Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 262 J'aime
  • 7 Commentaires

L'amie de Maman

Chapitre 8

Changement de statut

Lesbienne
Le lendemain matin, la jeune fille se réveilla avant sa maîtresse qui dormait profondément sur le dos, entièrement nue, ses lourds seins penchant chacun d’un côté.Emeline se glissa doucement sous la couette et se mit en quête de l’entrejambe de Florence. En faisant attention de ne pas réveiller sa maîtresse, Emeline se positionna devant le vagin et huma profondément les effluves qui en échappaient avant de donner de petits coups de langue. Intensifiant son rythme, Emeline sentit Florence remuer puis une paire de mains lui plaquèrent la tête, l’empêchant de reprendre son souffle.
— Oh ma chérie, c’est très bon ! Mais ma vessie va exploser, accompagne-moi aux toilettes.
Florence se rendit dans la salle de bains, mais ne se rendit pas sur le trône, mais dans la baignoire. Emeline comprit de suite que l’urinoir, ce serait elle ! Mais étrangement, ça ne la dérangeait pas, bien au contraire ! Elle ignorait totalement qu’elle aimait cette pratique, mais l’excitation ressentie voulait tout dire ! Elle vint se positionner à genoux, bouche grande ouverte et attendit. Pas très longtemps, car rapidement, un puissant jet doré vint remplir sa gorge.
— Garde en bouche ! ordonna Florence en interrompant le jet d’urine.
Emeline s’exécuta, sentant le goût très prononcé de la première urine du matin. Florence recommença, remplissant peu à peu la bouche de sa soumise. Puis n’y tenant plus, elle se vida sans interruption, Emeline tenta d’en garder le plus possible, mais sa bouche déborda bientôt et le surplus vint éclabousser ses cheveux et sa tête, avant de dégouliner le long de son jeune corps, passant entre ses seins, ruisseler contre sa chatte. Ayant fini, Florence s’empara à nouveau de la tête et vint frotter vigoureusement son vagin contre la bouche et le nez d’Emeline qui avait sorti sa langue pour nettoyer sa maîtresse. Florence jouit rapidement, follement excitée par ce spectacle, s’accroupit dans la baignoire pour faire face à sa soumise et l’embrasser fougueusement, goûtant sa propre urine.
— Tu es parfaite ma chérie, lavons-nous et retournons au lit, je dois te parler.
Après s’être rincées, les deux femmes se recouchèrent et prirent leur position préférée, Florence adossée contre une pile de coussins moelleux, Emeline adossée contre elle, la tête entre ses seins. De cette manière, Florence pouvait l’embrasser en baissant la tête et en profiter pour la caresser. Elle s’empara d’un petit gode dont elle se servit pour titiller le vagin d’Emeline.
— Ma chérie, j’ai beaucoup réfléchi cette nuit en te regardant dormir. La journée d’hier a été intense pour toi, mais pour moi aussi. J’ai remarqué que... que je ne supportais pas de te laisser seule entre les mains de quelqu’un d’autre, même si j’étais à côté. Je veux te contrôler, te posséder... Entièrement. Totalement. Tu es MA soumise, et si je ne suis pas là, je ne veux pas qu’on te touche, même si c’est une femme comme Aby en qui j’ai pourtant une confiance totale. Au final, ce que je veux te dire ma chérie, c’est que je ne peux nier ce que je ressens. Je sais que c’est très rapide, et Dieu sait que je ne croyais pas au coup de foudre, et que je te l’ai reproché pas plus tard qu’hier. Mais je... je t’aime Emeline...
La jeune fille ressentit un électrochoc en entendant ses paroles. Son cœur se mit soudainement à tambouriner dans sa poitrine. Avait-elle bien entendu ? Se retournant, elle plongea son regard dans celui de Florence et vit clairement que Florence n’exagérait pas. Prenant l’initiative, Emelinel’embrassa avec passion.
— Moi aussi Maîtresse, je vous aime, je vous aime tant, souffla-t-elle entre deux baisers alors qu’elle ne pouvait plus s’arrêter.— Calme-toi ma chérie, dit Florence en rigolant. Je n’ai pas fini. Ce qui est étrange, c’est que l’amour que j’ai pour toi est différent de celui que j’ai eu dans mes autres relations. Il est plus... maternel, pourrait-on dire. Je n’ai pas d’enfant, mais je sens cet... cet instinct de protection... et ces bouffées de chaleur en te voyant, l’envie de te garder auprès de moi en permanence. Et à cela s’ajoute ce désir sexuel hors norme qui embrase mon entrejambe dès que je te vois. Je te veux entièrement Emeline, je veux ton corps et ton cœur. Je veux t’aimer, te voir jouir, mais en même temps te dresser, faire de toi une bonne petite soumise, une dépravée, sans aucune pudeur et sans tabous. Mais à moi. Exclusivement.— Ordonnez Maîtresse, répondit Emeline, émue par ces paroles. Je suis toute à vous, je vous appartiens.— Je le sais ma chérie. D’ailleurs, je vais te faire une proposition. Ce terme de Maîtresse ne me convient plus compte tenu de mes sentiments pour toi. SI tu es d’accord, j’aimerais que tu m’appelles autrement. Tu es bien sûr libre de refuser, car cela peut paraître bizarre...— Dites-moi Maîtresse. Enfin...— J’aimerais que tu me tutoies déjà, cela sonnera mieux. Et que tu m’appelles... Maman.

