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amélie piégée

Chapitre 3

Avec plusieurs hommes
Marc appuie sur les épaules de la jeune femme. Il accompagne son geste par la parole : « Mets toi à genoux maintenant, ma puce ». Se mettre à genou ! Mon dieu, non ! Mais si, elle va s’agenouiller. C’est écrit. Ses jambes plient. Comment lutter contre la volonté inflexible de Marc ? Il est plus fort qu’elle. Voici que ses genoux touchent le bac de douche froid et son visage se retrouve à hauteur des deux membres dressés. Elle est aux pieds des deux hommes. Rabaissée à en être terriblement excitante, à en être profondément troublée. Elle ne s’appartient plus. Raphaël grogne d’impatience. Il tient son engin adipeux dans sa main et sans cesser de le branler, il le rapproche toujours plus de la bouche de la jeune femme. L’odeur aigre et rance qui s’en dégage rend ce sexe d’autant moins appétissant. Dans une grimace de dégoût, elle détourne la tête. Elle sait qu’elle ne fait que retarder l’échéance. De toute façon, elle est cernée et en esquivant la queue de Raphaël, sa bouche se retrouve juste en face de celle de Marc. Alors ce dernier lui caresse tendrement le visage et s’adressant à Raphaël : « Elle veut d’abord commencer par la mienne. On va lui apprendre ». Le gland pousse contre ses lèvres, la deuxième main de Marc se pose sur sa joue, les doigts larges encadrent son visage, le soulève légèrement. Alors, elle lève les yeux, elle a envie de pleurer. Elle a tellement honte. Mais le regard de Marc, n’est pas agressif, ni méprisant, au contraire, son sourire ne peut être plus encourageant. Elle n’a qu’à laisser faire… Entrouvrir les lèvres… Accueillir la turgescence dans sa bouche. Et se laisser guider par la voix de l’homme : « Laaaa ma puce. C’est bien. Ouiii. Épouses bien la queue avec tes lèvres. Comme çaaaa. Doucement sur le gland, voila, c’est la partie la plus sensible. Doucement et aevc la langue comme je t’ai appris. Aspire maintenant plus fort à mesure que tu enfiles la tige. Fais un mouvement de va-et-vient avec ta jolie bouche… Tu vois, ouiii. Alterne la pression ma puce, doucement sur le gland et plus fort à mesure que tu entres plus profondément la queue en bouche. Détends toi, je ne vais pas te la mettre trop profond. Làà Juste comme ça. Ouii. C’est toi qui contrôles ma toute belle, c’est toi qui donnes le plaisir. Voila… Humm, c’est bon Amélie. Ta bouche est bonne. ÔOhh, tu sens comme ma queue est dure ? Ouiii, tu es bonne, tu sais !!! ». Quelle étrange impression. Ce membre qui lui remplit la bouche. Cette sensation animale, bestiale même, d’utiliser ainsi son orifice buccal comme un vagin, d’avoir une conscience, une connaissance, aussi intense, aussi intime, du plaisir qu’elle délivre au mâle. Si seulement ce n’était pas aussi obscène de faire ça… Si seulement l’autre porc n’avait pas les yeux fixés sur la scène. Si seulement elle ne s’exhibait pas ainsi… Si seulement elle n’allait pas devoir ensuite faire pareil avec ce porc. Elle l’entendait souffler, grogner, marmonner des insanités… Et ce sexe qui coulisse dans sa bouche avec tellement d’aisance, pourtant il est si gros, si puissant… Raphaël qui manifeste de plus en plus son impatience. Marc qui extirpe doucement son engin. Un peu de salive s’échappe en même temps des lèvres d’Amélie. N’est ce dégradant ? Sale ? Ne doit-elle pas essuyer sa bouche. Elle avance sa main. Marc devance le geste de la jeune femme, en lui caressant encore plus tendrement le visage. Sa voix est si encourageante, apaisante : « Chutte ma puce, tu es si belle. Tu es merveilleuse, tu sais ». Alors elle laisse retomber ses bras le long du corps. Elle déglutie la salive qui s’est accumulée dans sa bouche. Et… « Ouvres salope ! ». Elle sursaute ! La voix de Raphaël et surtout sa masse qui a envahi tout l’espace. Ses mains rugueuses se saisissent de son visage. Sa queue force les lèvres de la jeune femme. L’ordre se fait de plus en plus impérieux : « Allez ouvres salope ! Mais ouvres putain ! ». Alors elle ouvre la bouche. Elle regarde inquiète Marc pour qu’il l’aide, la soutienne, la protège. D’un mouvement de tête, il l’encourage. L’autre prend possession sans ménagement de son palais. Il éructe : « Chienne, ohh