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L'amie de Maman

Chapitre 3

une nuit mouvementée

Lesbienne
Épuisée par sa jouissance, Emeline était sur le point de s’endormir et ses paupières se fermèrent doucement.
— Ne t’endors pas ma petite, je n’en ai pas fini avec toi, dit Florence avec une voix langoureuse.
Florence se plaça au-dessus de la jeune fille et cala la tête d’Emeline entre ses deux gros seins avant de les malaxer. Emeline réagit doucement, appréciant le contact des deux imposants globes qui lui massaient le visage. Florence descendit ensuite, effleurant du bout de ses tétons le ventre d’Emeline avant de remonter à nouveau, plus haut cette fois, pour que ce soit son sexe qui se positionne au niveau de la bouche de la jeune fille. Emeline, toujours follement excitée, lança aussitôt sa langue à l’assaut de cette contrée inconnue et un intense goût de mouille envahit aussitôt son palais, un goût différent de sa propre cyprine, un peu plus acidulé, mais néanmoins délicieux. Emeline lapa la chatte de Florence puis, essayant d’imiter les mouvements de Florence, elle saisit le clitoris et le titilla avec la pointe de sa langue avant de l’aspirer et de le mordiller. Florence gémit et remua son bassin sur le visage d’Emeline, répandant sa mouille dessus.
— Hmmm, tu fais ça bien ma chérie pour une première fois... C’est que tu m’as tout l’air d’être une grosse cochonne qui s’ignorait... Emeline, je peux être ta maîtresse, te faire découvrir un nouveau monde de plaisir et de bonheur. Le souhaites-tu ?— Oh oui Florence, enseignez-moi le sexe... Enseignez-moi tout ce que vous savez...— C’est parfait ma petite, d’abord, fais-moi jouir, nous discuterons ensuite.
Emeline continua à lécher sa maîtresse, accélérant ses mouvements quand elle sentit que Florence venait, ce qui lui fut confirmé quand elle saisit la tête de la jeune fille alors que la jouissance la parcourait. Repue, Florence s’allongea à côté d’Emeline et l’enlaça en l’embrassant passionnément.
— Merci ma chérie, tu te débrouilles très bien pour une première fois !— Merci, dit timidement Emeline.— Alors donc, tu désires que je t’enseigne le sexe lesbien ? Car sache que ça ne se résume pas qu’à simplement s’embrasser et se faire des cunnis. C’est beaucoup plus profond que cela.— Oui, j’aimerais bien. C’était tellement intense tout à l’heure... Mais... Qu’entendez-vous par plus profond ? En quoi cela peut-il consister ?— Avant tout, sache que je suis plutôt dominatrice dans le sexe, j’aime diriger. Comme tu débutes et à ce que j’ai cru voir, tu sembles aimer te laisser faire, est-ce bien le cas ?— Euh... Oui, je pense.— Bien, je vais t’expliquer ce que j’aime, du soft au hard, à toi de voir si ça ne te rebute pas et si tu souhaites poursuivre avec moi.
Avant cela, Florence partit préparer des cafés, histoire de les tenir en forme. Puis, installées nues sur le canapé, les deux jeunes femmes commencèrent à discuter, tandis que Florence caressait doucement du bout des doigts les cheveux d’Emeline qui avait la tête posée sur son épaule.
— Vois-tu Emeline, cela fait quelques années que j’ai découvert le saphisme. Avant, je me pensais à 100% hétéro. Après mon divorce, j’étais un peu déprimée et je traînais dans les bars. Un soir, une femme m’a abordée, on a discuté et elle m’a draguée. Complètement éméchée, je me suis laissée faire ; nous sommes allées dans sa résidence où elle a commencé à m’embrasser, me caresser... N’y étant pas insensible, je lui ai rendu la pareille. Et pour la faire courte, nous avons baisé toutes les deux comme des folles, toute la nuit durant. Plus tard, j’ai enchaîné les flirts lesbiens les uns après les autres, en allant petit à petit vers des pratiques de plus en plus hard. Bondage, gang-bang lesbien, domination, uro... J’ai testé pas mal de choses avant de me cerner moi-même, sur ce que j’aimais.
Tout en racontant son histoire, Florence avait guidé sa main vers la chatte d’Emeline et lui titillait le bouton pendant que la jeune fille se caressait les seins.

