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L'amie de Maman

Chapitre 6

Premières transformations

Lesbienne
Une heure plus tard, après un trajet en voiture compliqué à cause de la circulation parisienne, les deux femmes rentrèrent dans un salon de coiffure, apparemment réservé à certaines personnes compte tenu du fait qu’il ne prenait qu’une personne à la fois, et que les tarifs n’étaient même pas indiqués.
— Bonjour Mario, dit Florence en saluant le coiffeur. Emeline, voici Mario, mon coiffeur, il a un véritable don pour choisir une coupe de cheveux. Mario, voici Emeline, ma nouvelle... protégée.— Enchanté Mademoiselle, dit le coiffeur, incontestablement italien avec sa peau mate, ses cheveux noirs, gominés, plaqués en arrière et son accent chantant. Madame Florence souhaite vous confier à mes bons soins. Souhaitez-vous une coupe en particulier ?— Je te fais confiance Mario, dit Florence. Tu connais mes goûts.— Asseyez-vous Mademoiselle. Je vais examiner votre visage.
Après 5 minutes durant lesquelles Mario l’examina sous toutes les coutures, il s’exclama et dit :
— C’est bon ! Je sais la coupe qu’il vous faut, si vous voulez bien me suivre.
Une heure plus tard, Mario ôta le bandeau qui aveuglait Emeline et celle-ci découvrit sa nouvelle coupe. Adieu ses longs cheveux bruns, bonjour le carré, très, plongeant ! Emeline était ravie de cette coupe qui semblait affermir sa personnalité. Ce n’était plus une petite fille aux cheveux longs, mais une femme résolue semblait dire la coupe. Florence fut également ravie et félicita longuement Mario. Puis ni une ni deux, elles se rendirent chez une esthéticienne qui prescrivit à Emeline plusieurs séances d’épilation au laser dont la première commençait tout de suite. Enfin, elles allèrent dans un salon de tatouage où Florence fut accueillie par une superbe femme dont le style punk jurait fortement avec la classe et l’élégance de Florence. La tenancière était en débardeur qui laissait apercevoir sa peau entièrement tatouée de dessins complexes qui s’entrelaçaient les uns les autres.
Les cheveux noirs et courts, un rouge à lèvres tape-à-l’œil et de multiples piercings un peu partout faisaient que cette femme ne devait laisser personne indifférent.
— Aby ! Ravie de te voir !— Idem Florence, dit la tatoueuse en embrassant Florence sur les lèvres. Voici la jeune Emeline, je suppose ?— Tout à fait, Emeline, voici Aby, c’est elle qui va s’occuper de tes piercings et peut-être un jour de ton tatouage.— Enchanté, dit Emeline en rougissant tandis qu’Aby la regardait avec insistance.— Tu as toujours bon goût Florence, dit Aby en rigolant, regarde cette jeune petite ingénue. Je peux...— Vas-y, dit Florence avec un clin d’œil.
Aby attrapa Emeline par la mâchoire et l’embrassa avec passion. D’abord surprise, la jeune fille ferma ses lèvres puis en sentant une langue inquisitrice tapée à l’entrée, elle les ouvrit. Aussitôt, la langue d’Aby l’envahit et vint explorer sa cavité buccale avec acharnement. Elle salivait beaucoup, ce qui fit qu’Emeline eût vite la bouche remplie de cette salive étrangère qu’elle dut avaler. Enfin, la tatoueuse la relâcha et Emeline put à nouveau respirer.
— Hmmm, un bonheur à embrasser. Tout va bien jeune fille ?
— Oui oui, un peu surprise.— Bien, j’ai quelques achats à faire, je vous laisse, dit Florence. Je reviendrais tout à l’heure. Emeline, sois... gentille avec Aby, dit-elle avec un clin d’œil.— Oui Maîtresse.
Florence partie, Aby regarda la jeune fille avec un sourire carnassier.
— Hmmm, de la chair fraîche. On va bien s’amuser ma petite, mais le travail d’abord. Mets-toi nue.
Emeline s’exécuta, fascinée par sa docilité, elle se mettait à poil et se laissait embrasser par une inconnue et elle aimait ça ! Aby se déshabilla également et Emeline fut ébahie par tous les tatouages dont plusieurs étaient très suggestifs : on voyait nettement deux femmes en train de se lécher le minou, une autre s’empalant sur un gode, une autre la langue sortie, quémandant on ne sait quoi...
— Jolie n’est-ce pas ? Mes tatouages reflètent mes passions. Et ma plus grande passion, c’est le sexe... Allonge-toi ici, je vais te faire ton piercing.
Quelques minutes plus tard, son nombril était orné d’un beau petit piercing.
