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L'amie de Maman

Chapitre 9

une chaude soirée (partie 1)

Lesbienne
Emeline se réveilla quelques heures après, au beau milieu de l’après-midi, Florence dormait encore, mais repue de sexe pour l’instant, Emeline ne réveilla pas sa mère. Elle se blottit plutôt contre elle, collant simplement son entrejambe contre celui de Florence, qui se réveilla doucement à ce moment-là et sourit en voyant Emeline.
— Mon si beau bébé. Maman est fière de toi, tu sais...— Merci maman. Je vis pour te servir, tu le sais.— Je sais mon cœur. Paressons un peu au lit, je vais te parler de la suite du programme. Demain soir, nous sommes conviées à une soirée organisée par une de mes amies. Autant être honnête avec toi tout de suite, ces soirées tournent à l’orgie à chaque fois. Nous serons une vingtaine, des hommes, des femmes, des vieux, des jeunes, tous mélangés pour le plaisir des sens. Il y a même des transsexuels que mon amie connaît. Tu les verrais... des déesses ! Une silhouette ultra-féminine, mais avec un de ces attirails entre les jambes ! Bien sûr, tu n’es pas obligée de participer, tu peux simplement regarder et te rincer l’œil !— Cela semble... excitant.— Tu l’as dit ! En plus, c’est une soirée à thème. Celui de demain est la Grèce Antique. Autant te dire que nous serons peu vêtues, gloussa Florence. Nous irons acheter des tenues demain.— Génial ! J’ai hâte d’y être !— Oh moi aussi mon bébé. J’ai hâte de te présenter à tout le monde. Ils vont tous être sous ton charme, mais voudront par contre tous coucher avec toi. Mais si tu ne veux pas, tu le dis. Et je serai de toute façon à tes côtés.— Merci Maman... Ça me rassure. Tu sais, rien que d’y penser, je sens déjà le feu embraser mon intimité...— Je vois ça, sourit vicieusement Florence en plaquant une main à l’endroit mentionné. Mon bébé n’est jamais repu. Ma petite fille veut encore brouter le minou de sa maman ?— Toujours maman. Je veux te faire pleurer de plaisir cette fois, susurra la jeune fille avant de replonger dans l’entrejambe suintant.
Le lendemain, après une journée de repos bien méritée où les deux femmes avaient passé leur temps à se caresser et faire tendrement l’amour, elles partirent en quête de leur tenue de soirée.
— Je connais une boutique de costume d’époque, dit Florence, on devrait y trouver notre bonheur.
Et effectivement, la boutique proposait un vaste choix de costumes allant de l’antiquité à la Renaissance en passant par le Moyen-Age occidental ou oriental, asiatique... Et ce n’était pas que de vulgaires déguisements, mais de vrais costumes d’époque servant habituellement plus à des reconstituteurs qu’à des participants à des orgies.Compte tenu du thème de la soirée, la vendeuse les orienta vers la partie Grèce Antique en les conseillant.
— Je peux vous proposer diverses tuniques, en fonction de ce que vous souhaitez interpréter, esclave ? Servante ? Maîtresse de maison ?— Et bien pour moi Maîtresse, dit Florence en rigolant. Pour ma fille, j’hésite. Qu’en penses-tu Emeline ?— Je ne sais pas, peut-on voir les tuniques ?
La tunique de Maîtresse que Florence choisit était une robe bleu ciel, faite de soie fine, très légère et serrée, enveloppant ses gracieuses courbes. La tunique masquait, mais suggérait tout en même temps, Emeline eut envie d’arracher la robe en la voyant, chose qui semblait facile compte tenu de l’épaisseur très fine du tissu. Elle hésita pour sa part entre deux tenues. Celle de la servante, une robe courte qui laissait les bras et les jambes à mi-cuisses nues. Ou bien celle de l’esclave, autant dire un simple pagne minuscule qui couvrait son entrejambe. Elle opta finalement pour la servante, plus suggestive que l’esclave qui disait ouvertement « baisez-moi ». Florence régla puis elles rentrèrent se préparer. Emeline voulut faire l’amour, mais Florence l’en empêcha, souhaitant se conserver pour la soirée. Elles se douchèrent, s’épilèrent, se maquillèrent très légèrement avant de se parfumer.

