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Amazonie 2

Chapitre 1

le retour de Lia

Divers
Cela faisait deux ans que nous avions effectué notre mission en Grèce*. Notre collègue Daniel avait retrouvé le sourire et des financements pour ses recherches sur l’Antiquité grecque. Sa publication sur une version alternative d’une partie du chant X de l’Odyssée, la partie consacrée à Circé, avait eu beaucoup de succès scientifique dans les revues mais encore plus dans les milieux LGBTQ+.
De passage au service, le directeur des opérations nous informa qu’une amie voulait nous voir. Nous avions rendez-vous avec elle dans une des salles de réunion. Nous ouvrîmes la porte et eûmes le bonheur de voir Lia.
— Coucou les filles, nous dit-elle.
Elle nous sauta au cou pour nous embrasser.
— Tu es rentrée de Russie ?— Oui, ma mission est terminée.— Ce fut dur ? demanda Mélanie.— Oui assez, et très dangereux par moment. J’ai plusieurs failli mourir plusieurs fois ou me faire démasquer, mais ma couverture a bien tenu et mon entraînement a fait le reste. Pour les détails, je n’ai pas le droit de vous en dire plus.— Oui, nous n’avons pas le droit d’en connaître d’avantage, ajoutai-je.— Je peux simplement vous dire que le fait d’être une femme a été une des conditions clés de la réussite de ma mission et de ma survie. Merci, mille fois merci.— Nous sommes heureuses pour toi, Lia.— Et vous comment allez-vous ? J’ai su que votre mission en Grèce avait été un franc succès !— Oui et il y a eu d’autres missions, dont nous ne pouvons pas te parler non plus.— Bien sûr. Le patron m’a dit que étiez mamans toutes les deux, il y a eu des papas, vous qui vivez… entre femmes ?— Nous avons pris des donneurs anonymes, mentit Mélanie.— Ah, pour ma part, je me suis aperçu rapidement que j’aimais les femmes et les hommes aussi en fait…— Bien, je suis contente pour toi, Lia. Ce n’était pas trop dangereux pour toi en Russie sur ce plan ?— J’ai été extrêmement prudente. L’homosexualité est très mal vue là-bas, comme vous le savez.— La mission avant tout ! dit Mélanie.— Oui, on connaît ça.— Depuis mon retour, j’ai fait plein de choses. J’avais besoin de renouer un peu avec ce qui me reste de famille.
— Et ?— j’ai tenté de revoir mon ex, simplement pour lui dire bonjour, elle ne m’a pas reconnue de prime abord puis m’a mise dehors en me disant que j’étais une abomination diabolique.— Bon, de la part d’une catho-tradi, pas étonnant, non ?— Oui, sinon j’ai revu mon cousin vivant en forêt de Brocéliande.— Et ? — Là-bas, super accueil, il vit en couple homo apparemment, mais je n’ai rien compris, s’ils sont transgenres, travestis ou peut-être même des femmes. Déroutant, en tous cas super sympas, je voudrais vous les présenter.— Tu dis qu’ils sont équivoques, lui et son copain ?— C’est en fait son mari, qui s’appelle Alexandre, d’ailleurs. Ils parlent d’eux tantôt au masculin, tantôt au féminin. Et puis j’ai vu beaucoup de fringues féminines sécher dans leur cellier. En plus ils ont deux enfants qui leur ressemblent comme deux gouttes d’eau. Comment des hommes homosexuels peuvent-ils avoir des enfants leur ressemblant tant ?— Ils ont peut-être fait appel à des mères porteuses.— Sans doute. En tous cas, ils ont été très vagues sur ce sujet. Je leur ai dit pour ma part avoir fait une transition complète avec réassignation. Cela leur a beaucoup plu, mais ils ont été assez insistant à propos de savoir si je voulais avoir des enfants. J’avoue que je n’ai pas bien compris cette question étant supposée être une réassignée médicale classique, donc n’ayant pas d’utérus. Leur question était de savoir si je désirais porter un jour un enfant, comme s’ils savaient que j’étais une vraie femme.