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Amélie, comme une petite soeur

Chapitre 9

Hétéro
Jour 9 (suite)
Après cette belle matinée ensoleillée, nous rentrons à la villa pour le déjeuner. J’apprécie de plus en plus notre rythme en tenant la main d’Amélie en voiture sur la route du retour. Mais j’ai un pincement au cœur en pensant de plus en plus à la fin de cette parenthèse enchantée. Après le déjeuner, nous profitons de la sieste des enfants pour aller nous détendre dans le jacuzzi. Je bande instantanément en voyant sortir Amélie par la porte de la piscine intérieure en tenue d’Eve. Son corps est si parfait, elle me sourit et baisse les yeux pour regarder ou poser les pieds, moi par contre je ne la lâche pas du regard jusqu’à qu’elle soit avec moi au milieu des bulles, elle prend rapidement la parole.
— J’en ai trop fait ?— Trop fait quoi ? Je ne comprends pas.— En étant venue nue ?— Je sais pas regarde.
Je sens alors sa main se poser sur ma cuisse et remonter doucement, passer sur mon aine. Elle me regarde alors et me sourit avant de me saisir le sexe. Son visage se rapproche du mien, nos lèvres se trouvent ainsi que nos langues pendant que sa main commence à glisser sur ma queue fièrement dressée.
— Hummmm je ne me suis pas trompée alors.— Il semble qu’on se connaisse bien en effet.— Pour un homme qui n’avait jamais pris de bain de minuit, je te trouve bien entreprenant dis donc.
Elle bascule alors à califourchon sur moi, instinctivement je lui attrape les fesses pour la rapprocher de moi et sens ma queue entrer en contact avec son minou. Nous continuons à nous embrasser pendant que je lâche ses fesses pour saisir ses seins.
— Tout ça m’a manqué, j’avais déjà envie de te prendre sur la plage.— Ah bon ? Peut-être que j’avais très envie de me faire prendre aussi.
Je sentis alors sa main sur ma tige pour la guider en elle et son bassin s’abaisser vers moi. J’adore tellement cette sensation de sentir ses chairs s’ouvrir devant mon sexe, encore une fois cela me fait fondre. La sensation est d’autant plus merveilleuse, car je sens les bulles du jacuzzi me chatouiller les couilles et l’anus. Elle va et vient sur moi, rejetant sa tête en arrière cherchant son plaisir et m’en donnant également, son souffle s’accélère, le rythme de son bassin également, mes mains s’agrippent de nouveau à ses fesses et accompagnent ses mouvements. Nous nous embrassons.
— Viens mon chéri, je vais venir aussi, ne t’inquiète pas.— D’accord.
Après quelques secondes, je sens mon plaisir monter et j’éjacule une nouvelle fois longuement en elle, puis elle me suit à son tour dans la jouissance.
Nous nous câlinons plusieurs minutes dans le jacuzzi, profitant du calme en perdant toute notion du temps. Nous somnolons dans les bras l’un de l’autre. Soudain nous sursautons.
— Bonjour.— Euh Bonjour !— Je suis Kimberley... j’ai euh... j’ai sonné, mais personne n’a répondu, alors j’ai fait le tour.— Kimberley ?— Pour les enfants ...— Kimberley ! Pardon, on a dû s’endormir, j’ai perdu la notion du temps ! Oui les enfants, ils dorment toujours.
Kimberley est une charmante petite brune, vraiment un petit gabarit, sans doute très sportive car son débardeur et sa petite jupe laissent apparaître ses bras et ses jambes finement ciselées. Je remarque qu’elle ne détourne pas le regard d’Amélie et en effet les bulles du jacuzzi ayant cessé pendant que nous étions assoupis, elle doit avoir une vue imprenable sur sa poitrine :
— Oh, mais vos maillots, ouh la la je suis pas arrivé au bon moment !— Kimberley, pardon on est pris un peu au dépourvu là, ça te dérangerait d’aller chercher les serviettes qui sont dans la pièce de la piscine ?— Euh oui bien sûr.
La pauvre jeune fille rougit et file nous chercher les serviettes puis revient très rapidement pour nous les donner et se retourne.
— Merci beaucoup, désolé on a dû s’assoupir, c’était pas prévu que tu nous trouves comme ça.— Euh oui c’est sûr, je comprends... c’est pas grave, ça arrive.— Allons au salon, je vais te briefer sur les enfants.— Je monte me doucher puis me préparer mon chéri.— Bien sûr mon amour, à tout à l’heure.
Nous nous installons au salon, je lui expose les caractères des enfants, les routines du soir. Elle prend des notes dis donc, épatante la petite. Je remarque qu’elle regarde régulièrement mon torse et la serviette dans laquelle je suis drapé d’un air gêné. Les enfants finissent par se réveiller, je leur fais faire connaissance avec Kimberley, ça semble bien se passer et elle est tout de suite entraînée dans des jeux.
— Ca se passe bien super, je vais monter me doucher et me changer, s’il y a le moindre souci, je sais pas, appelle au secours !— Hi hi hi, ça devrait aller merci.
Je reviens quelques minutes plus tard, les enfants jouent toujours avec leur nounou du soir, l’entente semble parfaite, tant mieux, je me joins à eux pour passer le temps. Quelques minutes plus tard, un ange semble entrer dans la pièce. Mes yeux s’arrêtent d’abord sur des escarpins qui mettent en valeur une fine cheville. Je remarque immédiatement le nylon recouvrant cette cheville puis fais remonter mon regard le long de ces jambes que j’aime tant. A mi-cuisse, mon regard est arrêté par une robe bleu-vert très ajustée. Je me relève, me rapproche d’elle et pose mes mains sur ses hanches. Elle s’est maquillée de façon très discrète et coiffée ses cheveux châtains en les relevant pour dégager sa nuque.
