laisse des traces. Nous préparons à manger, le repas se passe très bien. Je suis fatiguée, j’aime bien faire une sieste le samedi et le dimanche après-midi. Clémence en profite pour nous quitter, je pense qu’on la reverra un jour. Nous allons nous allonger dans le lit, je ne tarde pas à m’endormir dans les bras de mon amour. Je me réveille au bout d’une heure, elle n’a pas bougé, je suis toujours dans ses bras. –Ça va mon amour ?–Oui, j’ai dormi combien de temps ?–Un petite heure.–Et toi ?–Je n’ai pas dormi, je t’ai regardé dormir, tu es si belle. –Et tu n’as pas bougé ?–Ça t’aurait réveillé.–Merci mon amour. Nous sommes allongées sur le lit, je vis un conte de fée, je suis dans les bras de la personne que j’aime, elle m’aime comme je l’aime, nous vivons ensemble, pour l’instant tout va bien. Je suis heureuse comme jamais je ne l’ai été, il n’y a aucune perturbation en vue, la vie est belle. Je me blotti contre ce corps aimé, je suis bien, détendue, sereine. Charlotte est la personne que j’attendais sans le savoir, elle est mon âme sœur, mon double, la personne que j’aime le plus au monde, et je pense que ce sera pour la vie.
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