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Amélie, une fieffée coquine

Chapitre 1

Erotique
Amélie, une fieffée coquine.
Il y a quelques années, j’avais découvert sur un site spécialisé une animatrice avec qui j’étais allé au-delà de simples séances de voyeurisme...
Nous étions devenus de véritables amis et souvent nous échangions sur notre vie de libertins.

C’est ainsi qu’Amélie m’a confié ce fantasme qu’elle avait depuis de nombreuses années.

Plus tard, devenue casteuse pour un célèbre réseau qui filmait des femmes plus ou moins jeunes, parfois avec leur copain du moment, elle m’a raconté et envoyé une séquence vidéo que j’ai transposés en une histoire...
A chaque fois, elle a apprécié...

Le fantasme d’Amélie ! (Histoire écrite le 12.03.2012)

Voilà ce que j’ai imaginé à partir de ce qu’elle m’a dit de son fantasme et quelques mois plus tard, elle l’avait réalisé. C’est Amélie qui raconte :

Il y a quelques semaines, j’ai pu assouvir un fantasme qui me hantait depuis quelques mois déjà. Et je dois dire que malgré l’inconfort et l’étroitesse du lieu, j’ai pris un pied formidable.
Avec mon copain Tristan, nous avons quitté les brumes et les frimas bretons et nous sommes partis pour passer une semaine de vacances en République dominicaine. En cette fin d’hiver gris et maussade, nous avions envie de soleil et de bains de mer... mais aussi de farniente sur la plage.
Et cette semaine a été un véritable enchantement tant nous avons été accueillis chaleureusement à l’hôtel club que la beauté des plages de sable blanc. Hélas, une semaine ça passe très vite, trop vite...

A 36 ans, petite brunette d’à peine 1.55m pour 50kg, je suis très fière de mon corps mais surtout de ma poitrine. Mon copain ne cesse de la caresser chaque fois qu’il peut : de beaux seins ronds et généreux – bonnet D – avec des tétons ultra-sensibles, qui, lorsqu’ils sont sollicités par des caresses et le simple frottement d’un vêtement en soie de préférence pointent au milieu des aréoles.
Tristan est ce qu’il convient d’appeler un beau mec. Très brun avec des cheveux noirs, très souvent rasés de près, il est professeur de sport dans un lycée de la ville. Il possède une musculature fine légèrement marquée qu’il entretient régulièrement. Nous sommes un couple bien assorti car il est juste un peu plus grand que moi. L’un et l’autre nous portons des tatouages discrets souvenirs de nos jeunes années.

Depuis longtemps, nous filons le parfait amour au milieu de nos deux enfants, amour fait de tendresse partagée mais aussi de bonnes séances de sexe dont nous sommes friands. A deux, nous avons presque tout expérimenté...
Nous avons fait l’amour dans sa voiture plusieurs fois après notre première rencontre, sur la plage au clair de lune, en plein jour cachés au milieu des dunes, dans un parking souterrain du centre de Rennes, dans la cabine d’ascenseur de notre immeuble alors que nous rentrions du cinéma.

En plus d’être animatrice sur un site érotique, je fréquente avec mon homme les clubs libertins où j’obtiens un franc succès avec mes formes bien dessinées. Parfois même, nous recevons à la maison des couples qui partagent notre manière de vivre notre amour...

Mais... l’un et l’autre nous avions un fantasme commun dont nous avions déjà parlé à plusieurs reprises ! Nous voulions faire l’amour en avion. Notre voyage en République dominicaine allait peut-être nous permettre de réaliser ce fantasme.
A l’aller, cela nous a paru difficile car c’était un vol de jour. S’isoler dans les toilettes de l’avion alors que la plupart des passagers était éveillée et le personnel de cabine très présent nous a fait renoncer. Mais au retour, le vol de nuit nous a semblé plus propice.