— Tu es magnifique Amélie !— Merci.— Wahou madame, vous êtes trop canon !— Merci, Kimberley c’est bien ça ?— Oui c’est ça, j’espère que j’aurais toujours un corps comme le vôtre après deux enfants dis donc !— Euuh merci.— On va y aller, Kimberley s’il y a le moindre souci tu as mon numéro.— Oui ça va aller merci, profitez bien.
Nous montons en voiture et nous mettons en route, rapidement et inconsciemment, ma main se pose sur sa cuisse gainée de nylon. Je reste concentré sur ma conduite et la route, mais je constate du coin de l’œil un mouvement et ai l’impression qu’elle a écarté les cuisses.
— Je te plais ?— Beaucoup, tu es très sexy ma chérie, mais tu avais prévu une telle tenue ? — Une femme prévoit toujours tout, et puis je ne regrette pas, j’aime tellement sentir ta main sur mes cuisses.— Tu sais je n’aurai jamais imaginer dans mes rêves les plus fous te caresser les cuisses.
Ma main continue de parcourir ses cuisses en remontant légèrement et je sens sous mes doigts de la dentelle
— Mmhh... des bas, j’aurai encore moins imaginé ça, j’aime quand tu me surprends de cette manière.— Je m’en doutais, peut-être n’ai je pas fini de te surprendre.
Elle saisit alors ma main pour la faire glisser jusqu’à la naissance de ses cuisses, je sens immédiatement la douce chaleur qui se dégage de cette zone et son humidité et surtout qu’elle ne porte rien. Déjà pas mal excité par la situation, je me mets à bander totalement dans la seconde.
— Sympa.— Sympa.
C’est tout ?!? Je ne sais pas si je suis déçue ou énervée !
— Très excitant, tu me fais bander ma chérie.— Ah je préfère ça, tu mérites peut-être une récompense finalement.
Elle glisse alors sa main droite entre ses cuisses et commence à se caresser. J’entends le bruit de ses doigts contre son sexe humide. De sa main libre, elle saisit à travers sa robe son sein qu’elle malaxe. Je fais en sorte de rester au maximum concentré sur la route bien qu’on soit en pleine campagne, mais la tâche est difficile. Elle intensifie ses caresses et glisse deux doigts en elle en gémissant puis porte ses doigts à sa bouche. Je ne l’aurai jamais imaginé avec de tels désirs et aussi entreprenante, elle me surprend de plus en plus.
— J’en peux plus, faut que je m’arrête, j’ai trop envie de toi.— Non non non on sera en retard, profite du spectacle.
Sa main se pose alors sur la bosse de mon pantalon et commence à palper mon sexe.
— Sors ta queue s’il te plaît, je veux la voir.
Je ne fais pas prier et m’exécute sur-le-champ, ouvrant mon pantalon et extirpant mon sexe bandé hors de mon boxer.
— Hmmmh, ça m’excite quand ta belle et grosse bite est dure pour moi, je ne peux pas te laisser comme ça mon pauvre chéri.
Elle plonge alors et me gobe comme une affamée. Elle me suce divinement bien en descendant loin sur ma queue. C’est la première fois que je me fais sucer en voiture et bizarrement j’ai un éclair de lucidité qui me dit qu’une voiture en boîte auto c’est génial pour ça. Mais cela fait plusieurs minutes que ce petit jeu a commencé et j’aperçois au loin dans la lumière tombante de la fin de journée notre ville de destination.
— Relève-toi, on arrive bientôt, la ville approche.— Hmmmm je parie que tu jouiras avant qu’on soit en ville.— OK.
Je n’ai pas le temps de répondre quoi que ce soit qu’elle a de nouveau mon gland en bouche et que sa main branle mon sexe terriblement bien et à un rythme soutenu. Je constate du coin de l’œil qu’elle a glissé son autre main de nouveau entre ses cuisses. Je me concentre et me retiens de jouir au maximum, mais elle met tellement d’application dans sa pipe que c’est une tâche quasi impossible. Il ne reste que quelques centaines de mètres avant le panneau d’entrée de la ville, mais cela me semble une éternité. Je sens sa bouche faire de grands mouvements sur mon sexe alors que sa main masse mes couilles. Il ne reste que deux cents ou trois cents mètres, elle me masse maintenant le gland avec sa langue, ce n’est que quand je sens son doigt presser contre ma rondelle que je réalise qu’elle a glissé sa main sous mon boxer et mes fesses, je ne sais pas comment elle s’y est prise.
Je suis vierge du cul, mais tellement excité que je sens sa phalange entrer dans mon trou avec facilité et y remuer. C’est trop, il reste seulement une dizaine de mètres, mais je sens mes couilles et mon sexe se contracter et expulser mon sperme épais dans la bouche de ma petite sœur chérie. Nous passons le panneau d’entrée de ville alors que je suis en train de me vider dans sa bouche. Je sens qu’elle aspire tout ce que je lui donne puis nettoie mon sexe avec attention avant de le ranger puis de refermer mon pantalon et de réajuster également sa tenue.

Elle me regarde d’un air satisfait quand elle s’essuie les lèvres avec un mouchoir avant de se remettre du rouge à lèvres. Je sais très bien avoir perdu, mais tente un coup de bluff.
— Match nul ?— Quoi ! Comment ça match nul ?!?— Bah je n’avais fini quand on est entré dans la ville.— Eh dis donc, tu as commencé avant il me semble mauvais perdant, j’ai gagné à plate couture !— Tu as triché ! — Ah bon ? Tu parles du petit bonus ? Ca n’a pas l’air de t’avoir déplu pourtant.— Bon OK, je dois reconnaître ma défaite.— Tu réalises que tu as fait un pari sans en connaître l’enjeu ?— Tu étais sérieuse ? — Evidemment puisque je savais que je gagnerais.— Et du coup c’est quoi l’enjeu ? — Je ne sais pas encore, j’ai le temps d’y réfléchir.
