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Amazonie

Chapitre 2

L’initiation de Frère Jérôme

Avec plusieurs femmes
Comme Mélanie l’avait dit, le texte prenait effectivement une tournure érotique. Et j’avoue que je trouvai excitant cet exercice de traduction. Comme quoi le latin peut aussi parfois être bandant !La veille du début de ce qui s’apparentait à des saturnales, une des femmes, Milia, vint m’expliquer que pour moi, exceptionnellement, la fête se passerait dans la case que j’occupais et que j’y recevrais les femmes qui voulaient s’accoupler avec moi. Les cases des femmes souhaitant s’accoupler recevaient une marque pour que les hommes puissent savoir où aller. La mienne, comme celle des femmes ne désirant pas pas copuler pour cette fête ne recevrait pas de marque. Toutes les femmes ne pouvaient pas être enceintes en même temps et seules un tiers pouvaient recevoir les semences masculines, la tribu devant continuer à fonctionner avec ses guerrières et ses chasseuse cueilleuses, même si dans les premiers mois de grossesse les femmes enceintes continuaient à contribuer aux travaux de la tribu.Anomalie dans le système en tant qu’homme résident et qui plus est espagnol, il ne fallait pas que je sois vu des hommes venant des autres tribus, ma présence devait donc rester secrète en ce qui les concernait. Je lui avouai que je n’avais jamais connu (au sens biblique) de femme. Elle sourit et me dit qu’elle serait la première à venir me voir et que je n’avais pas à m’inquiéter, je n’aurais qu’à me laisser guider.Le lendemain matin, je me préparai dans ma case, attendant nu sur ma couche la première visite. Dès l’aube j’entendis des clameurs et chants : les femmes souhaitaient la bienvenue aux hommes pour ces trois jours de copulation. Peu de temps après, Milia vint dans ma case. Elle était nue et portait des peintures rituelles sur son corps, au visage, sur ses jambes, sa croupe et ses seins. Je vis mon sexe se dresser, un phénomène que je ressentais d’habitude quelques heures avant le réveil. Là c’était différent, pour la première fois de ma vie je ressentais ce qu’on peut appeler une excitation.
Milia s’approcha de ma couche, se lova contre moi et approcha sa bouche de la mienne. Je me laissai faire et très vite sa langue vint chercher la mienne pour une forme de baiser qui était aussi nouvelle pour moi. Une de ses mais alla à la rencontre de mon sexe pour le caresser. J’apprécia beaucoup ce baiser et les mouvements de sa main sur mon sexe. Après quelques minutes, sa bouche quitta la mienne et elle me dit de ne pas bouger. Je la vis alors se retourner pour descendre sa bouche vers mon sexe, me montrant ses fesses où j’eus pour la première fois de ma vie un sexe de femme sous les yeux. Une fente s’offrait à ma vue, avec des lèvres bien dessinées. C’était donc cela un sexe de femme ! Je trouvai cela joli, Dieu avait bien fait les choses. De l’humidité perlait sur les lèvres. Milia avait maintenant pris mon sexe en bouche, cette caresse était divine (pardon pour ce blasphème, mais ces mots reflètent bien ce que je ressentais). Je sentais la chaleur de sa bouche autour mon attribut masculin qui allait en voir d’autres dans les trois jours à venir.
Interrompant momentanément ce que j’appris plus tard s’appeler une fellation dans notre langue, elle me dit que je pouvais mettre ses doigts dans sa vulve et la lécher aussi. Je ne me fis pas prier et elle mit alors ses deux jambes autour de moi pour me faciliter la tâche. Ses lèvres étaient très douces et son jus un peu amer ne me déplaisait pas. Elle gémissait sous mon léchage.Alors que je sentais l’excitation monter, elle arrêta sa caresse buccale, se retourna doucement pour monter sur moi, face à moi, sa fente venant à la rencontre de mon sexe turgescent. Elle se pencha pour me donner un baiser puis avec les mouvements de son bassin, mon sexe vint rencontrer sa vulve bien humide pour la pénétrer. J’étais en train de copuler. Si on m’avait dit, moi, frère Jérôme, que je serais là un jour en pleine forêt en train de le faire avec une femme ! Et le pire c’est que j’aimais ça ! Mon membre était à l’aise dans cette matrice de femme, il coulissait délicieusement et je sentais Milia elle aussi à l’unisson avec moi, ondulant du bassin, contractant les muscles de sa fente autour de mon sexe, gémissant de plaisir. Je n’étais pas en reste, manifestant moi aussi par de petits cris ces sensations nouvelles. Pendant qu’elle me chevauchait, mes mains se mirent naturellement à caresser son corps et elle apprécia que je prenne sa poitrine dans mes mains. Puis vint une chose terrible qui me fit presque m’évanouir, je sentis soudain une poussée de liquide dans mon bas ventre traverser mon sexe pour aller se vider dans mon amazone, alors que simultanément un éclair me traversait le cerveau et que tout mon corps vibrait : l’extase divine, j’avais rencontré Dieu.
