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Ambitieuse petite Lisa

Chapitre 3

Hétéro
Avec mon boulot d’Escort, mes revenus ont considérablement augmenté et ma condition s’est améliorée d’autant. Ça m’avait aussi permis de faire connaissance avec des patrons qui semblaient ravi à m’imaginer en secrétaire chez eux. Ils s’imaginaient déjà dans leur bureau au téléphone et moi sous le bureau à m’occuper de leur entrejambe sans savoir si j’allais donner suite. J’avais une vie agréable et toutes les semaines je m’amusais à donner du plaisir à des hommes d’affaires, mariés pour la plupart. Il n’était pas rare, compte tenu de mon assiduité au travail, que je reçoive une prime supplémentaire voire parfois des petits cadeaux comme des bijoux. Nous étions une poignée de fille à l’agence à être « très » bien coté. Il faut dire qu’on n’hésitait pas à envoyer du lourd pour satisfaire ces méssieux.
Un samedi matin, Gisèle nous convoqua pour ce qu’elle qualifia de « gros contrat ». Elle venait d’être contactée par un client d’envergure. Pour les besoins de ces affaires, un richissime émir du Qatar était en déplacement en Europe. Il avait prévu de dîner avec des clients et nous étions chargé de leur tenir compagnie. Seulement le client voulait que ce soit fait selon les coutumes de son pays. A savoir que les femmes mangent avant et qu’elles fassent le service pour le repas de ces méssieux le tout dans la tenue qu’il nous avait prévu. A la suite de ça l’émir allait choisir celle qui partagerait sa couche pour la nuit laissant à ses clients le loisir de choisir parmi celles qui restaient, la fille avec qui chacun allait passer la nuit.
Comme souvent, je fus convoqué avec Marie. Nous étions considérées comme les 2 étoiles montantes de l’agence. Avec nous, 2 autres valeurs sures de l’agence: Rachel et Déborah qui avaient déjà fait leurs preuves. Nous avions toutes les 4 acceptées les conditions sachant que la paie serait en conséquence. On commençait à se connaitre toutes. On faisait ça pour le pognon. Surtout Rachel qui avait un petit à nourrir et qu’elle élevait seule (un accident de carrière avec un client maladroit). Le jour du rendez-vous Nous étions toutes les 4 avec Gisèle devant l’hôtel. Gisèle envoi un SMS à son commanditaire et quelques minutes plus tard un jeune homme charmant, nommé Hassan, typé oriental, arriva pour nous mener à l’émir. Il se présenta dans un français impeccable avec une petite pointe d’accent, comme son secrétaire particulier ainsi que l’un des fils cadet de l’émir. L’aîné étant resté au pays pour gérer les affaires courantes en l’absence de son père.
Au dernier étage de l’hôtel de luxe, pas un bruit. L’émir avait loué tout l‘étage pour son personnel et ses clients de passage. Notre guide nous fit entrer dans une pièce où siégeait un homme habillé de la tenue traditionnelle des émirats. Barbu poivre et sel et massif, Il représentait parfaitement l’idée que l’on se faisait du personnage. Une fois devant l’émir il nous regarda défiler une à une devant lui. Nous étions toutes en tailleur et il semblait charmé. Puis l’émir, son fils et Gisèle partirent s’isoler. Gisèle revint 10 minutes plus tard et s’adressa à nous.
— Mesdemoiselles, Je vais m’en aller. Je vous laisse au bon soin de monsieur Hassan qui sera votre interlocuteur. Il vous expliquera ce qui vous sera demandé. On se verra Lundi. — Bien madame. Avons-nous répondu toutes à l’unisson.
Il était 15 heures, Hassan nous amena dans la chambre qui allait être notre vestiaire. Sur la table un repas copieux. Et dans une penderie, les tenues qui allaient être les nôtres.
