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Amazonie 2

Chapitre 4

la deuxième bataille des pyramides

Travesti / Trans
Le vol commercial jusqu’en Guyane se passa sans encombre. Nous avions une partie de nos équipements en soute, sachant que le reste nous attendait soit là-bas, soit directement à notre site prévu d’atterrissage en parachute en forêt. Une fois arrivé, nous quittâmes l’aéroport pour rejoindre la base aérienne. Nous ne déclinâmes que nos grades et nos prénoms à l’entrée de la base, nous étions attendus. Nous nous changeâmes pour revêtir nos tenues de mission, un treillis spécial forêt amazonienne, nous préparâmes nos sacs pour le parachutage en mettant de côté les équipements pour la chute libre et le vol sous voile. Puis un capitaine de l’armée de l’air vint nous chercher pour nous emmener à bord de son A400M. Il avait pu calculer la plage de vol pendant laquelle il devait nous larguer compte tenu de la météo et des vents. il l’affinerait toutefois en vol pour tenir compte des dernières évolutions.
Le plan de vol était déposé incluant le survol prévu, il n’y avait pas d mauvaises surprises.
Les moteurs de l’avion se mirent bientôt en route. Hormis le largueur, il n’y avait que nous trois en soute avec notre matériel, tant mieux. Nous étions déjà dans notre bulle mentale opérationnelle, même si cela ne nous empêchait pas d’échanger des petits sourires entre nous. À quinze minutes du point de largage recalculé, nous nous préparâmes avec l’ensemble de nos équipements et lançâmes les dernières vérifications. Nous mîmes nos masques à oxygène et activèrent sa distribution. La soute fut alors dépressurisée pour permettre l’ouverture de la grande porte arrière et nous fûmes bientôt toutes trois en position puis nous jetâmes ensemble dans le vide de la nuit. Nous avions nos sacs attachés à nous et chutâmes un temps chacune tenant la main de l’autre, avant que Lia n’ait besoin de contrôler notre trajectoire avec sa tablette de bras.
Tout allait bien et l’ouverture des parachutes fut faite à la bonne altitude pour entrer en phase de vol sous voile de façon à arriver au point prévu. Avec nos jumelles de vision nocturne, un paysage irréel s’offrait à nos yeux, la forêt verte de jour l’était aussi de nuit. Nous avions le visuel les unes sur les autres et maintenions la distance nécessaire à notre sécurité tout en permettant un atterrissage groupé et de précision. Nous approchions de la forêt et aperçûmes le bras de rivière destiné à nous faire retrouver le plancher des vaches, quoiqu’il était assez improbable qu’il y en eut là où nous allions.
Nous largâmes les parachutes dès que nos sacs suspendus touchèrent la surface juste avant que nos pieds ne rencontrent l’eau eux mêmes. Un petit plongeon rapide qui fut de courte durée, nous avions pied et nous fûmes très rapidement sur la berge.
— Salut les filles ! dit une voix venant des taillis. Bienvenue en forêt.— Marcel ! s’écria Lia.— Tu sais que cette tenue de combat te va vraiment très bien, tu es encore plus belle que la dernière fois…— Arrête avec tes compliments sexistes à la con, Marcel. N’oublie pas que je suis ton supérieur en grade et pour cette mission.— Ok, commandant, j’arrête. Voici donc les capitaines Alexandra et Mélanie. Heureux de vous revoir et bienvenue dans le club des capitaines !— Merci Marcel, heureuses de te revoir aussi.— Ok les filles, fit Lia, on va passer la nuit ici, si Marcel a bien aménagé la zone.— C’est fait, répondit ce dernier.— Bien, nous marcherons demain toute la journée. On fera les sacs demain matin avant de partir. Des questions ?— Non, fis-je, tout va bien.— Alors bonne nuit.