Emeline resta un peu abasourdie, d’autant que l’image de sa mère véritable apparut dans son esprit en tête et grands dieux, si elle savait ce que sa fille était devenue ! Mais en voyant le puissant amour dans les yeux de Florence, elle eut les larmes aux yeux et plongea son regard dans celui de Florence. C’était effectivement bizarre, mais après tout... Florence lui avait fait découvrir tout un pan de sa personnalité, prenait soin d’elle... N’est-ce pas ce que font les mères ?
— C’est d’accord... Maman.— Oh ma chérie, mon amour, ma fille ! Je suis si heureuse ! Dorénavant, tu es ma fille, ma petite chienne de fille. Tu es toute à moi ! Maman va s’occuper de toi. T’éduquer. Et te corriger.— Oui Maman ! Allez-y... Vas-y ! Prends ta fille, ta salope de fille en chaleur.
C’est comme si un barrage s’était brisé, Emeline se sentait plus libre de s’exprimer, moins intimidée, plus libérée et Florence s’en rendit bien compte. A partir de là, la plantureuse femme se déchaîna. Elle plaqua Emeline sur le dos, lui fit ouvrir grand la bouche et cracha dedans encore, et encore, avant d’étaler sa bave sur tout le jeune visage. Bouleversée par ses sentiments, et même apeurée, Florence voulait aimer la jeune fille, mais d’une façon sauvage... presque brutale tant ces sentiments étaient exacerbés. Et même la briser. Pas uniquement sexuellement comme Gwen, mais mentalement. La reformater pour qu’elle lui appartienne entièrement, qu’elle la considère comme sa mère. Et paradoxalement, l’amour qu’elle ressentait était si puissant qu’elle voulait la malmener, tester ses limites, voir ce qu’Emeline pouvait endurer. Armant son bras, elle gifla Emeline, pas très fort, mais suffisamment pour faire rougir une joue.
— Salope ! Prends ça salope ! Tu n’es qu’une traînée, une chienne ! Mais ma chienne à moi, ma fille de chienne ! Ma pute de fille !
Emeline vacillait sous les gifles, mais elle aussi se sentait étonnamment bien paradoxalement. La douleur des gifles apaisait son esprit et elle comprit que telle était sa place désormais. Une soumise, sans volonté autre que satisfaire sa maîtresse... enfin sa nouvelle maman plutôt. Se sentant toutefois plus libre qu’avant, Emeline se prit au jeu de Florence et voulut voir jusqu’où cette dernière comptait aller.
— Oui maman ! Je suis ta catin de fille, ta traînée ! Tu m’as élevée pour que je sois ta pute ! Je suis toute à, toi vas-y ! Fais-moi mal maman ! Brise-moi !
Florence redoubla d’ardeur, et ne stoppa ses gifles que quand elle vit Emeline presque tourner de l’œil. Mais son accès de rage sexuelle ne s’était pas dissipé, bien au contraire. Les paroles de sa fille l’avaient renforcée, et elle voulait posséder ce jeune corps gracile. Elle poussa violemment Emeline hors du lit, la faisant tomber au sol dans un gémissement. Puis elle se leva, l’agrippa par les cheveux, et la traîna à travers l’appartement. A moitié étourdie, Emeline suivait tant bien que mal. Arrivées dans la salle à manger, Florence plaqua Emeline sur la table, sur le dos. Elle s’empara de cordes et lui lia les membres aux pieds de la table. Elle serra si fort qu’Emeline ne pouvait même pas bouger. Puis Florence se harnacha d’un gode ceinture d’un diamètre volumineux et sans préliminaires, l’enfonça directement dans le vagin d’Emeline. Celle-ci cria de douleur à l’intromission. Même si elle mouillait, sa jeune chatte récemment déflorée n’était pas encore très souple.
Et Florence n’en avait cure à ce moment-là, elle la pilonna avec hargne, lui giflant les seins, lui crachant dessus, l’embrassant également sauvagement alors qu’Emeline gémissait sous les puissants coups de boutoir. Puis lassée, Florence délia Emeline et l’amena dans une autre pièce où des menottes pendaient du plafond. Florence y rattacha sa nouvelle fille, lui banda les yeux et s’empara d’un fouet. Le premier coup qu’elle assena dans le dos d’Emeline fit hurler la jeune fille (heureusement, la pièce était insonorisée sinon tout le quartier aurait appelé la police !).
— Maman ! Stop, je t’en prie ! Ça fait trop mal !— Ta gueule salope ! Les putes comme toi sont dressées au fouet. Tu as mérité cinq coups ! Compte-les !