Florence laissa ses longs cheveux détachés, mais elle attacha ceux d’Emeline sur son crâne en une tresse enroulée pour éviter qu’ils tombent. Puis vint le moment de partir pour la soirée, située dans un manoir de la banlieue chic de Paris. Au milieu de la forêt, personne ne les dérangerait ! Emeline sentit monter la tension, mais l’excitation en même temps.
— Ça va ma chérie ? demanda Florence en conduisant.— Oui maman. Ça me stresse un peu, mais...— Ne t’inquiète pas. Je serais à tes côtés et tu peux refuser si quelque chose ne te convient pas. Profite et amuse-toi, toutes les personnes d’ici sont triées sur le volet, en termes d’hygiène, de santé, de bienséance et... de performance sexuelle, conclut Florence en souriant vicieusement.
Elles arrivèrent rapidement devant l’entrée d’une immense propriété qui impressionna Emeline. Elle la fille d’ouvriers, la voici qui débarquait chez la bourgeoisie des Hauts-de-Seine ! On leur ouvrit le portail et Florence se gara sur le parking où se côtoyaient BMW, Mercedes, Aston Martin...
Deux videurs impressionnants de taille et de muscle gardaient l’entrée et contrôlèrent leurs identités. Emeline nota leur professionnalisme, car pas un seul ne jeta un œil sur leurs corps mis en valeur par les tenues légères qu’elles portaient. Arrivées dans l’entrée, elles furent accueillies par la maîtresse de maison. Une femme grande, très musclée à en voir les biceps impressionnants et les abdominaux dessinés, absolument pas couverts par la robe transparente qui habillait la femme. Une opulente poitrine, ferme et naturelle ornait un magnifique buste et le visage était également impressionnant. La mâchoire carrée, des yeux marron inquisiteurs et déterminés, de longs cheveux châtains tressés en natte qui lui retombait entre les seins, cette femme était vraiment impressionnante d’assurance, de force et de magnétisme sexuel.
— Florence ! s’exclama-t-elle en la prenant dans ses bras. Je suis si heureuse de te voir, tu es magnifique dans cette tenue. Et voici donc ta petite protégée, je suppose ?— Exact ma chère Eliane. Voici Emeline, ma nouvelle recrue, et depuis hier, ma nouvelle fille.— Rien que ça ! gloussa Eliane. Tu me raconteras ça dans la soirée. Sois la bienvenue Emeline, tu es mignonne à croquer dans cette tenue, et sache que je ne parle pas au sens figuré, susurra-t-elle en embrassant la jeune fille à la commissure des lèvres. J’ai hâte que nous fassions plus ample... connaissance.— Moi aussi Madame, dit Emeline, subjuguée par la prestance d’Eliane. Je serais ravie que nous apprenions à nous connaître plus... intimement.
Eliane et Florence éclatèrent de rire.
— Et bien Flo, tu as toujours eu un goût extraordinaire. Mais entrez donc, tout le monde est presque arrivé. Venez, venez !
Eliane les fit entrer dans la grande salle de réception où Emeline fut subjuguée par le luxe de la décoration et l’élégance des invités. Une trentaine de personnes était réunie et discutait autour d’un verre, de petits fours. Pour le moment, tout était calme. Emeline put admirer les costumes de chacun et constata même qu’un homme avait déniché une véritable cuirasse d’hoplite grec. Le bronze de l’armure qui laissait les bras nus faisait admirablement ressortir les biceps impressionnants de l’homme, portant sur la cinquantaine.
Comme Florence l’avait prévenu, on trouvait de tout dans les invités, des femmes, des hommes âgés entre trente et soixante-dix ans crut juger Emeline, mais elle était incontestablement la plus jeune avec ses moins de vingt ans. Chose qui fut remarquée à en croire les nombreuses têtes qui se tournèrent vers elle, la jeune fille fut même certaine de voir quelques personnes se lécher les lèvres en la dévisageant. Elle devint rouge comme une pivoine et se blottit contre Florence qui rit doucement.
— Allons doucement ma chérie, ils ne vont pas te manger. Enfin... ils en rêvent tous d’envie en fait, donc je me suis mal exprimée... Rassure-toi, on va y aller doucement. Nous allons déjà aller voir une personne qui sera ravie de te revoir à coup sûr.