Elle semble sacrément satisfaite de son numéro et me regarde l’œil rieur quand je me gare. Puis nous allons prendre place dans le restaurant. Une fois installés, le serveur arrive rapidement pour prendre notre commande.
— Bienvenue Madame, bienvenue Monsieur, avant de prendre votre commande quel apéritif vous ferait plaisir ?— Eh bien Madame vient déjà d’en prendre, mais je suppose qu’elle souhaitera une coupe de champagne et vous semblez bien pourvu en Gin. je vais vous prendre un Monkey.— Euh oui, très bien une coupe, oui, oui.— Parfait je reviens dans quelques instants.
Amélie avait viré au rouge et se cache à moitié derrière la carte. Quand à moi je crois que je vais exploser de rire de l’avoir prise ainsi au dépourvu.
— C’était pas drôle.— J’ai plutôt trouvé que si au contraire.— Méfie-toi, tu as un enjeu de pari à respecter.
Le repas se passe très bien, néanmoins je me tracasse, l’idée de notre retour proche et de la fin de ce conte de fée m’inquiète.
— Tu sembles préoccupé ?— Décidément tu lis en moi comme dans un livre ouvert, je pense à Julia et Eric, à notre retour, à ton mariage, à la fin de ce séjour de rêve...— Ah.— Tu sais, je ne quitterai pas Julie pour la stabilité des enfants. — Oui je n’ai même pas aborder le sujet, car je m’en doutais fortement et puis je n’ai pas à te demander cela.— Mais du coup nous on fait quoi maintenant ? — Eh bien tu es déjà un mari infidèle et pour l’instant je suis une fiancée infidèle, je deviendrais juste une femme infidèle, avoir son amant avant le mariage a un côté pratique en fait.— Tu veux qu’on continue de se voir ? — Bien sûr, pas toi ? — Bien sûr que si, mais avec Eric vous n’avez jamais parlé d’enfants ? Généralement c’est la suite du mariage non ? — Je crois qu’on a déjà parlé de ça, et vu ce qu’il se passe entre nous c’est plutôt clair non ?— Bah non, justement si tu es enceinte, comment tu sauras qui est le père ? Si on a un enfant ensemble, je ne pourrais pas ne pas m’impliquer pour lui et auprès de toi.— En parlant de ça... en ce moment je suis sans doute en pleine période d’ovulation... l’autre nuit je n’y avais pas pensé, ça m’a fait « tilt » pendant que je me douchais tout à l’heure, je préfère te le dire, je ne veux pas te prendre en traître surtout qu’on a déjà fait tellement de fois l’amour...— J’ai accepté de vivre pleinement notre relation, avec tout ce que cela comporte tu te souviens ? Avoir un enfant de toi serait... fou ... mais aussi merveilleux.— Merci, j’avais besoin de l’entendre de nouveau, il me semble. Après c’est sûr qu’une fois mariée, il y a peu de chance qu’on sache de qui est qui, il faudra juste vivre avec. Mais si ça te tracasse tant, tu sais bien qu’une femme mariée ça a souvent des migraines et plein d’autres excuses.
Nous rions de bon cœur, elle a toujours les mots qui vont bien.
— Tu crois qu’ils font quoi en ce moment, un resto aussi ?— Aucune idée, ils sont peut-être en train de baiser.— Ou alors de s’engueuler !— Ca serait marrant.— J’ai une idée, on prend un selfie.— Mais non ils vont se demander pourquoi on s’est autant apprêtés.— Tu crois sérieusement qu’ils vont imaginer ce qu’on fait ces derniers jours alors qu’ils se permettent un voyage ensemble ? — Tu as raison.
Nous prenons plusieurs photos, les têtes l’une contre l’autre, une où Amélie m’embrasse sur la joue, une autre avec des grimaces.
— Allez on envoie les trois, elles sont parfaites.— Même celle avec le bisou ? — Bah oui c’est sur la joue on s’en fout, je t’en fais souvent en plus.
[SMS]> Bonsoir ma chérie, On s’est offert une nounou et un resto avec Amélie pour profiter de l’avant dernière soirée, tout s’est bien passé, il a fait super beau les enfants se sont éclatés. Gros bisous de nous tous. Je t’aime, je suis pressé que tu rentre
— Tiens voilà je lui ai écrit.— Parfait, tu penses vraiment ce que tu as écrit à la fin ? — Sérieusement, j’allais pas lui dire profite bien avec Eric, il faut que je fasse comme d’habitude.— Oui tu as raison, elle a déjà répondu !
[SMS]<Vous êtes mignons on dirait presque un petit couple et tu sembles avoir pris des couleurs. Profitez bien, je veux bien que tu envoies aussi des photos des enfants stp. Bisous mon amour. Tu passeras le bonjour à Amélie.> Merci chérie, je t’envoi toute de suite quelques photos
— Tu as vu sa réponse ? Tu crois qu’elle a capté ?— Mais non, le « presque » veut tout dire, tu ne le mets pas innocemment, parole de femme. Regarde j’ai envoyé celui-ci à Eric.
[SMS]> Mon amour, je me suis fais inviter par mon grand frère au resto ce soir, on profite un peu avant de rentrer. J’ai pu bien profiter de mon filleul et me suis éclatée. Ca fait du bien d’évacuer le stress du mariage. Je t’aime très fort
— Ca me fait chier de lire que tu l’aimes très fort.— C’est du bluff tu le sais, tu as fait pareil sur ton message.— Oui, mais quand même, ça me fait bizarre.— Oh mon chéri, je t’aime tellement, ça va aller, il faut bien qu’on se confronte à notre future réalité, c’est pas plus mal. — Tu as raison...
Nous nous embrassons et son téléphone vibre.[SMS]<Tu es superbe ma chérie, je suis jaloux de ne pas être à tes côtés. Bon retour. Je t’aime ma future femme.
