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Amandine vraie timide

Chapitre unique

Trash
AVERTISSEMENTCette histoire contient des passages très sales, amateurs du genre seulement. Le texte qui suit décrit des fantasmes purs, qu’il n’est pas question de réaliser réellement. Les maladies sexuellement transmissibles existent et font des ravages.

L’histoire se déroule dans les années 1990, avant la démocratisation d’Internet.
Amandine est une jeune femme extrêmement timide. Elle ne peut s’exprimer devant plus de trois personnes sans rougir affreusement et bafouiller. Cela la handicape vraiment. Elle est sans emploi. Elle a toujours été célibataire bien que son physique plutôt avantageux attire régulièrement l’attention de la gent masculine. Ses éventuels prétendants admirent sa longue chevelure brune, ses yeux noisette, ses formes plaisantes même si elles se devinent à peine sous les vêtements amples qu’elle porte systématiquement. Mais la timidité maladive de la jeune femme l’empêche de s’exprimer en réponse aux avances des garçons, mêmes les plus subtiles et aimables.
Mais si elle ignore quasiment tout des choses du sexe, Amandine ressent de très fortes pulsions, qui l’irradient depuis le plus profond d’elle-même sans qu’elle ne soupçonne l’origine de ces étranges sensations. En effet les tabous qui cadenassent la parole parmi ses proches, la rendent presque totalement ignorante de la sexualité. A peine a-t-elle entendu dire, en surprenant des conversations de camarades de classe, que les garçons glissent leur zizi dans l’entrejambe des filles pour faire des bébés.
C’est donc seule, en totale ingénue et sans même être consciente d’avoir une sexualité, qu’elle tente d’atténuer les envies et les besoins qui la taraudent. Et quels besoins !
En réponse aux sensations qui la titillent depuis de longs mois, qu’elle ne parvient pas à identifier, ni à assouvir, elle tente d’appliquer des caresses, parfois vives, sur les parties de son corps que son instinct lui désigne comme étant la source de ses tourments : son bas-ventre et ses seins. Mais ces pratiques ont davantage pour effet de décupler les frémissements qui électrisent son ventre, que de les atténuer. De plus, elle est choquée de se laisser aller ainsi à des actes qui lui semblent étranges et qu’elle pressent comme étant malsains.
Ses caresses maladroites ne la satisfaisant absolument pas, Amandine finit par se douter que ses troubles pourraient avoir une origine sexuelle. Dès lors, elle envisage de faire entrer un objet dans son sexe, pour simuler une pénétration naturelle que sa timidité maladive lui empêche d’imaginer réaliser avec un autre être humain. N’ayant qu’une idée imprécise de la forme et la taille d’un pénis masculin, elle se munit de ce qui lui tombe sous la main : le manche d’un marteau ! Elle ne s’inquiète guère des presque trois centimètres de diamètre de l’instrument, ni des éraflures qui constellent le bois et le rendent très rugueux.
Mal installée, assise sur le sol carrelé de sa petite cuisine, nue, elle entrouvre ses cuisses et présente l’engin sur sa fente, sans même savoir précisément où le bâton pourrait se frayer un chemin en elle et sans qu’il ne soit lubrifié. En tâtonnant, elle titille ses parties intimes avec le bois et s’excite sans comprendre le mécanisme qui se produit en elle. Elle sent de l’humidité envahir sa fente poilue. Elle pense un instant s’être laissée aller à uriner, mais elle se ravise car la sensation est bien différente.
Toute à son excitation, poussée par ses instincts primaires, d’un mouvement de bras presque brusque, elle parvient à introduire le manche en elle, déchirant son hymen et se violant elle-même ! Le gros morceau de bois écartèle ses chairs intimes et la dépucèle !
Amandine souffre cruellement de cette première pénétration insolite, mais la chaleur qui se diffuse en elle à partir de son bas-ventre lui plait tant qu’elle se met instinctivement à faire aller et venir le gros manche en elle, pour tenter de reproduire la divine sensation de sa première pénétration, qui bien que très douloureuse lui a donné un profond plaisir. La vue du sang et la vive douleur l’inquiètent un peu, mais l’excitation l’emporte largement et elle se laboure longuement le sexe, jusqu’à ce que son bas-ventre s’enflamme lors d’un orgasme foudroyant.
