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Amazonie 2

Chapitre 2

première journée à Madrid

Divers
Nous partîmes la semaine suivante deux jours à Madrid pour le lancement des préparatifs de la future exposition, ayant laissé les enfants à la mère de Mélanie. Il était prévu que nous soyons accueillies à l’aéroport par l’homologue de notre directeur des opérations, le colonel Iglesias, de prénom Julio. Etais-ce une blague ou une fausse identité ? D’après sa fiche, il était né en 1962 et avait donc presque soixante ans. Il était marié et sans enfants. Nous le reconnûmes facilement à la sortie de la zone d’arrivée. Il était accompagné de deux hommes. nous étions en fin d’après-midi.
— Ah, Mesdames, ravi de vous rencontrer, fit-il dans un français visiblement excellent.— Le plaisir est pour nous, colonel, fis-je.
Nous allons vous conduire à votre hôtel, puis si vous en êtes d’accord, je vous invite à dîner ce soir à la maison, à une heure plus française qu’espagnole car le voyage vous a peut-être fatiguées.
— Cela devrait aller, Colonel, répondit Mélanie, le vol était direct et agréable. Mais nous sommes enchantées de votre invitation.— Bien la voiture nous attend un peu plus loin.
Le colonel nous expliqua dans la voiture que la journée du lendemain serait consacrée à la future exposition avec rencontres de représentants des ministères espagnols de la recherche et de la culture et que nous aurions des discussions plus professionnelles « entre nous » le surlendemain.
Nous restâmes environ une heure à l’hôtel avant que le colonel vienne nous chercher vers dix-neuf heures.
— Alors bien reposées, nous fit-il.— Oui c’était parfait, merci, dit Mélanie.— Je propose que nous nous appelions par nos prénoms, cela ne vous dérange pas ?— Oui, merci, Julio… répondis-je en ayant l’air embêtée.— Je sais Alexandra, mes parents ne pouvaient pas prévoir qu’un autre Julio deviendrait une vedette internationale ! Si seulement j’avais sa voix !— On est ce qu’on est, fit Mélanie…— Quoiqu’on peut aussi devenir un autre ! lançai-je.
Nous étions chez Julio vint minutes plus tard. Une très belle femme d’une quarantaine d’année, de type sud-américain, vint à notre rencontre alors que nous passions la porte d’entrée.
— Manola, je te présente Alexandra et Mélanie nos amies françaises, dit Julio en portugais à celle qui devait être sa femme.
— Enchantée dis-je à mon tour dans la même langue.— Alexandra, Mélanie, reprit Julio en français, je vous présente Manola, mon épouse.— Enchantée, dit Manola en français cette fois. Julio m’a dit que vous parliez l’espagnol, mais je ne savais pas pour le portugais. Je suis brésilienne à la base mais je vis en Espagne ici avec Julio depuis vingt ans maintenant.— Nous pourrons donc utiliser une trois langues à notre envi, conclut Julio.
L’appartement de Julio et Manola était très grand, meublé à l’ancienne en style espagnol avec un sol en marbre et des murs blancs à la chaux. Il y faisait frais, ce qui était appréciable en ce mois de juin annonciateur d’un été chaud.Nous nous assîmes au salon où une belle table de tapas nous attendait.
— Repas tapas, cela vous va ? demanda Manola.— Parfait, dit Mélanie.— On adore ! ajoutai-je.
Manola et Julio vivaient donc ensemble depuis près de vingt ans. Julio avait rencontré Manola lors d’un déplacement au Brésil en 2001 et elle était venu s’installer peu de temps après. Ils s’étaient mariés en 2005. Nous parlâmes aussi de nous, de notre rencontre comme si j’avais toujours été une femme. La conversation vint bientôt sur les sujets de nos recherches.
— Julio m’a parlé de vos publications sur l’Amazonie et sur la Grèce, dit Manola. Cela a piqué ma curiosité et j’avoue avoir trouvé cela passionnant. L’histoire de Jéromine est stupéfiante, une femme qui se fait passer pour un moine, devenue amazone et qui finit au poste de Julio, tout cela à une époque beaucoup moins facile qu’aujourd’hui pour les femmes…— Beaucoup reste à faire cependant, intervint Mélanie, même en occident et ne parlons pas du reste du monde !— C’est hélas trop vrai, fit Julio, mais vos découvertes en Grèce sont elles aussi intéressantes pour les problématiques transgenre.— Vous semblez très ouvert sur la question, Julio, dis-je.— Oui, vous savez, l’Espagne a fortement évolué depuis la dictature de Franco. Je l’ai moi-même connue dans les premières années de mon enfance. Ma famille était très catholique et j’étais enfant de chœur d’ailleurs. Et puis le retour à la démocratie a été concomitant de mon adolescence, j’ai alors cessé de croire en l’Église.— Contrairement à ce que votre patronyme laisse croire !— Oui, effectivement… fit Julio. Au fait, figurez-vous que Manola a des ancêtres originaires de la forêt amazonienne, de la zone que vous évoquez dans dans vos publications.— Eh oui ! C’est drôle, non ? Je propose qu’on se tutoie, on le fait beaucoup en espagnol.— D’accord, fis-je, avec plaisir.— Tu n’aurais quand même pas des ancêtres amazones, Manola ?— Je n’en ai aucune idée, répondit-elle. Mais qui sait ? En tous cas j’ai grandi à Manaus, mais ma famille m’a toujours dit que nous avions des ancêtres venant de la forêt. J’aimerais bien voir le site des pyramides.— Et pourquoi ne pas y aller à nos prochaines vacances ? fit Julio. Alex et Mélanie pourraient même nous servir de guides !— C’est pas faux, répondit Mélanie. — Et pourquoi pas ! dis-je à mon tour. Mais l’accès n’est pas facile pour y arriver.— Je suis qualifié et formé pour évoluer en forêt, dit Julio.— Cela va sans dire, intervint Mélanie en lui faisant un clin d’œil.— Je bois à cela dit Julio !— À nous, à nos aventures ! fit Mélanie.
