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Amélie, comme une petite soeur

Chapitre 4

Hétéro
Jour 5
Le jour se lève tout comme mon érection. Je suis toujours collé à Amélie. Mes idées ne sont pas très claires, j’émerge doucement.
J’ai l’agréable sensation de sentir sa peau dans ma main. Je sens des chairs tendres et agréables à caresser, c’est moelleux, onctueux, une zone y est pourtant plus ferme. Inconsciemment, je dépose un baiser dans sa nuque et renifle ses cheveux. Je continue à émerger petit à petit en caressant cet endroit si agréable.
Soudain, je réalise ! Ma main est sous son haut et je n’ai plus aucune barrière entre sa peau et son sein que je caresse depuis plusieurs minutes. Le contact est si délicieux, sa peau est tellement douce, et continue ma caresse, je sens son téton se durcir sous ma main et mes doigts.
Mon sexe est fièrement érigé et calé entre ses fesses, seuls le tissu de mon boxer et le satin de son shorty nous séparent.
Elle gémit.
Je réalise enfin la situation, je suis réveillé maintenant et ma raison reprend le dessus, il faut que je me dégage de cette situation compromettante. Je bouge lentement la main pour ne pas la réveiller, elle gémit un peu. J’attends alors quelques secondes et réessaye de m’extraire.
— Non continueeee...
J’ai l’impression qu’elle dort encore pourtant. Je continue à faire glisser ma main pour la retirer de son haut.
— S’il te plaît...
Elle prend alors ma main et la plonge dans son shorty, je sens que son sexe est entièrement rasé.
— Fais-moi l’amour s’il te plaît, je suis toute mouillée... — Euh non, c’est pas une bonne idée...
Je ne dois pas être sain d’esprit pour répondre ça, et ma queue indique tout le contraire de ma bouche en palpitant comme pour exprimer son mécontentement.
Elle appuie avec sa main sur la mienne pour me forcer à la caresser, je sens son sexe qui est trempé comme elle vient de le faire, elle frotte sa main sur la mienne pour la faire glisser sur sa fente
— Fais-moi l’amour s’il te plaît... — Non. Non, arrête !
Je force pour me dégager, elle s’agrippe à ma main, mais au moins, elle n’est plus plaquée sur son sexe.
— Mais j’ai envie de toi, fais-moi l’amour Eric... — Mais c’est pas Eric !
Cela a l’effet d’un électrochoc, elle me lâche la main et ouvre les yeux.
— Oh merde ! — Euh bonjour.— Oh bordel de merde.— Tu as bien dormi ?
J’essayais tant bien que mal de détendre la situation.
— Je suis désolé, vraiment désolé... j’étais en plein rêve érotique... — J’ai vu ça.— Désolé.— Tu l’as déjà dit juste avant...
Elle place ses mains devant son visage
— OH LALA quelle honte !!! Avec Eric, on a décidé de ne rien faire jusqu’au mariage depuis novembre dernier. Ca fait sept mois, j’en peux plus, je crois.— Ah oui ça fait sacrément long, moi qui pensais que tu pouvais tout simplement pas résister à mon charme fou.— T’es trop con.— Aahhh, j’ai réussi à te faire rire.— Merci en tout cas... merci de ne pas avoir profité de la situation.— A ton service. — J’ai trop honte !!!! — Ne t’inquiète pas, tu n’as pas à avoir honte, c’est moi qui devrais être honteux. Je dois t’avouer que j’ai eu du mal à émerger de la nuit, j’étais à moitié conscient. En fait ma main était sous ton haut directement sur ton sein que j’ai caressé de longues minutes. Donc c’est totalement ma faute.
Avec Julia, on n’a fait que deux fois l’amour depuis la naissance de Raphaël, elle me dit qu’elle n’a plus de libido. Je crois que moi aussi j’en peux plus comme toi, je suis vraiment désolé.
Visiblement Amélie était encore assez perturbée d’un tel réveil
— Oh mon sein... ah euh... je pensais pas, vous parlez de cul tout le temps... ça fait long en effet.— Tu crois pas que ce serait sans doute mieux qu’on fasse chambre à part, car j’ai beau te voir comme une petite sœur, j’ai peur qu’on finisse par faire n’importe quoi sans même le vouloir.— Tu as sans doute raison... mais... tu vas réussir à dormir sans mon sein ?— Grrrr ! Tu vas voir !!!
