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Amarante, femme libre

Chapitre 2

Une consultation très particulière

Histoire médaillée
Erotique
Dans le chapitre précédent, Amarante, jeune orpheline de noble naissance, a fait venir le médecin à son chevet afin qu’il la soulage de ses vapeurs. La belle a passé sa matinée à lire le divin Marquis et s’apprête à se satisfaire sous le regard éberlué du jeune praticien qui l’interrompt.
 
***
 

— Arrêtez-vous, arrêtez-vous Mademoiselle ! Vous êtes prise d’une crise d’hystérie, je vais vous ausculter. Où puis-je me laver les mains ?— Vous trouverez une bassine derrière le paravent, le broc doit être plein. Hâtez-vous, je n’y tiens plus, lamenta-t-elle plus que de raison. Bousculé dans ses habitudes professionnelles, le médecin disparut derrière la mince intimité qu’offrait le paravent en acajou, tendu de soie froncée au travers de laquelle Amarante pouvait observer sa silhouette se découper en ombre chinoise. Lorsqu’elle le vit occupé à vider le broc dans la bassine, la stratège mit son plan à exécution et s’empressa de quitter la chaleur de sa couche. Elle passa la tenue nocturne par-dessus sa tête et s’en débarrassa comme d’une vieille guenille. Dans le plus simple appareil, elle s’étendit sur les couvertures et fit passer ses jambes au-dessus de son pied de lit de manière à ce qu’elles pendissent dans le vide et que son fessier fût au plus près de lui lorsque M. Dubreuil découvrirait son compas grand ouvert sur l’origine de son trouble.  Amarante se trouvait fort aise que son médecin eût été remplacé au pied levé, car sa doublure était un fort joli garçon et, avec cela, bien mis de sa personne, ce qui intensifiait encore les écoulements de son jeune corps. Sa redingote cintrée mettait en valeur un corps athlétique comme elle les aimait et l’homme avait le bon goût de porter ses favoris taillés courts ce qui lui éviterait une irritation mal placée après qu’il l’aurait contentée selon ses désirs inavoués. Une fois les mains lavées, l’homme de sciences se bassina le visage afin de reprendre le contrôle sur l’émoi qui le gagnait déjà. Il inspira profondément, prit un air solennel et s’en retourna vers celle qui attendait ses bons soins. Hélas, tous ses efforts furent réduits à néant par le spectacle obscène que la charmeuse s’était plu à concocter. Son teint vira pivoine en moins de temps qu’il n’en fallut pour le dire.  En appui sur ses coudes elle l’observa le regard porté entre ses deux cuisses sveltes et glabres comme l’était son pubis exhibé. Il tenta de poursuivre sa consultation le plus dignement possible mais il lui était insoutenable de faire face aux yeux vairons qui semblaient lire ses émotions à livre ouvert. Il défit ses boutons de manchette et retroussa ses manches jusqu’aux coudes, révélant par ce geste des avant-bras musculeux qui firent soupirer Amarante d’impatience. 
La sadique ne se contenta pas de le voir s’empourprer, elle ne lui laissa aucun répit et prit un plaisir malin à ce qu’il ne doutât pas des intentions immorales qu’elle nourrissait à son égard.  — Mais dites-moi Docteur, ce ne sont pas là des bras de fillettes. Vous devez avoir beaucoup de succès auprès de la gent féminine. J’ai toujours eu un faible pour les gros membres noueux, dit-elle en fixant le renflement naissant de son entrejambe.— Oui, enfin non. C’est-à-dire que je n’en sais trop rien, bégaya-t-il au comble de la gêne. Le médecin, désormais en proie aux mêmes vapeurs que sa patiente, se posta entre les jambes impudiquement ouvertes et regarda de quoi il retournait. — Vous voyez que je ne vous ai pas menti. Regardez comme je me liquéfie, lui fit-elle constater faisant glisser ses doigts sur sa fente suintante de vice.