— Voici la pièce qui vous est attribuée. Je vous conseille de manger, de prendre des forces maintenant, de vous changer et de vous préparer ensuite. L’émir aime que les femmes soient propres et parfaitement apprêtées. Vous avez une salle de bain derrière vous. Petite précision : l’émir souhaite que vous soyez épilées intégralement. Vous disposez de tout le nécessaire dans la salle de bain. Je vous conseil de faire une petite sieste. La soirée risque d’être longue. Le dîner est à 20h. Je passerai vous chercher à 19h30.
Nous n’avions même pas eu le temps de prononcer un mot qu’il était déjà parti. C’était une organisation plus que martiale. Mais il fallait faire avec. A 19h nous étions presque toutes prêtes nous mettions la dernière touches à nos tenues avec les bijoux qui étaient à notre disposition. Nous étions toutes vêtues de … pas grand-chose en fait. C’était comme une sorte de bikini revisité, très fin aux tissus dorés. La culotte c’était un string de tissus semi transparent aux contours cousus de fil d’or. Pour la poitrine c’était un haut fait d’une sorte de soie très douce mais quasiment transparente. Par-dessus cela nous étions recouvertes de riches parures de bijoux. Or et pierres précieuses. Ainsi que de longues voilures de couleurs pastelles mais tout aussi opaque que le reste. Dans le miroir on se disait toutes « mais on est nue ». Ces méssieux allaient choper une sacré trique.
A l’heure dite. Le jeune Hassan nous amena devant son père qui tenait à faire l’inspection lui-même (et se rincer l’œil au passage). Nous étions alignées devant lui tête baissée. L’émir se leva et tourna autour de nous plusieurs fois. Puis rejoint son fils, lui parla en arabe et repris sa place. Hassan nous demanda de prendre place au fond de la pièce à coté de la table ou était déposés les plats de la soirée et précisa que son père exigeait que Marie soit à son service exclusif. On avait toutes compris que l’émir avait déjà fait son choix pour cette nuit. Marie allait finir au lit avec lui ce qui semblait la ravir. Il faut dire qu’on avait du mal à rivaliser. Marie est une belle blonde sculpturale à forte poitrine, refaite mais très réussie. Hassan nous expliqua que nous devions rester immobile contre le mur durant le repas et ne bouger que lorsque l’émir claquera 2 fois des mains pour débarrasser ou servir. Seul Marie ne sera pas avec nous car elle restera légèrement en retrait derrière l’émir.
Nous étions là, à attendre. Marie assise à la droite de l’émir qui la caressait à travers son voile. Hassan fit entrer les clients. Le 1er était un riche industriel allemand qui semblait profiter abusivement des festivités de la fête de la bière à Munich. Le 2ème, un lord anglais très distingué et le 3ème, un banquier français (non ce n’est pas une mauvaise histoire drôle de cours de récré). Les hommes prirent place autour de la table. Tous les clients de l’émir avait les yeux rivés sur Marie mais ils comprirent très vite qu’elle était chasse gardée. Ces méssieux mangeaient et buvaient tout en discutant affaire. Tout le monde avait remarqué le manège de l’émir qui ne cessait de peloter et doigter Marie discrètement quand elle passait à porté. Ce qui donna des idées à l’industriel allemand qui ne me lâchait pas du regard et me mettait la main aux fesses à chaque fois que je le servais. L’émir était même allé jusqu’à faire tomber ses couverts au sol pour demander à marie de les ramasser. Inutile de vous dire que tout le monde a compris pourquoi elle avait mis plusieurs minutes à sortir de dessous la table, une minute après que l’émir ait poussé un soupir discret.
Une fois le repas fini, l’émir se leva pour rejoindre Marie et donna à ses invités la possibilité de choisir, pour chacun d’eux, celle qui leur tiendrait compagnie. C’est à ce moment que l’allemand arriva vers moi en me disant : « Tu viens avec moi Fräulein ». Les 2 autres firent aussi leur choix et chaque couple s’est retrouvé dans une des chambres de l’étage.