— Effectivement, comment pourraient-ils imaginer que tu es une vraie femme alors qu’ils t’ont connu homme ?— Quoi qu’il en soit, je ne veux pas d’enfant pour l’instant. Et puis je ne suis même pas en couple.— Tu te souviens quand tu t’interrogeais sur ta sexualité à venir et que nous t’avons proposé nos services ?— Oui… Finalement je n’ai pas fait appel à vous… Cela vous a-t-il vexées ?— Pas le moins du monde, dit Mélanie.— Je confirme, ajoutai-je.— Et vos deux bouts de chou ?— Deux filles, Circé et Jéromine.— Je vois l’inspiration… bien trouvé, original et très joli choix de prénoms. Comment as-tu fait pour ta grossesse, Alex, tu es officiellement réassignée donc, supposément sans utérus toi aussi ?— Oui, j’ai pris un congé sans solde avant que cela se voit… Du coup j’ai eu droit à quatre mois de formation complémentaire par le service jusqu’à un mois de mon accouchement… Je suis experte en chiffre désormais. Cela dit, le service ne néglige pas non plus notre entraînement physique et militaire : nous sommes désormais brevetées para, qui plus est en saut très haute altitude et nous avons eu droit aussi à un stage nageur de combat. Je ne dirai pas pour autant que cela fait de nous des spécialistes !— Félicitations à toutes les deux, reprit Lia.— Tu veux venir dîner à la maison ce samedi ? proposa Mélanie.— Avec plaisir !
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PENDANT CE TEMPS, CHEZ GWEN et ALEX.
— Très sympa ta cousine Lia, Gwen.— Je l’ai toujours beaucoup appréciée, je veux dire quand il était Charles.— C’est quand même rigolo qu’elle ait choisi le prénom de la sœur du chevalier d’Éon, non ?— Effectivement. En tous cas, les korrigans ont été formels. L’après-midi où nous nous promenions en forêt, ils nous ont observé et ont déterminé sans équivoque que Lia est une vraie femme. C’est pour ça que j’ai eu un message de leur part avant qu’elle ne reparte et qu’ensuite je lui ai posé des questions sur le fait d’avoir des enfants. Selon eux, elle n’est pas d’origine changelin ni de sang elfique. Elle a été réassignée par une magie puissante et d’origine sud-américaine. Cela les intrigue beaucoup. Quand Lia nous a dit qu’elle avait une amie femme trans réassignée et que c’était grâce à elle qu’elle en était là, j’ai pensé que nous pourrions peut-être la rencontrer.— C’était peut-être un peu intrusif comme questions, non ? Cela dit, si cela peut aider nos amis… À propos, c’est ok pour le stage d’été des enfants des deux parisiennes envoyées par Arwenna ?**— Oui, oui les korrigans sont prêts pour le camp de vacances. Arwenna et les parents nous les amèneront à la prochaine lune.— Il faut les loger ?— Le premier soir uniquement, le stage commencera le lendemain, les enfants dormiront en forêt chez les korrigans. Arwenna restera quelques jours sans doute mais les parents repartent au démarrage du stage.— Très bien. Cela me fera plaisir de revoir Arwenna, elle a sûrement plein de choses à nous raconter de ses aventures de coiffeuse-magicienne.— Quand même, quelle idée de mettre sa magie dans des shampoings !— Tu l’as dit ! Bon fait quoi ce soir ? Entre filles, entre mecs, mixte ?— Entre mecs pour commencer ?— Ça me va, cela fait longtemps que je n’ai pas tâté de ta bite dans mon cul !— Gwen, elle fait quoi ta cousine ?— Eh bien, elle a commencé dans l’armée comme officier et là elle ferait de l’import-export. Elle rentre d’un gros travail en Russie.— Vraiment ?
