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L'amie de Maman

Chapitre 7

une rude journée

Lesbienne
Plus tard, alors que la nuit était tombée, Emeline se traîna jusqu’au salon et vint s’agenouiller entre les jambes de Florence assise sur le canapé. La jeune fille enlaça les jambes de Florence et les embrassa.
— Merci pour tout Maîtresse, cette journée état incroyable.— Tu as été parfaite ma chérie. Je suis si fière de toi, et crois-moi, tu découvres à peine le monde dans lequel je vais t’entraîner. Viens, mangeons un morceau avant d’aller au lit, tu dois te reposer.
Une fois installée confortablement dans le lit, Florence prit Emeline dans ses bras qui se blottit à l’intérieur, la tête calée entre les lourds seins de sa maîtresse.
— Demain, nous finirons le week-end en beauté. Je te prépare une sacrée journée qui te demandera beaucoup de courage.— Oui Maîtresse, murmura Emeline qui s’endormit. Mon corps est à vous, faites-en ce que bon vous semble. Du moment que je reste avec vous, je ferai ce que vous voudrez.— Ma petite, tu es une véritable perle, tu vas rester auprès de moi, ne t’en fais pas.— Je... Je vous aime Maîtresse, je sais que je vous connais depuis deux jours, mais je n’ai jamais ressenti ça pour personne, je sens que mon âme vous appartient déjà, alors mon corps est à vous.
Florence ne répondit pas, mais fut tout émue par les mots de sa jeune soumise.
— Attention à tes mots Emeline, ils me touchent profondément, mais ne confonds pas l’amour et la passion. Réfléchis longuement avant de les prononcer à nouveau. Mais quoi qu’il en soit ma petite catin, il faut que tu dormes, et comme tu as été très sage aujourd’hui, tu mérites le meilleur des somnifères.
Florence retourna Emeline et la positionna pour que leurs vagins soient collés l’un à l’autre puis elle ondula doucement du bassin, massant la chatte d’Emeline avec la sienne tout en l’embrassant et la léchant. Ce doux traitement eut vite raison de la jeune fille qui s’endormit en jouissant.Le lendemain matin, Emeline fut réveillée par une délicieuse sensation, celle d’une langue inquisitrice qui venait fouiller son vagin.
— Bien dormi ma chérie ?— Comme un bébé Maîtresse Florence. Hmmm, c’est le meilleur réveil de ma vie.— Ne t’y habitue pas trop, à partir de demain, ce sera à toi de me réveiller ainsi le matin. En attendant, profite.
Florence la brouta avec expertise et Emeline ne tarda pas à jouir sous les assauts de la langue de sa maîtresse.
— Merci, Maîtresse... Je... Je dois aller aux toilettes.— Je t’y accompagne.— Je... Je ne sais pas si...— Silence ! dit Florence en giflant Emeline. Tu fais ce que je te dis. Allez lève-toi.
Emeline se leva et se dirigea vers la salle de bains, elle s’assit sur le trône et ferma les yeux, la présence de Florence la bloquait malgré son envie.
— Alors, ça vient ?— Je n’y arrive pas Maîtresse, je suis navrée.— Hmm, on va essayer autrement. Laisse-moi la place.
Florence s’assit à la place d’Emeline et fit asseoir sa jeune soumise sur ses genoux, face à elle. Elle commença à la caresser doucement en embrassant les seins d’Emeline qui gémissait. En même temps, Florence relâcha sa vessie et murmura à la jeune fille tout en lui malaxant la poitrine.
— Tu entends Emeline, ce ruissellement ? Le doux clapotis de mon urine, bientôt tu joueras avec. Tiens, goûtes-y.
Florence passa un doigt sur sa vulve humide et l’inséra dans la bouche d’Emeline qui le lécha.
— Tu aimes ?— C’est... étrange...— Goûte mieux.
Florence fit descendre Emeline de ses genoux et se releva pour coller son vagin sur la jeune bouche.
— Lèche !
Emeline sortit timidement sa langue et commença à laper timidement. Florence s’impatienta et plaqua brusquement sa tête.
— Plus fort ! Lèche salope !