— Je peux te poser une question qui risque d’être dérangeante Amélie ?— Oui bien sûr, tu sais que je ne veux rien te cacher.— Pourquoi veux-tu quand même te marier ?— Eh bien. Difficile à dire, je n’ai pas encore eu trop le temps d’y réfléchir ni peut-être eu l’envie... En fait c’est une multitude de sentiments mêlés entre la déception et l’euphorie de s’être trouvés et c’est dur à dire là tout de suite et surtout à dire clairement, mais j’essaye quand même.
Le sentiment qui émerge le plus est celui de la honte d’annoncer à tout le monde l’annulation et ses raisons, et puis comme toi tu avais pu me dire vis-à-vis de Julie une part de moi l’aime tout de même malgré la tromperie. Oui c’est une terrible déception, mais je m’en fous en fait, car vu que je sais que tu ne quitteras pas Julie, je me dis que je ne vais pas arrêter ce qui est lancé et je mènerai une double vie comme toi en affrontant les mêmes difficultés. C’est tellement difficile à expliquer, ce mariage semblait tellement une évidence pour tout le monde comme pour moi il y a encore quelques jours. Au final ce sont juste des papiers après tout. Et puis bon faut être réaliste aussi, il est gentil, a une situation très enviable qui ne peut que se conforter. Alors bon, je vais au bout vu que mon mari, ça ne sera jamais toi. Je n’ai pas été claire si ?
— Pas tout à fait, mais je crois comprendre ce que tu veux dire. Et la nuit de noces et le voyage associé ? — Tu penses au sexe en parlant de ça ? Je crois qu’il ne faut pas se leurrer, on ne peut pas se refuser à nos conjoints, et puis ils connaissent nos corps et nous les leurs donc c’est pas non plus désagréable si ? Ca te pose un souci ? — Je ne sais pas, oui et non, c’est pas comme si la situation n’était pas déjà tordue. T’imaginer avec lui a une part dérangeante, mais je sais que je t’aurai à mon tour. C’est bizarre. — Oui je pense bien comprendre et ressentir la même chose, ça doit être normal. Je peux à mon tour te poser une question embêtante ?— Bien entendu.— Raphael, tu penses qu’il est d’Eric ?— Je t’avoue que ça me travaille oui, c’est sûr qu’avoir un fils blond avec que des bruns dans les deux familles c’est bizarre. Mais d’un côté, je me suis souvenu qu’un de mes grands-pères l’était. Après sur les traits c’est dur à dire, il est encore petit et ça change tellement. En fait je me souviens surtout que Julia n’était pas du tout pour que tu sois sa marraine, ça a été vraiment son cheval de bataille pendant des semaines, mais vu que je n’ai rien cédé et qu’elle n’avait aucune alternative à proposer, elle s’est résignée. C’est plus ce point-là qui m’interpelle, à l’époque nous nous considérions vraiment comme de purs frère et sœur, tu aurais pu te trimballer à poil devant moi, je n’aurai pas réagi et inversement, alors pourquoi en faire une telle bataille ? — On ne connaîtra sans doute jamais la vérité.— Oui et à quoi bon ? Je le considérerai quoiqu’il arrive comme mon fils, peu importe pour moi.— Et tu n’as pas envisagé de quitter Julia ? — Si bien sûr, mais franchement ce serait égoïste, les enfants n’y sont pour rien là dedans, je ne veux pas les sacrifier. — Je comprends... Comme ça tu n’aurais pas sourcillé si j’avais été nue devant toi ? — J’aurai sans doute regardé et apprécié la vue, mais n’aurai pas eu un œil concupiscent en tout cas.— Je t’aurai même pas fait un peu bander ?— Non je pense pas, et toi tu aurais réagi comment ? — Je sais pas trop, j’aurai sans doute rien dit, mais y aurait peut-être repensé plus tard toute seule dans l’intimité ou alors dans mes rêves peut-être.— Tu te serais caressée en pensant à moi ? — Je sais pas, célibataire peut-être, parfois j’étais en manque.
Le reste du repas se déroule simplement autour de discussion légère. Régulièrement, je sens son pied caresser ma jambe, elle m’excite trop, elle est si décomplexée en ce moment, si heureuse, j’ai envie de lui faire l’amour, de relever sa robe et de la posséder tout de suite sur la table du restaurant. Elle sourit.
— A quoi tu penses, tu sembles être parti loin ?— J’ai envie de toi, je nous imaginais en train de faire l’amour sur cette table.— Humm intéressant, mais ce serait inconvenant, il va falloir patienter, et oublie pas que tu as perdu un pari, tout est possible, méfie-toi.— Ah oui c’est vrai, mais un pari est un pari.— Ah c’est bien que tu le prennes comme ça, alors je vais t’avouer que je suis trempée et que j’ai très envie de toi également !— On demande le dessert et on file ?— Oui.
Nos desserts arrivent rapidement, son pied quitte rarement ma jambe et ses caresses me maintiennent dans un état d’excitation permanent. Nous réglons la note puis regagnons la voiture. Je l’embrasse fougueusement dès que nous sommes installés, ma main se pose sur sa cuisse et progresse jusqu’à son intimité et constate avec plaisir que je ne suis pas le seul à être excité, confirmant ce qu’elle m’avait dit juste avant. Elle ouvre mon pantalon et saisit ma verge dressée.
— Tu l’as déjà fait dans une voiture ?— Non jamais et toi ? — Encore quelque chose qu’il faut qu’on fasse pour la première fois ensemble alors.— Je déplace la voiture alors, le parking de la plage devrait être désert.— OK.
Le parking de la plage est à peine cinq minutes, elle me caresse tendrement tout en se caressant également de son autre main. J’apprécie ce moment. Le parking en effet est vide et doté d’aucun éclairage. A peine garé qu’elle se jette la bouche ouverte sur mon sexe et me suce avec avidité
— Doucement ma chérie, ou tu vas me faire venir tout de suite.
Elle se relève et nous nous embrassons.
— Ca serait plus pratique derrière non ?— Oui, mais je dois mettre les sièges auto dans le coffre alors.— Vas-y !