Elle ne comprend pas du tout comment une si douloureuse intromission dans son corps a pu lui procurer un tel bonheur, mais elle a tellement apprécié qu’elle ne pense rapidement qu’à une chose : recommencer au plus vite !
Depuis le franchissement de cette étape décisive, Amandine se livre régulièrement à des séances de masturbation, la plupart du temps tout à fait extrêmes. Elle continue de se fourrer le manche de son marteau dans son sexe. Malgré les irrégularités de cet instrument qui la blessent souvent un peu, l’objet de son dépucelage reste son jouet favori pour se donner du plaisir. Néanmoins, elle expérimente également d’autres ustensiles de forme phallique : des manches de tournevis en plastique (qu’elle juge trop lisses), des spatules de cuisine (qui sont trop plates), un tuyau d’arrosage (qui n’est pas assez biseauté pour permettre une pénétration correcte), …

Quelques semaines après son dépucelage, Amandine envisage de se pénétrer avec des objets plus gros que le manche de son marteau. Ne sachant qu’employer, elle tente avec succès de faire entrer toute sa main dans sa chatte trempée de mouille. Ce « fist-fucking » lui procure une jouissance incroyable, qui la pousse à recommencer la manœuvre de manière très régulière.
Ces quelques semaines ont suffi à Amandine pour qu’elle devienne accro aux jeux sexuels. Elle se masturbe tous les jours, souvent plusieurs fois. Elle a désormais besoin de jouir quotidiennement pour se sentir bien.
Une fin d’après-midi, Amandine rentre chez elle après une journée pour une fois bien occupée : démarches administratives, recherche d’emploi, visite à la famille, qui ne lui a pas permis de se procurer le plaisir dont elle a besoin. Elle entreprend alors de se masturber sans même prendre le temps de soulager sa vessie pleine qui la tarabuste pourtant depuis un moment, mais le besoin de plaisir prime sur l’envie d’uriner. Cependant, alors que le manche de son marteau préféré l’amène vers un orgasme libérateur, Amandine ne peut retenir une giclée d’urine brûlante qui se projette loin et va souiller la moquette de son petit appartement. « Merde ! » lâche-t-elle sans stopper ses mouvements rapides qui lui offrent enfin le plaisir dont elle se sentait sevrée depuis trop longtemps.
Elle est ensuite bien embêtée en constatant les dégâts. Elle frotte les tâches avec des torchons humides pour tenter de nettoyer. Pour s’assurer de l’efficacité de l’opération, elle sent la moquette tâchée. Malheureusement l’odeur d’urine est toujours perceptible. A sa grande surprise Amandine est intriguée par cette senteur. Elle poursuit néanmoins ses efforts de nettoyage jusqu’à ce que l’odeur disparaisse.
Durant la nuit suivante, elle repense à ses actes et à cette fameuse odeur de pipi. Incontestablement Amandine se sent excitée par cette substance. Tout en se masturbant doucement dans son lit, elle échafaude des plans qui devraient lui permettre d’introduire l’urine dans ses jeux, sans provoquer de dégâts à son logement. Ces idées immorales l’excitent et quelques caresses de ses longs doigts fins et frais sur son sexe lui procurent un puissant orgasme. Une fois remise, elle pousse un peu ses réflexions et se demande même si le caca ne pourrait pas être excitant. Bien vite, elle se dit qu’elle délire et qu’il faut oublier de telles excentricités. Elle finit par s’endormir en imaginant que le lendemain elle pourra peut-être introduire un peu de pipi pendant ses masturbations, si elle en a toujours envie.
