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Âmes Sœurs du parc.

Chapitre 1

La rencontre.

Hétéro
On est mercredi, on a fini les cours à midi, donc j’ai le temps de sortir un peu. C’est vrai que ça fait un moment que je ne suis pas sortie, les révisions prennent tout mon temps. Je n’ai pas énormément de trucs à faire à part ça, mais ça change du lycée. Je ne suis à l’université que depuis deux mois, pourtant je suis déjà épuisée ! Mes amis n’ont rien prévu, encore une fois. Ça ne m’étonne même plus, on commence tous à se perdre de vue après le bac, n’est-ce pas ? Oui, n’est-ce pas... Peu importe ! Sors donc toute seule, Mia ! Tu es une grande fille, tu as 20 ans, quand même ! Je décide alors de prendre mon livre avec moi et d’aller le lire dans le parc.

Respirer de l’air frais tout en lisant mon roman érotique sur ce banc, ça me fait du bien ! Je lève les yeux de temps en temps pour regarder les enfants courir devant moi, les copines qui marchent en rigolant et... Et ce vieux dégueulasse devant qui n’a pas arrêté de me regarder depuis que je suis ici. Il a son long manteau, typique des pervers dans les films. J’imagine qu’il est aussi tout nu dessous ? Ah, mais à quoi je pense ? Je ne sais pas pourquoi je me mets à imaginer sa queue en érection sous son sale manteau. Oui, et ça parce qu’il me regarde. Je n’arrive pas à me concentrer, c’est la troisième fois maintenant que je relis le même chapitre. Je crois qu’à ce point, je me contente juste de faire semblant de lire et de l’ignorer.
— Le gros dégueulasse, c’est bien trop long. On va l’appeler "Queue". Pourquoi ? Ah comment je ne peux m’empêcher de penser à une bite quand je le regarde, c’est fou ! D’ailleurs, voilà Queue qui s’en va. Enfin, pas si loin. Il est allé aux toilettes... Pour se vider les couilles, j’imagine.

Je ferme mon livre et je le range dans mon sac. Je pense que j’ai eu assez d’air frais aujourd’hui haha ! Cela fait maintenant une heure que je n’ai pas vu Queue, j’ai dû rater sa sortie des toilettes. Je pense que je vais pouvoir rentrer tranquillement sans qu’il ne me reluque comme un chien en chaleur. Il faut quand même dire qu’il m’a quand même bien excitée, pas seulement mon roman ! Je marche en serrant les cuisses, ma chatte me gratte et le vent qui souffle sous ma petite jupe ne m’aide vraiment pas. Je me dirige vers le côté opposé de là où je suis arrivée, car je me dis que Queue pourrait peut-être m’attendre là-bas. On ne sait jamais, juste une petite précaution que me coûte un détour de 15 minutes. Je pense que j’aurais même dû appeler mon père, pour qu’il vienne me chercher. Marcher seule comme ça me...
Je vois Queue ou je rêve ? Il est debout devant une tente juste devant, et je ne vois presque personne aux alentours. Quelle idée de passer par l’arrière du parc aussi ! Je ne sais pas ce que je dois faire, avancer et faire comme si de rien n’était ? Faire demi-tour ? Allez, Mia. Tu as déjà décidé depuis le début de l’ignorer alors continue sur cette lancée ! Avec quelques secondes d’hésitation, j’avance en détournant mon regard. Je passe à côté de lui et comme si ça devait m’étonner, il m’appelle.
— Pssss ! Eh !
Je continue de marcher, faisant comme si je ne l’avais pas entendu. Mais il s’approche et je me pointe du doigt pour demander si c’est vraiment à moi qu’il parlait.
— Eh, toi. Oui, toi avec la petite jupe noire. Je me demandais si...— Excusez-moi, je n’ai pas vraiment le temps.— Je t’ai vu lire un livre et je me demandais si...

Sans même finir sa phrase, il pose sa main droite sur ma chatte par-dessus mon string. Je ne sais pas pourquoi je n’ai même pas réagi, je ne fais que le regarder, confuse. Il glisse doucement son doigt pour trouver mon trou, je tourne la tête pour voir s’il y a des gens autour de nous. Son visage s’éclaircit avec un énorme sourire qui se dessine sous sa grosse barbe mal taillée. Son doigt me frotte là où ça me grattait et je me mets à bouger mes hanches sur sa main.
— Eh bah dis donc, comment tu es toute mouillée... Je le sentais, je sens toujours de loin les petites putes comme toi. Regarde ce que tu m’as fait depuis que je t’ai vue.

Il ouvre alors son manteau et j’avais raison ! Il n’avait absolument rien dessous. Rien à part sa grosse bite qui pointe vers moi. Tellement grosse qu’elle fait facilement les 20 cm. Il me regarde d’un air satisfait et m’enfonce deux doigts dans la chatte. J’ai la bouche grande ouverte.
— Je vois que tu as envie de l’avoir en toi, tu es toute prête haha ! Viens donc dans ma tente, trésor... Je vais te faire plaisir. Allez, n’aie pas honte... Personne ne nous voit.

J’avance alors vers la tente, mon cœur bat à la chamade. Ma tête tourne à toute vitesse. Et si je faisais une erreur ? Mon papa ne m’a pas élevée comme ça. Que dirait-il ? J’ai l’air d’avoir déjà fait ma décision après tout, mon corps a décidé.