Elle sort du lit en courant, je me mets à sa poursuite jusque dans la cuisine, son petit cul, moulé dans son shorty, se trémousse devant moi, je la rattrape et lui mets une tape dessus, nous arrêtons alors notre course-poursuite, elle me sourit et me tire la langue.
— Il est encore tôt, j’ai juste pris de quoi faire le petit-déjeuner, je peux te laisser les enfants le temps que j’aille faire des courses, ça sera plus calme à l’ouverture et j’y passerai moins de temps. — Bien sûr.
Elle m’agrippa par les fesses et me plaqua contre elle, fit mine de m’embrasser et fit atterrir son baiser sur ma joue.
— Si c’est ça la vie de femme mariée, se faire dorloter avec un petit homme qui fait tout, je devrais annuler toute la cérémonie et filer à la mairie tout de suite et rejoindre Eric pour enfin baiser !
Elle me donna une tape sur le cul à son tour et nous explosâmes de rire.
— File t’habiller et faire les courses mon petit mari, sinon ça sera une vraie fessée.
Je reviens deux heures plus tard, le coffre chargé à bloc, paré pour la semaine, les enfants sont habillés et s’éclatent dans la pelouse. Le temps est chaud et beau, nous décidons donc d’aller à la plage après le repas.
Arrivés à la plage, briefing avec les enfants, règles de sécurité, crème solaire. Loïc attaque déjà un château de sable, et Raphaël explore le plaid amené à sa disposition, n’osant pas encore trop s’aventurer sur le sable.
Amélie commence à retirer son tee-shirt dévoilant un ventre parfaitement plat, sa peau blanche est étincelante au soleil. Son haut de maillot de bain rouge souligne sa peau parfaite immaculée.
Elle fait ensuite glisser sa jupe en jean à ses pieds, et bien qu’elle fasse bien attention à plier les genoux, je peux voir bon nombre de regards masculins se braquer dans notre direction.
Elle me tend la crème solaire.
— Petit mari, au boulot.— Oh c’est bon, tu es une grande fifille, le jeu est fini.— Ca m’aiderait que ce soit toi pour bien faire comprendre à tous ces mâles en rut dont je suis subitement le centre d’attention qu’ils peuvent trouver un autre point de vue. Si j’en mets moi-même, ça va être encore pire. Regarde celui-ci couché sur le ventre, il a passé la main sous lui, déggueuuu, c’est quoi cette plage ????— Ah pardon, je n’avais pas compris.— Gaffe à ton joli cul, la fessée se rapproche !— Euh... tu en veux où dans le dos ? — Non, mais toi alors, tu as vu ma peau, il m’en faut partout, tu veux que je ressemble à une écrevisse ?!?— Pardon, c’est juste que ça me met mal à l’aise après ce qu’il s’est passé ce matin.— Excuse-moi, je n’avais pas saisi. Oui commence par le dos, ça va aller, c’est juste de la crème, le reste va se faire tout seul.
Elle s’allonge sur le dos et je commence alors à l’enduire de crème, dos, épaule, nuque, bras, les reins, descends à la lisière de son bas de maillot.
Je commence à enduire ses mollets, puis remonte sur ses cuisses. Elle a vraiment un corps parfait, j’apprécie de plus en plus de faire glisser mes mains sur elle. Je remonte sur ses fesses, mes doigts remontent de plus en plus et s’aventurent sans doute un peu plus loin que nécessaire sous le bas de maillot pour mettre de la crème je l’avoue.
— OK, ça a l’air de plutôt bien marcher, beaucoup ont décroché depuis que tu as commencé, je me retourne.
La voilà face à moi, j’aperçois au travers de ses lunettes de soleil qu’elle ferme les yeux. Je commence par mettre la crème sur ses jambes que j’aime tant, j’en profite donc pour les regarder sous toutes les coutures.
— Qu’est-ce qui te plaît tant dans mes jambes ? — Elles sont juste superbes ! Bien proportionnées, ni trop fines, ça ne fait pas des pattes d’insectes et à l’inverse ce ne sont pas des poteaux. Tiens, regarde la femme là-bas, c’est horrible, elle a les genoux plus larges que les mollets, on dirait une mante religieuse, et elle, là-bas, ce sont des V, il n’y a aucun galbe. Les tiennes sont juste... parfaites... en tout cas à mes yeux.— Merci alors.