Dès mon entrée dans la chambre, j’ai senti venir le mauvais coup. Mon partenaire de la nuit avait abusivement profité des alcools sur la table. J’avais furtivement humé son vers et c’était très fort. J’aurais du garder la bouteille. Je suis sur que ça aurais été pratique pour débouché mon lavabo. Il sentait le picrate déjà avant. Etait-ce l’arrivée du beaujolais nouveau ? En tout cas il ne lui a pas fallu 10 secondes pour me mettre nue (vu le peu qu’il y avait à enlever …). Ensuite il m’a basculé sur le ventre, les fesses en l’air pour me prendre en levrette. Il faut dire que son sac à bière abdominale limitait les positions. Des qu’il eut fini sa petite affaire il s’est écroulé sur le plumard Et après … plus rien à en tirer. Il a passé sa nuit à cuver. J’étais limite déçue et vexée. Le lendemain vers 9 h, Hassan frappa à la porte pour nous signifier la fin de notre prestation. Je me suis dirigé avec mes affaires au vestiaire où Deborah et Rachel était déjà en train de se rhabiller. Peu de temps après, Hassan revint. Il était accompagné de Marie et de l’émir.
— Son excellence à tenu à venir vous remercier en personne pour la soirée. Vous avez comblé toutes ses espérances. il tenait également à vous faire cadeau des parures de bijou que vous portiez hier soir.
L’émir nous adressa la parole pour la 1ère fois de sa voix grave en anglais, avec une prononciation plus qu’approximative et un fort accent arabe.
— Fink you verry meutch for evrry fing.
Par respect nous nous sommes inclinées devant lui pour nous avoir reçus et il fit un baisemain à Marie avant de partir. Une fois rhabillées nous nous sommes toutes les 4 dirigées vers l’ascenseur. Alors qu’on attendait l’ascenseur on entendit du bruit venir de la chambre ou j’avais laissé mon partenaire germanique. On a eu le loisir de le voire débouler en caleçon dans le couloir, déçu d’avoir manqué sa soirée. Alors que la porte de l’ascenseur se refermait je lui ai lancé un petit « auf wiedersehen » moqueur, alors que lui me regardait d’un air dégoûté. Les filles n’avait pas compris pourquoi mais quand je leur ai raconté ma nuit elles ont éclaté de rire car elles, en avaient bien profité. On s’est séparé dans le hall de l’hôtel. Marie voulait me parler de sa soirée. Certes l’émir avait passé une bonne partie de la nuit à lui faire l’amour, et plusieurs fois. Mais il l’avait fait en refusant de se protéger et donc avait jouis en elle sans protection. Ne sachant pas trop quoi faire elle avait encaissé ses assauts en imaginant bien qu’il serait en parfaite santé. Elle m’a tout raconté.A peine arrivée dans la chambre, il l’a mise à nue et l’a sailli comme un étalon avec une jument sans préliminaire ni rien jusqu’à lui éjaculer dans son vagin. Il continua à limer pour se débarrasser des dernières goûtes jusqu’à une débandade complète. Une fois tout mou, il s’est occupé à la lécher partout en s’attardant longuement sur son bigorneau, son anus et surtout sa poitrine qu’il avait remarquée depuis le début. Il l’a longuement caressé avec ses mains puissantes et velues. Il s’est ensuite allongé sur le dos, lui a pris la tête entre ses mains pour l’amener sur son sexe encore mou.
— Suck it and stop when it is hard <suce jusqu’à ce que ce soit dur>. Fut la seule phrase qu’il lui accorda.
Marie ne connaissait pas son amant ni les jeux intimes qu’il avait l’habitude de pratiquer avec les femmes de son harem. Il a donc consenti à lui expliquer ce qu’il voulait car d’ordinaire, celle qui partage sa couche sait ce qu’il veut. Elle a alors commencé sa fellation. Vu l’âge de son partenaire et compte tenu de sa précédente jouissance, il mit un peu de temps à retrouver une érection digne de ce nom. Une fois de nouveau opérationnel, il l’a mise à 4 pattes et la sodomisa avec vigueur Mais se retira pour, encore une fois, jouir dans sa matrice. Une fois sa besogne terminée, il s’écroula sur le lit en entraînant Marie avec lui et avec son bras, la plaqua contre lui. Il l’embrassa durant de longues minutes et s’endormi comme une masse en la maintenant contre lui. Des fois qu’il aurait envie durant la nuit de remettre le couvert … Ce qui arriva.
