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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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L'ami de ma mère

Chapitre 3

Avec plusieurs femmes
"Mais tu es fou! Tu es nu!— Je suis au courant. Entre,viens.
Comment ça, "entre"! Mon excitation était redescendue et s’était changée en un sentiment de honte assez profond... Bon sang, comment justifier ma présence! Lui nu, et moi là! sur le canapé, devant un... film porno.
Lorsque Julie me vit, elle se figea, et seul Didier brisa le silence en fermant la porte.
— Bah, vous vous connaissez non? — Sandra, je suis désolée, je pensais que... — Laisse tomber, je viens de m’occuper d’elle...— Comment ça...?
Son regard alla de ma bouche à son sexe, et je sus qu’elle comprit.
— Oh... Oh.
Elle rougit, sans doute aussi gênée que moi. Mais Didier bandait à nouveau, et il ne se priva pas de saluer Julie à sa manière: c’est-à-dire d’un baiser langoureux et d’une main entre les cuisses. Stupéfiée, je vis mon amie gémir et se détendre, comme si de rien n’était. Quand elle posa sa main sur son sexe, j’ouvris la bouche pour parler, mais rien ne sortit. Qu’est-ce que je pouvais bien dire?
— Je vous laisse...
Ce furent les seuls mots qui me vinrent. Ridicules. Didier me regarda, la main toujours bien placée, et tendit son autre main vers moi. Je ne sais pas pourquoi, mais je les ai rejoint et j’ai pris sa main. Il m’a attirée à eux et m’a embrassée, à quelques centimètres de Julie qui gémissait toujours, tout en enlevant sa veste.
— Embrassez-vous mes chéries... — Quoi?— Allez, s’il vous plaît...

Je m’apprêtais à riposter quand les lèvres de Julie se collèrent aux miennes. Elles étaient étonnamment douces. Pulpeuses, excitantes. Elles s’ouvraient pour moi. Sa langue caressa la mienne et je me laissais aller. c’était... agréable.
— Woh...
Elle recula et me laissa déboussolée.
— J’aime quand tu es comme ça Julie, fit Didier avant de lui ôter ses derniers vêtements. — Je suis toute excitée depuis que tu as appelé, viens vite...
Elle sautilla jusqu’au canapé et prit la même position que moi, comme si c’était une habitude, et lui s’installa derrière elle, et sans ménagement, s’enfonça en elle dans un bruit de succion qui révélait son état d’excitation. Je me sentis délaissée, et je préférais les rejoindre. Alors, à mon tour, je retirais mes vêtements, et je me plaçais derrière Didier. Je caressais son torse, je me collais à lui, je touchais parfois ses couilles et il gémissait alors. Qui étais-je devenue? La honte avait disparu. J’avais simplement cette envie qui fourmillait, et ce baiser que m’avait donné Julie l’avait ranimée. Ce baiser avait été vraiment... surprenant. Pourtant, loin de nous toute ambiance romantique, c’était bestial, c’était terriblement excitant. Un peu comme quand on découvre la masturbation, avec le sentiment qu’un nouveau monde se présente à nous...
Et lui, quand sa bite sortait, me disait:
— Guide la à l’intérieur salope.
Je comprenais qu’il s’adressait à moi, alors je prenais sa queue mouillée, je m’approchais sur le côté, et je la rentrais dans la chatte de Julie qui dégoulinait sur mes doigts. J’étais au comble de l’excitation. Regarder était un régal presque identique à la baise.
Et Didier, lui, me regardait. Il souriait, triomphant en la baisant.
Après son orgasme, il libéra Julie, et me dit de prendre sa place. Ce que je fis sans rechigner. Alors, il reprit son investigation, mais avec plus de sauvagerie qu’avec elle. Julie s’assit devant moi, et écarta les jambes. Sa chatte sous mon visage, m’attirait, et Didier appuya sur ma tête pour me forcer à la lécher.
Je n’avais jamais fait ça, et je fus sans doute un peu maladroite. Après des coups de langues sur le clitoris et entre ses lèvres, je parvins à glisser ma langue à l’entrée de sa chatte, et elle entrait alors à chaque coup de rein. Le goût n’était pas désagréable, et sentir Julie gémir et se mouvoir, l’était tout autant.
Même elle se plut à faire de moi sa chose:
— Oui Sandra... Léche-moi bien... Ma jolie salope...
J’étais à eux. Je leur appartenais et je devais leur faire plaisir autant qu’ils me faisaient jouir. C’était à la fois rassurant et effrayant, cette perte de contrôle.
Elle m’accompagnait dans ses mouvements, elle reculait, respirait lourdement, je me concentrais du mieux que je pouvais tout en étant besognée. Et là, des tremblements la parcoururent et elle resserra son étreinte, je sentis son vagin se contracter et je relevai les yeux pour la regarder. Je la trouvais belle à cet instant, perdue dans sa jouissance.
— C’était bon, fit-elle en se reprenant doucement.
Didier s’enfonçait sans difficulté, me pénétrait avec vigueur, et semblait ainsi me récompenser. Je gémissais, je me laissais aller, et je les regardai s’embrasser dans mon dos. Quand il se retira brutalement, je jouis avec force, plus encore que tout à l’heure, et je m’effondrai sur le canapé.
— On dirait que ça t’a plu, remarqua-t-il presque étonné.
Il n’avait même pas joui! Tout à coup, un téléphone sonna. Je sursautais et jetais un coup d’oeil vers le portable posé sur la table basse. Alors, Julie, dans un soupir et la main sur le sexe de Didier, répondit. Après quelques mots de protestation, elle raccrocha furieuse.
— Je dois partir. Mon copain devient fou à m’attendre... — Je le comprends... lui susurra Didier.
Ils s’embrassèrent à pleine bouche dans un élan de vulgarité et Julie m’adressa un léger sourire avant de partir. C’était tellement inattendu... Si j’avais su qu’elle était comme ça... Enfin, ça n’aurait sans doute pas changé grand chose non plus.
— Monte dans la chambre.
La voix de Didier me ramena à la réalité. Je le regardais et demandais naturellement:
— Ma chambre? — Non, l’autre.
Ah, c’était donc celle de ma mère. J’obéis, grimpant les escaliers nue, encore essoufflée. Devant le grand lit, je fus prise d’un doute. J’étais assez gênée de le faire ici... Didier qui venait d’arriver parut lire dans mes pensées:
— Ne t’inquiète pas, toi je te baise pas dans le lit.
Une telle phrase aurait pu m’effrayer mais à vrai dire, elle me rassura. Il ferma la porte derrière lui et d’une voix ferme, exigea:
— Je veux que tu ouvres la fenêtre, que tu poses tes mains sur le rebord, et que tu écartes les jambes.— Quoi? Mais on pourrait me voir...— Il est minuit, regarde, tout est éteint. — Oui, mais...— Tu avais dit que tu serais à moi. — Je sais mais c’était dans l’action...
Ses yeux se plantèrent en moi, il me déshabilla du regard, me faisant frissonner en même temps, et il approcha d’un pas vif. Il me tint par les hanches, me propulsa en avant vers la fenêtre, et l’ouvrit devant moi, tout en me rentrant un doigt dans la chatte. Je poussai un gémissement de surprise.
— Tu es à moi, dis-le.
Il retira son doigt. Je le voulais. Peu importait la fenêtre ouverte.
— Dis-le petite chienne. On est pas dans l’action là. — Je... Je suis à toi, d’accord. — Parfait."
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