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L'amie de Maman

Chapitre 5

l’initiation commence

Lesbienne
— Bravo Emeline, je te félicite, dit Florence en souriant largement. J’avais peur que tu te sois enfuie, mais tu es bien là. Laisse-moi te délester de ton fardeau.

Florence récupéra doucement l’étui, se déshabilla intégralement et alla s’asseoir sur le canapé. Emeline resta allongée, le temps que Florence lui ordonne le contraire. Elle dévora cependant des yeux le magnifique corps de sa maîtresse. Ses longs cheveux blonds, ses yeux vert intense, ses longues jambes musclées, ce fessier rond et ferme et surtout, cette lourde poitrine naturelle qui tombait légèrement. Pour ses 50 ans, Florence était une femme magnifique.
— Rejoins-moi ma chérie, viens t’allonger sur le canapé, ta tête dans mon giron.

Emeline alla se placer et attendit avec angoisse que Florence consulte ses réponses. Après cinq minutes d’un silence assourdissant, Florence reposa le document, se leva et vint dominer Emeline de son mètre 80.
— Tes réponses sont définitives ?— Oui Maîtresse, murmura Emeline sans oser la regarder dans les yeux.— Regarde-moi ! Et réponds clairement !— Ou... Oui Maîtresse Florence. Ce sont mes réponses.

Florence abandonna son air sévère et sourit largement en se jetant sur les lèvres d’Emeline qu’elle dévora avec gourmandise.
— Tu es formidable ma chérie, ne t’en fais pas, ce questionnaire est plus un petit test pour voir si tu es ouverte d’esprit... ou assez... étroite, dira-t-on. Je ne suis pas une tarée, si tu n’aimes pas quelque chose, on en discute. Cesse donc de trembler voyons, je suis ta maîtresse certes, mais tu n’es pas mon esclave, enfin si, mais pas tout à fait, s’exclama Florence en riant. Tu as pleuré ma chérie ? constata-t-elle en voyant les stries de larmes sur le visage d’Emeline.— Oui Maîtresse... J’ai... J’ai failli partir et tout abandonner, ça me fait terriblement peur, mais terriblement envie et...— Chuuut, dit Florence en venant écraser sa bouche contre la sienne. Je comprends, ne t’en fais pas. Tu as besoin de te relaxer, tu es à fleur de peau. Viens avec moi.

Florence guida la jeune fille dans la grande salle de bains et mit un bain à couler dans l’immense baignoire. Après avoir tâté l’eau du pied, elle se plaça dans la baignoire et fit signe à Emeline de la rejoindre. Cette dernière vint se blottir dans les bras de sa Maîtresse, sentant les gros seins s’appuyer contre son dos, tandis que Florence caressait Emeline sensuellement.
— Détends-toi Emeline. Ces dernières heures furent éprouvantes pour toi. Tu as été dépucelée et j’ai pris possession de toi. Tu as signé un contrat d’appartenance et tu as un orgasme qui ne demande qu’à être libéré. Je comprends que tu craques. Alors, laisse-moi faire, tu es là pour me servir, mais tu as mérité ta récompense.

L’eau chaude sur son corps et les douces caresses de Florence, qui malaxait ses seins avant d’effleurer son clitoris fit somnoler Emeline qui s’endormit à moitié. Elle ressentait tout, mais son esprit était ailleurs. La langue agile de Florence allait et venait sur ses joues, sa nuque, lui mordillait le lobe de l’oreille tout en pinçant ses tétons...
Tout cela amena la jeune fille au bord d’un nouvel orgasme alors même que sa chatte n’était même pas touchée. Ressentant les gémissements d’Emeline et son corps qui se tendait, Florence se saisit d’un petit gode et l’enfonça brusquement dans le vagin d’Emeline tout en lui frottant le clitoris de son autre main. La jeune fille haleta intensément avant d’exploser, sentant son vagin s’embraser, ressentant la jouissance comme une immense vague qui venait du tréfonds de son corps avant de s’écraser contre les parois de son entrejambe. Elle hurla longuement avant de perdre légèrement connaissance. Lorsqu’elle rouvrit les yeux, elle se sentait merveilleusement bien, apaisée, libérée d’une tension dont elle ne soupçonnait même pas l’intensité. Elle tourna la tête et vit les grands yeux verts de Florence qui la dévisageait avec adoration.
— Merci Maîtresse Florence. C’était... incroyable. Je n’ai jamais ressenti aussi puissamment un orgasme.— Je t’en prie ma petite catin, tu en avais grand besoin. Ouvre donc ta bouche.