Nous nous levâmes à l’aube. Nous vîmes l’installation de Marcel, les conteneurs des équipements pour notre retour, un joli petit camp. Marcel nous rappela qu’il resterait ici à garder le matériel et attendre notre retour. Nos sacs furent vite préparés : des vivres pour trois jours, nos armes et munitions, un peu de linge de rechange, les radios et téléphones, les tablettes de navigation, les jumelles de vision nocturne, des trousses médicales de forêt et bien sûr les machettes pour nous tailler un chemin. Nous nous maquillâmes en cohérence avec nos treillis et l’environnement de la forêt. Nous nous attachâmes les cheveux pour réduire nos surfaces d’exposition. Marcel s’éclipsa.
— On garde les chapeaux de brousse le plus possible pour protéger nos têtes. La forêt est dangereuse, dit Lia.

~ Non, elle ne l’est pas tant que ça, pas pour toi et tes amies, dit soudain dans ma tête une voix parlant dans la langue de la forêt, tout se passera bien, j’y veillerai.C’était la Déesse de la forêt qui me parlait. C’était la première fois qu’elle le faisait directement, j’en étais très très heureuse. Lia ajouta :
— N’oubliez pas de plus que lorsqu’une d’entre nous doit faire ses besoins, les deux autres doivent surveiller qu’aucune bête n’en profite pour grimper sur sa peau ni se glisser dans les vêtements. Pas de fausse pudeur en opération entre nous. Une devant et l’autre derrière.— Euh, Lia, tu sais, sur ce point… fit Mélanie, pas vraiment de problème, vue nos activités amoureuses !— C’est pas faux, admit-elle. Allez, en route. Ça va Alex, tu as l’air étrange ?— Ça va parfaitement bien, je suis en pleine communion avec la forêt. La Déesse nous accompagne.
Lia ne trouva rien à objecter, Mélanie me regarda avec amour comme si j’étais une sainte. Nous nous mîmes en route, la tablette nous guidait vers les coordonnées des pyramides.
Nous progressions vite et utilisons peu nos machettes, c’était comme si la végétation s’écartait un peu sur notre passage. Lia et Mélanie s’en étonnaient, moi je savais pourquoi. Nous fîmes une courte pose pour le déjeuner. J’eus le loisir d’observer la chatte de Lia et le cul de Mélanie alors qu’elles faisaient leurs besoins.
~ Jolies nymphes, fit la voix dans ma tête, toujours dans la langue de la forêt.~ Je ne savais pas que vous appréciiez autant les formes féminines, lui répondis-je dans la même langue.~ Et pourquoi crois-tu que j’ai créé les amazones ? Je suis une divinité féminine et j’aime les femmes, quoi de plus normal ?~ Cela va de soi, excusez ma réaction ! J’aurais dû y penser.~ Tu es excusée, après tout c’est la première fois que je m’adresse directement à toi. Je l’ai fait sur les conseils de mon amie Circé, qui te transmet d’ailleurs tout son amour à toi et à Mélanie. Elle ne peut pas te parler ici, c’est mon territoire.
~ Pouvez-vous m’en dire plus sur ce qui se passe aux pyramides ?~ Rien de dangereux, vous verrez. Tout est bien.~ Merci, Ma Dame. Au fait, comment dois-je vous appeler ? Je ne vous connais que sous l’appellation de « la Déesse », de par le texte de Jéromine.~ Ah, Jéromine, je l’aimais vraiment beaucoup, et la petite Raquel* aussi. Elles ont fait honneur à ta civilisation. « Ma Dame » ira très bien. Tu sais, Lia, Mélanie et toi êtes mes nouvelles amazones occidentales. Vous êtes des vraies guerrières, nobles, belles et intelligentes avec ça.
~ Merci, Ma Dame. Vous me touchez beaucoup et m’honorez.~ Tout le plaisir est pour moi, Alex. Et bravo d’avoir choisi le prénom de Jéromine pour ta fille, c’est une manière de m’honorer aussi.~ Voudriez-vous être sa marraine de cœur, comme Circé l’est pour Circé ?~ J’adore cette idée ! Merci beaucoup. Par contre je ne pourrai pas communiquer avec vous en dehors de la forêt, Circé a plus de libertés que moi et peux le faire sur les autres continents. Je pourrai toutefois lui faire un don, même à distance.