Florence frotta avec hargne son vagin contre la bouche d’Emeline qui se mit à lécher avec plus de vigueur, une fois habituée au goût.
— C’est mieux. Maintenant, avale et ne t’avise pas de recracher.
Florence relâcha sa vessie et fit boire à Emeline les ultimes jets de son urine. La jeune fille avala avec difficulté, mais s’obligea à tout avaler avant de tousser.
— C’est bien. A toi maintenant.
Emeline s’installa sur le trône et relâcha sa vessie qui voulut bien lui obéir. Cependant, une flatulence lui échappa qui la fit rougir et baisser la tête de honte. Florence rigola et enveloppa la tête de sa jeune soumise dans ses seins.
— Je vais te laisser pour la suite, on verra pour ça un autre jour. Faits vite, nous sommes attendues.
Une heure plus tard, les deux femmes roulaient vers la banlieue parisienne. Florence n’avait rien dit de leur destination et refusait de répondre à Emeline. Elle se gara sur le parking d’un petit pavillon et sonna à la porte. Une femme noire, obèse, avec de longs cheveux noirs vint ouvrir. Emeline reconnut la femme, c’était celle en photo dans le tiroir de la table de chevet de Florence, photo où les deux femmes se pénétraient avec un immense double gode.
— Bonjour Gwen, dit Florence. Voici Emeline, je te l’amène pour que tu la formes.
La femme regarda Emeline avec mépris et fit simplement un geste de la tête pour leur dire d’entrer. Emeline sentit son ventre se nouer, où donc sa maîtresse l’emmenait-elle ? En entrant, elle fut littéralement sidérée par l’intérieur de la maison. Absolument tout était prévu pour le sexe « extrême » ici. De multiples crochets étaient disséminés un peu partout, des murs au plafond. Dans le salon, une croix de Saint-André trônait, des cordes diverses étaient accrochées au mur, diverses cages étaient installées, une grande et étroite pour se tenir debout et empêcher la position assise, une cage à lapin « grand format » pour accueillir un humain à quatre pattes, un pilori était installé au centre de la pièce, diverses caméras et une impressionnante collection de godes allant du petit plug au gode « cheval » complétait la collection. Emeline se sentit défaillir et seule la présence de Florence l’empêchait de prendre ses jambes à son cou.
Mais dans quoi s’était-elle embarquée ? se répétait-elle.Florence sentit la volonté de sa soumise flancher et demanda à leur hôtesse cinq minutes pour s’isoler et parler à Emeline. Celle-ci ricana et sortit de la pièce en disant « cinq minutes ».
— Emeline, assieds-toi. Voilà, je t’ai emmenée ici pour que tu sois directement formée au sexe extrême. Je sais que tu as peu d’expérience, mais tu as montré hier que tu étais faite pour ça. C’est Gwen qui m’a initiée à tout ça. Je sais qu’elle peut impressionner, elle et sa collection, mais c’est la personne qui t’initiera dans les meilleures conditions. Ce n’est pas une psychopathe rassure-toi, elle ne te fera pas souffrir plus que nécessaire, mais il va falloir tout de même t’accrocher – c’est le cas de le dire – et te dépasser, mais c’est pour ton bien ma chérie. Je serai là. Ne t’en fais pas, tu prendras beaucoup de plaisir même si tu vas certainement vouloir renoncer plusieurs fois. C’est uniquement si Gwen t’approuve que tu pourras rentrer dans mon cercle intime. Sinon tu ne seras qu’une parmi d’autres de mes plans cul. C’est ce que tu veux Emeline ?— Non Maîtresse Florence, dit Emeline en rassemblant son courage. Je veux être à vous, pleine et entière.— Très bien ma chérie. Accroche-toi ça va bien se passer. Je serai là, mais je n’interviendrai pas. Gwen sait y faire, mais si tu flanches, elle te fera dégager et ce sera fini. Gwen ? Tu peux venir c’est bon.
La maîtresse des lieux entra. Elle en avait profité pour se déshabiller entièrement et Emeline eut le loisir de la détailler. Elle devait bien peser dans les 120 kilos, des seins énormes qui tombaient jusqu’à son nombril, un ventre gigantesque qui tombait par-dessus son sexe et des cuisses grosses comme des jambons. Bizarrement, ce physique que plus d’un aurait trouvé repoussant titillait Emeline. On était très loin du corps parfait de Florence, mais ce contraste l’excitait.