Alors qu’elle pensait prendre son temps dans la matinée pour mettre en œuvre ses projets vicieux, elle est tellement excitée dès son réveil, qu’elle se rue dans sa petite salle de bain, munie de ses objets phalliques préférés et elle entreprend de pénétrer son sexe avec le manche de marteau et de se caresser. Ses agissements font encore grimper son envie. Elle retire alors brusquement l’engin et libère sa vessie d’un jet brûlant sous lequel elle passe sa main. Elle parvient à stopper sa miction avant d’avoir vidé sa vessie. Elle approche sa main trempée de son visage, elle hume l’odeur d’urine fraîche qui a maturé en elle toute la nuit. Elle trouve l’odeur enivrante. Elle brise ses dernières craintes et porte ses doigts imbibés au contact de sa langue. Elle trouve le goût salé, mais fort agréable. Elle lèche ainsi longuement ses doigts.
Lorsqu’ils n’ont plus suffisamment de goût, elle saisit un gobelet et le remplit d’un nouveau flot d’urine. Amandine veut maintenant boire vraiment sa pisse ! Alors qu’elle pensait goûter timidement à l’étrange contenu du verre, elle se surprend à avaler tout le liquide chaud d’une seule traite ! Quelle vicieuse fait-elle ! Même si elle reste plutôt ingénue, elle sait que son acte est totalement pervers et ce sentiment lui provoque une folle excitation qu’elle assouvit en faisant coulisser le manche du marteau à un rythme effréné dans sa chatte, se menant à un orgasme dévastateur !
Elle nettoie ensuite sa douche et prend son petit-déjeuner. Elle prévoit de vaquer ensuite à ses occupations quotidiennes, mais elle est très vite taraudée par ses pensées perverses de la nuit précédente : outre le pipi, Amandine a envie de jouer avec son caca ! Maintenant qu’elle y a pensé, son envie ne peut plus attendre, d’autant qu’elle sent que son intestin est plein. Elle remet ses tâches à plus tard et retourne dans sa douche et se déshabille.
Excitée, elle remet immédiatement le manche du marteau dans sa chatte dégoulinante de désir. En même temps, elle contracte ses abdominaux, pousse pour faire sortir la crotte qu’elle sent en elle. Petit à petit son caca sort et se dépose au fond de la douche. L’odeur de merde envahit la pièce, ce qui décuple son excitation, elle se branle encore plus vigoureusement et se donne une nouvelle jouissance qui la fait crier.
A peine reprend-elle ses esprits que l’idée de toucher son caca la saisit. Elle porte timidement sa main rose et fraîche sur la masse marron qui jonche le fond de la douche. Le premier contact avec l’abjecte matière est très agréable, c’est chaud, souple, presque moelleux. Amandine malaxe le contenu de sa main, diffusant encore davantage l’odeur de la matière fécale. Son esprit pervers est transpercé d’un éclair de lubricité. Sans qu’elle l’ait même envisagé un seul instant, Amadine porte sa main sale à sa bouche, elle mord dans sa merde grasse, mâche et avale sans y réfléchir l’ignoble contenu de sa bouche. Son cerveau n’a pas eu le temps d’analyser le goût renvoyé par ses papilles, celui-ci vient après, puissant, amer, âcre, immonde, enivrant, savoureux ! Elle recommence. Une fois, deux fois, trois fois. Elle a mangé la plupart de son étron ! Seules quelques traces parsèment encore sa main et le sol de la douche.
Amandine s’est surprise elle-même, jamais elle n’avait imaginé manger du caca et pourtant en le voyant à portée de bouche, cet acte infâme lui a semblé une évidence. Elle recommencerait dans la minute sans hésitation. D’ailleurs, elle a à nouveau envie de sa merde. Elle lèche ses doigts jusqu’à les nettoyer totalement, puis elle lape même le fond de sa douche.
Ces actes déviants l’ont terriblement excitée, elle reprend le manche et pilonne sa chatte détrempée de grands coups qui la mènent à un orgasme violent, elle hurle son bonheur d’assouvir ses pulsions inavouables.
Elle peine à se remettre et à retourner à ses activités normales. A peine une heure après être sortie de sa salle de bain, Amandine a à nouveau envie de se replonger dans le vice merdeux. Elle retourne dans sa douche et tente de chier, mais malgré ses efforts ses intestins semblent vides.