Joie, joie, pleure de joie !* En ce jour j’avais reçu l’illumination.Si Dieu avait créé de tels plaisirs pour l’homme, pourquoi notre système religieux en avait-il fait de mauvaises choses, disant que le plaisir sexuel était l’œuvre de Satan ? Pourquoi tous ces mensonges, ces brimades envers tous le monde ? J’étais révolté contre les papes et notre clergé. Je comprenais mieux désormais les frères qui choisissaient de ne pas respecter leur vœux pour vivre les plaisirs de la chair.Tourné entièrement vers mon plaisir égoïste, je n’avais pas prêté attention à la jouissance de Milia. Après cette éjaculation, j’entrai rapidement dans une sorte de torpeur. Après avoir repris conscience, Milia était à mon côté, souriante. Elle me dit avoir beaucoup joui (c’était ses mots) et que pour une première fois j’avais été un amant au dessus de ses espérances. Je lui dis ne jamais avoir rien connu de pareil. Nous nous embrassâmes puis restâmes enlacés quelques temps. Mon sexe avait retrouvé sa taille habituelle mais était tout poisseux du jus intime de Milia et probablement de ma semence aussi. Milia me proposa de le nettoyer avec sa langue et sous sa caresse, il commença doucement à se dresser à nouveau. Milia n’alla cependant pas plus loin, elle se leva et me dit que la journée ne faisait que commencer et qu’il fallait que je garde de l’énergie pour les autres femmes qui viendraient me visiter.
Au bout d’une heure de repos, une autre femme, Orana, vînt me rejoindre dans la case. Je l’accueillis debout et nous nous enlaçâmes rapidement pour nous embrasser. J’appréciai le contact de seins contre mon torse et elle fit comprendre que je pouvais les prendre en bouche. Tel un enfant, je me mis donc à la téter. Encore un plaisir oublié, et interdit à l’être que j’étais jusqu’ici ! Puis, étant encore debout, Orana s’agenouilla devant moi pour prendre mon sexe en bouche. Il avait retrouvé une belle vigueur et après quelques temps, ce fut elle qui s’allongea sur ma couche sur le dos. Les cuisses ouvertes, j’avais une vue bien excitante sur son sexe et j’eus envie de venir laper sa liqueur qui commençais surement à perler. Je remontai ensuite mon visage vers ses seins puis bouche et enfin mon sexe rencontra sa fente pour la pénétrer telle une motte de beurre. Notre coït fut très bon. Je ne le savais pas mais j’appris quelques années plus tard que cette position nous était en fait dédiée à nous les religieux car dénommée position du missionnaire ! Orana fut la première à exprimer sa jouissance, ayant des contractions fortes en poussant des cris assez impressionnants.
Je me vidai à mon tour en elle et restai quelques temps sur elle, mon sexe encore figé dans sa matrice. Lorsque je le sentis se rapetisser, nous changeâmes de position pour nous mettre sur le côté. Quand Orana se leva, je vis que quelqu’un était entré dans la case pour apporter des fruits. Il nous fallait reprendre des forces !La journée se passa ainsi. J’eus l’occasion d’essayer d’autres positions, dont une qui me fit beaucoup d’effet : la femme à quatre pattes sur la couche et moi derrière la prenant comme si j’étais un animal. J’eus aussi droit à une variante de mon ébat avec Milia, moi allongé sur la couche, mon amazone me chevauchant en me tournant le dos.J’avais fait l’amour avec sept femmes dans la journée, j’étais épuisé. La nuit serait réparatrice. Milia vint me tenir compagnie pour la nuit et nous dormîmes enlacés, sans pour autant entamer le capital se constituant en vue de la journée qui allait suivre.Je m’éveillai au petit matin, Milia fit de même, me fit un baiser puis s’éclipsa. Après m’être restauré, je vis arriver dans ma case deux femmes qui me demandèrent si cela me dérangeait si nous étions trois pour nos ébats. Je n’y vis aucun inconvénient. Les deux femmes s’enlacèrent et commencèrent à se caresser sous mes yeux. L’effet sur mon membre ne se fit pas attendre et il se dressa bientôt alors que je contemplais les deux femmes. Je me levai pour approcher d’elles mais elles me firent signe d’attendre. Elles allèrent alors sur le lit et l’une s’allongea sur le dos alors que l’autre se mit sur elle tête bêche. Elles avaient ainsi chacune la vulve de l’autre à portée de bouche et se mirent à se doigter et à se lécher. Je sentais mon mandrin prêt à exploser et me fis quelques caresses sur la hampe et sur l’extrémité de celui-ci. Puis celle qui était en dessous tourna le visage vers moi et délaissant un instant le léchage de la fente de sa comparse me dit d’approcher. Je pointai mon membre vers l’antre féminin de celle qui était dessus et y entrai très facilement.