Je remballe ma marchandise puis sors de la voiture pour aller ferrailler avec les sièges auto, un premier de fait que j’installe dans le coffre, puis sans perdre de temps, le second siège suit l’autre dans le coffre. Alors que j’allais fermer le siège, je me prends un tissu dans la tête. Je l’attrape tant bien que mal et reconnais la robe que portait Amélie. Je ne peux m’empêcher de la porter à mon nez pour renifler son odeur si enivrante.
Je monte à l’arrière, Amélie m’y attend déjà, elle a dû se faufiler entre les sièges avant. Elle a posé ses jambes toujours gainées de ses bas sur le dossier des sièges avant, d’une main, elle caresse son sein gauche et de sa main droite, elle est en train de se masturber. Cette vue est tellement extraordinaire que je n’ose l’interrompre et me contente de la mater tout en retirant mon pantalon puis mon boxer. Mon sexe a retrouvé sa dureté et toujours en la regardant, je commence à me branler en suivant ses mouvements. Elle me regarde elle aussi toujours en continuant à se caresser puis libère la main qui malaxe son sein pour tapoter le siège central m’invitant à me rapprocher. Évidemment, je ne me fais pas prier et m’installe immédiatement. Elle se jette sur ma bouche, nos lèvres s’ouvrent, laissant nos langues se rejoindre pour jouer ensemble. Je pivote un peu, et continuant à me caresser la queue, je pose ma main libre sur son sein pour lui caresser.
— Oh j’en peux plus, je te veux trop.
Elle déplie alors ses si jolies jambes puis m’enjambe pour basculer et passer au-dessus de moi. Elle m’attrape alors la bite puis s’abaisse pour m’enfoncer en elle. Ses chairs trempées s’ouvrent immédiatement et je sens son vagin m’accueillir avec envie en s’ouvrant sur mon passage. J’attrape ses fesses et accompagne son mouvement jusqu’à qu’elle s’empale totalement sur moi.
— Humm c’est tellement bon de te sentir au fond de moi.— Oh oui, c’est divin à chaque fois.
Amélie commence alors à aller et venir sur moi, j’ai toujours mes mains sur son cul que j’accompagne dans ses mouvements. Ses jambes sont repliées contre les miennes et elle se sert d’elles pour faire ses mouvements, elle prend chacun de ses seins en main qu’elle malaxe alors qu’elle commence à accentuer ses mouvements.
— C’est trop bon je vais jouir.— Moi aussi.
Elle se déchaîne alors en attrapant le siège derrière moi, je sens son vagin se contracter autour de ma queue et en agrippant ses fesses je m’enfonce au plus profond d’elle et fais jaillir une nouvelle fois de longs jets de sperme au fond de son vagin. Elle se niche alors contre moi, je caresse ses fesses, son dos, je lui embrasse la joue, le cou.
— Je t’aime ma petite sœur.— Moi aussi je t’aime mon grand frère.

Elle me demande alors sa robe qu’elle renfile puis nous prenons la route pour retourner à la villa. Nous nous tenons la main quand c’est possible, on profite du calme de ces derniers moments ensemble.
Nous arrivons à la villa et sommes accueillis par Kimberley qui vient vers nous immédiatement une fois la porte passée.
— Bonsoir les tourtereaux, j’espère que vous avez profité, moi oui, vos enfants ont été adorables, c’était une soirée très sympa.— Oui merci Kimberley, du coup on te doit combien ?— Eh bien ça fait un peu plus que cinq heures, donc on arrondit à cinquante euros.— Voilà soixante, je préfère arrondir dans ce sens-là.— Oh merci, c’est gentil, vous restez jusqu’à quand ? — Encore demain et on rentre.— Ah donc c’est râpé pour que je revienne, il n’y a pas grand monde en ce moment, j’aurais pas refusé d’autres baby-sitting.— Ah oui en effet désolé.
Alors que nous continuons à discuter de la pluie et du beau temps, je remarque qu’Amélie se dandine à côté de moi, croisant, décroisant, recroisant les jambes sur ses talons, Kimberley la regarde du coin de l’œil d’un air interrogateur. Tout à coup, je comprends, quel boulet, elle doit être en train d’essayer de retenir mon sperme en elle. Mais au vu des gros yeux que fait tout à coup Kimberley et du « oh » d’étonnement qui se forme sur sa bouche, j’ai compris bien trop tard. Je regarde les jambes d’Amélie et vois mon sperme en train de couler le long de sa cuisse droite, une longue traînée blanche étincelante sur son bas noir impossible à rater. Sa réaction est sans appel, elle rougit de honte et se cache le visage.
— Eh merde, pardon.
Sans doute fatiguée d’essayer de retenir ma semence, elle semble lâcher prise, car une seconde traînée s’est formée sur son autre cuisse et deux gouttes tombent au sol dans un silence de plomb. Je suis complètement bloqué dans cette situation irréelle et c’est finalement Kimberley qui rompt le silence :
— Bon c’est une façon originale de me dire que vous avez bien profité de votre soirée.
Force est de constater qu’elle a le mérite de dédramatiser la situation.
— Je dois avoir des mouchoirs dans mes affaires, tenez madame.— Oh merci c’est adorable.
Amélie, gênée, prend un mouchoir d’une main tremblante et Kimberley en sort un autre du paquet, ce qu’il se passe est encore plus incroyable, car elle se baisse et tend alors la main vers la cuisse d’Amélie munie de son mouchoir et commence à essuyer mon sperme en train de couler. Amélie ne s’y attendait absolument pas et est figée en la regardant faire et je ne suis pas mieux restant bouche bée.
— Mais, K...— Vous êtes tellement belle, on ne peut pas vous laisser comme ça madame.
