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À l'amiable

Chapitre 1

Erotique
Comme tous les mardis, Aurélie allait à son cours de Yoga, d’habitude elle s’y rendait en vélo car son mari n’aimait pas qu’elle prenne la voiture. Il estimait que sa femme conduisait mal et vu leurs difficultés financières, il ne voulait pas qu’elle abîme “sa” voiture. Exceptionnellement, le mari d’Aurélie était en déplacement toute la semaine pour son travail et elle osa braver l’interdit : elle profita de son absence pour utiliser la voiture. Sur le chemin du retour, heureuse de sa bravoure, elle décida de ne pas prendre le plus court chemin et fit un détour par la route qui longe les champs de tournesol.
 - Mais quel connard, pensait-elle. Je suis aussi capable que lui de conduire. J’espère juste qu’il ne s’en rendra pas compte sinon je vais encore passer un sale quart d’heure.
 Elle s’aperçut qu’elle était suivie de près par une autre voiture qui semblait impatiente de la doubler; elle arriva à une intersection en haut d’une côte, l’autre voiture se colla juste derrière elle. Aurélie repensa au fait qu’elle ne pouvait pas utiliser la voiture, son mari le lui interdisait, son cœur s’emballa, la proximité de l’autre voiture l’oppressa, elle commença à paniquer.  Elle accéléra mais n’embraya pas assez et sa voiture recula, elle tenta de freiner mais c’était déjà trop tard. L’arrière de sa voiture heurta l’avant de celle qui la suivait. Complètement affolée, Aurélie, serra le frein à main et sortit rapidement, toute rouge de honte et de peur.
 - Oh mon Dieu, je suis désolée, j’espère qu’il n’y a pas de mal, dit-elle en plaçant la main devant sa bouche.
L’autre voiture s’était reculée et son propriétaire semblait furibond. Aurélie regarda l’arrière de sa voiture, c’était le crochet de la remorque qui avait heurté, il était tout tordu mais le pare-choc n’avait rien eu, heureusement. Elle regarda l’autre voiture et vu clairement la marque de son crochet sur le capot ! Elle n’y connaissait rien en voiture mais elle lut la marque : Porsche…
 - Mais quelle conne !! Vous êtes un danger public, s’écria l’autre conducteur en sortant de sa voiture.
Aurélie le regarda, il s’agissait d’un petit homme rondouillard, la cinquantaine, une calvitie déjà bien avancée. Il avait l’air furieux, elle ne savait plus où se mettre.
 - Vous ne pouvez pas faire attention ! Vous savez combien elle coûte cette bagnole ?! J’espère que vous avez une bonne assurance, on va faire un constat tout de suite ! - Oh non, je vous en supplie, pas de constat, s’écria Aurélie, apeurée. - Non mais n’importe quoi ! Elle ruine mon capot et en plus elle veut donner ses conditions, répondit le petit homme boudiné dont les joues étaient toutes rouges de colère. On va remplir le constat tout de suite ou j’appelle les flics. - Oh non, pitié ! Je vous rembourserai les frais mais il ne faut pas faire de constat sinon mon mari va être au courant. Je… je… n’avais pas le droit de prendre la voiture, avoua Aurélie, il va me tuer s’il apprend ça. - Rien à foutre de vos problèmes de couple, constat tout de suite, s’écria-t-il. - Je vous en supplie, trouvons un terrain d’entente, je suis sûr qu’il y a un moyen à l’amiable de résoudre cela, pitié, supplia Aurélie. Il ne faut pas que mon mari apprenne cet accident, il y a bien une autre solution.
Le petit homme rondelet soupira et se tint la tête entre les mains tout en faisant un aller-retour jusque devant sa voiture. Il lâcha sa tête et regarda Aurélie en expirant longuement. Dans l’énervement, il n’avait même pas fait attention à elle. Il la regarda de la tête aux pieds et se dit qu’elle devait revenir d’un cours de gym ou de l’une de ces activités de torture dont il avait horreur. Elle portait des baskets, un legging anthracite qui moulait des jambes fines et des hanches minces. Un débardeur rose fluorescent très large laissait apparaitre en dessous un soutien-gorge de sport qui tenait fermement une très jolie petite poitrine.