Avant de nous rejoindre et après lui avoir offert sa semence en guise de petit déjeuner, il lui avait également proposé de devenir le « joyau de son harem » en l’incitant à en faire partie. Ce qu’elle avait décliné, de peur de se retrouver offerte à un de ses subordonnés quand il se serait lassé d’elle, après s’être fait engrossé plusieurs fois et sans avoir la possibilité de revenir en France un jour. Mais son inquiétude venait surtout de la possibilité de tomber enceinte de lui. On en a averti Gisèle qui, avec la grosse prime de cette soirée pouvait se permettre de payer l’avortement le cas échéant, si marie le voulait. Heureusement il n’y eu aucune conséquence. Par contre elle fut contrainte de ne plus travailler sans avoir les résultats de son examen médical. Même si Gisèle étaient une madame Claude new génération, elle faisait attention à nous (elle pouvait se le permettre vu que sans nous ce sont ses revenus qui baissaient). On s’en ai toutes sorties avec une paie équivalente à un mois de SMIC à temps complet pour une soirée. Jackpot !
Pendant ce temps, ma formation poursuivait son cours et pour une fois j’appréciais aller en cours. Je n’aurais jamais cru dire ça un jour. Je devais trouver un stage en entreprise pour finaliser le tout. Bien sur, grâce à l’agence, j’avais eu des contacts avec quelques patrons, moches et mal attentionnés qui ne voyaient en moi que la possibilité de tirer un coup aussi souvent qu’ils l’auraient voulu. Personnellement, je voulais vraiment faire une rupture entre ces 2 aspects de ma vie. Car à terme, je voulais arrêter l’Escorting pour avoir une vie plus rangée. Mais pour l’instant tant que je n’ai pas fini ma formation et trouvé un boulot, je continu à gagner du pognon. C’est toujours ça de pris.
Un jour Gisèle me convoqua pour une soirée avec un client qui, je ne le savais pas encore à ce moment là, serait mon dernier client. C’était un cadre commercial de la branche française d’une grosse multinationale venant négocier des affaires. J’étais sensé être sa « prime exceptionnelle » pour les négociations qu’il avait mené, le tout payé par sa boite. Quelque chose d’assez classique en somme (je disais ça d’un air blasé à l’époque). A l’agence je croise Rachel. Elle revenait d’un rendez-vous avec un client assez inhabituel : Un cardinal de l’église catholique. J’étais presque choqué d’entendre ça. Par contre elle semblait ravie de cette longue entrevue. Elle m’a raconté qu’avant de commencer leurs galipettes il avait voulu qu’elle se confesse. Par le verbe « confesser » il fallait comprendre « con » et « fessée ». Elle m’avait aussi raconté que, vu son ardeur à la besogne, il n’en était pas à son coup d’essai car il semblait très expérimenté sur la chose. C’est vrai qu’après tout ils ont fait vœux de célibat, pas de chasteté. Et puis historiquement le cardinal de Richelieu était aussi connu, à son époque, pour avoir des bâtards dans tous les coins.
Après m’être fait toute belle, je me rends au jour et à heure dite à l’hôtel pour le rendez-vous. C’était un bel homme du style Georges Clooney, bien bâti et très élégant. Ça promettait un bon moment. Et se fut le cas. Il était d’une douceur et d’une sensualité quand il me caressait. J’en frémis encore. Il savait tout aussi bien être tendre et brutal. En fait il voulait qu’on se comporte comme un couple qui se découvre et qui se teste autant dire que tout le kamasoutra y est passé. Après ces heures passées en sa compagnie, en me raccompagnant, il voulu en savoir plus sur moi.