Je me mets à quatre pattes pour entrer dans la tente et sans même avoir le temps de me retourner, je l’ai senti arracher mon string et s’enfoncer en moi d’un coup violent. Je lâche un petit cri de plaisir quand il s’empresse de mettre sa main droite autour de mon cou. Je le sens en moi jusqu’aux couilles, sa main gauche vient alors enlacer ma hanche et je sens tout son poids me tomber sur le dos. On s’écroule sur son matelas gonflable, sa bite encore plus profonde. Il crie :
— Enfin ! Je rêve d’être en toi depuis trois heures. Comment je vais bien démolir ton petit trou toute la nuit hmm...

Je le sens masser mon clitoris tout en me donnant des coups de reins, je frémis. Bon Dieu, quand je pense que j’allais rater ça ! Il se retire alors et se retourne pour fermer la tente. Il enlève son manteau et me dit :
— Mets-toi à l’aise, chérie. Enlève tout ça pour qu’on puisse nous amuser.

Je me mets sur le dos, je retire ma jupe et mon haut. Je lui lance un regard coquin et écarte mes cuisses, je vois ses yeux s’illuminer devant ma chatte offerte à lui. Il pose puis tapote son gland sur mes lèvres. Sans un mot, je pousse doucement sa bite vers mon trou et d’un petit coup de bassin, je la prends en moi. Les yeux écarquillés de plaisir, il me regarde droit dans les yeux quand il commence à me limer. Nos gémissements se font de plus en plus entendre. Je prends mes pieds pour bien écarter mes cuisses ; cela le pousse à se mettre sur moi et s’enfoncer beaucoup plus profondément. Il enlace mon corps pour attraper mes petites fesses et me mordille l’oreille.
— T’es trop bonne, je ne pouvais pas rêver mieux ! Bon sang aaaargh !— Annh... Han...— Ça fait tellement longtemps que je n’ai pas eu de chatte, je passe mon temps à me branler, mais là... Là... AAAAH... JE TE BAISE AAAANH !

Il se redresse et me donne de grands coups rapides et secs tout en éjaculant en moi. Il n’a même pas pris la peine de me demander si je prenais la pilule, heureusement que j’en prends, mais quand même. Il m’a remplie de sperme très épais que ça déborde, pourtant il n’en a pas fini. Il sort sa bite qui continue de cracher sur mon ventre. Tout essoufflé, il me sourit et me dit :
— Retourne-toi.— Quoi ?— Je n’en ai pas fini avec toi, chérie. Pour une fois que je réussis à avoir une petite dans ma tente ! Retourne-toi, allez.

Moi qui commençais à être déçue de ne pas avoir joui, je suis servie hmm... Je me retourne sur le ventre, il rentre de nouveau en moi et me prend en levrette. Je me touche en même temps pour décupler le plaisir, je sens ses mains me prendre les hanches et me bouger à son rythme. Je me cambre pour bien lui offrir mon trou, il intensifie ses coups tout en m’insultant et j’aime ça ! Je le sens éjaculer par moments, pourtant ça ne le ralentit pas. Tout en jutant pour la cinquième fois, il tombe à mes côtés. La bite toujours bien ancrée en moi, il me prend une cuisse pour la monter bien haut et me prend en cuillère, s’assurant que chaque coup le mette bien au fond de moi. Il est tellement brutal que ça me fait mal, mais le plaisir est beaucoup plus intense. Je me sens venir, je suffoque avec les larmes aux yeux. Mon vagin se serre sur sa bite, et il le sent.
— Je te sens. Hmm... Attends-moi, je veux qu’on jouisse ensemble.— Je... Annnh... Baise-moi, oui !— Viens, trésor ! Viens sur ma queue !

Il me prend les joues et m’embrasse goulûment, sa langue me pénètre et enlace la mienne. Le rythme enragé de sa grosse bite, me fait jouir sauvagement. Je tremble de plaisir pendant qu’il bute violemment contre mes lèvres. Il éjecte tout ce qu’il a en moi en même temps, mon jus se mélangeant à son sperme. On reste comme ça un moment, laissant sa verge se reposer en moi alors qu’il n’a pas arrêté de m’embrasser.
— Serais-tu mon ange ? Qui donc t’a envoyée vers moi ? me demande-t-il, le regard calme et amoureux.— Personne haha... Je me suis retrouvée là au bon moment, j’imagine.— Laisse-moi te baiser quand je veux, maintenant je pense que c’est un besoin.— Très drôle haha, je...— Je suis sérieux. Après tout ça, je veux ton trou rien que pour moi. Depuis que ma femme m’a quitté il y a à présent 5 ans, je n’ai plus jamais baisé comme ça. Je me demandais bien qui voudrait d’un homme d’une cinquantaine d’années de toute façon. Voilà pourquoi je passe mon temps libre à juste mater des jeunes filles dehors comme ça, mais... Toi, tu as accepté que je te saute ! Cela ne se passait que dans mes rêves les plus fous.— Il m’arrive de baiser ici et là du coup je me suis dit pourquoi pas là cette fois. En réalité, quand vous me reluquiez tout à l’heure, ça... Disons que ça m’a excitée...— Petite coquine, une fille normale aurait appelé la police hahaha ! D’ailleurs, regarde...

Sa bite a de nouveau repris sa taille en monstre, et d’un coup, il m’a de nouveau pénétrée.
— Il a trouvé son âme sœur, on dirait haha !— Aaaanh... Mais elle est un peu morte là.— Je peux toujours la niquer comme il faut. Allez, mets-toi sur le ventre, que je te refasse l’amour.
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