— J’aime donc beaucoup rencontrer des jeunes filles dans ton genre. Les dominer, qu’elles se laissent faire, qu’elles soient très ouvertes, voire même un peu salopes et réceptives à mes envies. J’aime leur bander les yeux, les attacher, puis si elles sont partantes, leur uriner dessus en collant mon vagin contre leur bouche. Il m’arrive même d’inviter une amie dominatrice aussi pour des plans à trois torrides. Ou alors dominer deux soumises en même temps. Désires-tu connaître ce plaisir Emeline ?
La jeune fille était sur le point de jouir sous les doigts de sa maîtresse et son esprit était déjà parti, perdu dans les affres du plaisir.
— Oui Florence, ouiii je le veux !!!
Florence se rua sur les lèvres d’Emeline et l’embrassa à nouveau passionnément. Emeline dirigea de son côté ses mains vers les orgueilleux seins naturels de Florence et les malaxa allègrement en savourant leur texture, leur forme, le velouté de la peau... Elle ne comprenait pas comment elle pouvait prendre autant de plaisir avec une femme de l’âge de sa mère, mais elle s’en moquait ; ses pensées rationnelles s’étaient fait piétiner par l’orgasme incroyable que Florence lui avait prodigué et elle voulait connaître ce plaisir à nouveau, elle voulait devenir la petite soumise salope de cette femme.
Cette dernière se leva brusquement, prit un bandeau dans un tiroir voisin et banda les yeux d’Emeline. Elle la fit ensuite se lever et la guida vers la chambre. Emeline était très excitée par cette situation, se laissant guider à cause de son aveuglement et elle sentit les mains de Florence la pousser sur le lit où elle s’étale à plat ventre avant qu’elle ne soit remise sur le dos avant que Florence se mette à farfouiller dans un tiroir d’où elle sortit un bâillon-boule, une boule en caoutchouc fermée par une bande de latex qu’elle plaça dans la bouche d’Emeline avant de fermer la lanière par une sangle.
— Comme ça, tu ne réveilleras pas tout le quartier, car je vais te faire crier ma petite.
Emeline était surprise par ce nouvel objet, mais elle sentait que cela lui plaisait et rajoutait à son côté soumise. Ainsi aveuglée et réduite au silence, elle sentait son vagin dégouliner de plaisir. Florence y inséra un doigt, puis deux et les remua pour le dilater, elle sentit l’hymen d’Emeline lui résister.
— Je vais te déflorer ma chérie, dans quelques minutes, tu seras une femme.
Florence posa à nouveau sa bouche sur sa chatte et recommença à la lécher doucement, faisant remonter le plaisir en Emeline qui se mit à respirer de plus en plus fort.
— Tout va bien ? lui demanda Florence en caressant la vulve détrempée.
Emeline secoua la tête pour signifier son consentement et sa maîtresse plongea à nouveau dans son entrejambe, l’amenant rapidement à un nouvel orgasme qui l’aurait fait crier de bonheur, si le bâillon n’avait pas étouffé ses bruits. L’estimant prête pour la suite, Florence s’empara d’un petit gode de 15 centimètres sur 3 de large, une taille adaptée pour une première pénétration. Elle l’inséra doucement dans la chatte luisante, s’arrêtant juste avant la membrane protectrice de l’hymen.
— Prête ma chérie ?
Nouveau hochement de tête. Florence l’embrassa sur la joue en passant un bras derrière sa tête pour la maintenir contre elle et de son autre main, elle fit de petits va-et-vient dans sa vulve jusqu’au moment où elle l’enfonça plus fort, déchirant l’hymen.Emeline se tendit aussitôt, Florence bloqua son geste, couvrant le visage de sa jeune proie de petits baisers et patientant, attendant qu’elle se calme. Emeline poussait de petits cris étouffés et une larme perla le long de sa joue, que Florence recueillit du bout de la langue.
— Chut ma belle tout va bien... Calme-toi. C’est fini, c’est passé. Respire à fond. Doucement... Voilà.
La voyant un peu calmée, Florence recommença à l’embrasser sur tout son corps jusqu’à arriver sur sa chatte fraîchement déflorée. Elle sortit le gode et vint embrasser avec douceur le petit clitoris, insérant deux doigts dans le vagin pour maintenir une pénétration plus légère.
— On y retourne ma belle ? Je réinsère le gode ? Ne t’inquiète pas, tu vas t’y habituer. Le plus dur est fait.
Marquant une nouvelle fois son assentiment, Florence lui dévora une nouvelle fois son clitoris pour lui faire oublier la douleur, avant de réinsérer le gode et de faire de lents mouvements du poignet, laissant le vagin s’habituer à cette présence. Petit à petit, aidée par mes coups de langue, la machine à plaisir d’Emeline se remit en marche et elle parvint à jouir à nouveau. Satisfaite d’elle-même, Florence s’allongea contre elle en l’embrassant dans le cou.
— Comment te sens-tu ? lui demanda-t-elle en ôtant le bâillon et le bandeau.
Emeline avait de petits yeux en raison de l’arrivée de lumière soudaine et l’intense fatigue due à ses orgasmes. Mais sa maîtresse sentit néanmoins qu’elle se sentait... apaisée... heureuse... Emeline l’embrassa d’ailleurs à pleine bouche pour lui exprimer sa gratitude.
— Bien... Très bien même. Ça m’a fait mal au début, mais vous avez réussi à me faire oublier la douleur avec votre langue. Merci...— C’était un véritable plaisir, chérie. Je pourrais faire ça tous les jours, tu sais. Et tu es si belle... Tellement magnifique lorsque tu jouis...
Emeline sourit, mais ne put prononcer une phrase de plus, le sommeil l’emportant aussi sec.
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