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Amandine, ma voisine d'en face

Chapitre 2

Erotique
Hier, Lola est rentrée du travail. En souriant, je me suis approché...
— Tu n’as qu’une idée en tête, toi, ces jours-ci !...
Faire l’amour tous les soirs avec moi, elle n’en avait pas trop l’habitude jusqu’ici. Ne plus travailler, se dit-elle, çà fait sortir de la routine, çà met le corps à chaud, çà donne des envies. Cela lui fait un peu peur. En même temps, il y a quelque chose qui l’excite dans le fait de se sentir à ce point désirer par celui qu’elle aime...
Si elle savait que mes pensées partent de l’autre coté de la fenêtre, vers l’immeuble d’en face, revoient les fesses rondes de celle qui ce matin au téléphone me parlait de sa robe courte couleur crème.Un instant, je me dis que Lola, elle aussi peut-être, au moment où elle crie le plus fort, pense à un homme croisé dans la rue, à un collègue de travail. Ils l’emmènent derrière une porte cochère ou à proximité du copieur. Ils baissent lentement son string, s’installent tendrement en elle. Ils s’activent pendant que des passants se pressent à rentrer chez eux, que des employés s’arrêtent de l’autre coté de la cloison pour échanger des mots autour de la machine à café. Elle bouche sa bouche de sa paume, bloque un cri pendant qu’elle sent dans sa chair ce membre qui s’enfonce. Elle va jouir, je sens entre mes bras qui la soutiennent. Mon pénis se crispe, lâche le flot d’envie que j’ai pour elles. Un long soupir sort de sa bouche. Elle me serre de ses doigts. Lentement, les yeux fermés, nos deux visages se détendent...
Il est presque dix heures, l’heure où je me suis engagé à l’appeler. Je la vois qui sort de la salle de bain arborant une robe originale, bien coupée. Elle s’approche du téléphone, jette un œil à sa montre. Elle se tourne vers le mur de coté, se mire devant ce qui doit être une glace en pied. Elle tire sur le tissu pour le déplisser, pivote sur elle-même pour mieux se regarder. Elle a l’air de se plaire. Elle observe à nouveau sa montre et s’en va vers la chambre...
Quand elle revient, elle a une jupe qui arrive à mi-cuisse, une chemise blanche stricte. L’ensemble ne semble pas lui convenir. Elle part chercher un blue-jean, un tee-shirt qu’elle enfile en même temps qu’elle revient. Hooouuuuh !... Que cette fille est belle !... Elle se pose sur le siège, regarde son poignet... Dix heures quinze. Elle semble impatiente. Elle se lève. Elle file à nouveau vers sa chambre. Quand elle entend le téléphone, elle accourt avec seulement la chemise qu’elle portait toute à l’heure, finissant d’attacher les boutons. Tout en me répondant, elle enfile une jupe tailleur bleu marine...
— Oui ?...
— Bonjour... Excusez-moi pour le retard...
— Ce n’est rien. J’avais plein de choses à faire, ce matin..
Je souris dans ma tête. Je la regarde passer la main dans ses cheveux...
— Je suis prête !... Je présume que vous voulez, comme hier, savoir comment je suis habillée...
— Oui...
Elle va devant la glace, se regarde, semble se plaire. Elle se lance, parle de sa tenue, jupe tailleur, chemise stricte, ses cheveux attachées...
— Je reviens d’un entretien, vous comprenez ?... L’employeur voulait me voir tôt ce matin...
J’adore ce petit mensonge. Elle le dit sans sourciller, se mirant en pied dans le miroir, la tête penchée sur le coté comme pour se séduire elle-même...
— Il a aimé votre tenue ?...
— Je pense, oui... Il m’a détaillée de haut en bas quand je suis arrivée. Il a souri. Cela met en confiance. C’est important de se sentir bien dans ses vêtements, être un peu séduisante, pas trop. Ma chemise pour çà, est parfaite. Impeccable, stricte, un peu transparente. Ma jupe est courte, sans excès...
— Vous portez des chaussures ?...
Elle se mord les lèvres...
— Oui...
Elle hésite un instant...
— Une paire de talons-aiguilles... que je porte sur des bas...
Hoooouuuuh !... Menteuse... Je ne sais plus quoi dire...
— Vous comprenez, ce matin, il faisait froid...
— Mmm, mmm...
Elle ferme les yeux. Ses deux lèvres s’entrouvrent. Sa main masse sa joue. Elle décrit lentement la paire de talons hauts, les bas que soi-disant elle porte sur sa peau. Ses doigts glissent dans son cou, frôlent le tissu blanc de la chemise, s’insinuent sur la jupe, la cuisse, remonte. D’un coup, elle rouvre en grand les yeux vers la fenêtre ouverte pour voir si on ne la voit pas...
— Excusez-moi, je ne vais pas pouvoir parler plus longtemps. J’ai un autre rendez-vous...
— Heu.... On peut continuer demain ?... Je peux vous rappeler ?...
— Je ne sais pas !... Essayez, mais je ne vous promets rien !...
Elle raccroche, me laisse avec un flot de bips qui me résonnent dans l’oreille, l’insatisfaction de moi de ne pas avoir plus insisté. Je la vois qui se redresse, inspire en grand, tout en levant les yeux vers le ciel. Elle passe sa main dans ses cheveux, clos à nouveau les paupières, les rouvre. Elle se mord les lèvres, sourit. Elle file à pleine allure vers la chambre. Je ne la revois plus...
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