— Dis-moi tu fais ça à plein temps ou c’est occasionnel ?— Je fais ça juste pour payer mes études et me mettre de l’argent de coté. Mon but c’est de me faire une situation confortable avec un boulot correcte.— Et pour ça t’as rien trouvé de mieux que de coucher ?— J’aurais pu faire autre chose, effectivement. Mais j’ai été traumatisé par mon enfance où je n’avais rien, ballotée de foyer en foyer. Là je gagne de l’argent et je m’amuse. Je fais des rencontres aussi….— Tu vas aussi me dire que tu cherches un mari grand, beau, riche et sachant s’occuper de toi ?— Oui aussi. On cherche toutes inconsciemment.— Bas désolé mais je suis déjà pris. Mais dis moi tu étudies dans quoi ?— Je fais une formation de secrétaire de direction. D’ailleurs faut que je m’active pour trouver un stage de fin d’étude.— Je peux peut-être faire quelque chose pour toi. On prépare une vague de recrutement dans les mois qui viennent et dans presque tous les services pour remplacer du personnel qui part en retraite et il y a des postes de secrétaire. Je pourrais en toucher 2 mots au DRH pour ton stage et comme tu auras une expérience chez nous, tu serais en bonne position pour postuler.— Vraiment ? Merci c’est sympas …. Mais attention je ne veux pas d’un poste du genre « tu couches ou t’es viré ».— Rassures-toi. C’est un poste tout ce qu’il y a de plus normal.— Ok je tente le coup alors.— Tiens prends ma carte, envoi moi ton CV et on s’organisera une entrevue.— Parfait Merci et au revoir j’espère.
Je suis reparti avec l’espoir de pouvoir faire mon stage, valider ma formation et trouver un boulot dans la foulée. Le rêve pour moi. Je l’ai très vite contacté et revu mais professionnellement cette fois. Pour me donner toutes les chances de réussir j’ai tout dis à Gisèle qui, me comprenant, m’a mise en stand by en attendant que tout soit finalisé et que je lui dise si je devais être rayé de la liste du personnel de l’agence.
J’ai été prise comme stagiaire quelques semaines plus tard pour une durée de 2 mois. Comme on me l’a promis, durant cette période, aucune coucherie, aucuns harcèlement sexuel, rien. Ça me changeait. Ça faisait du bien. Mais quelque part ça manquait aussi un peu. Je ne dirais pas que j’y avais pris gout mais j’en avais pris l’habitude. Je ne voulais pas retourner là dedans. J’estimais en avoir fait le tour et voulais m’émanciper de tout ça pour voler de mes propres ailes d’une manière plus « normale ». A la fin de mon stage le DRH voulait me voire. Je me suis rendu dans son bureau pour faire valider le formulaire de fin de stage et aussi pour discuter de la raison pour laquelle il m’avait convoqué.
— Bonjour monsieur. Vous vouliez me voir ?— Bonjour mademoiselle. Oui effectivement. Tout d’abord pour la fin de votre stage que je dois valider ….. voila ….. je rempli le formulaire ….. un coup de tampon …. Et voila. C’est fait.— Merci— Je voulais vous parler de la vague de recrutement que nous allons lancer d’ici 10 semaines. L’un des postes du secrétariat de notre PDG va se libérer et d’après M Lambert que vous connaissez et qui vous a aiguiller vers nous, vous correspondriez parfaitement au poste, que vous auriez toutes les qualités et compétences requises.— Et bien merci je ne sais pas quoi dire.— Il est vrai que votre stage chez nous a été plus que concluant ici je lis le bilan : prise d’initiative, bonne réactivité, flexibilité dans le travail. C’est parfait.— J’ai fait de mon mieux.— En plus il parait que vous parlez couramment l’anglais.— Oui j’ai eu un très bon prof de langue au lycée (oui très bon pour utiliser sa langue), Et durant la formation, les cours de perfectionnement n’ont pas été très difficiles. De plus J’ai eu, jusqu’à mon entrée chez vous, des activités d’ordre privées dans une association qui …. apportait du soutien affectif à des personnes qui en avaient besoin dont certains étaient étrangers donc on parlait en anglais (Ok la j’enjolive bien mon activité d’escorte mais je n’allais pas tout lui déballer non plus).