Elle remonte le mouchoir le long de la cuisse d’Amélie et je vois sa main disparaître sous sa robe. Amélie toujours figée me regarde d’étonnement, mais la laisse faire. Je comprends quand je vois les jambes d’Amélie se fléchir légèrement et qu’elle se pince les lèvres que Kimberley a atteint son intimité, ce qui ne semble pas lui être désagréable.
— Kimberley, je ...— Laissez vous aller madame, on va arranger tout ça.
Kimberley prend alors la main d’Amélie et la dirige vers le canapé. Mon cerveau ne semble pas comprendre ce qu’il se passe et je suis toujours figé, les regardant s’éloigner. Ma bite par contre elle semble très bien comprendre ce qu’il se passe, car je la sens palpiter, ne demandant qu’à connaître la suite. Je finis par sortir de ma torpeur et m’approche du salon et retrouve Amélie assisse dans le canapé, la robe relevée, Kimberley agenouillée devant elle, elle essuie ses lèvres intimes avec un mouchoir et lui fait de petits baisers à l’intérieur des cuisses. Elle finit par poser le mouchoir et lui embrasse alors tendrement le minou. Amélie semble prendre un plaisir certain et finit par me voir, ce qui semble la couper dans cet élan saphique.
— Euh ... arrête... s’il te plaît.— Qu’est-ce qui ne va pas, ce n’est pas bien ?— Si si c’est très très bien... je ne sais pas... ça me gêne, les filles ce n’est pas mon truc.— Pas votre truc ?... ça avait l’air d’aller, pas votre truc... d’habitude peut-être ?— Je ne sais pas, je n’y ai jamais pensé en fait.— Pourtant vous semblez apprécier, vous voulez pas du tout ? Ou alors vous voulez que votre mari se joigne à vous ? Ca vous rassurerait ?
Elle me regarde d’un œil inquiet et interrogateur, je hausse les épaules, essayant de lui faire comprendre de faire ce qu’elle désire.
— Oui peut-être, on peut essayer, viens mon chéri.
Je m’approche donc d’elles tandis que la tête de Kimberley replonge entre les cuisses d’Amélie. Je m’installe à côté de ma chérie et commence à lui caresser les seins en passant la main sous sa robe, elle jette sa tête en arrière, se laissant enfin envahir par le plaisir, je termine de lui retirer sa robe et me jette sur ses seins pour y faire jouer ma langue avec ses tétons. Elle si magnifique dans ses bas et encore avec ses talons les jambes écartées pendant que Kimberley la lèche avec application
— Hannnn, oui.
Je constate que Kimberley s’applique toujours autant à lui donner du plaisir et qu’elle vient de glisser deux de ses doigts en elle. Amélie se cabre, sentant sans doute la jouissance arriver, puis elle appuie ses mains sur la tête de Kimberley et finit par jouir intensément. Elle est si belle à voir jouir sous la langue et les doigts de cette gamine, je me contente de les regarder.
Kimberley a réduit ses caresses à de simples effleurements et doux baiser et remonte le long du ventre de ma chérie. Amélie soupire sous ses tendres baisers et tend ses lèvres quand Kimberley arrive à hauteur de son visage. Toujours les yeux fermés du bout des lèvres, elle accepte le baiser de Kimberley, elle pose alors sa main contre son visage puis finit par ouvrir les yeux et regarder notre baby-sitter et de simplement lui sourire. Kimberley l’embrasse de nouveau de façon plus marquée et je vois leur bouche s’ouvrir sans doute pour permettre à leur langue de se rejoindre. Amélie pose alors ses mains sur les jambes de notre petite nounou, les remonte peu à peu, découvrant par-dessus sa petite jupe ses fesses. Ses mains continuent de glisser sur elle pour atteindre le bas de son débardeur, ses doigts se glissent dessous, cherchant la peau de la jeune femme. Elle se redresse et Amélie saisit alors le débardeur pour le retirer, la laissant avec sa jupe et un soutien-gorge noir.
— C’est toujours pas votre truc Madame ?— Arrête de m’appeler Madame, j’ai l’impression d’être un vieux machin, c’est Amélie.— Bien sûr Amélie.
Elle replonge sur elle pour aller chercher sa bouche et l’embrasser fougueusement. Je suis toujours sur le côté et profite de chaque instant de cette scène terriblement excitante. J’ai ouvert mon pantalon et plongé ma main dans mon boxer ne pouvant plus me retenir. Les mains d’Amélie vont chercher dans le dos la fermeture du soutien-gorge noir afin de libérer la petite poitrine de Kimberley, ses mains se posent ensuite sur ses épaules et toujours en s’embrassant, elle les fait glisser sur les seins de la jeune femme.
— C’est mignon, tu trembles.— Oui, je ne sais pas si c’est d’excitation ou de peur.— C’est la première fois que tu touches les seins d’une autre femme ? — Oui.— Il va sans doute y avoir beaucoup de premières fois ce soir.
Kimberley se relève devant Amélie, elle ouvre la fermeture de sa petite jupe qu’elle laisse tomber à ses pieds, révélant l’intégralité de ses jambes et son petit cul musclé, puis elle saisit chaque côté de sa culotte qu’elle fait glisser le long de ses jambes révélant un sexe totalement épilé avec des lèvres invisibles, un vrai petit abricot. Amélie la dévore des yeux, les miens vont de l’une à l’autre, ne sachant pas où se poser devant tant de beauté des deux côtés, j’aimerais bien me joindre à la fête, mais n’interviens pas de peur de les interrompre. Kimberley se réinstalle de nouveau à califourchon au-dessus d’Amélie qui lui saisit les fesses et les malaxe avec plaisir.
Elles s’embrassent de nouveau de plus en plus passionnément, je sens la main d’Amélie se poser sur moi et chercher à baisser mon pantalon, je le baisse pour elle ainsi que mon boxer et elle attrape sans attendre ma queue gorgée de sang, alors qu’elle commence à aller et venir dessus, je vois son autre main se glisser sous Kimberley pour aller se nicher entre ses jambes. La réaction de Kimberley ne se fait pas attendre.