— Pour le tatouage, Florence m’a dit qu’elle te laissait le choix de la date. Mais j’ai un truc à te proposer. Un tatouage éphémère, je te dessine quelque chose et d’ici quelques jours, il aura disparu. Qu’en dis-tu ? Ça te permettra de voir ce que ça donne.— D’accord, allons-y.— C’est parti, je sais ce qui fera plaisir à ta maîtresse.
Aby aveugla Emeline à l’aide d’un bandeau et la fit s’allonger sur le dos. Quand la jeune fille sentit un pochoir se poser sur son pubis, elle remua, elle n’avait pas imaginé que ce serait ici !
— Trop tard petite, ricana Aby. Ne t’inquiète pas, il sera très beau et temporaire comme je t’ai dit.
Aby appliqua le tatouage en prenant tout son temps, faisant des pauses pour venir embrasser Emeline goulûment. Elle lui offrit notamment ses seins qu’Emeline téta durant de longues minutes, arrachant des soupirs d’extase à Aby.
— On y est presque, mais je suis trop excitée ! Tu vas me détendre un peu ma petite, je n’arrive pas à me concentrer.
Aby renversa le fauteuil vers l’arrière et Emeline se retrouva allongée la tête en bas. Aby se positionna au-dessus d’elle et lui ordonna de lui dévorer l’entrejambe. Chose qu’Emeline s’appliqua à faire consciencieusement. Le goût était différent de celui de Florence, plus... épicé peut-être. Après une dizaine de minutes de coups de langue encore hésitants, mais tout de même passionnés, Aby jouit et s’assit quelques instants.
— La vache... Florence a le don pour choisir ses petites salopes. Tu es douée pour manger une chatte toi. J’ai hâte de t’essayer à fond. Mais finissons le travail d’abord.
Aby apporta la touche finale et enfin, Emeline put découvrir le dessin qui ornait son pubis. Un dessin minimaliste, mais très épuré et élégant qui représentait une lionne assise de face et montrant les crocs comme si elle s’apprêtait à dévorer le vagin d’Emeline. La signification lui fut donnée par Aby. Pas touche à celui qui s’approchera de cette tanière sans autorisation et La lionne pour représenter Florence, très protectrice envers ses protégées.Florence revint à ce moment et fut absolument ravie de la petite surprise que lui avait faite Aby.
— Il est magnifique ! Qu’en penses-tu Emeline ?— Vous avez raison Maîtresse, il est superbe ! Merci beaucoup, Aby, j’ai presque envie de le faire définitivement maintenant.— Calme-toi jeune fille. Il faut t’y habituer et on verra une fois qu’il sera parti.
Dans le même temps, la tatoueuse s’amusa à titiller le clitoris d’Emeline. Florence s’empara de son côté des mains d’Emeline et les menotta avec une paire qu’elle avait achetée, et pas des menottes avec de la fourrure, de vraies menottes avec une clé ! Le contact froid de l’acier fit frissonner Emeline qui se demanda ce que sa maîtresse lui préparait encore. Une fois les menottes passées, Florence fit passer une corde dans une boucle prévue dans les menottes. Pendant ce temps, Aby qui avait compris où Florence voulait en venir aveugla à nouveau Emeline avec le bandeau et lui mit un bâillon-boule dans la bouche. Réduite à l’impuissante, Emeline sentit pourtant son vagin s’humidifier à toute vitesse, follement excitée par cette situation.
— Mais regarde-la Flo ! Elle est en train de tremper mon siège ! Debout petite traînée ! Au donjon !
Florence mit Emeline debout brusquement et lui passa un collier en cuir rattaché à une laisse en acier. Elle guida sa jeune soumise à travers le magasin, lui fit descendre un escalier avant de passer une petite porte pour entrer dans une cave en ogive. La pièce était aménagée comme une sorte de prison médiévale, un lieu entièrement dédié aux plaisirs extrêmes qu’on ne pouvait se donner dans un lit. Florence, qui connaissait bien l’endroit, passa la corde des menottes à un crochet installé au plafond. Mais elle n’avait pas encore fini d’immobiliser Emeline. Elle la força à écarter grand les jambes et menotta également ses pieds à une barre de fer installée horizontalement, empêchant Emeline de refermer ses jambes. Florence s’écarta et admira son œuvre.
— Tu es parfaite ma chérie, terriblement impudique, totalement soumise. Tu ne peux ni voir ni t’exprimer, c’est absolument parfait ! Aby et moi allons bien nous amuser, n’est-ce pas ma chère ?