— Bien, Florence installe-toi, mais ne me dérange pas. Toi la jeune prude, approche-toi !
Emeline rassembla son courage et s’avança en face de sa maîtresse du jour. Celle-ci la regarda droit dans les yeux et Emeline baissa le regard, voulant prouver sa soumission, mal lui en prit. Gwen la gifla fortement.
— Regarde-moi, traînée !
Emeline ravala ses larmes et plongea son regard dans les yeux pervers de la maîtresse. Cette dernière lui saisit la mâchoire et la fit tourner dans tous les sens, pour observer la marchandise. Elle lui fit ouvrir la bouche, inspecta ses dents, tâta son corps. Emeline se sentit comme une marchandise sur les marchés aux esclaves d’antan, ironique, quand on pensait aux origines ethniques des deux femmes. Gwen saisit Emeline et l’entraîna vers la croix de Saint-André où elle l’attacha aux quatre crochets. Elle lui fit ensuite ouvrir la bouche et installa un écarteur dans sa bouche pour la maintenir grande ouverte. Ainsi, Emeline ne pouvait plus parler et avait également du mal à déglutir sa salive qui s’échappait de la commissure de ses lèvres.
Gwen se saisit ensuite d’un ciseau et entreprit méthodiquement de découper les vêtements de la jeune fille qui tressaillait à chaque fois qu’elle sentait le contact froid des lames sur sa peau. Un contact glacé qui avait pourtant tendance à lui échauffer le vagin qui s’humidifiait rapidement. Cela n’échappa pas à Gwen qui ricana.
— Petite pute. Tu mouilles déjà rien qu’à être attachée. Je vais m’occuper de toi.
Une fois les lambeaux de vêtements tombés et Emeline totalement nue, Gwen prit une bouteille d’eau, but un grand coup, se racla la gorge et cracha un gros glaviot en pleine face d’Emeline qui le reçut entre les yeux. Apparemment, tout comme Florence et Aby hier, Gwen était adepte du crachat. Elle continua pendant plusieurs minutes, recouvrant le jeune visage de sa bave qui dégoulinait de la bouche grande ouverte d’Emeline qui devait en avaler une partie pour ne pas s’étouffer. Gwen plaqua ensuite sa main sur la tête d’Emeline et frotta énergiquement pour bien répartir la salive de partout. Elle descendit ensuite inspecter le jeune vagin qui mouillait abondamment et passa sa main entre les lèvres qui ressortit humide. Gwen titilla le clitoris, arrachant ainsi des râles bizarres d’Emeline en raison de l’écarteur.
— Tu aimes ça hein ? Te faire titiller la moule. Vas-y jouis, ça calmera ton excitation. Sale chienne, j’ai rarement vu quelqu’un jouir juste parce qu’on lui crachait à la gueule. T’es vraiment une sale pute en chaleur. Je vais te dresser moi.
Tout en continuant son doigtage, Gwen se mit à gifler Emeline. D’un côté puis de l’autre. Emeline se sentit partir dans un orgasme tout en recevant des gifles de plus en plus fortes. Et lorsque Gwen sentit la jeune fille partir, elle lui assena une gifle retentissante qui fit voir les étoiles à Emeline.
— Tu es calmée salope ? Bien on passe aux choses sérieuses.
Gwen détacha la jeune fille et la fit s’allonger sur le tapis. Gwen s’allongea également, mais sur elle, écrasant la jeune fille de son poids et faisant disparaître son corps dans ses bourrelets. Elle roula ensuite sur le dos et Emeline se retrouva au-dessus, mais Gwen la maintint écrasée contre elle, compressant sa tête dans ses énormes seins, lui donnant des fessées retentissantes qui firent rougir le fessier d’Emeline. Elle fit ensuite descendre Emeline et lui plaqua la tête contre sa chatte poilue et odorante avant de l’enfermer dans l’étau de ses cuisses.