Emeline s’exécuta et Florence cracha à l’intérieur.
— Avale.

Emeline obéit et déglutit, goûtant la salive de sa Maîtresse avant de sentir une langue inquisitrice venir s’emparer de sa bouche. Elle ferma les yeux et remua sa langue, accompagnant dans un balai effréné celle de la femme à qui elle avait cédé son corps et sa volonté.
— Tu es parfaite ma chérie. Va donc te reposer, cet après-midi, nous allons aller faire un peu de shopping.

Après avoir dormi trois heures et s’être remise de ses émotions, Emeline se leva et vit Florence au téléphone.
— 17h ? Parfait, à toute à l’heure Aby. Je t’embrasse. Ah Emeline, tu es levée, parfait, assieds-toi. Nous allons parler un peu de ton avenir. Si j’ai bien compris, tu restes encore quelque temps sur Paris avant de rentrer chez toi, c’est bien ça ?— Oui Maîtresse. J’ai fini mon stage et je comptais passer le mois d’août à Paris pour trouver un boulot avant de rentrer chez mes parents à la fin du mois.— Et bien, ne t’en fais pas pour ça, ma boîte a un poste dans ton domaine d’activité, tu auras un poste en septembre. Mon entreprise a une renommée internationale, ce sera donc excellent pour ton CV plus tard. Bien sûr, si tu préfères bosser ailleurs, pas de souci... Du moment que tu restes sur Paris, sinon autant nous arrêter là, tout de suite.— J’accepte avec joie, je ne sais comment vous remercier, comment puis-je...— Attends la suite, tu m’as aussi dit que tu vivais dans un studio minable pour un loyer hors de prix. Je te propose de venir vivre ici, l’appart est assez grand pour que nous fassions nos petites affaires à deux. Et ne t’en fais pas pour les dépenses, je gagne beaucoup trop d’argent pour ce que j’en fais, ça te permettra d’économiser pour ton futur.

Terriblement émue par la générosité de Florence, Emeline se jeta à ses genoux et embrassa ses mains.
— Merci infiniment Maîtresse, je... je ne sais pas quoi vous dire, votre générosité me touche à un point que...— Tatata ! Tu te doutes bien que j’y trouve mon compte ma chérie, je vais pouvoir te former à plein temps tout le mois d’août. Ne t’en fais pas pour ton appart, ma secrétaire s’occupera de gérer l’annulation de ton bail. Tu emménages aujourd’hui. Maintenant que ça s’est réglé, sache que j’ai pris des rendez-vous cet après-midi pour commencer ton initiation. J’aimerai beaucoup arranger tes cheveux si tu me le permets.— Je... Oui Maîtresse, je ne peux refuser après tout ce que vous faites pour moi.— Au contraire, si tu ne veux pas, j’attends que tu me le dises. Rassure-toi, je n’en prendrais pas ombrage, on parle de ton corps là. J’ai plusieurs projets, te faire une nouvelle coupe, une épilation définitive au laser, te faire faire un piercing au nombril et, mais pas tout de suite, un tatouage symbolisant ta soumission. Ne t’en fais pas, tu peux refuser ce tatouage. Qu’en dis-tu ?— Je vous fais confiance Maîtresse. Je m’offre à vous. Je vous appartiens.— Réfléchis bien Emeline. Surtout pour le tatouage, car c’est définitif. Si jamais ça ne te plaît pas, tu le garderas pour toujours.— J’ai pris ma décision Maîtresse. Vous êtes si bonne avec moi, on se connaît à peine au final, mais pour une fois, je veux cesser d’avoir peur et écouter mon instinct plutôt que ma raison.

Florence sourit et embrassa la jeune fille doucement.— Ma petite chérie, tu ne pouvais pas me faire de plus beau cadeau. Allez, on y va. Ta nouvelle vie t’attend.
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