Après cette phrase, je le vit rire sur sa table. Je me demandais bien ce que j’avais dit de si drôle.
— Voyez-vous, mademoiselle, quand il s’agit de recruter une personne pour un poste aussi proche de la haute direction de l’entreprise, j’ordonne une enquête discrète mais méticuleuse. Vous comprendrez que nous devons prendre nos précautions. — Oui tout à fait.
Aïe ! Je n’avais pas du tout prévu ça. Que savait-il sur moi ? Pourvu que ça ne me fasse pas chuter pour le poste. A ce moment là, il sorti de son bureau un dossier portant mon nom et commença à le feuilleter.
— Ce dossier nous permet surtout de mieux vous cerner. Sachez que tout ce qui ce dira ici, restera dans cette pièce. — Merci.— Vous savez, dans les hautes instances de l’entreprise, tout ce sait. Nous avons, en ce qui concerne les hommes à notre niveau en tout cas, presque tous connu l’agence de Madame Gisèle. Je dois dire que qualifier son agence d’association apportant du soutien affectif à des personnes qui en avaient besoin, je trouve ça très poétique.
Merde, Il sait. C’est Lambert qui m’a balancé. Je me demande bien quelles surprises m’attendent encore.
— Dans votre dossier scolaire on distingue un 19 au BAC alors que vous étiez à 6 durant l’année sur cette même matière ? Je me demande ce qu’il a pu se passé avec M ….. Tréault.
Au vu de son sourire il devait bien en avoir une idée. Et le fait qu’il ait le nom de l’examinateur du BAC que j’ai dépucelé à l’époque montrait qu’il était allé très loin. Ce n’était plus la peine de cacher quoi que ce soit.
— Alors Mademoiselle ? — Oui j’ai fait plaisir à ce monsieur. Je l’avais charmé et c’est lui qui m’a proposé 18 pour une nuit.— Vous avez du être convaincante pour avoir 19 ?— Surement, mais c’est à lui qu’il faut le demandé.— Vous avez su améliorer vos notes en math et en anglais visiblement. De la même manière ?— A peu de chose prêt oui.— Ok ça va me suffire.— Je perds le boulot, c’est ça ?— Non au contraire. Vous n’avez peur de rien vous savez maîtriser une situation qui vous ai défavorable. Vous savez utiliser tous les atouts à votre disposition pour en tirer avantage. ça démontre que vous êtes une battante même si vous ne le faites pas de la meilleure manière à mon gout. Toutefois il y a un aspect que nous n’avons pas abordé.— Lequel ?— Nous cherchons une nouvelle secrétaire pour notre PDG et elle aura accès à des infos confidentielles. Il faut savoir garder le silence.— Je n’ai jamais dénoncé ma copine Jessica avec ses « petites affaires » au lycée.— OK Mais ce n’est pas tout. La personne que nous cherchons travaillera en étroite collaboration avec le PDG. Elle partagera « une certaine intimité » avec lui. Vous me comprenez ?— Oui, vous cherchez une secrétaire ….très particulière.— Voila ! On s’est compris. Je voulais que vous le sachiez avant d’accepter le poste. Si vous refusez celui-ci, il y aura d’autres postes plus conventionnels ceux là. Mais sachez une chose Notre PDG est un homme, … disons le crument c’est un chaud lapin, un vrai queutard. Il sait se tenir en société mais lorsqu’il est seul avec une jolie femme, il a un peu de mal à contrôler certaines pulsions. Toutefois il sait se montrer d’une extrême générosité lorsqu’il est satisfait de ces collaboratrices. C’est un homme riche influent et très gentleman avec les dames. Donc si vous acceptez le poste et que vous accédez à ses avances, il assurera votre avenir financier … à vie si tout se passe bien.— A ce point ?— Oui. Bien sur il faudra négocier tout cela avec lui. Nous ne voulons pas vous mettre le couteau sous la gorge et sachez que vous ne serez en rien muselée. Vous conserverez votre liberté de rétractation au cas où. Vous avez un délai pour nous répondre. Nous attendrons les résultats de votre examen. Ensuite nous vous indiquerons les pièces justificatives pour votre dossier. Des questions ? — Non, pas pour le moment.— Bien sur si vous parlez des détails de notre entrevue nous nierons en bloc. Il nous faut observer la plus subtile des discrétions.— Je comprends bien.— Mais sachez que vous aurez beaucoup à y gagner à accepter le poste.— Je vais y réfléchir.