Elle ne s’avoue pas vaincue. Puisque la merde ne veut pas sortir seule, elle va aller la chercher. Elle décide d’enfoncer le manche du marteau dans son cul, pour aller déloger le caca qui doit encore stagner dans son intestin. Sans aucune précaution, elle présente le manche en bois mal poli sur son anus et tente de l’y faire pénétrer. Mais l’intromission est moins aisée que dans son sexe. L’anus reste fermé. Amandine pousse, comme elle fait pour chier quand elle est un peu constipée. Petit à petit l’anneau s’entrouvre. Elle force pour que la pointe du manche s’immisce à l’intérieur. Elle laisse quelques secondes son cul s’habituer à la taille imposante de l’engin, puis elle contracte ses abdominaux pour ouvrir son cul au maximum et pousse fort sur le manche pour le faire entrer. La manœuvre lui fait mal, mais la perspective du caca et une agréable chaleur diffusée dans son bas-ventre la convainquent de poursuivre cette première pénétration anale.
Le manche entre presque d’une traite jusqu’au fond de son ampoule rectale, écartelant et griffant ses chaires intimes. Amandine entreprend alors instinctivement des va-et-vient dans son fondement, espérant que ce mouvement de piston fasse sortir du caca. Cette pénétration l’excite également, elle sent son sexe s’humidifier. Bientôt elle ressent le besoin de jouer avec son bouton magique et de glisser quelque chose dans son sexe. Elle regrette de ne pas avoir à portée de main un autre gros objet qu’elle aurait pu introduire dans sa chatte – ce sera pour une prochaine fois se dit-elle – en fourrant plusieurs doigts dans son sexe excité.
Au bout de quelques minutes de pistonnage intensif, Amandine libère son cul du manche et découvre avec joie que du caca s’est collé contre le bois. Elle lèche immédiatement l’objet souillé de ses résidus intimes Malheureusement pour elle la merde ne sort pas en masse de son anus fraîchement dépucelé, presque violé. Amandine y replante le manche à plusieurs reprises, mais elle peine à extraire autant de merde qu’elle le souhaiterait.
Après quelques tentatives peu concluantes, elle se résout à fourrer le manche dans sa chatte avide. Elle se donne de violents orgasmes en repensant à ce qu’elle vient de faire et surtout en imaginant toutes les perspectives délirantes que lui ouvrent cette première expérience scatophile.
En quelques jours Amandine apprend à maîtriser ses cycles de digestion et peut ainsi profiter de chaque gramme de caca que son corps produit. Il lui devient inconcevable de chier dans les toilettes désormais, elle veut bouffer toute sa production d’excréments !
Au fil des jours elle ajoute une étape de badigeonnage de son corps avec son caca, avant de le déguster. Elle s’enivre de l’odeur infecte qui envahit sa salle de bain. Elle ne parvient – et ne tente d’ailleurs guère – d’évacuer cette odeur entre deux de ses séances. Ayant tiré la leçon de sa première expérience, elle se munit désormais de deux objets phalliques qui lui permettent de pénétrer simultanément sa chatte et son cul pour se donner un maximum de plaisir !
Le vice d’Amandine croît encore lorsqu’elle s’adonne à l’une de ses séances coprophages après avoir pris un copieux repas. L’accumulation de nourriture et d’excréments lui donne la nausée. Malgré des signes avant-coureurs, elle continue d’ingurgiter le contenu de ses intestins, mue par son excitation décuplée par les manches en bois qui ravagent ses orifices. Elle finit par être prise d’un violent spasme qui la fait vomir un énorme flot de merde, de nourriture et de pisse mêlées, qui recouvre tout l’avant de son corps. Soulagée d’avoir vidé son estomac de toutes ces matières, Amandine se sent bien.
Elle reprend immédiatement ses violentes pénétrations dans ses trous et se branle avec le vomi qui jonche son corps nu ! Poussant encore le vice, elle va même jusqu’à recueillir de la gerbe dans sa main pour la porter à sa bouche. Elle réingurgite son vomi ! Une telle perversité augmente encore son excitation, Amandine jouit comme une folle. Folle, elle pense d’ailleurs l’être totalement, mais elle s’en moque, seul son plaisir et sa jouissance importent.