~ Je ne vous demande rien pour elle, si ce n’est qu’elle ait une vie heureuse.~ Je le sais Alex. Allez, rejoins vite tes amies. À très bientôt.
Mélanie venait de terminer son affaire et comme j’étais derrière elle, personne ne remarqua que j’avais eu l’esprit absorbé par une conversation intérieure.
Nous n’étions plus qu’à une heure des pyramides quand la nuit tomba sur la forêt. Nous mîmes alors nos jumelles de vision nocturne pour continuer notre progression. Une fois rendu à quelques centaines de mètres nous dûmes quitter nos jumelles vu les lueurs autour des pyramides : de nombreuses torches étaient allumées et il y avait des êtres humains qui dansaient, une cinquantaine environ. Nous nous approchâmes doucement, avec nos armes à portée de main en cas de besoin. Je savais que nous n’en aurions pas l’usage. Nous observâmes aux jumelles grossissantes que se trouvaient là des femmes et des enfants, toutes et tous quasiment nus, d’un morphotype très indien de la forêt. Je comprenais les paroles de leurs chants, dans la langue de la forêt. J’expliquai alors à Lia et Mélanie ce qui était en train de se passer.
— Ce sont des amazones de la forêt, dis-je. Elles honorent la Déesse, le culte a repris. Bientôt les jeunes garçons deviendront des filles. Observez à la jumelle comme leurs sexes de garçons sont petits, ils doivent prendre les plantes de la forêt. il y a aussi des ados ayant des seins et encore un petit pénis. Ils vont eux aussi devenir des jeunes filles.— Mince, dit Mélanie, si je pensai assîtes à cela ! Que faisons-nous, Lia ?— Rien, on observe et on rend compte plus tard.— On filme ? demanda Mélanie.— Non, ce serait indécent, fit Lia.
~ Bien notre Lia, me dit la Déesse. Nous sommes d’accord, restez-là et ne faites rien. C’est bien. je t’avais dit qu’il n’y avait pas de danger.
Nous restâmes donc à distance, notre accoutrement de guerrières modernes aurait risqué d’affoler les amazones qui nous aurait peut-être prise pour des soldats gouvernementaux. Nous décidâmes de passer la nuit où nous étions, en montant une garde en nous relayant. Au matin toutes les amazones dormaient. Elles étaient toutes femmes ou filles désormais. Lia, Mélanie et moi étions réveillées. Lia allait envoyer un message à Marcel pour lui annoncer notre retour quand nous commençâmes à entendre des bruits de moteurs de véhicules, d’abord lointains puis se rapprochant du secteur des pyramides. Nous ne pûmes voir ce qui se passait tant que les véhicules n’arrivèrent pas aux pyramides : deux camions bâchés et un 4x4 en version pick-up avec des hommes en tenues modernes armés de fusils d’assaut, qui débarquèrent en tirant des rafales et rassemblèrent rapidement les amazones qui semblaient désemparées. Elles n’étaient pas armées ni apparemment aptes au combat.
— On intervient, fit Lia, on laisse les sacs et on prends les armes, vite !— Ce sont des trafiquants ou des bandits, dit Mélanie. Ils vont les tuer ou les réduire en esclavage, les prostituer ou que sais-je encore.— Et détruire la forêt aussi probablement.
Nous progressâmes assez vite, la végétation tantôt nous masquait, tantôt nous faisait avancer plus vite. Lia nous indiqua qu’étant à trois nous tirerions pour tuer, pas d’hésitation à avoir.Nous fîmes irruption dans la clairière où se trouvaient les bandits et les amazones, déjà embarquées dans les camions. Il nous fut donc facile de ne tirer que sur les trafiquants, qui ne s’attendait pas du tout à notre attaque. Nous fîmes usage de nos fusils d’assaut. Les bandits furent bientôt tous morts ou neutralisés. Ils n’eurent pas le temps de répliquer, nous achevâmes les blessés, notre mission devait rester secrète. Les amazones sautèrent des camions en poussant des cris de joie. Elles se jetèrent sur nous pour nous embrasser. Elles étaient surprises de voir que nous étions des femmes sous nos tenues de guerriers. Je pus communiquer avec elle dans la langue de la forêt, servant d’interprète pour Lia qui ne parlait pas portugais. Je leur dis que nous étions nous aussi des amazones mais venions d’un autre pays de par delà la mer. Je sur dis que nous servions aussi la Déesse. Elles étaient émerveillées.