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Nous eûmes aussi plus tard dans la journée une réunion avec le directeur des opérations :
— Alex, Mélanie, le ministère de la culture a reçu une demande de son équivalent espagnol à propos du manuscrit de Jéromine. L’espagne souhaiterait faire une exposition à ce sujet. — Oui, quel rapport avec nous, si ce n’est que nous sommes les auteures des publications sur l’Amazonie et sur la présence des femmes dans les services de Charles Quint et Philippe II ? répondit Mélanie. Et qu’Alex est la traductrice du manuscrit de Jéromine.— La demande est venu par mon homologue des services secrets espagnols, dit le directeur.— Et ? fis-je.— Voila, le ministère souhaite que nous fassions un événement conjoint franco-espagnol. Le ministère de la recherche français est d’accord.— Vous partez en Espagne pour commencer à monter l’opération.— D’accord mais c’est une affaire classique qui concerne les ministères de la culture et de la recherche, non ? Quel rapport avec le Service ? continuai-je.— Certes, mais cela concerne les services secrets espagnols en premier chef, leur histoire en particulier, avec une singularité inconnue jusqu’ici. Faire un événement sur leur sol sera bon pour leur soft-power, comme nous l’avons fait en France avec le bureau des légendes diffusé en série télévisée. Et puis mon homologue, le colonel Iglesias, a insisté pour vous rencontrer. Il a quelque chose à nous proposer m’a-t-il dit, en lien avec vos capacités de chercheuses.— Ils veulent sans doute redorer le blason des services secrets après l’image donnée par la Casa de Papel ! Sait-il que nous travaillons pour vous ?— Je lui ai dit que nous avions un lien très fort et que vous étiez habilitées au bon niveau.— Charmant…— C’est important et puis cela vous fera une bonne pub, je veux dire pour la partie officielle de l’opération bien sûr.— Et de quoi s’agit-il, s’agissant de sa proposition non officielle ?— Ils ont découvert des archives anciennes de leur service, datant vraisemblablement de la deuxième moitié du XVIe siècle, dont des documents chiffrés.— Ah, je vois, fis-je, l’époque de Jéromine, donc…— Exactement, je savais que cela vous intéresserait…— C’est peu dire, fit Mélanie. Il va falloir qu’on trouve une solution pour les enfants. — La mission est sans danger, vous pourrez les emmener. Cela dit, vous ne partez que quelques jours pour commencer. J’ai dit à Ricardo que nous mettions à sa disposition nos moyens de calcul en matière de déchiffrement.— Ils n’ont pas les leurs ?— Si, mais les nôtres sont un peu plus performants que les leurs et puis on aura peut-être besoin de pas mal de puissance de calcul.— Ont-ils des idées sur la méthode de codage ? demanda Mélanie.— Aucune, hélas. Mais je pense que vos compétences en chiffre maintenant bien développées devraient vous permettre de guider les travaux, Alex et Mélanie.— Surtout Alex, répondit-elle.— Merci Mélanie, fis-je.
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LE SAMEDI SUIVANT
La sonnerie de l’entrée retentit vers dix-neuf heures. Nous ouvrîmes la porte à une Lia ravissante, vêtue d’une robe noire en dentelle brodée avec un top translucide de la même couleur et qui laissait apparaître le haut de ses seins. Ses jambes étaient gainées de lycra noir noir brillant, avec de belles chaussures à talon aiguille.
— Waouh, bonsoir Lia, tu es impressionnante ainsi vêtue, fit Mélanie en l’accueillant.— Merci Mélanie, mais Alex et toi êtes très bien également. Vous savez, j’ai pris goût aux tenues féminines, je ne pensais pas que cela serait aussi facile avant de faire ma « transition ».
Mélanie avait mis une robe fleurie très légère et moi un chemisier blanc avec une jupe bleu marine, très classique donc même si mes bas étaient bleu eux aussi. Nous prîmes l’apéritif puis couchâmes les enfants avant de passer à table. Nous étions contentes de la retrouver et c’était visiblement réciproque. En fin de repas, la discussion dériva sur nos sexualités, à l’initiative de Lia.