Je continue et remonte le long des jambes, je passe alors à ses cuisses, encore une fois je ne peux pas m’empêcher de remonter de plus en plus et petit à petit mes doigts viennent effleurer son entrejambe, je peux remarquer petit à petit une tache sombre en train de se former sur son bas de maillot.
— Amélie ? — Hummm Oui ? — Non rien, laisse tomber.— Humm OK continue c’est bien.
Je passe sur son abdomen et étale la crème, cette fois-ci, je ne me permets pas de jouer avec la lisière de son bas de maillot de bain. Je remonte, lui enduis les bras.
Ne reste plus que son buste.
J’enduis ses bras et ses épaules, elle ne me lâche pas du regard en même temps que mes mains glissent sur elle.
— Mets-en sur mes seins aussi s’il te plaît.— Ah non pas ça.— Si, il ne reste que l’autre pervers qui se touche, de toute façon tu as déjà fait connaissance avec un d’eux ce matin, je te signale.
Je tourne la tête et vois le bras de l’autre dégueu remuer plaqué sous lui. Je fais la moue.
— OK, mais ça risque de plus l’exciter encore.— Oui et donc de lui permettre de terminer.— Arf t’es dégueu.— C’est lui pas moi qui est un gros dégueu.
Je mets de la crème dans la paume de ma main et commence à glisser ma main sous le haut de maillot. Je sens son téton que j’effleure des doigts. Le souffle d’Amélie s’accélère, je saisis tout son sein et commence à faire glisser ma main pour l’enduire de crème, je vois qu’elle se mord la lèvre et sens son téton durcir. Ce n’est d’ailleurs pas la seule chose à durcir, car mon sexe est en ébullition et ne demande qu’à s’échapper de mon short avec le contact de ce sein divin.
Je passe au second sein et fais la même opération, Amélie gémit et se cabre légèrement, puis mes mains se séparent d’elle, ma mission étant terminée.
— Merci...
Je m’interroge, « merci » pour l’avoir enduite de crème ou pour le plaisir qu’elle semble avoir pris, mais me contente de lui sourire de façon gênée.
Nous n’avions pas été très attentifs aux enfants, heureusement, ils sont toujours à la même place.
— Tu n’enlèves pas ton short ? — Non pas pour l’instant.— Mais il fait super chaud ! — Oui pas tout de suite... il faut que j’attende un peu... — Fais pas le boulet qu’est-ce que tu attends ? Viens on va dans l’eau avec les gosses.
Je baisse alors un peu mon short pour lui faire voir mon maillot de bain et ce qu’il contient.
— Ah... En effet... je vois... hi hi hi.
Raphaël commence alors à partir en expédition sur le sable
— Je vais m’en occuper, reste là, faudrait pas qu’on te voie courir après un gosse avec la queue complètement raide.— Très drôle HAHAHA, je suis mort de rire... Et la crème ? Moi qui me la passe ? — Bah tu sais où est le tube, non ?
Je la suis du regard, elle est tellement belle. Elle ne prête plus attention aux différents regards qui se posent sur elle. Elle s’extasie devant son filleul et me sourit régulièrement, on est dans notre monde et semble être une famille parmi tant d’autres.
Soudain, Raphaël pique la tête la première dans le sable, sans doute fatigué par sa cavalcade effrénée à la découverte de ce nouvel endroit.
Je la vois se pencher rapidement pour le ramasser, je sors déjà les lingettes pour le débarbouiller avant qu’elle ne revienne vers moi.
La suite de l’après-midi s’est déroulée entre farniente, pâté de sable et barbotage.
Le repas du soir fut simple, une fois les enfants couchés, je lui prépare sa tisane habituelle.
— Ca va ? Je t’ai vu te tortiller tout le repas sur ta chaise, tu as pris un coup de soleil ? — Pas du tout, je crois que je me suis froissé un muscle dans le dos en ramassant Raphaël tout à l’heure, au début ça tirait juste un peu, mais depuis qu’on a quitté la plage, j’ai de plus en plus en mal. — Je vais te faire un massage, j’en fais régulièrement à Julia. Il est encore assez tôt, la pharmacie doit être encore ouverte, je vais aller acheter de l’huile, j’enfile mes affaires de running, ça ira plus vite qu’en voiture.— Je suis pas contre.
Je reviens une grosse vingtaine de minutes après. Aucun bruit dans la maison. Je monte à l’étage.
— Amélie ? — Je me suis installée dans ma chambre.
