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L'amie de Maman

Chapitre 2

une soirée riche en émotions

Lesbienne
La fin de semaine de travail s’écoula lentement, Emeline s’ennuyant ferme chez elle malgré son démarchage d’entreprises et pensant malgré elle à cette grande femme qui avait réussi à l’ensorceler en à peine une rencontre. Lorsque le vendredi soir arriva, Emeline était à la fois excitée de la revoir et cependant un brin tendue.
— Bonsoir Emeline ! s’exclama Florence en souriant. Comment vas-tu ?— Très bien merci, et vous ?— Parfaitement, je te remercie. Désolé, je dois me sauver, il y a quelques restes dans le frigo, n’hésite pas à te servir surtout. Je ne serai pas de retour avant minuit, mais pas la peine de m’attendre surtout ! Bonne soirée Emeline.

Florence s’en alla et Emeline vaqua aux occupations du ménage, ce qui lui prit une bonne partie de la soirée, mais vers 22h30, elle avait presque fini et était épuisée, aussi se posa-t-elle sur le canapé pour se reposer, mais une furieuse envie de se masturber ne la lâchait pas, Florence occupait ses pensées et la faisait mouiller. Lentement, inconsciemment, les doigts d’Emeline descendirent vers son vagin, son string était déjà trempé. Elle le fit glisser, recueillit les perles d’humidité de son excitation du bout des doigts et les porta à ses lèvres. Mais elle en voulait plus. Sans penser une seconde à ce qu’elle faisait, elle se rendit dans la chambre de Florence, se demandant si le gode serait encore de sortie, mais il n’en était rien, de même que le magazine. Oubliant toute décence, Emeline fouilla la chambre, rien dans la table de nuit, sous le lit, sous l’oreiller, mais l’armoire fut fructueuse.
Dans un tiroir, elle trouva non pas un mais plusieurs magazines qu’elle sortit ; ces revues étaient accompagnées de 4 godes. Le premier était celui de la dernière fois, le deuxième un gros double gode qui faisaient 30 centimètres sur 4, le 3ème un gode ceinture et le 4ème était un chapelet de billes de plus en plus grosses. Emeline avait déjà vu ce genre de gode dans des films où des filles se mettaient ces billes dans leurs orifices et elle avait toujours été impressionnée par ce que le corps humain pouvait encaisser, car les dernières billes tenaient plus de la boule de pétanque !
Le dernier magazine qu’elle trouva l’étonna, car ce n’était pas une revue porno, mais un album photo, et pas n’importe quelles photos ! On y voyait Florence embrasser une jeune fille blonde, la prendre sauvagement avec le gode ceinture, Florence reliée cul à cul par le double gode avec une grosse black, Florence recevoir un jet de cyprine en pleine bouche, etc. Emeline n’en pouvait plus, son esprit était en ébullition, de même que son entrejambe. Elle se saisit d’un magazine et se masturba frénétiquement pendant un bon quart d’heure, se procurant un orgasme mémorable avant de tout ranger tout à sa place et de s’allonger sur le canapé pour juste reprendre un peu ses esprits.
— Emeline ! Réveille-toi !

Emeline ouvrit les yeux, le visage de Florence était au-dessus d’elle, elle avait dû s’endormir.
— Tout s’est bien passé ?— Très bien merci, désolée, je voulais juste faire une pause et je me suis endormie. Mais j’ai fait tout ce qu’il y avait à faire et...— Calme-toi voyons, rigola Florence. Il n’y a pas de mal et je me doute que tu n’es pas une tire au flanc, je vois bien que tu as fait ce qu’il fallait.— Bien, alors... Je... vais y aller du coup.— Ne pars pas si vite voyons, accepte donc un verre. Du Brandy ça te dit ?— Volontiers.

Florence servit deux verres et les deux femmes trinquèrent et se mirent à papoter de tout et de rien, jusqu’à ce que Florence demande si Emeline avait un petit ami.
— Non, je n’en ai pas. Les derniers que j’ai eus n’ont pensé qu’à m’ajouter sur leur liste et je fuis un peu les hommes maintenant... En plus, je n’ai pas vraiment le temps d’en rencontrer d’autres avec mon stage... Je ne sors pas beaucoup.— Tu sais, je te comprends, moi-même après mon divorce, j’ai fui les mâles et je continue d’ailleurs, car j’ai découvert autre chose, les femmes !

La discussion prenait un autre tournant... Son excitation reprenant de plus belle, Emeline se pencha et questionna Florence.
— Ah oui, comment ça ?— Allons, ne fais pas l’innocente Emeline. Je suis lesbienne, enfin, plutôt bisexuelle, mais depuis plusieurs années, je ne rencontre plus que des femmes. J’aime tellement leur faire l’amour, c’est tellement meilleur qu’avec un homme, plus intense, plus doux. Tu n’as jamais testé avec une de tes amies ?— Jamais, je suis d’ailleurs toujours vierge... J’ai peur de franchir le pas.

