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Ambitions

Chapitre 1

Le rendez-vous

Erotique
Obéissante et envieuse, rêveuse déjà du plaisir que tu allais prendre à te donner à moi rien qu’à moi, tu avais préparé ton corps pour l’amour. Avec soin tu avais épilé ton triangle secret, avec soin tu avais oins ton corps des onguents les plus suaves, avec soin encore tu l’avais revêtu de cette dernière trouvaille que tu me réservais, ce simple bustier rouge sang qui pigeonnait tes seins, accentuait ta taille et faisait saillir ta croupe. Une jupe longue et claire et une simple veste complétaient cette panoplie, tu savais si bien que nos soirs de retrouvailles je n’avais pas envie d’être embarrassé, gêné en quoi que ce soit dans l’inquisition de ton intimité. Plus que tout je sais que tu aimes cela, même si tu répugnes à le reconnaître, à le répéter quand je te le demande.
Tu as presque vingt ans de moins que moi, tu as déjà faire chavirer bien des cœurs et des queues, d’ailleurs tu me l’as avoué par écrit comme je te l’ai demandé. Tu pensais en  jouer aussi facilement avec moi qu’avec les autres pour gagner ta part du gâteau dans ce microcosme parisien des ambitions politiques. Tu étais venue assister à un cycle de conférences que je donnais, non pas parce que le sujet t’intéressais mais parce que JE t’intéressais. Simplement, tu n’avais pas du tout imaginé la tournure que prendrais notre relation dès notre première rencontre en tête-à-tête. Tu te savais prête à monnayer tes charmes contre quelque faveur mais sans penser que c’est moi qui en fixerais le prix, celui de ta dépendance totale et finalement consentie…
Il y a si longtemps que nous ne nous sommes pas vus, pas touchés, que tu sais déjà que ma première envie sera violente, crue, et rien qu’à cette idée tes cuisses se serrent convulsivement sur ton ventre nu et d’un seul coup tout dégoulinant. Tes tétons s’érigent, se frottent à l’envi sous la soie du bustier et il te faut croiser maladroitement ta veste sur ta gorge pour masquer les aréoles brunes et gonflées hors des balconnets…
Est-ce parce qu’ils sentent ton trouble ? Ou seulement une idée que tu te fais ? Dans ce café où je t’ai donné rendez-vous, tu sens d’un seul coup les regards des hommes s’attarder sur toi, détailler tes rondeurs  exagérément mises en valeur. Plus qu’une impression, c’est une certitude qui t’envahit, tous savent bien que tu es nue sous ta jupe, ils l’ont bien vu quand tu t’es assise, prête à t’offrir au plus entreprenant, tant le désir te tord les entrailles !!!
C’est à ce moment-là qu’il fallait que j’intervienne.  Je suis arrivé sans bruit derrière toi. En fait j’étais là depuis longtemps à savourer le regard des ces mâles sur toi tu sais petite ?
J’a posé mes mains sur tes épaules et toi tu as ployée aussitôt la tête, et de ce geste j’ai tiré tout à la fois le plaisir de te voir  m’offrir ta nuque à mes baisers et ta soumission implicite. Dehors, il me semblait que le génie de la Bastille, perché tout en haut de ce phallus de métal, ne regardait plus que nous, au contraire de tes voisins de terrasse, visiblement déçus de te savoir prise…déjà conquise.
Assis a côté de toi , ma jambe contre ta cuisse, je t’incite à venir te frotter à moi , à  laisser ma main s’insinuer sous ta veste déboutonnée pour aller tâter tes tétons saillants au dessus du bustier. Sous la vague de désir que cette caresse éveille en toi tu ne résistes pas à glisser ta main sur ma cuisse jusqu’à effleurer la protubérance tendue sous mon jean.
Je me relève et te saisis par le poignet pour t’entraîner dans la salle du bar, puis plus loin. Devinant d’un coup mon idée tu résistes un instant, mais ma traction se faite plus forte plus impérieuse. Oui, je te pousse dans les toilettes femmes, dans un des deux placards exigus où trône une cuvette d’email blanc. Sans même refermer la porte je t’ordonne de trousser ta jupe et de t’y asseoir cuisses écartées sur ton ventre soigné, malgré la honte qui t’envahit. Caresse-toi petite, avoue- moi que tu aimes cela…autant que moi. Relève ta tête, regarde moi et dis-moi que tu es ma femelle, ma salope, ma putain !!!. Ces mots te font honte je le sais, petite bourge parisienne que tu es dans une autre vie, et pourtant à les répéter tes yeux luisent du même plaisir que celui qui mouille ton con.
Je sors ma queue devant tes yeux brillants de honte et d’envie mêlées.  Je sais bien que cet aveu d’envie, ce pieu de chair dressé pour toi va faire taire en toi toute pudeur. Ta bouche s’ouvre et s’approche mais je te repousse…non petite ouvre toi d’abord. Je veux te voir te donner ton plaisir je veux sentir cette envie monter en toi. Jamais tu ne t’es senti aussi femelle…à te toucher ainsi assise sur ces toilettes, le lieu, les odeurs, rien de tout cela ne t’arrête tant ton envie se fait brute, évidente.
T’es tu déjà ainsi touchée, t’es tu déjà ainsi doigtée le con, massée les seins devant la queue dressée d’un homme ? Si tu te voyais seulement là…la jupe troussée à la taille, les cuisses ouvertes au delà de l’obscène, les seins saillants!!!
J’adore te voir te donner ainsi ton plaisir. Je le guide : « enfonce tes doigts petite salope, plus fort, plus loin ». Je l’accentue en me branlant devant toi et tu vois ma main aller et venir sur ma queue tendue et tu gémis en suçant ton doigt mouillé de ton envie ….
A suivre ?
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