J’entre alors dans la chambre, elle est couchée sur le ventre, elle s’est changée et a mis son pyjama de satin noir et blanc.
— Tu as trouvé l’huile ? — Oui, je vais me changer et j’arrive.— Non, j’ai trop mal, commence tout de suite.
Outre le fait d’avoir transpiré, je suis simplement vêtu d’un short et tee-shirt de course ultrafin et ultra-moulant.
— OK, décale-toi bien au milieu du lit, merci.
Je me mets à califourchon sur ses jambes.
— Ca va, tu es bien installée, je te fais pas mal ? — Non tout va bien.— OK, explique-moi où tu as mal et montre-moi.— Grosso modo sur le côté gauche, des reins jusqu’à l’omoplate en diagonale.— OK... euh je vais remonter un peu ton haut.— Vas-y.
Je remonte son haut jusqu’à la moitié de son dos. Je lui indique la zone du mal pour valider ma compréhension.
— C’est bien sur cette zone que tu as mal.— Oui c’est bien ça.— OK, je commence alors, je débute doucement par quelques palpés et ensuite je mettrai l’huile et j’appuierai plus.
Je débute, mais le haut est ultra-gênant
— Il va falloir retirer ton haut. Par contre, je peux pas accéder partout.— OK, ça m’étonnait que tu ne l’aies pas demandé.
Elle retire alors son haut, je l’aide afin qu’elle ne se fasse pas encore plus mal.
Après avoir bien préparé sa peau, je mets de l’huile sur mes mains que je frictionne pour qu’elle ne paraisse pas trop froide, et commence lentement afin que sa peau puisse s’imprégner de l’huile.
— Ca va ? — Oui, c’est tout doux pour l’instant.— Oui, j’insisterai un peu plus ensuite, alors ce mariage, prête ? — Oui, il y a plus qu’à signer, mais c’est un peu bizarre en ce moment.— C’est-à-dire ? — Je me pose des questions, est-ce que c’est le bon ? Qu’est-ce que ça va changer ? Et je dois t’avouer qu’entre ce matin où je t’ai quasiment forcé à me masturber et la plage où tu m’as enduite de crème... bah euh... je me sens fautive et pas à sa hauteur... — Ce sont des craintes classiques, on passe tous par là. Et puis ce matin, tu n’étais pas consciente, tu dormais encore.— Oui, mais cet après-midi, je l’étais bien consciente... — C’était à cause de tous les pervers qui te mataient pour les calmer un bon coup, aucun de nous n’en avait envie.— Si tu le dis... tu as raison, je me pose trop de questions... hmmpfff, là ça fait mal ! — OK, je vais faire attention.— Et toi avec Julia, comment ça va ? — Je sais pas.— Comment ça ?!?— Comme je t’ai dit ce matin on a fait que deux fois l’amour depuis la naissance de Raphaël, une autre fois quand elle était enceinte et encore avant... bah c’était la conception. Donc en un an et demi... 4 fois.— Ah ouais.— Pourtant je suis hyper-prévenant avec elle, je prends soin d’elle et j’ai beau la chauffer et rien, franchement j’ai tout essayé pour lui donner envie, mais rien.— Hmmm, ça fait du bien. Pardon, je t’écoute, vas-y continue.— En fait, je crois qu’elle va voir ailleurs, j’ai reçu un MMS de son voyage, et je sais pas bien l’expliquer, mais ça colle pas, c’est bizarre. Avec moi, elle est super froide, et pourtant, elle s’habille super sexy, toujours en bas, robe ou jupe et belle lingerie.— Tu sais, elle apprécie peut-être simplement d’être féminine, on a le droit de s’habiller comme on veut.— Oui bien sûr, c’est pas ce que je voulais dire, sauf qu’à la maison et dans le lit, c’est jogging informe, les dessous moches, etc.— Oui enfin c’est quand même nettement plus confort, tu sais ! — Bon OK, c’est vrai que les fringues, ça veut rien dire. Je te montrerai le MMS, tu me diras.
Je commence à appuyer plus fermement mon massage
— Et toi avec Eric ? — Tu as dû passer par là, on est stressé avec les préparatifs, on arrête pas de se prendre la tête du coup.— Oui c’est vrai, c’est une période difficile.— Oui, mais bon, il est tellement gentil avec moi, je me dis que je ne trouverais jamais un autre mec comme ça. MMMh ça me fait du bien, continue.— Ton shorty remonte assez haut, je peux le faire descendre un peu.— Bien sûr, vas-y.— Ah, mais j’ai les mains pleines d’huile, je suis bête, vas-y toi.— OK.