Florence resservit un verre, l’alcool déliant bien les langues des deux femmes.
— Tu es toujours vierge ? J’ai du mal à le croire, une si belle jeune fille ! C’en serait presque du gâchis ! Au fait, il t’arrive souvent de te promener sans culotte ? demanda Florence avec un sourire en coin.

Emeline devint rouge comme une pivoine, elle avait en effet oublié de remettre son string qui se trouvait d’ailleurs à côté de Florence et comme elle était en robe, l’amie de sa mère avait dû voir son intimité.
— Je... Euh... je suis désolé, je ne sais pas quoi dire.

Florence se leva, se saisit du string et alla s’asseoir tout à côté de la jeune fille. En plongeant son regard dans le sien, elle amena le string devant son nez, le renifla et déclara :
— Alors, ne dis rien.

Et là, Florence l’embrassa. Surprise, Emeline ferma d’abord la bouche, mais en sentant la langue de Florence presser contre le bord de ses lèvres, elle les entrouvrit. La langue inquisitrice s’aventura aussitôt dans la cavité buccale d’Emeline et s’enroula autour de la sienne. La jeune fille, hésitante sur le départ, se laissa emporter par l’instant et répondit à ce baiser passionné en propulsant sa propre langue dans l’autre bouche. Les deux femmes s’embrassèrent longuement, les mains de Florence commençant à caresser dans le même temps les bras d’Emeline, avant de faire glisser les bretelles de sa robe. Elle se leva, la jeune fille aussi et la robe s’étala au sol. Florence dégrafa le soutien-gorge, dernier rempart de tissu et libéra la jolie poitrine d’Emeline, la dévoilant ainsi dans toute sa splendide nudité.
Florence allongea Emeline sur le divan et se jeta sur les seins fermes et rebondis de sa proie en commençant à les dévorer, les malaxant, les pétrissant tout en tétant et mordillant les mamelons, arrachant de petits gémissements à Emeline qui flottait sur un petit nuage de bonheur et de plaisir. Après quelques minutes de ce petit jeu, Florence commença une exploration plus approfondie du corps de la jeune fille, descendant plus bas que ses seins, léchant la ligne droite partant de sa poitrine jusqu’à son entrejambe, faisant une pause pour embrasser son nombril avant de stopper sa progression juste avant le mont de Vénus. Au lieu de s’en emparer tout de suite, elle traça plutôt avec sa langue le contour de son petit vagin encore inexploré, salivant d’impatience devant la petite fente d’où dépassaient deux petites lèvres.
Emeline respirait fortement, son état d’excitation grimpant en flèche, et Florence dut se maîtriser pour ne pas venir dévorer immédiatement sa chatte, préférant la faire languir encore en partant lécher et embrasser ses jambes, caressant de ses ongles toutes les zones de son corps sauf son vagin.
— S’il vous plaît... gémit Emeline.— Oui ? la taquinais Florence en revenant l’embrasser sur la bouche.— Pitié... Je ne peux plus attendre...— Patience... Ça va venir, mais laisse-moi profiter de ton corps si magnifique.

Elle reprit sa torture érotique, couvrant de petits baisers la jonction entre son pubis et ses jambes. Emeline gémissait de plus en plus et lorsque Florence souffla doucement sur sa fente, elle ne put s’empêcher de pousser un cri.En riant, Florence se dit qu’elle l’avait assez fait languir, aussi, elle lécha d’un grand coup de langue toute la longueur de la jeune chatte. Cela fit l’effet d’une décharge électrique à Emeline. Son corps s’arqua et elle poussa un nouveau cri de plaisir, plus intense, plus marqué. De son côté, Florence découvrait le goût du jus intime de la jeune fille qui mouillait abondamment, un vrai délice. Elle l’avait tellement chauffée qu’on aurait dit qu’une saison de mousson se passait dans la cavité vaginale tellement il y faisait chaud et humide. Riant de sa comparaison, Florence se mit à lécher avidement, découvrant le petit clitoris. Et lorsqu’elle posa sa bouche dessus, Emeline ne put contenir son plaisir.
— Oui ! Oui ! Oh putain... C’est trop bon !
Cette jeune fille était chaude comme la braise, au sens propre comme au figuré, si dit Florence. Ses habiles coups de langue et les petits mordillements du mont de Vénus eurent rapidement raison d’Emeline qui fut parcouru par le plus puissant orgasme de sa vie. Elle fut prise de tremblements incontrôlés et poussa un tel cri de jouissance que Florence plaqua sa main sur sa bouche pour qu’elle n’ameute pas tout le quartier.
La laissant reprendre ses esprits, Florence remonta pour se coller contre Emeline et couvrir son visage apaisé de petits baisers en lui susurrant des mots doux. Parler ayant risqué de gâcher le plaisir, elles restèrent silencieuses, savourant le contact de leurs corps chauds pressés l’un contre l’autre, mélangeant leurs odeurs corporelles, Florence caressant du bout des doigts le corps d’Emeline, toujours assommée par sa jouissance.
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