La fille en dessous me léchai tantôt les testicules ou les lèvres de son amie et sous cette caresse mon excitation ne faisait que monter. Je pus bientôt me vider dans cette matrice alors que la belle du dessus jouissait elle aussi. Je restai un peu dans cette grotte chaude et accueillante. Quand je me retirai, un filet de ma semence fit un fil entre le sexe de la belle et mon membre et la fille du dessous s’empressa de lécher cette liqueur avant de nettoyer les abords de la fente de sa partenaire. Elle se levèrent pour venir vers moi me caresser et m’embrasser. Nous nous reposâmes quelques temps, puis sous leurs caresses, mon membre reprit de la force et je fus bientôt en état d’honorer la seconde femme qui n’attendait que cela. Je la pris par derrière, nous deux étant couchés sur le côté, alors que l’autre femme se mit au dessus de ma tête et me présenta sa vulve à lécher. Après avoir joui une nouvelle fois, les deux belles me remercièrent puis quittèrent ma case. J’eus cinq autres partenaires dans la journée.
Orana vînt me rejoindre pour partager ma couche pour la nuit. Nous fûmes chastes car il fallait que je reprenne des forces en vue du dernier jour. Elle me demanda comment s’était passée cette journée. Je lui racontai avoir reçu la visite simultanée de deux femmes et que j’avais beaucoup apprécié. Elle me dit qu’en dehors de ces trois jours, il arrivait que les femmes de la tribu partagent leurs cases la nuit pour se faire du bien entre elles. Je comprenais maintenant pourquoi parfois la nuit, au milieu des bruits de la forêt, j’entendais des cris et des gémissements qui étaient en fait du plaisir.
J’eus encore l’occasion le lendemain de copuler avec six femmes J’eus le plaisir de voir Milia revenir pour la soirée. Elle me félicita pour mon comportement et mes prestations de ces trois jours, elle pensait que nombre de mes partenaires, dont elle, porterait certainement un enfant de moi. J’étais très honoré par ses propos. Elle me dit qu’elle avait maintenant une surprise pour moi. Elle prit alors un bol en terre qui contenait une huile, et elle commença à s’en enduire les fesses, son trou destiné à déféquer pour être plus précis. Elle massa aussi mon sexe avec cette même huile. Sous sa caresse et sous la vue de son corps, ce dernier prit une belle forme. J’étais allongé sur la couche et elle vint se présenter dos à moine bassin au-dessus de mon sexe. Alors que dernier descendait à la rencontre de mon membre, elle guida ce dernier non vers sa fente mais vers son trou du cul. Je connus ainsi le plaisir de Sodome. J’étais mûr pour le bûcher de la Sainte Inquisition ! Mais quel plaisir.
La belle appréciait visiblement la pénétration et se caressait la vulve de sa main alors que je la pilonnais. La jouissance fut délicieuse. Elle me dit que ce plaisir était plus rare dans leurs traditions car ne permettant pas d’avoir des enfants, mais comme le travail avait été fait et bien fait, elle me l’avait accordé.
Je livrai ma traduction à Mélanie un soir, en la prévenant que c’était assez hard. Nous nous revîmes le lendemain matin, Mélanie me fit part tout de suite de sa lecture :
— Waow, c’était effectivement très hard, j’ai bien apprécié !— Euh, oui, dis-je gêné, moi aussi…— C’étaient bien des amazones telles qu’on l’entend dans notre imaginaire ! ajouta-t-elle.— Oui et totalement libérées. Je suis surpris par l’absence de problèmes que cela posait à l’auteur du manuscrit.— Effectivement, mais tous les religieux n’étaient pas des fanatiques non plus. Il te reste beaucoup de pages à traduire ?— Oui, je suis loin d’avoir fini.— J’ai regardé les appels à projet européens pour obtenir des financements.— Et ?— Sur l’Amérique du Sud, ils ne sont pas trop dédiés à l’archéologie et à l’histoire mais plutôt à la pharmacologie issue des plantes et au changement climatique.— Comme d’hab, jamais rien pour nous en sciences humaines et sociales…— On verra, on trouvera bien quelques choses. Tu veux que j’avertisse mes anciens collègues de Quito de la découverte de ce manuscrit.— Pas encore, il est trop tôt.— Comme tu voudras, Alex. Continue à me faire relire ta traduction. J’aime bien !— Oui, bien sûr, tu fais partie de l’équipe, Mélanie !
Là dessus, Mélanie me fit la bise avant que nous partîmes chacun travailler de notre côté. C’était la première fois qu’elle m’embrassait. Bon, c’était sur la joue.(à suivre)* Citation empruntée à Pascal.
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