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Amélie et les voisins

Chapitre 3

Trash
Il se leva et prit Amélie dans ses bras, la soulevant comme si c’était une plume ; elle poussa un petit cri de frayeur qui se transforma en éclat de rire. Ravie, le petite Eurasienne encercla le cou de Valentin et l’embrassa sur l’oreille. Au moment où Valentin franchissait la porte, elle adressa un regard navré aux quatre garçons qui restaient debout, flamberge au vent ; mais elle fut rassurée en entendant leurs rires suivis de plouf sonores. Valentin la posa sur son lit et l’embrassa, leurs deux corps nus étroitement serrés ; sa verge dressée s’était insinuée entre les cuisses de la jeune fille et appuyait contre la vulve et contre le cadenas.
— Je vais prendre du lubrifiant, je dois en avoir un tube. Merde ! Au fond d’un carton !— J’en ai à la maison ; je vais en chercher, si tu veux…— Attends, j’ai une idée.
Il partit à fond et revint aussi vite, une bouteille verte à la main.
— Huile d’olive, première pression à froid. Origine : Grèce ; au temps pour l’Union Européenne. C’est une huile très parfumée, mais pour l’usage que nous allons en faire…
Amélie pouffa et se laissa tomber sur le lit, offrant ses jolies fesses toutes musclées et écartant un peu les jambes ; sur un clin d’œil mutin, elle se cambra et posa ses mains sur ses fesses pour les écarter et offrir son œillet plissé à Valentin. Encouragé de la voir si coquine, il versa un peu d’huile dans la raie présentée et commença à masser doucement l’anus en pesant de deux doigts gras ; il constata que la jolie jeune fille avait une certaine habitude de la sodomie car ses doigts s’enfoncèrent sans résistance. Ce que voyant, il força son avantage en entrant derechef un autre doigt joint aux premiers, arrachant un petit gémissement à Amélie.
— Je te fais mal ? — Non, j’aime bien ; continue…
Il reversa un peu d’huile et enduisit sa grosse verge gonflée à bloc ; puis il retira ses doigts et la guida au centre du cratère luisant avant de s’enfoncer d’une poussée imparable. Amélie hoqueta, son anus se serra sur l’épais mandrin, mais elle ne protesta pas et tenta de se détendre. Ce que voyant, Valentin força son avantage, s’enfonçant peu à peu des les reins accueillants. Amélie avait un peu mal car la verge de Valentin était vraiment plus grosse que celle de Jules, mais elle était heureuse de donner du plaisir à ce si gentil garçon.
Il prit ses hanches et commença à faire de petits mouvements en elle, gagnant les derniers centimètres, s’arrêtant lorsqu’il buta contre les fesses dorées. Son épaisse verge était bien serrée par les muscles anaux, il flatta les hanches et la taille fine de la jeune fille. Pleinement satisfait, il resta immobile, sensible aux contractions de l’anus qui le serrait fort avant de se relâcher.
— Tu es une diablesse ; tu es serrée et brûlante.— Tu es vraiment très gros, c’est que je n’ai pas l’habitude.— Tu as mal ?— Un peu, tu es si épais ; mais c’est bon. Continue, défonce-moi plus fort.
Valentin obtempéra et ne se retint plus. Il voyait sa grosse queue disparaître complètement dans l’anus distendu, si près de la rupture que quand il ressortait les muscles anaux étaient presque blancs. Il plongea encore et encore, caressant les hanches menues de la belle eurasienne qui se retourna comme elle pouvait pour lui adresser un sourire radieux et un regard amoureux, voilé par la montée du plaisir.