Et nous trinquâmes tous ensemble. Nous passâmes donc une très bonne soirée en la compagnie de Julio et Manola. Nous n’abordâmes bien sûr aucun sujet confidentiel, Manola n’étant pas a priori membre des services espagnols. Une fois de retour à l’hôtel, Mélanie me dit :
— Je suis sure que Manola est transgenre.— Ah bon, tu crois ? C’est une très belle femme.— Cela n’a rien à voir.— Certes, mais qu’est-ce qui te fait dire cela ?— Son attitude, sa façon de s’exprimer.— Je n’ai rien remarqué.— Et puis tout ce qu’a dit Julio sur la date de son mariage, le fait qu’il se soit éloigné de l’Église Catholique, qu’ils n’aient pas d’enfants… Leur ouverture d’esprit aussi, et leur intérêt pour nos publications.— Et ?— 2005 est l’année où l’Espagne a rendu légal le mariage gay.— Oui, enfin ce n’est pas suffisant pour dire que Manola est une femme transgenre. Tout cela relève du faisceau d’indice. Cela dit je me demande bien ce qui pourrait se passer aux pyramides en leur compagnie.— Nous verrons, en attendant, si on faisait un câlin ?— Quelle version veux-tu cette fois ? demandai-je.— Entre vraies femmes, je n’ai pas envie de bite ce soir.— Ça me va !
Après nous être enlacées et embrassées longuement debout l’une contre l’autre, nous basculâmes sur le lit et nous mîmes en soixante-neuf our une partie enragée de léchouilles lesbiennes sur nos sexes. J’étais sur Mélanie et écrasait son corps de tout mon poids (qui n’est pas si important !). Elle finit par me dire :
— Attends, je dois aller aux toilettes, tu me comprimes la vessie !
Je me relevai alors et lui dit :
— Et si on allait dans la baignoire… Tu pourrais…— Te faire pipi dessus ?— Oui… Je n’ai jamais expérimenté…— Moi non plus… — Tu es ok ?— Oui…— Allons-y !
C’est ainsi que nous eûmes notre première séance d’uro. Je m’étais couchée dans la baignoire et Mélanie vînt se placer au dessus de moi. J’avais vue sur sa chatte par en dessous.
— Tu as une préférence pour l’arrosage ? La chatte, les seins…— Tout ce que tu veux, le visage aussi si tu veux !
Mélanie avait la vessie bien remplie et son jet dura quelques temps pour mon plus grand bonheur. Elle commença par mes seins, puis mon sexe fut lui aussi rincé et enfin elle m’aspergea le visage de son urine. Je reçus une partie de sa miction dans ma bouche que j’avais laissée ouverte sans y faire attention. J’en avais partout. Elle vint ensuite se coucher contre moi, se frotter contre ma peau pleine de son pipi et m’embrasser aussi. Je lui dis que moi aussi je pourrais faire pipi sur elle. Elle accepta l’idée avec plaisir et nous échangeâmes alors nos positions. Si j’avais su j’aurais bu plus d’eau, ma vessie n’était pas aussi pleine que la sienne, mais elle apprécia de recevoir mon jet sur son visage et sur sa poitrine. Nous continuâmes ensuite à nous frotter l’une contre l’autre, mélangeant le reste de nos urines puis restâmes enlacées dans la baignoire. Finalement nous décidâmes de nous rincer pour pouvoir réintégrer le lit et dormir.
— On recommencera ? demanda Mélanie.— Oui, avec plaisir ! J’aurais bien aimé rester un peu plus recouverte de nos mictions.— Une autre fois, alors.
Nous nous endormîmes rapidement et ne nous éveillâmes qu’au petit matin.
Julio avait envoyé une voiture pour nous prendre à l’hôtel après le petit déjeuner. Nous avions une réunion à dix heures avec les ministères de la recherche et de la culture. Après avoir fait connaissance de nos interlocuteurs, la réunion commença. Nous dressâmes tout d’abord les grandes lignes de ce que nous allions faire : exposition du manuscrit dans un lieu prestigieux, au milieu d’une exposition sur la place des femmes dans la société du XVIe siècle. Il y aurait des textes à écrie, des visuels à réaliser. J’assurai nos interlocuteurs sur la disponibilité du manuscrit pour les six mois de la durée prévue de l’exposition. Nous consacrâmes ensuite l’après-midi à définir l’exposition plus en détail.
La fin d’après-midi passée, Julio nous déposa à notre hôtel et nous proposa de passer la soirée ensemble dans un restaurant avec Manola. Nous acceptâmes avec joie. Comme la veille à notre arrivée, nous fîmes une visio avec la mère de Mélanie et pûmes voir nos chères têtes blondes qui nous manquaient un peu. La soirée fut de nouveau très agréable et Manola était absolument charmante. Julio et elle formaient un joli couple.À notre retour à l’hôtel, nous consultâmes nos smartphones chiffrés. Nous avions un message du directeur des opérations :[SMS] < Les satellites ont détecté une activité nocturne aux pyramides. On en parle à votre retour.
Nous lui répondîmes :[SMS]> Bien reçu. Nous passons vous voir après-demain.
Il se passait donc quelque chose là-bas au Brésil…
(à suivre)
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