Florence réarma son bras et le sifflement caractéristique se fit entendre avant que le cuir ne morde les chairs du dos d’Emeline.
— Compte ! hurla Florence qui avait presque perdu l’esprit à ce moment-là.— D-d-d-... Deux ! sanglota Emeline qui ressentait la brulure dans son dos.
Nouveau sifflement, nouveau cri de douleur. Puis deux nouveaux coups, et Florence détacha Emeline qui s’écroula au sol, le dos balafré. Sans considération, elle traîna la jeune fille jusqu’à un canapé, la fit s’allonger sur le dos, mit ses jambes en l’air contre le dossier et la tête dans le vide. Toujours équipée de son gode ceinture, Florence pilonna la bouche d’Emeline, enfonçant profondément la fausse verge dans sa gorge, se délectant des bruits de déglutition et des haut-le-cœur. Elle ne se retirait qu’au dernier moment, martyrisant la bouche et la gorge de la jeune fille qui pleurait et bavait en abondance, sa salive lui barbouillant le visage. En même temps, Florence prit un autre gode, plus petit, et se mit à baiser Emeline avec, lui faisant mélanger pleurs et cris de plaisir. Finalement, le plaisir l’emporta et Emeline tressauta, bâillonnée néanmoins par le gode qui lui baisait la bouche.
Il ressortit, emportant un nouveau paquet de bave gluante tant ses haut-le-cœur étaient puissants. Toujours pas rassasiée, Florence admira son œuvre, le visage ravagé de la jeune fille, son dos marqué, il lui manquait néanmoins quelque chose pour parachever son humiliation. Elle amena cette fois la jeune fille dans la salle de bains, la plaça dans la baignoire, lui liant les mains et les jambes au préalable.
— Maman, Florence, calme-toi...— Ferme ta gueule je t’ai dit ! Tu es à moi et je suis ta mère, tu dois m’obéir !
Florence urina à nouveau, aspergeant copieusement le visage ravagé de sa fille.
— Ouvre la bouche ! Et avale cette fois ! Tu n’as pas intérêt à recracher ou à perdre de ma pisse !
Heureusement, l’urine était claire cette fois, et le goût beaucoup moins puissant, aussi Emeline put-elle avaler ce liquide chaud et... étrangement loin d’être mauvais, trouvait-elle en avalant une nouvelle gorgée alors que Florence continuait de la noyer sous son urine.Une fois fini, le regard de Florence s’éclaircit, et quand ses yeux tombèrent sur Emeline, ils s’écarquillèrent et Florence se rendit compte de ce qu’elle avait fait.
— Emeline... Mon Dieu, qu’est-ce que j’ai fait ? Je... tu dois me haïr ! Je t’ai fouettée sans préparation, sans t’écouter... je t’ai baisée à sec, je t’ai violé ta gorge... Mais qu’est-ce que j’ai fait... Ce n’est pas possible ! Je suis désolée Emeline ! Je ne sais pas ce qui m’a pris...
Florence se mit à pleurer, et Emeline craqua également, le trop-plein d’émotions accumulé, mélange de peur, d’excitation et de douleur avait besoin d’être évacué. Florence lui avait fait peur, mal, mais à travers la souffrance, elle se sentait étrangement apaisée à présent. Et voir sa nouvelle mère pleurer la rendait triste. Alors elle embrassa Florence, mêlant ses larmes aux siennes. Les deux femmes s’embrassèrent en pleurant, évacuant cette tension et se caressant le visage.
— Pardonne-moi Emeline, je... j’ai perdu pied, je voulais te briser, te faire du mal. Pour que tu m’appartiennes à moi, rien qu’à moi. Si tu veux partir, vas-y, je ne te retiendrai pas. Tu dois me prendre pour...— Je t’aime maman, l’interrompit Emeline. Je reste, et je resterai toujours.— C’est... C’est vrai ? Tu ne m’en veux pas ?— Tu m’as fait peur, et très mal. Mais... je pense avoir aimé au final. Et j’ai compris que ma place est à tes pieds, et si tu veux me briser encore, je l’accepte. Je suis à toi. Entièrement.— Oh ma fille, ma petite fille, mon bébé d’amour. Merci... Merci pour tout mon cœur. Laisse-moi nous nettoyer.
Florence activa l’eau et lentement, elle nettoya le corps de sa fille, ne cessant de la caresser et de lui susurrer des mots doux pour la rassurer. Elle passa ensuite un baume apaisant sur les traces de fouets puis les deux femmes retournèrent se coucher et s’endormirent dans les bras l’une de l’autre, épuisées par toutes ces émotions.
Diffuse en direct !
Regarder son live