Emeline ralentit, « revoir » ? Serait-ce Gwen ? A cette idée, son estomac se contracta, mais se relâcha instantanément quand elle reconnut la mince silhouette d’Aby, la tatoueuse.
— Flo ! Emeline ! Ravie de vous voir, dit la jeune femme en les embrassant sur la bouche. Vous êtes magnifiques !— Toi aussi Aby, ce chiton te va à ravir.— Oh, je n’ai qu’une hâte, c’est de l’enlever, mais tu sais ce que c’est, il faut sauver les apparences au début de la soirée. Comment vas-tu Emeline ? Remise de tes émotions ?— Oui merci, j’en ai déjà vu d’autres depuis !— Connaissant Flo, je n’en doute pas. Mais ça m’étonne qu’elle t’amène déjà ici.— Je l’ai surtout emmenée en observation, mais si elle le souhaite, elle peut participer si elle veut, dit Florence en caressant furtivement l’entrejambe d’Emeline.— Bon, allons déjà boire quelques verres avant de mourir de soif !
Le début de soirée régala Emeline. Elle qui avait toujours vécu modestement, elle put boire du champagne de grande qualité, des petits fours d’une fraîcheur et d’un raffinement jamais vu pour elle. Cela la mettait même mal à l’aise en pensant au coût exorbitant que devait coûter tout ça. Mais les conversations avec les invités se révélaient passionnantes, c’étaient tous des gens très cultivés et bien que la jeune fille sût que d’ici quelques instants, ils seraient tous en train de se vautrer dans la luxure, tout le monde pour l’instant se tenait et discutait de tout et de rien.
Emeline fut chaleureusement accueillie dans ce cercle prestigieux et même si tous devaient l’imaginer nue et offerte, ils n’en laissaient rien paraître et la questionnaient sur sa vie. Puis de fil en aiguille, les groupes s’espacèrent, certains s’isolèrent un peu, s’assirent et les premières caresses furent échangées.
Emeline observait tout ça, et son entrejambe s’humidifiait rapidement, aidée par tout le champagne but au cours de la soirée. Florence se plaça derrière elle et plongea ses mains dans sa tunique pour lui agripper les seins en lui embrassant la nuque.
— Viens mon enfant, Eliane souhaite te voir. Rien qu’elle, ne t’en fais pas.
Florence amena Emeline dans un petit salon isolé où Eliane attendait, alanguie sur un canapé et dégustant du raisin.
— Rebonsoir chère enfant. J’espère que tu passes une bonne soirée ?— C’est extraordinaire, merci de m’avoir permise de participer.
Eliane se leva et s’empara des mains d’Emeline. Dominant la jeune fille de toute sa taille, elle susurra :
— C’est un plaisir jeune fille. Mais il est vrai que j’apprécierai des remerciements plus... marqués...
Emeline sourit et enlaça la maîtresse de maison qui lui offrit un baiser passionné. Eliane retourna s’asseoir ensuite et ouvrit grand les jambes, découvrant son intimité qui se révéla de sous sa tunique fendue à l’entrejambe. Emeline s’agenouilla entre et embrassa d’abord le pourtour du vagin parfumé à la rose. De petits baisers et furtifs coups de langue firent gémir la sculpturale femme qui n’en pouvant plus, s’empara de la tête d’Emeline et la plongea dans son vagin.
— Lèche ! Lèche-moi ! Fais-moi jouir. Florence, embrasse-moi.
Emeline s’exécuta et elle se régala de la mouille produite par Eliane, goûteuse, légèrement acide et abondante. Le visage maculé de cyprine, Emeline se sentit soudainement tirée par les cheveux. Florence l’embrassa et lécha son visage pour y goûter également avant de prendre place aux côtés de sa fille. Ensemble, les deux femmes amenèrent leur hôtesse au septième ciel sous l’assaut conjugué de leurs langues. Florence et Emeline s’interrompant parfois pour s’embrasser, se caresser leurs langues ou bien s’échanger leur salive en la déposant sur le clitoris d’Eliane avant que la seconde ne vienne le lécher pour la récolter. Eliane jouit enfin dans un rugissement et s’affala.— Oooh ! C’était absolument divin les filles. Vous avez amplement mérité votre place ce soir. Allez profiter de la soirée, je vous rejoins dans un instant.
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