— Hummm, tu n’as plus aucune peur visiblement.
Amélie se contente comme réponse de porter ses doigts à sa bouche, je constate qu’ils sont luisants de l’excitation de Kimberley. Sa main quitte alors ma bite et elle se repose sur Kimberley.
— Allonge-toi.— D’accord.
Elle profite de cet intermède pour retirer ma chemise, je me retrouve donc à poil comme elles. Amélie se place au-dessus de Kimberley et commence à lui embrasser la poitrine. Elle a placé ses fesses en hauteur de mon côté, la vue est imprenable et sa chatte est littéralement trempée, je lui caresse le cul.
— Hannnn mon chéri !
Je viens de m’enfoncer d’un seul trait en elle en lui agrippant les hanches et commence à aller et venir dans son vagin que j’adore tant. Kimberley regarde le visage d’Amélie tout en lui caressant les cheveux alors que cette dernière quitte sa poitrine pour embrasser son ventre, elle glisse encore pour atteindre son entrejambe et quand ses lèvres se posent sur l’intimité de Kimberley, je la vois se tendre et l’entends soupirer de satisfaction. La voir ainsi commencer à lécher notre petite nounou du soir est terriblement excitant et je la prends sans ménagement, cognant au fond d’elle à chaque aller-retour. Je vois que Kimberley appuie sur la tête d’Amélie pour la guider, à moins que sa jouissance est-elle déjà en train d’arriver ?
— Hum c’est bon Amélie, continuez.
Cela m’excite aussi et je la prends de plus en plus violemment, accentuant sans doute les mouvements d’Amélie
— Continue mon chéri, tu vas me faire jouir.— Oui mon amour.— Vas-y Amélie, continue, lèche-moi, fais-moi jouir.
Je vois qu’Amélie s’applique sur Kimberley alors que je continue à aller et venir en elle comme un fou furieux. Elle décide de glisser en elle un doigt qui rentre sans la moindre difficulté tellement la gamine est excitée et lubrifiée.
— Oh Maddammmmeeee.
Ces femmes sont si belles à voir que je les accompagne dans l’orgasme, je plaque Amélie contre moi, envoyant encore une fois toute ma semence au plus profond d’elle. Amélie s’écroule sur Kimberley qui la prend dans ses bras et je m’assois à leurs côtés, elles posent leurs jambes sur mes cuisses pendant qu’elles se câlinent et je les caresse.
— Amélie, vous êtes sûre que vous n’aviez jamais goûté à une femme avant ?— Euh oui, pourquoi ?— C’était très bien merci.— Euh merci.— Vous êtes trop beaux tous les deux quand vous faites l’amour, j’ai presque eu envie que Monsieur me prenne lui aussi.
Amélie me regarde et sourit, elle profite de l’instant lové contre Kimberley, sa main libre parcourt son buste, jouant avec son ventre, ses seins et elle reprend la discussion :
— Alors pourquoi tu n’a pas demandé ?— C’est-à-dire que je préfère les femmes, les hommes ne m’attirent pas... enfin d’habitude, là je sais pas, c’est vous réunis, sa queue ne me semblait pas si répugnante que ça.— Tu as déjà essayé avec des hommes ? — Non jamais.— Avec des sex toys ? — Non plus.— Tu sais je n’avais jamais posé la main sur une femme jusqu’à ce soir Kimberley...— Vous essayez de me faire comprendre qu’il faut que je me lance ? — C’est peut-être l’occasion oui.— Mais ça doit faire mal non ?— Un peu, mais ça passe vite.— Les filles j’ai peut-être mon mot à dire non ? — Oh il est encore là !— Hi hi hi.— J’ai une idée les tourtereaux, puisque je vous y ai trouvés tout à l’heure, on pourrait aller tous les trois dans le jacuzzi ? Je l’ai rallumé pour vous en début de soirée.— Allez !
Nous filons tous les trois vers le jacuzzi, je ferme la marche et peux tant apprécier la beauté subjuguante d’Amélie que le petit corps musclé de Kimberley, nous montons dans le jacuzzi, les filles continuent d’être super tactiles, elles sont l’une contre l’autre et je me demande si elles ne sont pas en train de se caresser mutuellement, les bulles me cachent la vue de ce qu’il se passe sous l’eau, elles rigolent et murmurent des trucs entre elles et s’embrassent régulièrement.
Finalement, elles se rapprochent de moi et leurs mains se posent sur mon corps me couvrant de caresses. Cela a pour effet de me faire bander de nouveau, elles s’embrassent devant moi, un baiser passionné bien visible clairement pour m’aguicher, Amélie s’empare ensuite de mes lèvres tandis que Kimberley me dépose de doux baisers dans le cou, j’attrape une fesse de chacune d’elles dans mes mains alors qu’elle m’offre ce traitement de rêve. Puis quand Amélie se délie de mes lèvres, Kimberley m’embrasse timidement à leur bordure, je sens la main d’Amélie que je connais si bien attraper mon sexe et glisser dessus, je tourne la tête vers Kimberley et nos lèvres se rejoignent pour un chaste baiser puis finissent par s’ouvrir, permettant à nos langues de se rencontrer.
Mes mains changent de position et glissent entre les jambes de ces demoiselles, Amélie appuie dessus, mais à l’inverse, Kimberley sursaute quand je rentre en contact avec son intimité, mais passé la surprise, elle remue le bassin lentement et notre baiser en devient plus intense. Je sens alors une nouvelle main se joindre à celle d’Amélie sur mon sexe, plus petite, inconnue, je sens Amélie retirer la sienne pour laisser Kimberley découvrir le sexe masculin, elle fait glisser sa main sur l’ensemble de ma tige, l’enserrant, relâchant, joue avec mon gland semblant le comparer au reste, s’aventure sur mes couilles les caressent, les malaxe et les soupèse.