Elles nous expliquèrent que les gens que nous avions tués étaient aux ordres des cartels industriels et maffieux et qu’elles auraient été vendues à des bordels. Nous les avions sauvées. ~ Alex, Merci de fond du cœur à toi et tes amies. Je n’ai rien vu venir c’était trop tard et j’aurais eu du mal vu leur nombre.~ Vous avez bien aidé Jéromine après la première bataille des pyramides, quand le serpent a tué Gonzalez, non ?~ Oui, mais entre neutraliser un homme avec un serpent et tuer dix hommes d’un coup, il y a une marge. et puis comme ça vous ne regretterez pas d’avoir marché en forêt si lourdement chargées avec vos armes, me fit-elle dans un clin d’œil mental.
~ Circé n’aurait pas dit mieux.~ Merci, je le prends comme un compliment !~ C’en est un.
Une fois les effusions passées, nous restâmes discuter avec les amazones. Lia avait prévenu Marcel que tout allait bien mais que nous resterions sur site une journée de plus avant de rentrer. Elle ne parla pas de l’accrochage. Nous proposâmes aux amazones qu’elles nous aident à enterrer les corps des bandits loin du site, afin de ne pas gêner des fouilles archéologiques ultérieures. Nous mîmes pour cela les corps dans les camions et le 4x4 et les emmenèrent à cinq kilomètres de là. Nous trouvâmes un lieu propice à creuser des tombes (il y avait des pelles dans les camions) ainsi qu’un bras de rivière qui put engloutir les véhicules. Nous rentrâmes à pied avec elles jusqu’aux pyramides et passâmes le reste de la journée avec elles. Nous leur dîmes que notre présence et notre intervention devaient rester secrète et que rien ne s’était passé. Lia m’autorisa à dire que nous connaissions bien ce site et que Lia et moi y étions devenues femmes.
Nous ajoutâmes que nous pourrions revenir dans le futur, soit Mélanie et moi en tant que scientifique pour faire des recherches archéologiques, soit pour effectuer le rituel avec d’autres femmes en devenir de notre tribu. Je leur parlai de l’histoire de Jéromine. Elles avaient leur version de l’histoire, transmise par la coutume, où Jéromine était dépeinte comme un homme blanc devenu amazone. Elle avait résisté aux maladies qui avaient décimé les populations de la forêt et était repartie chez elle ensuite. Elle était revenue quelques années plus tard pour débarrasser le site d’un groupe de blanc qui s’y était installés et qui déshonoraient le site. Jéromine était citée comme une grande servante de la Déesse, une vraie guerrière amazone. Elles nous dirent que nous faisions honneur à sa mémoire. Elles nous indiquèrent l’emplacement de leur village pour quand nous reviendrions, elles seraient heureuses de nous recevoir en membres de leur tribu.
Nous repartîmes le lendemain matin et arrivâmes le soir venu à la lagune d’où nous devions repartir avec les tracteurs sous-marins. Nous racontâmes à Marcel ce qui s’était passé et fîmes notre rapport au directeur par liaison satellite. Lia n’omit aucun détail sur ce qu’elle avait perçu. Je ne parlai pas bien sûr de la Déesse. Nous passâmes la nuit sur le site. Nous pûmes retirer nos chaussures et alléger nos tenues pour la nuit.