Nous volions depuis déjà une bonne heure et le léger dîner servi par le personnel était terminé. Le ronronnement des réacteurs commençait à bercer les passagers mais la climatisation de la cabine trop fraiche à notre goût nous a fait demander une couverture à l’hôtesse. C’est vrai aussi que Tristan et moi, nous ne portions que des vêtements légers, chemisette et bermuda pour lui et pour moi, un sweet-shirt à manches courtes et une jupe en coton arrivant à mi cuisses. Nous avions dans notre bagage à main de quoi nous couvrir pour l’arrivée aux petites heures de la matinée.

A l’embarquement, nous avions eu la chance d’obtenir deux sièges côté hublots. Nous nous étions couverts pour échapper à la fraicheur de la climatisation de la cabine et nous avions incliné nos sièges au maximum. J’ai appuyé ma tête sur l’épaule de Tristan et j’ai commencé à somnoler.

Mais bientôt, je sentis la main de mon copain glisser sur mon ventre puis entre mes cuisses et remonter ma minijupe et se poser sur mon Mont de Vénus :
— Amélie, je crois que ça va être le moment propice !
— Quoi ? Qu’y a-t-il ?
— Je vais aller aux toilettes de l’arrière, rejoins moi dans quelques minutes !

La cabine était plongée dans la pénombre. Seules les bandes de plots lumineux jalonnant les allées et les passages donnaient une lumière verdâtre.

Tristan se leva et se dirigea vers l’arrière. Deux minutes après je le rejoignis. Arrivée à la hauteur des toilettes, je pus voir que les rideaux séparant la cabine « touristes » en deux parties étaient tirés : Génial, personne n’allait me voir entrer dans une cabine déjà occupée...

Quelques coups discrets frappés sur le battant de porte et Tristan me fit entrer avec lui dans le réduit exigu des toilettes. Il m’enlaça aussitôt, plaquant son corps contre le mien et glissant un genou entre mes cuisses qui ne demandaient qu’à s’ouvrir.

Etait-il particulièrement excité par ce que nous avions entrepris, toujours est-il que sa queue que je sentais contre moi et ses baisers passionnés achevèrent de mettre le feu à ma libido...
— Doucement ! Tout le monde dort, on a le temps !
— Oui, je sais mais j’ai envie de te sauter comme une chienne ! Tourne-toi et appuie-toi sur le lavabo.

Je compris immédiatement ce que voulair mon homme : me prendre en levrette ! Il avait raison, c’était presque la seule position possible dans un tel lieu aussi étroit. Je me plaçai comme il le souhaitait, face au miroir qui surplombait le petit lavabo.

Il remonta le bas de ma jupe pour le coincer dans la ceinture puis il plaqua ses mains puissantes sur mes fesses pour ouvrir la fente. Là, il a eu la surprise de trouver bien enfoncé dans mon anneau plissé, le petit Plug bijou que nous avions acheté dans un sex-shop de la ville. Après avoir massé mes fesses quelque temps et agité le jouet dans ma gaine anale, il a fait glisser mon string pour me l’enlever en même temps qu’il faisait descendre son bermuda et son boxer.
Au passage, il déposa quelques baisers humides sur mes fesses et dans ma raie qui s’ouvrit d’elle-même. J’avais la chatte en folie. Ma cyprine ruissèlait déjà rien qu’à la pensée de ce qui m’attendait !

Je sentis la queue de Tristan se glisser entre mes cuisses. Oulla ! Qu’elle était bandée : Un véritable estoc ! Puis elle entra doucement dans ma gaine humide jusqu’à ce que son pubis soit au contact de mes fesses et enfonça un peu plus le Plug. J’étais bien remplie et mon excitation était à son comble.

Après quelques allers-retours pour bien trouver sa position en fléchissant un peu les jambes, Tristan est venu peloter les tétons de mes seins en remontant mon sweet-shirt.
Le pouvoir érotique de cette étreinte était encore décuplé car nous pouvions nous voir dans le miroir... Waouh, quelle idée géniale de choisir notre vol de retour des vacances pour satisfaire mon fantasme, qui au fil des mois était devenu aussi celui de mon homme.