— Dis-moi Alex, tu étais hétéro quand tu étais un homme ?— Oui, répondis-je, je n’avais aucune attirance pour les garçons.— Comme moi, fis Lia. Mais une fois devenue femme j’ai voulu essayer.— Pour ma part, mon seul partenaire depuis a été Mélanie…— Ah oui, vous êtes mariées, il est vrai…— Quoique nous serions tolérantes à des écarts, dit Mélanie.— Mais cela ne s’est jamais présenté, ajoutai-je, même si comme nous l‘avons évoqué il y a quelques jours, nous t’avions fait une proposition de service !— Je m’en souviens très bien et vous en remercie, répondit Lia. Eh bien pour ma part j’ai pratiqué les deux ! J’aime bien faire l’amour avec une femme mais j’aime bien l’étreinte masculine, et puis la pénétration d’un sexe c’est pas mal.— Nous pratiquons aussi, fit négligemment Mélanie, sans remarquer qu’elle risquait de parler de nos pratiques dues aux dons de Circé*.— Avec des godes, alors ? demanda Lia.— Oui, bien sûr, dis-je rapidement.— En fait, après avoir essayé la sodomie, reprit Lia, je regrette de ne jamais l’avoir reçue en tant qu’homme. Il paraît qu’il y a un plaisir supplémentaire dû à la stimulation prostatique.— Effectivement, dit Mélanie. — Cela dit, il y a des choses que j’aimerais bien essayer comme la double pénétration, mais il faudrait que je me trouve deux mecs !
Par chance, à ce point de la conversation, Lia dut s’absenter pour aller aux toilettes. Je parlai alors à Mélanie à voix basse :
— Attention, tu vas finir par lui dire qu’on peut se transformer en ladyboys !— Et alors, fit-elle, elle sait bien que la magie existe, non ?— C’est pas faux…— Attendons de voir ce que la soirée nous réserve.— D’accord.
Lia revint des toilettes.
— Donc, Lia, tu nous disais que tu aimerais tenter une double pénétration ? Nous avons pleins de godes dont des godes-ceintures, nous pourrions le faire pour toi, si tu veux… dit Mélanie.— J’aimerais beaucoup le faire avec vous deux et cela me ferait plaisir de vous faire plaisir pour la nouvelle vie que vous m’avez offerte, mais je crois, sans vouloir vous vexer, que je préférerais des vraies bites !— Voila qui est clair, dis-je. Lia, tu te souviens de ce qui s’est passé dans la forêt ?— Oui, bien sûr, comment pourrais-je l’oublier !— Tu es donc consciente que tu as bénéficié de tout cela grâce à une forme de magie ?— Oui, évidemment.— Bon et si on te disais que nous sommes capables d’autres formes de magie ?— Comment cela ?— Oui, Alex et moi, dit Mélanie, pouvons en tant que de besoin, ou plutôt d’envie, transformer nos sexes de femmes en sexes d’hommes…— Non ? Vous vous foutez de moi ! Je ne vous crois pas.— Ok Lia, repris-je. Es-tu d’accord pour que nous te montrions nos bas-ventres ?— D’accord, fit-elle.
Mélanie et moi nous levâmes puis remontâmes robe et jupe, descendîmes nos culottes, exposant nos vulves épilées au regard de notre invitée.
— Prête, Alex ? demanda Mélanie.— Prête, répondis-je.
Nous nous concentrâmes alors toutes les deux et Lia poussa un énorme « Oh » en observant la transformation de nos deux sexes.
— Co… Comment se fait-il ? demanda Lia éberluée.— C’est un cadeau de Circé, dit Mélanie.— De Circé ? Je ne comprends pas, dit Lia. Votre fille…— Non, pas notre fille, la Circé de l’Odyssée… fis-je.— Alors, votre mission en Grèce…— Oui, mais c’est couvert par le secret… intervint Mélanie.— Vous m’en avez déjà trop dit, insista Lia.
Nous abaissâmes nos vêtements, nous rassîmes et lui racontâmes notre mission.
— Mélanie, Alex, fit Lia, j’aimerais bien faire l’amour avec vous deux… en mode équipement masculin.— Avec plaisir, chère amie, répondîmes-nous en chœur.