— Selon les préceptes d’Hippocrate, votre jeune corps souffre à l’évidence, d’un trop plein d’humeurs femelles. Je vais devoir pratiquer un massage de votre bourgeon afin que vous atteigniez un paroxysme libérateur et expulsiez ce trop plein fluidique. Celui-ci devrait vous soulager de cette pulsion et vous devriez pou…, tenta-t-il d’expliquer d’un ton docte.— Procédez Docteur, je m’en remets à votre professionnalisme de bon cœur. Mais de grâce, commencez prestement ou je ne réponds plus de rien, dit-elle faisant pénétrer son index et son majeur au cœur de sa féminité détrempée. Le geste hésitant, l’empourpré circonscrit le clitoris turgescent entre les tendres lèvres qui le protégeaient et entama un massage de la zone du plat de sa main. La belle possédait une tige de taille peu commune dont la pointe, d’un rose pâle, dépassait insolemment de son capuchon protecteur. Il avait lu quelques savants ouvrages sur l’anatomie des femmes et supposa que ce généreux appendice était sans doute la cause du mal qui tenaillait la jeune femme. À moins que ce ne fût l’absence hypnotisante de pilosité exposant librement toute la magnificence de l’attribut, qui chavirait l’esprit du jeune homme. De sa paume il effectua de menues pressions tandis que de l’extrémité de ses doigts, il palpa le mont de Vénus doux comme les fesses d’un nourrisson. 
A peine les soins étaient-ils entamés que la gourgandine commença à gémir de soulagement. Elle se laissa tomber à plat dos et dérangea le thérapeute appliqué : — Cela ne vous fait rien que je poursuive ma lecture pendant votre traitement mon cher ? demanda-t-elle l’ouvrage d’ores et déjà largement ouvert entre les mains.— Je vous en prie Mademoiselle, faites comme bon vous semble, répondit-il satisfait d’être soustrait au regard diabolique de la jeune fille. La main pourtant pudiquement positionnée, il sentait la perle tendue rouler dans son écrin d’où s’échappaient les manifestations liquides du plaisir d’Amarante qui, entamant sa lecture à voix haute, le déstabilisa de plus belle. Attends, Eugénie, je vais maintenant t’apprendre une nouvelle manière de plonger une femme dans la plus extrême volupté. Écarte bien tes cuisses... […] Dolmancé, vous voyez que, de la façon dont je la place, son cul vous reste ! Gamahuchez-le-lui pendant que son con va l’être par ma langue, et faisons-la pâmer entre nous ainsi trois ou quatre fois de suite, s’il se peut
Les extraits sont issus de l’œuvre : La Philosophie dans le boudoir.
, surjoua-t-elle vicieuse. 
Trois ou quatre fois consécutives ! Docteur, vous pensez, vous aussi, la chose possible ? Interrogea-t-elle en une question qui n’en était pas une. Ne faites pas tant de manières ! Baisez-moi de vos doigts et polluez-moi le clitoris d’un autre, exigea-t-elle impérieuse, usant d’un vocabulaire qui ne laissait guère de doutes quant à la régularité avec laquelle elle faisait honneur à la plume de Monsieur le Marquis.— Bien Mademoiselle, peina-t-il à articuler. Il essaya, tant bien que mal, de conserver un minimum de professionnalisme et écarta d’une main deux petites lèvres charnues et sensuellement crènelées, toujours tendrement pelotonnées sur le jardin aux délices. La manœuvre dévoila intégralement cette petite tête de mariée aux allures timides sous ses voiles ondulants. Déjà ébranlés par la vulve cerise dont le fruit bandé qui la surmontait avait viré du rose tendre vers un vif fuchsia luisant, les derniers remparts battis par sa conscience professionnelle, volèrent définitivement en éclats aux arômes matinaux du sexe ouvert qui se liquéfiait littéralement de plaisir. Les effluves iodés qui parvinrent à ses narines le réduisirent à son état animal et l’érection qu’ils provoquèrent lui fut douloureuse ainsi entravée par sa tenue de ville. Presque violemment, sans autre forme de procès, il enfonça deux de ses doigts dans l’antre visqueux et brûlant d’une envie à l’instar de la sienne.
A mesure qu’il s’activait, les mouvements d’Amarante brassèrent l’air ambiant et le parfum enivrant aux notes acidulées lui monta à la tête. La jeune femme ne chercha pas à retenir un râle franchement obscène et reprit sa lecture.
Quant au docteur, il profita que sa patiente fut occupée à lire pour frotter d’une main sa verge raidie au travers de ses vêtements, et utilisa le pouce de celle au service d’Amarante pour honorer son bouton en fleur afin qu’elle ne se rendît pas compte de la supercherie. Ton clitoris, que je vois mieux maintenant, est peu formé, mais bien sensible... Comme tu frétilles !... Laisse-moi t’écarter... Ah ! tu es sûrement bien vierge !... Dis-moi l’effet que tu vas éprouver dès que nos langues vont s’introduire, à la fois, dans tes deux ouvertures.On exécute ! Ordonna-t-elle reprenant la didascalie qui agrémente les mots du personnage de Mme de Saint-Ange. Hypnotisé par les vapeurs féminines, envouté par la voix autoritaire de la lectrice, l’obligé, oubliant tout semblant de dignité, obéit à l’ordre