Malgré l’inconfort certain des lieux et la position prise, je sentais mon plaisir monter, monter, monter... Ses allers-retours dans ma chatte étaient de plus en plus rapides et j’avais l’impression que chaque fois que son pubis venait claquer contre mes fesses, j’allais m’ouvrir en deux pour qu’il puisse aller encore plus loin au fond de mon sexe.
Je mordais mes lèvres pour ne pas exprimer trop bruyamment cette jouissance qui m’envahissait et je voyais un sourire coquin illuminer le visage halé de Tristan. Bientôt, j’atteignis le point de non retour et un plaisir démentiel me déchira la chatte, montant dans mes reins jusqu’en haut de mon dos.

Ce coquin n’attendait que cela pour se lâcher. Les derniers spasmes de ma jouissance déclenchèrent la sienne ! Il m’avait attendue comme il le faisaitt de temps en temps, attendant que je parte pour venir à son tour. Je sentais ses jets de sperme venir frapper le fond de ma chatte et se mélanger à ma cyprine.

Nous sommes restés ainsi, embrochés l’un dans l’autre quelques minutes pour retrouver notre calme :
— Amélie, mon trésor, te baiser ainsi, c’était vraiment bon. Tu as eu une bonne idée avec ce fantasme.
— Oh oui ! Merci mon Amour !

Tristan se rhabilla et regagna sa place. Quant à moi, avant de remettre mon string, je devais éponger nos fluides mêlés qui ruisselaient entre mes cuisses.

Le casting d’une coquine (histoire réelle écrite en 12.2013).

Il y a quelques semaines, à la fin de l’été, j’ai été invité par une amie qui à l’époque officiait comme casteuse dans une maison équipée de multiples caméras permettant aux abonnés de voir des tournages X en direct.
Un peu plus tard, voilà ce que j’ai tiré de cet après midi en compagnie des protagonistes... Mais je laisse la place à cette amie...

Tout d’abord, laissez-moi cette amie se présenter !

Agée de 40 ans, je suis mariée depuis peu à mon compagnon de longue date. Je ne suis pas très grande car je ne mesure qu’un mètre cinquante cinq mais je suis toujours perchée sur des chaussures à talons d’une hauteur peu commune. Je possède de belles rondeurs puisque je fais un 90 D de poitrine. Tout est naturel chez moi ! J’ai une longue chevelure brune, des yeux noisette et une bouche aux lèvres bien ourlées... J’ai aussi quelques tatouages discrets au poignet gauche et dans le dos.

C’est avec celui qui est désormais mon mari que j’ai découvert le libertinage et c’est sans compter que nous fréquentons différents clubs... Depuis toujours, j’ai aimé le sexe sous toutes ses formes et mes amants ont toujours su me combler. Parfois, il m’arrivait de céder à une femme... si ce n’était moi qui l’amenait dans mes filets pour la confier à mon homme ensuite...

Après avoir vécu de longues années en région parisienne, au cours de l’été 2013, nous nous sommes installés en Bretagne à l’est de Rennes dans une grande maison individuelle avec piscine... mon rêve depuis toujours...

Pendant plusieurs années, tout en travaillant à domicile, je me suis exhibée sur un site coquin où selon les désirs des clients, je me livrais à des prestations très chaudes... en me caressant, en pénétrant mes orifices sexuels de godes de diverses tailles et formes. Cela me maintenait dans un état d’excitation permanente dont mon mari profitait amplement... Amant endurant et plein de fantaisie, il me comble au delà de ce que je peux espérer.