Le souffle du propriétaire de la Porsche se calma mais ses joues restèrent légèrement rouges. Il arrêta son regard sur le visage d’Aurélie : sa bouche entrouverte venait juste de laisser échapper l’expression “autre solution”; ses pommettes rouges, ses cheveux en bataille et son regard de chien battu en disaient long sur l’état dans lequel elle se trouvait, mélange d’effroi et d’attente quant à la réponse qu’il pourrait lui donner…
 - Ecoutez Madame, commença-t-il d’un ton plus posé, je ne veux pas que vous ayez des ennuis avec votre mari vous savez. Mais les réparations de mon capot vont me couter cher alors si vous ne voulez pas que votre mari soit au courant, il faut vraiment que nous trouvions un terrain d’entente. - Je veux vraiment vous dédommager mais si c’est très cher, je ne vais pas pouvoir le cacher à mon mari, dit Aurélie, consciente de la mauvaise situation dans laquelle elle se trouvait. Je ne veux pas qu’il le sache, vraiment pas, s’il vous plait…
L’autre conducteur parcourut encore du regard ce joli corps serré dans ces vêtements de sport. Elle était aussi charmante qu’apeurée. Il se demanda quel genre d’idiot pouvait bien être le mari de cette fille pour qu’elle en ait autant peur. Il fallait qu’il profite de cette situation…
 - Et pour éviter que votre mari de ne l’apprenne, qu’est-ce qu’une jolie femme comme vous pourrait bien me proposer, dit le petit homme tout en déshabillant du regard Aurélie avec un léger sourire.
Elle comprit toute de suite les intentions de cet homme et rougit à cette idée, choquée. Elle se retourna, fit quelques pas en pressant sa main sur son front qu’elle fit glisser sur le haut du crâne puis jusqu’à la nuque. Le petit homme en profita pour apprécier la vue de ses magnifiques fesses délicatement maintenues dans le legging…Aurélie avait envie de pleurer, son cœur battait à tout va, elle se voyait sans échappatoire, il fallait bien compenser cet homme pour les dégâts… Elle se sentait bloquée, coincée entre son mari et cet homme inconnu. Elle ne savait pas quoi faire… Cela faisait tellement longtemps qu’elle aurait dû se séparer de son tyran de mari, c’était à cause de lui qu’elle se trouvait dans cette situation.Elle réfléchit encore quelques instants. Elle soupira et se retourna vers lui, elle était toute rouge, elle ne savait plus où se mettre, elle aurait voulut fuir mais se rendait bien compte qu’il n’y avait pas d’autre solution pour que son mari ne découvre pas cet accident. Elle lui demanda :
 - Et après ? Nous sommes quittes ? Vous disparaissez de votre côté et moi du mien ? - Voilà. Je n’appelle pas les flics. On ne fait pas de constat. Je disparais et votre mari n’est au courant de rien. - D’accord, allons-y, lâcha Aurélie en bredouillant, rouge de honte. Son cœur battait très fort, elle avait peur qu’il soit violent, elle se sentait humiliée de devoir se laisser toucher par cet inconnu. Elle se dit qu’il valait mieux passer quelques minutes sordides avec cet homme que subir les insultes et les humiliations de son mari pendant des mois.
Elle se dirigea vers le champs de tournesol tout proche, suivie de près par le petit homme qui ne quittait pas des yeux le beau fessier d’Aurélie qui se dandinait devant lui.Une fois entrée dans le champ, elle continua de le devancer mais il ne put se retenir plus longtemps et saisit une des fesses d’Aurélie.Surprise, elle sursauta et fit un bond de côté pour se dégager.
 - Fais pas ta mijaurée, dit le petit homme joufflu, si ça commence comme ça, c’est retour direct à la voiture, flics, constat et mari en colère. - Désolé, vous m’avez surpris, dit-elle timidement, avançons encore un peu.
Elle avança entre les tournesols afin de s’éloigner de la route, elle s’arrêta et, comme pour montrer qu’elle allait respecter sa partie du contrat et que son sursaut n’était qu’une erreur passagère, elle remonta un peu son débardeur dans son dos et se cambra légèrement pour mettre en valeur ses fesses, les lui offrant…Il profita de la vue et se plaça juste derrière elle puis mit délicatement ses mains sur ses fesses qu’il caressa lentement mais fermement. À travers le legging, il sentait des fesses bien fermes, il les pelota avec plaisir, passa sa main sur la raie des fesses, caressa ses hanches.Aurélie se laissait faire, elle faisait quelques lents mouvements pour accentuer la pression des mains, elle était surprise de la douceur que ce petit homme au physique ingrat mettait à la caresser.Il remonta lentement les mains le long de son ventre tout en se rapprochant d’elle jusqu’à ce que son gros ventre touche son dos. Ses mains arrivèrent à la base des seins d’Aurélie, il les prit délicatement dans ses mains et les pétrit doucement.Surprise par la délicatesse de cet homme, Aurélie se calma et se laissa aller; elle ferma les yeux en inclinant la tête sur le côté, pendant que deux mains potelées parcouraient son corps et faisaient des allers retours entre ses seins et ses fesses.