— Lèche ! Tu ne ressortiras que quand je serai satisfaite.
Emeline, à moitié étouffée, lécha énergiquement sa maîtresse. Le goût de son vagin était très différent de Florence. Plus négligée, comme si elle ne s’était pas lavée depuis quelques jours. Elle sentit toutefois le vagin s’humidifier à son tour et quelques grognements de plaisir sortirent de la bouche de Gwen qui se trémoussait pour maintenir Emeline tout en jouissant. Une fois repue, l’étreinte des cuisses grasses se desserra et Emeline put à nouveau respirer normalement. Mais ce répit fut de courte durée, la grosse maîtresse lui assena une fessée retentissante.
— Debout contre le mur sale pute ! Dépêche-toi !
Emeline s’empressa d’obéir et Gwen vint alors lui attacher les poignets et mollets aux attaches prévues. Elle partit ensuite chercher un petit coffre qu’elle ouvrit avec un sourire sadique.
— Tu as de beaux seins petite salope, dit-elle en les malaxant fortement. Mais ils manquent d’ornement.
Gwen vint accrocher deux pinces sur les seins frémissant d’Emeline qui ne put s’empêcher de gémir misérablement en sentant l’acier mordre ses tétons. Gwen ricana et passa une chaîne pour relier les pinces et s’amusa à tirer dessus pour tendre les tétons. Emeline cria de douleur, mais tint bon, elle reçut en revanche une forte gifle pour la punir.
— Silence !
Après s’être amusé à distendre les tétons, Gwen accrocha des poids à la chaîne. D’abord un petit, puis un autre, puis un autre. La lourdeur de la chaîne attira la poitrine d’Emeline vers le bas tout en faisant souffrir la jeune fille qui serrait les dents pour se retenir de hurler. Elle était cependant proche des larmes, mais un regard vers Florence qui la regardait amoureusement en se caressant le vagin la fit tenir bon face aux sévices de la sadique obèse. Cette dernière s’empara d’un œuf vibrant et le plaça dans le vagin d’Emeline qui l’engloutit avant de frémir sous les vibrations de l’engin. Sensible, Emeline se mit vite à se dandiner, essayant de frotter son clitoris entre ses cuisses, mais n’y parvenant pas du fait de son immobilisation. La douleur et le plaisir s’entremêlant, son esprit partit ailleurs, mais Gwen la priva soudainement de son plaisir en ôtant l’œuf et en plaçant à la place deux autres pinces sur ses lèvres vaginales.
A fleur de peau, Emeline cria bruyamment, ce qui lui valut une autre gifle. L’obèse attacha ensuite ses pinces à celles ornant les seins de la jeune fille par des chaînes courtes qui tiraient sur les lèvres douloureusement. Gwen détacha ensuite la jeune fille et lui ordonna de marcher jusqu’à la salle de bains. Emeline se dandina tant bien que mal, chaque mouvement faisant balancer les poids et accentuant la pression et tirant plus fortement sur ses lèvres intimes. Arrivée à destination, Emeline fut placée dans une baignoire et Gwen vint s’installer au-dessus d’elle la dominant de toute sa taille et de son poids.
— Tu as soif ma mignonne petite salope ? Viens donc t’abreuver.
Gwen se mit à uriner un jet puissant sur le jeune visage soumis. Emeline ferma la bouche dans un premier temps, mais l’obèse lui assena une nouvelle gifle en lui hurlant d’ouvrir la bouche et d’avaler.Emeline s’exécuta, dégoûtée au début par le goût acre de l’urine, mais celle-ci était claire et la jeune fille s’y fit rapidement, elle but autant qu’elle put de ce liquide, mais en laissa échapper, ne déglutissant pas assez vite.
— Tu gâches ma précieuse pisse salope ? Elle n’est pas assez bonne pour toi ? Alors peut-être que tu préféreras te laver les cheveux avec ?
Gwen releva la jeune fille brusquement et elle la dirigea vers un sceau qui trônait dans la douche. Avant de pouvoir réagir, elle plaça la tête d’Emeline dans le sceau et la maintint à l’intérieur, l’empêchant de reprendre son souffle. En sentant la jeune fille se débattre, l’obèse la redressa en lui tirant les cheveux et Emeline reprit son souffle en toussant, elle avait avalé le liquide du sceau et avait vite compris qu’il s’agissait également d’urine, mais froide et bien plus odorante que celle qu’elle venait de boire.