la chiennneee ». Très vite, il tente d’enfoncer profondément sa bite. Elle a un haut le cœoeur ! Elle a peur de s’étouffer. Marc intervient subtilement. S’adressant à Raphaël : « Elle a quand même de sacrés beaux nichons la salope. Regardes comme elle a les tétons qui pointent ». Et joignant le geste à la parole, Marc pose sa main sur le sein droit de la jeune femme et se met à le masser à pleine poigne. Le leurre fonctionne et Raphaël relâche la pression sur la tête d’Amélie et se saisit de l’autre sein. Marc saisit alors la main d’Amélie pour qu’elle la pose sur l’engin de Raphaël. Elle ne comprend pas tout de suite pourquoi il agit ainsi, mais elle sait qu’elle doit lui faire confiance. Marc dit alors à l’oreille de la jeune femme « Prend sa queue dans la main. Branles le tout en le suçant. Tiens la par la racine… Comme ça. Tu comprends ? ». Oui ! Amélie comprend qu’ainsi elle empêche Raphaël de s’enfoncer trop profondément dans sa gorge. Alors elle synchronise la succion délicate du bout de la queue et le mouvement de branle plus énergique du reste de la hampe. Et le plus vite sera le mieux. Sa bouche devient plus avide, ses doigts plus vicieux. Et l’effet ne se fait pas attendre. Raphaël râle : « Ohh elle va me faire venir laaaa Chienneeee… Plus vite, plus vite ». Elle accélère. Elle va la faire cracher. Ça gonfle… Le porc trésaille… Elle sort précipitamment la queue de sa bouche. Marc la guide. « Branles le fort, n’arrêtes pas… ». Elle enserre et accentue encore le mouvement de va-et-vient… Elle presse bien à la racine et fait monter la jute vers le gland… Et… Ça gicle … Un jet gluant atterrit sur sa joue. Elle a un mouvement de répulsion et relâche la pression sur l’engin. Mais Marc autoritaire lui intime l’ordre de finir le travail : « Continues à branler ! Surtout n’arrêtes pas ! Allez vide le !!! » Alors malgré sa répugnance, elle poursuit le mouvement de branle de la queue giclante. La jute coule sur ses doigts. Elle a l’impression de traire la queue qui glisse dans l’étau poisseux de sperme de sa main. Encore un spasme, un autre. La pine diminue déjà de volume, devient plus molle. Elle ne lâche plus des yeux Marc, attendant les directives. Il lui fait un signe satisfait. Elle peut lâcher l’engin. Ouf ! Raphaël est vidé. Il s’affale contre le mur de la douche. Mais ce n’est pas fini. Elle le sait. Il reste Marc à soulager. Il bande comme un taureau. Il attend. Elle doit le faire. Elle doit le soulager. D’elle même, Amélie se saisit de la pine impressionnante, la fait d’abord coulisser lentement entre ses doigts, doucement, puis avec un peu plus d’énergie et à mesure qu’elle affirme sa prise sur la racine, elle approche ses lèvres du gland, le gobe, le suçote, le suce, s’embouche à la bite. Et elle suce et elle branle et elle branle et elle suce avec application le braquemard du mâle en rut. A mesure que l’orgasme monte en lui, il crispe de plus en plus ses mains sur la tête de la jeune femme. Il l’a prévient : « Je vais bientôt jouir, ma chérie ». Elle a un mouvement de recul. Il réaffirme sa prise : « Laisses moi jouir dans ta bouche ». Elle le regarde inquiète. Il sait la rassurer, lui dire les mots qu’elle a besoin d’entendre : « Fais-moi confiance. Montres-moi comme tu m’aimes. Ta bouche est si bonne tu sais. Ohh ça vient. Vas-yyyyy… Montres moi comme tu m’aimes… Ouiiiiiiii… ». Une première giclée fuse et atterrit, comme une glaire, dans sa gorge. Surprise, elle desserre l’emprise de ses lèvres, mais, elle n’a pas le droit de le décevoir, alors immédiatement elle se ressaisit et poursuit le mouvement de branle avec la main, sans vraiment dérober sa bouche. La pine crache sur sa langue puis ses lèvres et, Marc finit de jouir et les dernières gouttes s’écoulent du méat sur les doigts d’Amélie. Elle en a plein la bouche. Le goût est gras, écoeurant. Alors elle crache, mais pas assez loin et le sperme échoue sur sa cuisse. Un filet de bave et de foutre pend de ses lèvres. Elle crache encore, moins fort, alors ça dégouline sur son menton, son cou. Pendant ce temps, elle continue de masser la bite à qui perd de sa vigueur. Elle n’ose pas regarder Marc. Elle doit être absolument ignoble à voir.
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