À bien y réfléchir, Aurélie se rendit compte que c’était son mari qui était la cause de tout cela. C’est lui qui, par méchanceté et stupidité, l’avait jetée indirectement dans les mains de cet homme. L’idée germa dans la tête d’Aurélie que ce n’était pas elle qui était humiliée mais son mari… Il ne voulait déjà pas prêter sa voiture à sa femme, que dirait-il s’il apprenait que c’est sa femme qui était prêtée à un autre homme ?Elle sentait les mains de cet homme se promener sur tout son corps, saisissant ses seins, ses fesses, caressant délicatement son ventre, son sexe, tout cela sans enlever ses vêtements. Elle qui se sentait honteuse et apeurée peu de temps avant, se trouvait désormais à son aise, remuant les fesses pour les frotter contre le ventre de l’homme à la Porsche.N’était-ce pas le moment de rendre la monnaie de sa pièce à son mari ? Elle avait subi tant de brimades, supporté tant d’interdit : quelle meilleure façon de faire payer son mari que de donner son corps à un inconnu ? Alors comme ça, elle n’aurait pas le droit d’utiliser la voiture ? Et bien non, se dit-elle, elle avait le droit de choisir, de sortir, de ne pas vivre dans la peur et d’avoir du plaisir…Elle sourit à cette idée et se rendit compte que son état d’esprit avait changé par rapport à l’instant où elle était entrée dans ce champ de tournesol. Et si elle était dans ce champ par choix et non par obligation ? Et si c’était elle qui décidait d’humilier son mari et pas l’inverse ? Elle se retourna vers l’homme, le regarda en souriant et lui dit :
 - Mon mari est bien incapable d’autant de délicatesse, vous êtes un gentleman ! Cela mérite bien une récompense…
Sans quitter l’homme des yeux, elle se rapprocha de lui et se baissa tout doucement pour se mettre à genoux. Elle caressa le ventre rond puis descendit ses mains jusqu’au pantalon où elle sentit le sexe en érection. Elle le caressa à travers la toile du pantalon pendant quelques instants.Ce qui lui avait semblé inacceptable auparavant ne l’était désormais plus. Elle voulait sortir ce sexe, le toucher, le goûter, elle voulait lui donner du plaisir. Elle baissa la braguette et passa sa main à travers l’ouverture du caleçon. Elle saisit le sexe en érection et le sortit, elle fit de même avec les bourses qu’elle prit délicatement de son autre main.Elle regarda le visage de l’homme, il était tout rouge, la bouche grande ouverte, il la laissait faire sans intervenir, c’est elle qui menait la danse, elle se sentait libre. Alors elle n’attendit pas une seconde de plus et mit directement le sexe dans sa bouche et commença à le sucer.Il lui caressa la tête puis la joue ce qui eut pour effet d’exciter encore plus Aurélie. Jamais son mari n’aurait eu un geste tendre comme ceci. Elle le décalotta et lécha son gland avec avidité puis se remit à le sucer langoureusement tout en malaxant ses bourses avec sa main gauche et le masturbant avec la droite.Elle sortait parfois le sexe de sa bouche pour le lécher, elle descendait jusqu’à ses couilles, les léchait puis remontait le long de la verge pour continuer de le sucer.
Aurélie arrêta un instant de le sucer pour lui dire avec un léger sourire et un air aguicheur:
 - Je suis vraiment désolé pour votre voiture, je vais faire ce qu’il faut pour me faire pardonner…
Puis, sentant son excitation monter, sans ressentir aucune contrainte ou obligation, elle laissa éclater son désir et lui cria :
 - Déshabillez-moi, mettez-moi toute nue, j’ai envie d’être à poil et de me faire prendre !