Ils s’embrassèrent goulûment, la langue épaisse de Valentin envahissant la douce bouche d’Amélie qui commença à jouir ; tout son corps frêle était agité de tremblements, alors que lui s’était immobilisé, planté bien au fond des reins accueillants, savourant le plaisir de sentir monter la sève dans sa queue très serrée dans un antre brûlant.
Il éjacula à grosses rasades qui précipitèrent une nouvelle fois Amélie dans la jouissance ; puis ils s’écroulèrent sur le lit, lui toujours chevillé profondément en elle. Ils basculèrent sur le côté pour éviter qu’Amélie soit écrasée ; elle se cambra pour qu’il reste bien enfoncé en elle.
— Tu es bien, ma puce ?— Je voudrais mourir comme ça ; je n’avais jamais joui, tu sais ? Merci, mon amour.— Tout à l’heure, nous allons revenir chez toi, prendre tout ce dont tu as besoin, puis nous reviendrons ici, définitivement ; je te demanderai seulement de réfléchir à ce que tu voudras faire avec mes amis. Ce sont tous des amis d’enfance, originaires de la même banlieue pourrie de Paris. Je tiens énormément à eux mais je ne veux pas te perdre.— Je ne comprends pas ; tu as envie que je fasse l’amour avec tes amis, ou au contraire tu veux que je te sois fidèle ? Dis-moi, je te promets de faire tout ce que tu veux.— Alors, tant qu’ils n’auront pas de petite amie, si tu le veux, tu feras l’amour avec eux ; ils en ont envie, tu sais. Mais seulement si tu le veux, tu n’es obligée à rien.
Peu après, Amélie se mit sur le dos, leva les jambes et passa ses chevilles croisées derrière sa nuque ; là, elle tira le cadenas vers le haut et sourit à Valentin ; dans cette position, son anus bistre était bien visible, gonflé et encore ouvert.
— Viens, encule-moi, mon chéri, défonce bien ta petite chienne.
Il ne se fit pas prier et il la prit sauvagement, lui arrachant une grimace de douleur qui se changea rapidement en une expression de pur bonheur. Son épais mandrin paraissait disproportionné par rapport au frêle corps de la jolie Eurasienne, et pourtant il s’est enfoncé avec facilité dans l’anus étroit mais souple. Amélie a planté ses ongles dans les flancs de Valentin et l’a tiré à elle, heureuse de l’accueillir si profondément. Il l’a prise longtemps, l’inondant de sa sueur qui ruisselait de son visage, de son torse et de ses bras.
— S’il te plaît, tu peux jouir dans ma bouche ? Je voudrais te boire.— Oui, d’accord ma puce, je ne vais pas tarder à venir...
Une demi-heure plus tard, douchée et habillée, Amélie accompagnée de Valentin et Jérémie revint pour la dernière fois dans son ancien logement pour récupérer ses affaires ; peu de choses en fait : quelques vêtements et sous-vêtements osés, ses affaires de toilette, et c’était tout. Jérémie insista pour prendre tout l’arsenal SM, au grand désarroi d’Amélie.
— Tu comprends, tu as l’air obéissante comme ça, mais si tu essaies de passer les bornes, je te punirai sévèrement. Il y a ce qu’il faut ici ; il a tout essayé sur toi ?— Oui ; souvent.— Et quel est le pire pour toi, celui que tu crains le plus ?— Je ne sais pas… La cravache, ça fait super mal. Le fouet court, là, il est pire encore, je crois. Le reste, ça passe à peu près ; ça dépend aussi de la force des coups.— Il y en a que tu aimes bien ?— Pfff… Le martinet ? Il claque fort, ça fait un peu mal, mais ça va.— Bon, on verra ; Val nous a dit que tu acceptais de baiser avec nous ?— Oui… Vous êtes ses amis et vous avez l’air gentils.— Gentil ? Valentin est gentil, André est gentil. Ben et John sont des méchants, et moi… Tu veux commencer par qui ?
Effectivement, Amélie déchanta quand elle fut aux mains de Benjamin et de John, qui la prirent ensemble dans une chambre ; autant André avait été prévenant et doux, autant les deux hommes se montrèrent autoritaires voire brutaux. Pendant qu’un la sodomisait, l’autre prenait sa bouche comme un sexe, la faisant suffoquer et étouffer ; Amélie faisait de son mieux mais recevait claque sur claque sur ses fesses et sa petite poitrine. Même si elle était lubrifiée et habituée à la sodomie, elle grimaçait sous les assauts trop violents.
Mais elle ne se rebellait pas ; au contraire, elle essayait de satisfaire les deux hommes de son mieux. Elle comprit que ce qu’ils voulaient, c’était la dominer, la rabaisser pour lui montrer qu’ils étaient ses maîtres. Enfin elle accueillit avec soulagement leur semence dans la bouche et les reins, et ils la chassèrent de la chambre d’une violente claque sur les fesses qui lui arracha quelques larmes, plus d’humiliation que de douleur.
Nue et souillée, elle avait mis une main en réceptacle sous son anus pour éviter de salir le sol ; elle cria quand elle fut empoignée et tirée dans une chambre par Jérémie. Il était nu et sa virilité était bandée à faire peur ; il obligea la jeune fille à s’agenouiller avant de lui donner deux gifles sèches en aller-retour, déclenchant l’arrivée de larmes qui roulèrent sur les joues rougies.
— S’il te plaît, Jérémie. Tu n’es pas obligé de me battre, je suis prête…— Tais-toi, tu n’es qu’une pute et une esclave, je vais te dresser, moi !
Amélie poussa un cri de douleur. La porte s’ouvrit avec fracas et Valentin entra à grands pas, l’air furibond. Juste vêtu d’un bermuda, il était magnifique ; pour l’heure, ses yeux lançaient des éclairs.
— Jérémie, tu la touches plus. Jamais.— Eh, Val, tu vas pas laisser cette pute se mettre entre nous…
Val répondit d’une poussée du plat de la main sur le plexus solaire ; Jérémie tomba en arrière sur le lit. Il comprit en voyant la lueur meurtrière dans le regard de Valentin qu’il valait mieux faire profil bas, et il resta allongé plutôt que de se relever pour se battre comme il en avait eu l’intention. Il ne ferait pas le poids contre Valentin, expert en arts martiaux.
— Amélie n’est pas une pute : c’est ma petite amie, et mon amie ; si tu n’es pas capable de comprendre, tu te tires.— Valentin, ne te fâche pas lui, s’il te plaît. C’est ma faute : il me voit comme une soumise et ça fait ressortir le pire chez lui.
Debout, magnifique dans sa nudité, Amélie posa les mains sur ses hanches et leva la tête dans une attitude de défi ; pour la première fois de sa vie sûrement, elle arborait une expression grave et décidée. Elle planta ses yeux dans ceux de Jérémie et le fusilla du regard.
— Toi, tu ne me touches plus. Jamais.
Le début de la liberté. Le lendemain, un employé de maintenance de l’aéroport cisailla le cadenas et libéra la jeune fille. En cadeau, le soir même, elle offrit sa virginité à son Valentin chéri. Jérémie quitta la coloc en râlant et Amélie accepta de se partager entre les trois amis de Valentin, à condition que Benjamin et John se montrent un peu moins brutaux.
Puis André se trouva une copine et partit vivre chez elle. Amélie se partagea longtemps entre Ben, John et Valentin. Puis elle épousa Valentin, mais c’est une autre histoire.
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