Ensemble, nous avons découvert un autre site coquin où ceux et celles qui veulent être filmés au cours d’ébats sexuels peuvent demander la venue d’une équipe pour la réalisation d’une séquence d’une durée variable. Avec mon homme, nous avons pris contact et j’ai réalisé plusieurs scènes qui ont été mises en ligne. Ensuite, j’ai participé à deux films X... pour un réalisateur bien connu dans le milieu. Puis j’ai été invitée à participer à des tournages mais cette fois en tant que « casteuse-réalisatrice » pendant quelques mois.

C’est ainsi qu’accompagnée par un photographe/caméraman et un preneur de son, je rencontre des femmes plus ou moins jeunes qui ont envie de faire réaliser une séquence X... La plupart c’est pour assouvir un fantasme, d’autres c’est par goût pour l’exhibitionnisme, d’autres plus rares, c’est à la suite d’un pari avec leur compagnon du moment qui les a mises au défi de faire une séquence qui serait vue par beaucoup de coquins...

Après avoir assisté en tant qu’observatrice à plusieurs casting, cet après-midi, accompagnée par mes deux complices et de mon homme qui participe chaque fois qu’il le peut, nous avons rendez vous dans un café situé sur la Place Saint-Germain où je dois rencontrer une jeune femme qui a envie de se lancer dans la carrière du X. et de réaliser une première séquence pour savoir si elle ne sera pas trop intimidée par la caméra...

D’après la photo qu’elle a fait parvenir en même temps qu’elle a contacté le site, elle est assez typée méridionale, avec de longs cheveux noirs frisés. Elle a de grands yeux marron maquillés de noir et une bouche large aux lèvres pulpeuses. Peu de temps après notre arrivée, nous la voyons entrer dans la salle et se diriger vers nous... Il est vrai qu’avec la caméra et les appareils photos disposés sur la table, nous sommes faciles à retrouver...

Lorsque Fatima s’approche de nous en se faufilant entre les tables, je peux apprécier sa jolie silhouette. Avec ses bottines à talons, elle doit bien faire près d’1 m 80. Ses jambes prises dans un pantalon hyper-serré semblent bien galbées. Par contre nous ne pouvons rien découvrir de son buste qui est masqué par une veste en fourrure qui descend jusqu’aux hanches. Le visage maquillé est conforme aux photos envoyées mais les cheveux sont relevés en chignon lâche. Bref, je pense en moi même que c’est une bien jolie fille et qu’il doit être agréable de lui faire l’amour.
Pendant une petite demi heure, nous bavardons tous les quatre pour en apprendre un peu plus sur Fatima, ce qu’elle fait dans la vie, pourquoi elle a envie de tourner une scène X... puis nous gagnons l’appartement mis à notre disposition dans un immeuble du quartier et où le propriétaire nous attend en compagnie du « hardeur » de service... mais ce que je suis la seule à savoir, ce dernier n’est autre que mon homme...

C’est ainsi que j’apprends qu’elle a 22 ans, qu’elle est d’origine marocaine mais qu’elle est née en Espagne ou elle a grandi et vécu à Barcelone jusqu’à la fin de ses études de marketing. Elle parle sa langue maternelle, l’espagnol, le français et l’anglais mais malgré cela, elle n’arrive à trouver que des petits boulots pas très valorisants... Elle a découvert le site au cours d’un voyage vers Paris quand une jeune femme rencontrée dans le train lui a montré une séquence dans laquelle elle avait été filmée quelques mois plus tôt.
Bien sur, elle avait déjà eu des amants, des étudiants comme elle, qui n’avaient qu’une idée en tête : épingler un maximum de filles à leur tableau de chasse. De ces étreintes, elle avait retiré une satisfaction mitigée et pensait qu’un « hardeur » du site pourrait lui faire découvrir le grand frisson. Ainsi, elle saurait si son penchant pour le sexe pouvait lui apporter ce qu’elle souhaitait.