Le lendemain, alors que nous nous changions pour revêtir nos tenues de plongée, Marcel ne put s’empêcher de complimenter le postérieur de Lia ce qui l’énerva beaucoup une fois de plus. Il lui dit même qu’il y mettrait bien son membre. Lia lui signifia qu’il était aussi arrêts de rigueur et qu’elle verrait plus tard pour sa punition.
Il nous fallut trois jours de navigation en traineaux pour rejoindre l’amazone. Le matin du deuxième jour, Marcel avait une tête étrange en se levant.
— Que se passe-t-il, Marcel, tu as l’air bizarre, demandai-je.— Je ne sais pas, j’ai très mal dormi. J’ai rêvé que quelqu’un me sodomisait, j’ai le cul en feu, ça fait mal.— Diable, fit Lia, un petit macho comme toi qui se fait enculer, c’est pas banal. Alors c’était bon ?— Je ne dirai pas cela, mais promis Lia, je te respecterai désormais.
Mélanie gloussait dans son coin. Se pourrait-il qu’elle ait… ? Lia la prit à part pour discuter. Elles m’apprit par la suite qu’elle avait vengé Lia pendant la nuit. Cela resterait (aussi) notre secret.
Au bord de l’amazone, alors que nous avions embarqué dans les 4x4 avec le matériel et une fois remis des habits civils, la Déesse me parla :~ Tu va bientôt quitter la forêt, je ne pourrai alors plus te parler. Merci encore, Alex.~ Merci à vous, vous m’avez sauvé la vie lorsque vous avez fait de moi une femme, que dis-je, une amazone.~ Oui, tu es une vraie amazone, reviens quand tu veux, souvent et vite, avec tes amies aussi. Et n’hésitez pas à revenir pour faire devenir femme d’autres de tes collègues en tant que de besoin. Tu connais la procédure.
~ Oui, Ma Dame.~ Ah, un dernier détail. Je me suis intéressée à ma filleule. Tu verras avec elle à l’usage.~ Ce n’était pas nécessaire.~ Je n’en suis pas si sûre, elle sera plus armée pour sa vie de femme dans votre monde trop dur. Et puis, tel est mon bon plaisir.~ En ce cas, merci pour elle.~ Merci à toi, à la prochaine, Alex.~ Au revoir, Ma Dame, prenez soin de la forêt et des amazones.~ Tu peux compter sur moi. Et félicite Mélanie pour le traitement infligé à Marcel, il le méritait.
Nous prîmes congé alors que le paysage ne révélait plus que des champs de palmiers à huile. J’étais dans le deuxième 4x4 avec Mélanie, Lia et Marcel étant dans le premier. Mélanie, qui conduisait, se tourna vers moi :
— Alors, avec qui étais-tu dans ta tête ? Circé ?— Non, avec la Déesse. Elle me parle désormais, mais il faut que je sois dans la forêt.— Ah, je me doutais bien qu’il y avait quelque chose… Tu sais, ce que nous venons de vivre, c’est un peu un remake moderne des aventures de Jéromine.— C’est pas faux, Mélanie, c’est pas faux. Tu sais, la Déesse m’a dit que nous étions nous aussi des amazones, des guerrières.— C’est pas faux, Alex, c’est pas faux.
PENDANT CE TEMPS, AU « SERVICE »
— Jeanne-Marie ?— Oui, Monsieur le Directeur ?— Faites moi s’il vous plaît une compilation de toutes les opérations présentant une très grande étrangeté. Cette histoire d’agents ennemis soi-disants changés en cochons me turlupine.— Pas de problème, je vous prépare un rapport à ce sujet. Cela dit, vous savez que les transformations en femme d’Alexandra et de Lia sont clairement de nature magique. En plus elles viennent de confirmer cette magie avec leur rapport sur la présence des amazones aux pyramides.— Oui, et alors ?— Rien, nous devons ne plus nous étonner de rien avec Alexandra, Mélanie et Lia, vraiment de rien.— Vous croyez ?— Oui, laissez faire la magie. Faites-leur confiance.— Alors pas de rapport selon vous ?— Non, pas de rapport, vous dormirez mieux.— Merci Jeanne-Marie.
(à suivre)
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