Un poste de secrétaire coquine en échange d’un avenir financier assuré ou du moins confortable. On me proposait ce que je cherchais sur un plateau en échange de mes faveurs. Vais-je accepter ou choisir autre chose ? Je me suis poser la question. C’est vrai que j’avais, à mon âge économisé assez d’argent pour être tranquille durant quelques années. Mais je ne voulais pas me reposer sur mes lauriers.
Ma formation a été validée quelques semaines plus tard. J’avais invité Marie et Jessica pour fêter ça lors d’une soirée entre filles. On s’est éclaté comme des folles. On a un peu le même état d’esprits toutes les 3.Sous l’effet de l’alcool on s’est fait quelques révélations sur nos passés respectifs : Jessica qui suçait le proviseur au lycée et qui s’était tapé l’examinateur de français du BAC, moi qui ai dépucelé l’examinateur du bac d’histoire géo et couché avec 2 prof plus les baby-sitting crapuleux, Marie qui s’est tapé le mari de Gisèle le lendemain de son embauche à l’agence, et qui continu de le voir régulièrement (personne ne savais ça), …. Enfin bref c’était le jeu de la vérité. J’en ai profité pour leur dire pour la proposition qu’on m’a faite. On se disait tout et je savais qu’elles le garderaient pour elles. Quand je leur ai dit, elles se sont regardées et m’ont dit d’une seule voix « va z y fonce ». Il faut dire que j’en étais plus à ça près niveau mec et puis plus de 2 mois sans en avoir un entre les cuisses, depuis la seconde ça ne m’était pas arrivé.
Le lendemain, J’avais pris ma décision concernant la proposition qui m’avait été faite. C’est vrai qu’avoir un « mécène » en échange de moments agréables, je n’ai pas trouvé ça excessif surtout si la générosité annoncée est à la hauteur. Je suis vénale ? … et bien oui finalement. Et je ne suis pas la seule. J’ai alors pris mon portable et composé le numéro du DRH.— Allô— Allô ici Lisa, la future secrétaire de votre PDG.— Bonjour, comment allez vous ? J’en déduis que vous acceptez le poste alors ?— Ça va bien Merci et effectivement j’ai accepté.— Vous m’en voyez ravi. Monsieur Vernieux va être content. J’ai votre CV sous les yeux. L’adresse mail n’a pas changée ?— Non.— Parfait je vous envoi la liste des documents à nous fournir. J’oubliais une chose. Vendredi en 8, on organise une grande réception pour les cadres haut placés de la boite. Bien sur le PDG sera présent. Si vous pouviez vous y rendre, en tenu de soirée bien sur, vous pourriez y faire la connaissance avec votre future supérieur hiérarchique. Je vous envoi une copie du flyer ainsi qu’une accréditation pour entrer.— Très bien. J’y serais.— Dans ce cas, j’attends vos documents et je vous dis au revoir, à la réception. — Au revoir.
Je me suis procuré toutes les pièces sauf certaines qui ont mis plus de temps. Outre les éternelles copies de diplôme et pièces d’identité, on m’a aussi demandé un certificat médical complet ainsi que les résultats du teste de dépistage VIH et une preuve comme quoi j’avais un moyen de contraception. Je prenais la pilule depuis la seconde donc de ce coté là pas de problème. Je n’étais pas idiote. Je savais que c’étais pour pouvoir me prendre sans protection ni risque de grossesse. J’ai tout envoyé 2 jours avant la fête.
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