Amélie remplace Kimberley sur mes lèvres que je sens venir se placer à califourchon sur moi, elle vient plaquer son petit abricot contre ma queue bien raide, Amélie vient se placer derrière elle, empoignant ses seins, allant chercher ses lèvres pour l’embrasser à nouveau, je sens le bassin de Kimberley remuer contre moi. Amélie se plaque dans le dos de Kimberley la poussant contre moi, elle prend sa main et la guide sur ma queue la pressant contre les lèvres intimes de la jeune femme, je sens qu’elles s’écartent et malgré la chaleur de l’eau ressent la chaleur de son sexe. Amélie la guide dans ses mouvements plaquant mon sexe contre celui de Kimberley.
— Alors Kim, elle te fait toujours envie la queue de mon mari ?— Je crois, c’est excitant, mais j’ai un peu peur.— Et toi mon chéri ? Tu veux être le premier homme à t’immiscer en elle ? — ...
Je ne sais pas quoi répondre, je ne sais pas si j’en ai envie ou pas, je n’avais encore jamais songé réellement à un plan à trois, encore moins avec une lesbienne potentiellement bisexuelle, je me contente d’accompagner les mouvements de la jeune femme et d’embrasser celle qui m’offre ses lèvres.
— Qui ne dit mot acquiesce, on va faire l’amour tous les trois, ne t’inquiète pas Kim.
Je sens le bassin de Kimberley se soulever, ma queue frotte contre elle et du bout des glands sens les doigts d’Amélie écarter les lèvres intimes de Kimberley. Puis son bassin s’appuie plus fortement sur moi et mon gland entre en contact contre le sexe de Kimberley, je le sens frotter contre les doigts de mon amour, écarter les chairs intimes de Kimberley, nos sexes commencent à fusionner quand mon gland entre alors en elle de quelques millimètres. Elle est terriblement serrée, brûlante. Son bassin poursuit sa descente sur moi, tout mon gland est en train de glisser en elle quand je sens alors la résistance de son hymen.
— Stop les filles, je suis désolé, je ne peux pas continuer.— ...
Je soulève facilement Kimberley, mais la garde contre moi
— Kimberley, tu es adorable, super mignonne, tu sembles t’interroger sur ta sexualité, je n’ai pas de problème avec ça, ce n’est pas pour ça que j’ai arrêté. Mais si jamais tu es bi, je préfère que tu découvres le sexe d’un homme avec celui dont tu es tombée amoureuse. Je ne veux pas que tu aies de regret suite à cette euphorie. Tu es superbe, mais je suis fou amoureux d’Amélie, et mon esprit est avec elle en ce moment, pas avec nous trois. J’ai l’impression de voler ce moment, j’espère que vous comprenez.— Personne n’a à se forcer, je comprends. C’est mignon et touchant de penser à moi comme ça. Je me rends compte grâce à vous deux que je ne suis pas insensible aux hommes en tout cas, bisexuelle, je ne sais pas encore, mais merci de me laisser le temps.
Amélie m’embrasse puis me sourit avec un regard rempli d’amour. Nous nous embrassons également avec Kimberley et profitons calmement du jacuzzi en nous câlinant tendrement.
— Bon les tourtereaux, c’est pas tout ça, mais je vais finir par rentrer. Si vous vous ennuyez demain, vous avez mon numéro.
Nous raccompagnons avec Amélie notre amante du soir, puis montons nous doucher. Sous la douche, nous commençons à discuter.
— Je ne savais pas que tu appréciais les filles.— Bah moi non plus je t’avoue, j’ai bien fait quelques rêves avec des bisous sur des filles, mais rien de plus. Je sais même pas comment expliquer ce qu’il s’est passé, j’étais encore sans doute excitée après la voiture, elle était gentille, douce, mignonne et ça s’est fait tout seul.— Eh bah sacrée soirée !— C’est mignon que tu n’aies pas osé la déflorer.— Je me suis senti comme un gros dégueulasse profiteur sur le coup et en fait c’est de toi que j’avais envie, pas particulièrement d’elle.— Je t’aime mon grand frère.— Je t’aime petite sœur.— Allez mets-toi à genoux, c’est l’heure du gage.— OK.
Je me mets à genoux et vu qu’elle écarte les jambes, je commence immédiatement à la lécher, j’attrape ses fesses et lui bouffe le minou avec une grande application. Elle gémit de plaisir.
— Mmmmmhh merci, mais ce n’était pas le gage, mais continue, je t’en prie.
Je sens alors un liquide chaud commencer à m’inonder la bouche, couler le long de mon cou et de mon torse. Elle est en train de me pisser dessus ! Je continue de la lécher en acceptant mon gage, et sens pourtant ma queue se dresser rapidement malgré la situation inattendue. Elle se dégage de moi et dirige son jet sur mon torse, mes épaules m’arrosant de son urine qui finit par s’arrêter. Je me recolle contre elle toujours à genoux pour continuer à la lécher et aller la nettoyer, sa pisse n’a pas d’odeur particulière et je suis maintenant totalement au garde à vous.
— Relève-toi mon chéri.
Elle attrape le gel douche et commence à me savonner l’intégralité du corps :
— Ton gage ne t’a pas déplu visiblement.— Vu comment je bande, impossible de mentir. Comment t’est venue l’idée ?— J’ai repensé à ma « fuite » l’autre nuit et que tu m’as dit avoir trouvé ça excitant finalement.— Eh bien je te confirme, ça m’a plu, pas à faire tous les jours non plus. Mais dis donc tu m’a dit aussi préférer être soumise et là tu es dans l’extrême inverse ma chérie !— Oh bah tu sais les humeurs changent.— C’est vrai que tu as été sacrément entreprenante toute la soirée !— Oui j’étais comme déchaînée ce soir, allez profite.

Elle continue de me savonner et me branle jusqu’à me faire jouir avant de me rincer. Puis nous allons nous coucher et nous endormons rapidement l’un contre l’autre.
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