Aby ne répondit pas et s’empara plutôt d’un chat à neuf queues. Un martinet élaboré, avec neuf lanières de cuir qui dépassaient du manche. La tatoueuse s’approcha d’Emeline et lui roula une pelle bien baveuse avant de la caresser avec les lanières du petit fouet. Florence s’empara d’un autre modèle similaire et vint se placer derrière Emeline qui frémissait et gémissait en sentant le cuir sur sa peau et le corps des deux femmes se presser contre le sien alors qu’elle même ne pouvait rien voir.
— On va rigoler un peu plus, Flo. Attends un peu.
Aby prit la corde qui maintenait les bras d’Emeline levés et la passa dans une poulie reliée à un treuil qu’elle actionna. La corde se tendit et Emeline fut légèrement soulevée et paniqua en gémissant à travers le bâillon, ses pieds ne touchaient presque plus le sol et ses bras étaient étirés à leur maximum !
Un peu inquiète, Florence s’approcha d’Emeline et lui demanda si ça allait. Emeline soupira un grand coup et hocha la tête pour donner son consentement. Pour la récompenser, Florence lui frotta le clitoris. Aby bloqua le treuil, s’empara d’une bouteille d’eau et en but une grande rasade avant de la passer à Florence. Les deux femmes se positionnèrent ensuite face à Emeline et commencèrent à se racler la gorge avant de se mettre à cracher sur la jeune frimousse d’Emeline. Les deux femmes recommencèrent encore et encore, buvant de grandes rasades lorsque leur gorge était desséchée et bientôt, la tête d’Emeline fut recouverte de salive qui coulait en formant des rigoles sur son corps. Des filets de salive passaient entre ses seins ou autour, avant de se rejoindre au niveau du nombril et de couler jusqu’à son vagin.
— Regarde comme elle est belle, dit Florence. — Flo, ta petite pute semble vraiment parfaite. Ce n’est pas possible que tu l’aies dépucelée hier !— Et pourtant... Tu verrais le questionnaire que je lui ai fait remplir, il n’y a quasiment rien où elle ait mis un non définitif ! On va pouvoir se lâcher un peu.
Florence arma son bras et frappa Emeline de son martinet. La morsure du cuir sur sa peau fit tressaillir Emeline, le coup n’était pas fort, mais surprenant. Florence recommença et Aby en fit de même, s’occupant du dos. Pendant 5 minutes, Emeline fut fouettée, avec légèreté, mais suffisamment pour que sa peau vire au rouge et se pare peu à peu de stries plus marquées. Florence fit signe d’arrêter quand les mouvements compulsifs d’Emeline, qui se débattait dans le vide, s’accentuèrent. Après le fouet, les deux femmes vinrent se coller contre la jeune fille et la pelotèrent avec passion, lui malaxant les seins avec rudesse, palpant ses fesses, insinuant des doigts dans son vagin, pinçant son clitoris et ses mamelons... Emeline gémissait pitoyablement, mais à en croire son vagin, elle adorait ça ! Florence se baissa et vint la lécher pour se retrouver très rapidement la bouche inondée.
— La vache Emeline, qu’est-ce que tu mouilles ! Viens voir Aby.— Hoho ! Tu nous aurais trouvé une petite gicleuse Flo ?— Nous allons voir ça.
Florence s’empara d’une cravache et vint tapoter le clitoris d’Emeline avec des coups de plus en plus marqués. Emeline s’agita, remuant pitoyablement les jambes dans le vide. Puis après quelques coups, Florence lâcha sa cravache et enfonça un gode d’un diamètre raisonnable d’une traite au fond de l’intimité d’Emeline. Celle-ci hurla à travers le bâillon et arqua le dos, faisant ressortir ses seins lourds qu’Aby attrapa et malaxa. Florence effectua des va-et-vient de plus en plus rapides et lorsqu’Aby recommença à lui frotter son petit bouton, Emeline jouit comme jamais, en libérant un véritable geyser de mouille.
— Une fontaine ! Putain Flo, t’as vraiment touché le gros lot. Laisse-moi goûter aussi.
Les deux femmes s’agenouillèrent et vinrent dévorer le minou d’Emeline qui pendait mollement, totalement épuisée par son orgasme ravageur. L’odeur beaucoup plus marquée de la cyprine indiqua qu’elle avait dû dans le même temps s’uriner dessus. Aby débloqua le treuil et fit redescendre Emeline qui tomba dans les bras de sa Maîtresse, n’arrivant même pas à prononcer un mot. Les deux dominatrices libérèrent Emeline de ses entraves et lorsqu’elle put voir à nouveau, le regard qu’elle adressa à Florence en s’écroulant dans ses bras lui transmit tout son bonheur.Rapidement, Florence embrassa Aby en lui promettant de repasser bientôt avec Emeline et elle ramena sa jeune soumise chez elle pour lui faire à nouveau couler un bain, mais cette fois, elle laissa Emeline seule qui se remettait doucement de ses émotions.
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