Dès que nous arrivons dans l’appartement, je continue à l’interroger de façon à ce que les amateurs en sachent un maximum sur elle et je lui demande de se déshabiller pour faire une série de photos coquines... C’est ainsi que dès qu’elle pose sa veste en fourrure, nous découvrons qu’elle porte un T-shirt très collant sous lequel la pointe des seins apparaît déjà dardée. La poitrine n’est pas aussi imposante que la mienne mais je pense qu’elle plaira beaucoup.

Ensuite elle fait passer son T-shirt par-dessus sa tête et apparaît en soutien-gorge nacré qui tranche bien sur sa peau mate... Je ne m’étonne plus d’avoir vu ses tétons pointer car cette jolie coquine porte un soutif à demi-bonnet laissant dépasser la pointe dardée à la limite du tissu. Je lui demande ensuite de tourner sur elle-même en se penchant pour mieux saisir le galbe de ses hanches et la rondeur de ses fesses. Pendant tout ce temps, mes acolytes prennent des photos et la filment sous toutes les coutures surtout lorsqu’elle fait glisser son pantalon serré et apparaît en string assorti à son soutien-gorge... C’est vraiment une très très belle fille...

Alors qu’elle est à moitié allongée sur le divan d’angle du salon, je lui demande s’il lui arrive de se caresser, si elle utilise des godes pour se donner du plaisir. Elle reprend aussitôt :

— Oh oui, je ne manque jamais de me caresser, sous la douche par exemple et je me gode souvent le matin. Je me réveille un peu plus tôt afin de bien commencer la journée en jouissant. Comme ça, je suis en forme pour la journée !
— Alors, montre-nous comment tu fais !

Fatima fait glisser son string et son sexe apparaît... tout juste orné d’une toison drue taillée en forme de ticket de métro... Humm ! C’est très joli tout ça et ça va changer des touffes rasées comme c’est la mode actuellement ! Dès que le string est roulé en boule sur le tapis, les mains remontent le long des jambes, caressent l’entre cuisse puis la fente offerte à nos regards concupiscents. Après quelques mouvements de la main droite sur sa vulve, Fatima se pénètre de deux doigts qu’elle fait aller et venir de plus en plus rapidement... la main gauche passe d’un sein à l’autre pour faire rouler les tétons.
La température monte dans la pièce d’autant que le « hardeur » entre en caressant sa queue au travers de son boxer et s’approche de notre candidate... Il s’agenouille devant elle, lui écarte les cuisses et plonge sa bouche vers la chatte offerte... Fatima exhale dans un souffle :
— Ooohhhh ooouuuiiii ! Maaannngee moooiii !

J’imagine aussitôt la bouche de mon homme sur ma chatte... il sait si bien se servir de sa langue que parfois, quelques minutes de léchage suffisent à m’envoyer au septième ciel... mais là, il ne s’agit que de voir comment Fatima réagit... Il n’est pas question de la faire jouir tout de suite !

Le scénario est bien rodé : mon homme se relève et prend Fatima par la main, la fait se lever et lui ôte le soutien-gorge... Ses seins apparaissent, deux dômes assez bien renflés en forme de demi citron. Il la fait pivoter devant la caméra puis il l’invite à se mettre en levrette sur le divan... pour que l’on puisse la filmer dans cette position. D’elle-même, elle écarte ses fesses pour mieux nous montrer ses deux orifices et tous nous en profitons pour admirer la courbe de ses hanches et le creux de son dos. J’avais raison, c’est vraiment une très jolie fille, un peu typée et je suis sûre qu’elle plaira beaucoup ! Mon homme s’approche d’elle et dit soudain :
— Maintenant passons aux choses sérieuses ! Montre-nous comment tu suces...