L’homme lui enleva son débardeur et le garda à la main, ne sachant pas quoi en faire. Aurélie sourit de le voir presque penaud, lui prit le débardeur des mains en riant et le jeta au loin dans les tournesols.Elle passa les mains dans son dos pour défaire son soutien-gorge qu’elle enleva rapidement et jeta par dessus sa tête. Le petit homme resta bouche bée en regardant les seins d’Aurélie, sa poitrine était petite mais ferme, ses tétons pointaient bien droits.Pendant qu’il la regardait d’un air béat, elle enleva ses baskets puis fit glisser son legging le long de ses jambes jusqu’à ses pieds. Elle fit un pas de côté puis du bout du pied envoya en l’air son legging qui atterrit sur un tournesol.Il la regardait, elle était très belle, il ne lui restait plus que sa petite culotte, elle était souriante, ses vêtements éparpillés aux alentours, elle était en train de s’offrir à lui…En prenant un air coquin et faussement repenti, elle lui dit :
 - Il faut que je me fasse pardonner… Enlevez ma petite culotte !
Il s’approcha et, en baissant la petite culotte, observa le sexe d’Aurélie et sa charmante petite touffe de poils. Elle lui prit des mains la petite culotte et très symboliquement, la jeta au loin derrière elle en riant.Elle fit plusieurs tours sur elle-même tout en se caressant, passant ses mains sur ses fesses, son sexe et remontant jusqu’aux seins. Elle qui avait peur de rentrer dans ce champ était désormais très excitée de se présenter nue devant cet inconnu, de montrer son beau corps, de se toucher devant lui et d’être désirée.
 - Venez, suivez-moi, dit-elle.
Elle avança dans le champ afin de s’éloigner de ses vêtements, elle voulait s’offrir nue, sans possibilité de fuir ou de s’habiller rapidement. En un instant, elle s’arrêta, fit demi-tour pour lui faire face et s’agenouilla pour le sucer de nouveau. Il n’en revenait pas, ce canon était toute nue et lui tailler une magnifique pipe…Après quelques minutes à le sucer et le masturber, elle fit volte-face et se mit à quatre pattes, lui présentant fièrement sa croupe. Lui, n’y tenant plus, se mit à genoux et la pénétra sans plus attendre. Il faisait des allers retours tout en caressant son dos, ses fesses, elle adorait cela.Elle ferma les yeux et profita de cette pénétration, elle pensait à son idiot de mari, c’était bien fait pour lui : elle, qui subissait tant d’interdit, venait de reprendre les choses en main en humiliant son mari à sa façon, en offrant sa bouche et son sexe au premier venu dont elle ne connaissait même pas le prénom.Leurs ébats durèrent encore quelques minutes, elle le suçait de temps en temps, lui demandait de se mettre sur le dos pour qu’elle puisse le chevaucher, puis se remettait à quatre pattes pour se faire prendre en levrette.Elle prenait son pied, sa chatte toute humide dégoulinait le long de ses jambes. C’est alors que le petit homme accéléra la cadence, serra fermement ses belles fesses et lâcha plusieurs saccades de sperme dans la chatte d’Aurélie tout en criant de plaisir.
Il prit quelques instants pour reprendre sa respiration puis s’allongea sur le dos d’Aurélie pour l’embrasser dans le cou… Elle adora ce geste doux, rien à voir avec son mari qui se retirait rapidement et allait pisser sans la regarder.Comme pour prouver à cet inconnu qu’elle n’était plus dans ce champ pour payer une dette mais bien pour prendre du plaisir et en donner, elle se retourna et décalotta son sexe qui s’était déjà ramolli afin de lécher tout le sperme qui y restait. Elle prit son temps, passant sa langue sur le gland et la verge pour récupérer le foutre tout en le masturbant lentement et délicatement.Une fois cette délicieuse besogne terminée, elle le regarda, fière d’elle, en souriant.Ils retournèrent aux voitures, Aurélie fit la moue en voyant le crochet de sa voiture tout tordu.
 - Quelle merde, dit-elle, il va falloir que j’y fasse quelque chose avant que mon mari ne revienne cette fin de semaine. - Je vais emmener la mienne à réparer jeudi après-midi, je connais bien le garagiste, c’est un ami, venez avec votre voiture, je lui demanderai de vous redresser cela, proposa l’homme. - Décidément, vous êtes galant, répondit-elle. C’est d’accord.
 Il lui laissa l’adresse du garagiste et l’horaire de rencontre puis ils se séparèrent. Aurélie, pensive, passa son doigt à la commissure de ses lèvres où il restait une dernière goutte de sperme. Elle lécha son doigt et pensa au plaisir qu’elle avait eu de tromper son idiot de mari. Elle sourit. À suivre.
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