tel un valet aux ordres de purs désirs… vulvaires. — Tout ce que vous voudrez, fut la seule chose qu’il eut le temps de dire avant que sa bouche le précipitât au-devant du sexe qui lui faisait de l’œil depuis un temps qu’il aurait volontiers qualifié d’éternité. Toute langue dardée, il se rua sur le calice avec l’avidité d’un possédé avant de s’entendre dire qu’il allait devoir s’appliquer s’il ne souhaitait pas que l’exigeante se chargeât de sa réputation de thérapeute. Là encore, il ne trouva rien à redire et approuva avec un entrain certain : — Tout ce que vous voudrez, Mademoiselle. Il l’aurait très certainement appelée Maitresse sans protester si elle le lui avait demandé. Tel n’avait pas été le cas et le gourmand se fit un devoir de suivre les ordres qui lui furent donnés.  — Montrez-moi ce que l’on vous enseigne de l’anatomie secrète des femmes dans vos écoles de médecine et tâchez de me faire pâmer … je veux dire : de me soulager, dans les plus brefs délais. Vous n’êtes pas sans savoir que ce soir je serai l’objet de toutes les attentions et je dois encore me faire apprêter par mes gens. Complètement ensorcelé, devant la magnificence avec laquelle Dame Nature avait doté l’effrontée, c’est à terre que l’admirateur se plut à l’honorer. Les yeux clos, il marqua un temps d’arrêt agenouillé à hauteur de la vulve déployée dans toute sa grâce. On aurait pu le croire occupé à dire ses prières, tant de son expression émanait dévotion et sérénité. On était pourtant bien loin d’un quelconque acte de foi. L’homme se repaissait des arômes subtilement parfumés de ces essences que de longues heures de macération nocturne avaient lentement sublimées en un mélange d’épices sexuelles femelles salées, légèrement suries et dont il souhaitait figer le bouquet dans son esprit pour l’éternité.
Il plaça ses mains sur les cuisses ouvertes au large, les pouces appliqués au plus près des pétales exhibés qu’il se mit à solliciter en de petits mouvements savamment appuyés. De concert il posa ses lèvres en haut des ailes gonflées dont la bordure avait fait place à deux tapis de soie rose décorés de fines ridules entrelacées en arabesques brillantes de perles de rosée matinale. Les arrondissant en un petit fourreau, il « circlut » l’agate polie semblant défier le blanc de ses yeux qui, à force de rester écarquillés, devenaient de plus en plus vitreux.
Dans sa bouche il enchatonna cette perle et entama une tétée dont la douceur n’eut d’égal que sa régularité. Il suça le bijou, dont les proportions laissaient à penser qu’il avait été façonné ainsi par le créateur pour qu’il fût tété, avec l’aisance et l’appétit d’un enfant qui tète le sein de sa mère. Les bouts de ses doigts agaçaient les chairs roses et s’illustraient par une cadence synchronisée aux succions ; les deux ronronnaient du même plaisir, on eût vraiment dit un chaton qui se nourrissait aux tétines de sa mère. 
La jeune chatte à la merci de l’expertise de son médecin, ne tarda pas à atteindre bruyamment le paroxysme tant attendu. Elle se figea de plaisir, les doigts enfouis dans la chevelure fournie du téteur qui ne relâcha pas son étreinte avant qu’elle eût poussé ses derniers gémissements. Sans qu’on le lui demandât, le dévot entreprit derechef de conduire la déesse vers la libération de ses humeurs, mais cette dernière, en proie à un excès de sensibilité, le fit choir d’une impulsion du pied dans son épaule.  — Merci ! Ce sera tout Docteur, je saurai me souvenir de vos aptitudes. Au plaisir de faire de nouveau appel à votre expertise. Lorsque qu’il se releva, nul ne pouvait ignorer ses pantalons indécemment déformés par le plaisir qu’il avait pris à la consultation, ni la trace humide qui s’étalait sur le col de sa chemise et dont la senteur ne laissait aucun doute sur sa provenance. Emporté par son excitation du moment, le jeune homme se risqua : — C’est que, Mademoiselle, j’avais pensé que peut-être, enfin… vous comprenez…, termina-t-il le regard posé sur son propre sexe et le visage rougi par l’audace dont il était pris.— Vous n’y pensez pas voyons ! Je ne suis pas une femme de petite vertu. Jamais je ne fourvoierai en dehors des liens sacrés du mariage et d’autre part, j’ai ce soir une réception qui requiert séance tenante ma préparation. Vous pouvez disposer Docteur.
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