— Tu préfères cette pisse, sale pute ? Tiens, retournes-y !
Gwen lui replongea la tête dans le sceau pendant un temps tout en ordonnant à Florence d’aller lui chercher quelque chose qu’Emeline n’entendit pas, les oreilles plongées dans le bac d’urine.Gwen relâcha à nouveau la pression et se releva pour farfouiller avant de revenir vers la jeune soumise.
— On y retourne !
Emeline réussit à inspirer un grand coup cette fois-ci et elle réussit à se concentrer pour conserver son air, mais elle sentit tout à coup quelque chose la pénétrer avec violence. Gwen s’était harnaché d’un gode ceinture et labourait son vagin tout en la noyant dans sa pisse. L’humiliation ressentie par Emeline était à son paroxysme, mais l’excitation montait d’autant plus. En ressortant une nouvelle fois la tête de l’eau, Gwen la retourna, l’allongea sur le dos et la laboura avec acharnement, faisant jouir la jeune fille.
— Tu aimes ça salope ! Prendre un bain de pisse et te faire défoncer.
Gwen s’empara du sceau et déversa tout le contenu sur la jeune fille qui manqua de s’étouffer en respirant par erreur de l’urine qui s’engouffra dans ses narines.
— Debout ! Suis-moi sale pute.
Sur ces énigmatiques paroles, Gwen emmena la jeune fille dans une pièce très sombre, la fit se mettre à quatre pattes sur un lit et l’obèse recommença son labourage tout en tirant sur les chaînes et fessant la jeune fille qui ne pouvait s’empêcher de gémir de jouissance.
— Oui ! Jouis pour moi ! Crie salope !
Et Emeline cria, encore et encore, alors qu’elle sentait l’orgasme monter une nouvelle fois, puissant. Dévastateur. La sentant venir également, Gwen la releva, la plaqua contre le mur et la pénétra violemment.
Sentant sa jouissance arriver, elle faillit tomber, ses jambes ne la supportant plus, Gwen la maintint juste le temps de son orgasme avant de la laisser s’écrouler au sol tandis que sa dominatrice venait plaquer son vagin contre la jeune bouche.
— Fais-moi jouir maintenant !
L’esprit embrumé, Emeline s’exécuta néanmoins et sa langue habile fit jouir l’obèse qui marmonnait des grognements incompréhensibles avant de hurler lorsque la jouissance l’emporta à son tour.
— Dehors maintenant. Foutez-moi le camp vous deux.
Florence récupéra Emeline, la rhabilla légèrement et la ramena chez elle bien qu’Emeline ne se rendit pas vraiment compte de tout ça, l’esprit ailleur,s et à moitié endormie. Tout juste ressentit-elle la douche et les caresses de Florence qui la lava une fois rentrées.Lorsqu’elle reprit pleinement conscience, elle était dans le lit de Florence, contre la femme nue qui la caressait tendrement.
— Tu reviens à toi ma chérie. Je suis si fière de toi !— Maîtresse ? Que... Que s’est-il passé ?— Tu t’es endormie et je t’ai ramenée à la maison. Ne bouge pas. Tu as mérité du repos après tout ça, Gwen est un peu tarée, mais elle fait d’excellentes soumises.— Vous êtes satisfaite de moi Maîtresse ? s’inquiéta la jeune fille.— Et comment ! Ce n’était qu’une de tes premières séances de véritable soumission, mais tu l’as passée haut la main. Tu es définitivement faite pour être une soumise ma chérie, je le sens. Oh comme je suis heureuse, je vais faire de toi ma petite soumise adorée.— Oui Maîtresse, je suis toute à vous.
Florence allongea la jeune fille et se lova contre elle, l’embrassant avec passion, ne se lassant pas d’explorer la bouche de sa jeune protégée qui lui répondait avec passion ! Mais épuisée par cette journée riche en émotions, Emeline s’endormit rapidement dans les bras de Florence.
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