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L'ami gay de ma copine

Chapitre 3

Gay
Voilà maintenant une semaine qui s’est passée depuis mon aventure avec J-M, je n’ai toujours pas osé utiliser son numéro qui traîne dans le tiroir. Bien sûr j’y ai beaucoup pensé, après tout c’est les meilleures fellations de ma vie. Mais le déni que je ressens, mélangé avec le fait que Julie passe pratiquement tout son temps chez moi, cela fait en sorte que je n’ai pas osé l’utiliser. Nous sommes désormais vendredi, Julie me demande si je veux faire comme la semaine dernière et retourner au bar avec J-M, elle me dit qu’il nous a invités à le rejoindre vers 22 heures. Je suis mitigé, car j’ai peur de ce qu’il pourrait arriver. Je refuse en lui expliquant que j’ai eu une grosse semaine et que j’ai l’intention de rester tranquille à l’appartement devant un film. Elle me regarde, déçue, je lui explique alors que je n’ai aucun problème à ce qu’elle y aille sans moi et qu’elle va pouvoir sans aucun problème revenir dormir ici.
— Mais tu vas sûrement dormir lorsque je vais revenir. Je ne veux pas te réveiller pour pouvoir entrer.
Je me lève donc pour me diriger vers l’une de mes armoires, pour lui sortir un double des clés de l’appartement.
— Je crois qu’il est temps que tu en aies une.— Oh mon Dieu, tu es sûr de toi ?— Oui je suis sûr, tu es pratiquement toujours ici de toute façon et cela me fait plaisir. — Merci, je suis très contente.
Elle me donne alors un gros baiser, pour ensuite se diriger vers la chambre pour se préparer. Elle a l’air très contente et je dois avouer que moi aussi, j’ai l’impression que nous venons de franchir une étape dans notre relation. 21h30 vient de sonner, je suis sur le sofa à chercher quoi regarder ce soir. Elle vient me dire au revoir, un bisou plus tard, la voilà qui part. Je regarde alors une comédie, à peine 45 minutes plus tard, je m’endors sur le film. Je me réveille en sursaut, j’ouvre les yeux, je vois la télévision qui est toujours allumée. Je suis toujours assis sur le canapé, vêtu seulement d’un boxer. J’entends alors le bruit d’une clé dans la serrure, voilà enfin ma copine qui rentre. Je regarde l’heure, il est maintenant 1h15, elle a dû avoir une belle soirée. Je me lève pour aller l’accueillir, mais lorsque la porte s’ouvre, ce n’est pas Julie qui entre, mais Jean-Marc, suivi d’un autre gars qui tient Julie dans ses bras parce qu’elle ne tient même plus debout.
— Qu’est-ce que tu fais là ? — On a peut-être fait boire Juju un peu trop ce soir, alors ont te l’a ramenée. — Qui est celui qui a ses mains sur ma copine ? — Mais c’est que tu es jaloux ! AHAH, ne t’inquiète pas, il est mon ami et il est gay comme moi. — OK, mais tu aurais bien pu m’appeler, je serais venu la chercher moi-même.— J’aurais bien voulu, mais pour cela il m’aurait fallu ton numéro et pour cela il aurait fallu que tu m’appelles avec mon numéro, si tu vois ce que je veux dire.
Bouche bée, j’aide alors son ami à emporter Julie à la chambre. Cela est difficile, car inconsciente, ce n’est pas aisé de la transporter. Une fois bien installé dans le lit, je ressors de la chambre et me dirige directement vers J-M. J’ai très envie de l’engueuler, mais j’en suis incapable. Il est assis sur le sofa avec son petit sourire de la dernière fois. Cela me calme immédiatement, la seule chose à quoi je pense est que j’ai une énorme envie de me refaire sucer par lui. Je crois qu’il en est conscient, j’en oublie même qu’il y a quelqu’un avec lui. Soudain, son compagnon sort de la cuisine avec un sac de chips à la main. Mais il se croit chez lui ?
— Hey Jean-Marc, tu as bien raison, il m’excite beaucoup, surtout dans son petit boxer comme cela. — Pas touche Éric, il est à moi.