Fatima se met aussitôt à genoux devant mon homme, ôte son boxer et embouche son sexe d’un seul coup jusqu’au fond de sa gorge avant de le ressortir enduit de salive. La bite se développe sous les caresses buccales de la fille et je vois qu’elle ne tarde pas à atteindre son ampleur maximale. Fatima alterne les caresses profondes et des jeux de langue sur le gland tout en massant doucement les bourses... ou en faisant coulisser ses mains sur la hampe... Mon homme apprécie :
— Waouh ! Quelle suceuse ! Je suis obligé de me retenir tant c’est bon...

C’est vrai qu’elle est douée... J’ai souvent observé comment les filles suçaient la queue d’un homme, cela m’excite de les regarder... mais là, je suis subjuguée par cette fellation savante... et je sens ma chatte s’humidifier ! Je ne m’inquiète pas... mon homme sait se retenir et ne va pas gicler si tôt... je le sais ! Le programme n’est pas terminé... C’est ainsi qu’il se dégage de cette bouche avide, s’allonge sur le dos, couvre son sexe d’une capote et incite Fatima à venir s’empaler sur ce sceptre dressé, dur et impératif. Elle l’enjambe et doucement fait entrer la queue dans sa chatte... Elle a en effet intérêt à aller doucement car sans être surdimensionné, le sexe de mon homme est assez long et de bonne taille.

Au bout de quelque temps, Fatima commence des mouvements alternatifs et nous voyons le sexe male aller et venir de plus en plus vite dans cette belle chatte et l’œillet plissé palpiter doucement pendant que le flash crépite et la caméra ronronne doucement.
Waouh ! C’est chaud et mes acolytes savent ce qu’ils ont à faire... entre le caméscope et l’appareil photo... car moi, j’ai perdu pied tant je suis excitée : Le propriétaire de l’appartement qui, jusqu’à maintenant ne s’était montré que pour nous accueillir, s’est encadré dans la porte du séjour en massant doucement le devant de son pantalon.
Cela doit faire un certain temps qu’il observe la scène car dès que je pose mes mains sur le devant de son jean, je sens une grosseur prometteuse que je ne tarde pas à débusquer et à prendre en bouche. Ce coquin ne perd pas de temps... pendant que je le pompe ardemment, il empoigne mes seins et les masse en faisant rouler les tétons... et finalement éjaculer une bonne dose de sperme entre mes globes généreux... qui sont à moitié découverts par un décolleté vertigineux. Ce n’était pas prévu... mais ce sera une sorte de récompense pour lui... et moi cela m’a plu !

Pendant ce temps, Fatima continue d’aller et venir sur la bite de Tristan mais au lieu de lui faire face comme au début, elle lui tourne le dos, offrant ainsi à son baiseur la vue de ses fesses qui s’écrasent ou s’ouvrent suivant le rythme. Je sais que cela plaît à mon homme (je connais ses penchants...) et je ne suis pas étonné lorsqu’il introduit un doigt inquisiteur dans l’anneau plissé qui s’offre à lui... Discrètement, je lui passe un gode pas trop gros enduit de gel pour qu’il l’introduise à la place de son doigt.
Cette double pénétration fait jouir Fatima qui s’exclame :
— Oohhh ! Oouuii ! Une double ! Merci ! C’est très bon !

Elle rue comme une cavale et finit par s’arracher à la bite qui la pénètre. Mon homme se relève aussitôt, enlève la capote, se masturbe vivement et gicle sur le visage de Fatima... le maculant de longues traînées visqueuses.

Après être passée à la douche, Fatima revient près de nous entièrement nue... Elle est très à l’aise ainsi et lorsque dans la conversation elle nous demande si je ne peux pas lui arranger un nouveau rendez-vous pour avoir une vraie double pénétration, je ne peux qu’approuver : elle franchira un nouveau palier ! Bonne baiseuse, bonne suceuse, l’anneau plissé déjà ouvert, elle ne pourra qu’apprécier !

Personnellement, j’ai beaucoup apprécié que cette amie m’ait envoyé la primeur de la vidéo et m’ait confié les détails de ce qui s’était passé.
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