Elle se tortille pour faire descendre son shorty, elle découvre alors un peu ses fesses, la lisière de la raie devient apparente.
— C’est bon ? — Euh oui oui, parfait.
Je sens mon sexe se tendre. Pas maintenant, pas maintenant ! J’ai simplement mon short en toile, ça va être le chapiteau. Je me concentre tant bien que mal pour penser à des trucs bien nuls.
— C’est super agréable, c’est vrai que tu masses bien.
Je masse l’intégralité de son dos en partant de ses fesses, je peux voir le côté de ses seins écrasés et mes doigts glissent régulièrement dessus à chaque passage.
Je n’ai qu’une envie, les saisir de nouveau pour les caresser, caresser tout ce corps !
— Mmmhhh.
Je me concentre désormais sur les reins, mais mes mains progressivement prennent de plus en plus de libertés et le bout de mes doigts commence à s’aventurer sous l’élastique de son shorty.
— Mmmhh c’est trop bon... Déjà tout à l’heure quand tu m’as mis de la crème, c’était top... — Merci.— Je dois t’avouer que j’y ai pris beaucoup de plaisir... —... Euh tant mieux.— Et toi aussi d’ailleurs hi hi hi.— Oui, j’en ai peut-être profité un peu d’ailleurs, excuse-moi d’ailleurs.— Pas de problème... moi aussi en fait, tu sais, mes seins n’avaient pas besoin de crème... — Je comprends pas, pourquoi alors ? — Je ne sais pas... je crois que j’avais envie de t’offrir ce petit moment... et je te ferai remarquer que j’ai pas eu besoin de beaucoup insister.
Tout cela acheva mes frêles mes barrières mentales, et ma queue est maintenant fièrement dressée et ne demande qu’à sortir de mon short.
— Tu peux me masser les épaules aussi.— Euh oui bien sûr.
Cela me demande de me pencher en avant, et vu comment mon sexe avait gagné en volume, elle le sentirait assurément.
— Mets tes cheveux sur le côté afin que je ne les enduise pas d’huile.— Bien sûr.
Je me penche alors sur elle et entreprends de lui masser la nuque et les épaules.
— Mhhhh. — Ca te plaît ? — Oui continue.
Je me concentre sur le massage, mais mon sexe totalement dur est plaqué sur ses fesses.
— Mmmhhh.
Je sens son bassin faire de très légères ondulations. Je dois me faire des idées. Je suis vraiment excité et n’ai plus qu’une envie : baisser nos shorts et lui faire l’amour.
Ce n’est plus ma petite sœur par adoption que je vois désormais, mais une femme en chaleur qui me désire et je veux posséder cette femme.
— Mmhhh.
Son bassin ondule nettement plus alors que je continue mon massage, c’est sûr elle sent ma bite contre elle et en profite.
— Mmmhhh c’est trop bon, continue, ça me fait du bien.
Je me penche vers elle pour masser ses épaules, et me penche encore plus pour lui déposer un baiser dans la nuque, elle relève la tête et la tourne comme si elle cherche mes lèvres.
Je l’embrasse sur la joue et me lève rapidement, la situation est en train de devenir trop bizarre, mon cerveau a repris la main, je cherche une échappatoire.
— Je vais chercher un gant et de l’eau chaude, je vais te retirer le surplus d’huile... Euh Reste comme ça !
J’espère qu’elle va garder les yeux fermés, car je bande comme un fou et mon short a une forme sans équivoque.
Mais elle me suit du regard et au moment où j’entre dans la salle de bain, nos regards se croisent, un regard qui n’est pas choqué. Elle se contente de me sourire tendrement, mais ne fait aucune remarque.
Je reviens avec ce qu’il faut quelques secondes plus tard.
— Merci, ça m’a fait du bien.— Je t’en prie.
Je nettoie son dos avec attention et délicatesse, l’eau chaude semble l’apaiser, je vois ses yeux se fermer progressivement. Elle me sourit.
Une fois terminé, je remarque qu’elle s’est endormie, je mets la couette sur elle et lui dépose un baiser sur la joue à la commissure des lèvres. Elle murmure pourtant.
— Je t’aime.— Je t’aime aussi... petite sœur.
Je pars alors me coucher dans ma chambre.
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