Je me rends compte à ce moment que je porte toujours seulement que mon boxer. Je me retourne vers la chambre pour aller enfiler quelque chose d’autre, quand Éric me dit que je n’ai pas à être gêné. Puis il se déshabille à son tour, question de me mettre à l’aise. Éric est devant moi, avec un boxer bleu marin, je peux très bien voir une énorme bite qui longe sa cuisse sous son boxer. Si son but était de me mettre à l’aise, c’est complètement raté. Je continue mon chemin vers la chambre, quand J-M se lève pour m’attraper le bras. Il me prend les fesses avec ses deux mains, les palpe très fort tout en me rapprochant de lui. Il est beaucoup plus fort que moi, alors je me laisse faire, ensuite il commence à m’embrasser. Mais pas un petit bisou de bienvenue, il m’embrasse d’un baiser avec la langue très mouillée. Il me relâche ensuite puis s’éloigne un peu de moi en reculant. J’ai toujours les yeux fermés, mais je peux très bien sentir ma queue qui tire mon boxer.
J’entrouvre doucement mes yeux, je peux voir les deux garçons qui sont maintenant complètement nus debout devant moi. Éric s’assoit alors sur la chaise de la cuisine qui est face à moi, tout en indiquant à l’aise J-M que j’ai l’air d’en vouloir plus. Jean-Marc quant à lui, s’avance vers moi puis se met à genoux pour ensuite baisser mon boxer. Je ne peux m’empêcher de regarder sa queue, car malgré tout ce que nous avions fait le week-end dernier, je n’avais encore jamais bien vu la sienne. Elle est toute petite, cela paraît encore pire puisqu’il a de grosses cuisses musclées. Je suis tellement concentré là-dessus, que je n’ai même pas remarqué qu’il a commencé à me sucer. Éric quant à lui, se contente de se masturber en nous regardant. Je la croyais énorme il y a quelques instants, mais là c’est assez incroyable. Je crois bien que l’on pourrait mettre trois mains de haut en bas et que son gland dépasserait tout en haut.
J-M me paie la fellation de ma vie, alors que je regarde Éric se cracher dessus pour qu’elle soit bien mouillée pendant qu’il se masturbe. Je fais signe à l’aise Jean-Marc que je vais bientôt venir, pensant qu’il va tout avaler comme la dernière fois. Mais non, surprise, il arrête d’un coup. Je lui demande pourquoi ? Il me répond qu’il doit préparer le petit-déjeuner de demain matin. Je crois comprendre ce qu’il veut dire par là. J-M fait signe à Éric d’aller chercher le plat qu’il a mis au frigidaire en arrivant alors que j’étais en train de coucher Julie. Il nous apporte alors le plat, puis l’ouvre pour ensuite le donner à Jean-Marc qui est toujours à genoux devant moi. Il me regarde dans les yeux tout en me masturbant et en crachant sur ma bite, puis me dit qu’il doit rajouter son ingrédient secret pour le mélange à crêpe. J’ignore complètement pourquoi je suis autant excité à cette idée, car la dernière fois je n’avais pas apprécié lorsqu’il m’en avait parlé.
Mais je me mets à éjaculer d’énormes giclées de sperme droit dans le plat. J’ai rarement autant éjaculé dans ma vie, j’ai le sourire aux lèvres et je suis très satisfait. Malgré l’impressionnante quantité de sperme que j’ai ajouté à sa recette, il m’informe que ce n’est pas assez. Pour ensuite passer le plat à Éric qui à son tour se met à éjaculer tout son foutre dans le plat.
— Voilà, il ne restera plus qu’à tout faire cuire le mélange demain matin. — Tu ne le feras pas ? — Non, nous partons immédiatement, nous avons quelque chose de prévue pour demain. Tu feras le petit-déjeuner à Julie demain pour fêter votre nouvelle étape.
Puis il me tend la clé que j’ai donnée plus tôt à Julie. Toujours sur mon petit nuage, je commence de plus en plus à apprécier mes moments avec J-M. Je lui fais alors signe de garder la clé, que je vais en donner une autre à Julie demain pendant le petit-déjeuner crêpe.
Fin. Bientôt la suite.
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