Deux semaines après sa première expérience scatophile, Amandine a ses règles. Il n’est néanmoins pas question pour elle de suspendre ses séances de plaisir. Elle fourre son cul et sa chatte sanguinolente comme elle en a désormais l’habitude. L’excitation lui fait même lécher les résidus de ses règles qui ont souillées le manche qui vient de fourrager sa chatte.
Au fil de ses séances quotidiennes de baise totalement hors normes, Amandine a de plus en plus besoin de violence et de douleur. Certes les pénétrations brutales qu’elle inflige à ses trous, réalisées par des objets de plus en plus gros et de plus en plus rugueux, contribuent à assouvir ses penchants masochistes, mais elle a encore besoin de plus.
Aussi n’hésite-t-elle pas à se frapper vigoureusement en se branlant dans ses excréments ! Elle s’assène de violentes gifles, claque ses beaux seins fermes, ses cuisses, se retourne pour se donner des fessées, pince ses tétons qui dardent, ses lèvres intimes trempées …
A peine quelques semaines plus tard Amadine introduit de nouveaux instruments de douleur dans ses jeux favoris : elle marque désormais sa peau blanche avec la boucle d’une ceinture, elle appose des pinces à linge sur ses tétons et ses grandes lèvres intimes. Bientôt elle remplacera ces pinces en bois, par des pinces crocodiles métalliques nettement plus puissantes, qui coupent totalement sa circulation sanguine et lui procurent un mal de chien quelques secondes après les avoir ôtées.
Elle pousse encore le masochisme en se munissant d’aiguilles chirurgicales avec lesquelles elle transperce les lèvres de sa moule ! Bientôt ce sont ses seins qui subissent le même traitement, les pointes métalliques laissant de longues coulées de sang sur le bas de ses nichons et son ventre lorsqu’elle les retire. Amandine accroît encore la douleur qu’elle se donne en manipulant les aiguilles tandis qu’elles sont profondément fichées dans ses chairs !
Elle marque son corps, qui se couvre d’hématomes qui n’ont guère le temps de se résorber entre deux séances, toujours très rapprochées.
Toujours aussi isolée socialement Amandine plonge dans une spirale infernale dans laquelle elle se complait, mais qui abîme son corps et détruit sa vie à un rythme soutenu.
Heureusement pour elle un évènement fortuit va l’aider à remonter la pente. A court de moyens financiers, elle demande l’assistance sociale. Elle est reçue par un jeune homme qui remarque très vite les marques sur son corps. Il pense d’abord qu’elle est battue par un conjoint. Il tente de la faire examiner par un médecin, mais Amandine refuse catégoriquement, rougissant jusqu’aux oreilles et se murant dans un profond mutisme.
Ne se contentant pas de cet échec, par conscience professionnelle ou intérêt, le jeune travailleur social la suit discrètement après un rendez-vous pour connaître l’auteur des méfaits qu’il imagine, et le dénoncer aux autorités. Voyant qu’elle vit seule dans un petit appartement et qu’elle semble ne recevoir aucune visite, tandis que les marques de violence se multiplient sur sa peau à chaque fois qu’il la voit, il comprend qu’Amandine s’inflige elle-même ces sévices.
Sans doute attiré par cette belle jeune femme si timide, et peut-être si folle, il met en œuvre un stratagème qui lui permettra de surprendre la jeune femme pendant ses séances favorites. En lui montrant, en employant une douceur et une patience infinies, que son comportement étrange lui plait et qu’il aimerait partager de tels moments avec elle, il parvient à entrer dans sa vie intime.
Ensemble ils vivent alors des expériences sexuelles totalement hors normes, qui mêlent la violence et la saleté, pour leur plus grand bonheur. Mais surtout le jeune homme réussit à donner un peu de confiance en elle à Amandine et à canaliser ses pulsions extrêmes pour qu’elle trouve un équilibre de vie. Elle parvient ainsi à sortir, trouver un emploi, parler avec d’autres gens, tout en assouvissant ses envies inavouables lors de temps dédiés et organisés qui limitent les conséquences néfastes pour son corps.
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