C’est ainsi que nous nous retrouvâmes bientôt dans notre chambre. Heureusement la construction de l’immeuble était bonne et les murs et les portes bien insonorisés. Nous vîmes que Lia portait des bas et un porte-jarretelles sous sa robe. elle n’avais pas de culotte.
— Je l’ai enlevée tout à l’heure aux toilettes, dit-elle alors que nous observions sa toison finement taillée.— Coquine va ! fit Mélanie. Tu te doutais que cela allait dégénérer !
J’étais nue mais décidai de garder mes bas autofixants. Après tout, il n’y a pas que le sexe féminin qui soit mis en valeur par la lingerie. Nous étions toutes trois seins nus, une femme et deux ladyboys. Nous nous mîmes toutes trois debout l’une contre les autres, nos bouches passant de l’une à l’autre, nos seins frôlant tantôt l’une tantôt l’autre. Nos bites se touchaient de temps en temps, allant aussi à la rencontre du bas-ventre de Lia. Elle nous demanda si elle pouvait nous prendre en bouche. Devant notre accord sans équivoque, elle s’agenouilla devant nous alors que nous restions debout à nous embrasser et je sentis bientôt sa bouche s’occuper de mon membre, le quittant de temps en temps pour être remplacé par sa main qui me masturbait alors. Puis nous passâmes sur lit où Lia se mit en levrette et Mélanie la prit alors par le con alors que je continais à recevoir une bien bonne fellation étant placée devant notre amie.
Lia nous dit entre deux caresses buccales que nous pouvions jouir en elle car elle prenait la pilule. Mélanie éjacula bientôt et et je fis de même dans la bouche de Lia qui sembla apprécier mon sperme tout en jouissant elle aussi, n’en perdant aucune goutte alors qu’elle s’effondrait sur le lit.
Elle reprit ses esprits quelques temps plus tard pour nous dire :
— Waow, c’était super, je n’avais jamais fait avec deux ho… deux bites !— Nous non plus Lia, dis-je, nous non plus.— Et pour la double ?— Eh bien, fit Mélanie, quand nous sommes en sexe masculin, il nous faut un peu de temps pour retrouver de la vigueur, comme les vrais hommes…— Ah ? Dommage… fit Lia, visiblement gourmande.— La nuit est encore longue, dit Mélanie. Cela dit, seriez vous d’accord si je repassais en femme et que Lia s’occupe de mon minou ?— D’accord, faisons cela, dis-je. Je te suis Mél !
Et nous fûmes désormais entre femmes pour nous caresser. Lia s’allongea dos sur le lit et je frottai alors mon bassin sur le sien alors que Mélanie s’assit sur son visage pour lui donner sa fente à lécher. Mélanie eut un orgasme féminin, puis je léchai la fente de Lia qui jouit à son tour et fin les deux vinrent me lécher la fente et le cul pour que je connaisse à mon tour l’extase féminine. Nous nous reposâmes un peu avant de reprendre la suite de nos ébats. Il fallait préparer le petit trou de Lia en vue de la sodomie et un gode avec du gel fut mis à contribution. Nous demandâmes à Lia qui elle voulait dans son con et dans son cul. Elle nous dit que cela lui était égal. Nous tirâmes donc les rôles à la courte paille.
Ayant retrouvé ma bite, c’est ainsi que je me trouvai allongée sur le dos, Lia vint alors chercher la pénétration de mon sexe dans sa chatte et alors que je commençai à la ramoner, Mélanie vint derrière sa croupe pour l’enculer. Lia ondulait de plaisir sous les coups de boutoirs de ma femme. Si je ne bougeai plus trop, je sentais la compression de la gaine anale sur le vagin de notre Lia prise par ses deux trous. C’était divin (merci Circé). L’étreinte continua quelques temps avant que Lia ne jouisse la première et que nous n’éjaculions chacune dans le trou qui nous était assigné.
Nous dormîmes ensuite jusqu’au matin où Lia s’éclipsa avant que les enfants ne se réveillent.
(à suivre)
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