Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 258 J'aime
  • 2 Commentaires

L'amie de Maman

Chapitre 10

une chaude soirée (partie 2)

Lesbienne
Quand les deux femmes revinrent dans le salon, une orgie se déroulait. Totalement ou à moitié nus, les participants se déchaînaient et les vagins étaient pris d’assaut par d’imposants phallus, des langues broutaient des minous, des baisers s’échangeaient dans une ambiance de totale luxure. Et pas de chichis, les hommes baisaient avec des hommes, des femmes entre elles, tout le monde se mélangeait. Emeline vit même Aby, déchaînée, sucer deux bites de cinquantenaires, en même temps qu’un autre la prenait par-derrière et qu’une femme lui broutait le minou. Assurément bien occupée, la jeune tatoueuse jouissait comme une folle.
— Viens ma fille, dit Florence en souriant. Allons dans un endroit plus calme, tu n’es pas prête pour servir de pâture dans la fosse. Mais j’ai une surprise pour toi.
Elle l’emmena dans une chambre vide où elles se dévêtirent et s’allongèrent avant de commencer à se caresser. Le vagin d’Emeline ruisselait littéralement et Florence s’en amusa, récoltant de la mouille sur ses doigts avant de les donner à lécher à sa fille.
— Ma chérie, désires-tu connaître ta première bite ?— Je... je ne sais pas maman. Les femmes sont si expertes pour me faire jouir... Mais je ne voudrais pas me couper de ces opportunités...— Et si c’était tout de même une femme qui nous rejoignait, mais avec une bite ?— Tu veux dire une... transsexuelle ? Ce serait... très excitant.
Florence tapa des mains et deux femmes sortirent de l’ombre d’une pièce. Emeline fut subjuguée par leurs beautés. Jamais elles ne les auraient prises pour des hommes, même si en les regardant intensément, on notait une certaine angulosité de leur visage. La peau mate, les cheveux noirs et longs, une taille de guêpe, une poitrine siliconée, mais néanmoins belle et surtout, un morceau de choix entre les jambes. Toujours au repos, les deux phallus plongeaient vers le sol en même temps qu’une paire de testicules lourde et tombante également.
— Ma chérie, voici Carmen et Rosa, venues tout droit du Brésil. Sont-elles à ton goût ?— Elles sont... Vous... Vous êtes magnifiques.
Les deux femmes sourirent et les rejoignirent dans le lit. Florence se releva et partit s’asseoir dans un siège pour profiter du spectacle qui s’annonçait fort excitant.Une des deux vint embrasser Emeline tandis que l’autre lui léchait tout le corps. La jeune fille répondait avec fougue à ses baisers et caressait la tête de sa lécheuse et la poitrine de celle qui l’embrassait. Elle tenta de dériver sa main vers le pénis qui commençait à se dresser, mais une tape sur la main l’en empêcha.
— Doucement jeune chienne, susurra la femme. On a le temps.
Les deux femmes se mirent à lui téter les seins et descendirent pour lui lécher le vagin. Celui-ci coulait, les deux femmes se régalèrent et firent rapidement jouir Emeline dans un premier orgasme foudroyant. Elle ferma les yeux et profita de l’instant avant de sentir deux caresses sur ses joues, mais qui lui parurent étranges. Les deux femmes lui caressaient le visage avec leur gland ! Les deux pénis, désormais fièrement dressés et atteignant une vingtaine de centimètres chacun, la caressaient pour son plus grand bonheur. Une des deux femmes s’adossa contre la tête de lit et l’autre redressa Emeline et la guida vers le service trois-pièces de son amie. Emeline ouvrit la bouche et goûta enfin à sa première bite. C’était chaud et délicieux. Emeline lécha le gland, récoltant un peu de pré-sperme avant d’enfoncer la tige dans sa gorge. Elle fut rapidement stoppée et ne parvint pas à prendre l’imposante bite en entier, sans avoir des haut-le-cœur.
La femme lui pardonna et l’encouragea à continuer, son amie s’allongea à côté et Emeline alterna rapidement entre les deux, se régalant de ces bites sur lesquelles elle bavait abondamment et faisait son maximum pour en gober le plus possible.
Les deux femmes lui souriaient et s’embrassaient en même temps, puis une se releva, passa derrière Emeline et l’embrocha d’une moitié de bite d’un coup.Emeline encaissa le choc, son jeune vagin encore serré, mais la lubrification abondante de son intimité et la bave sur le pénis facilitèrent l’intromission. Une fois sûre qu’Emeline tenait le choc, elle s’enfonça encore, l’empalant sur toute sa longueur. Une fois bien au fond, elle se saisit des cheveux d’Emeline et commença à la chevaucher d’abord lentement, puis de plus en plus vite. Emeline sentait les lourds seins contre son dos et ressentait la colonne de chair brulante lui remplir les entrailles. Elle jouissait pleinement et balbutiait des mots incompréhensibles. En revanche, elle ne parvenait pas à se concentrer assez pour sucer l’autre pénis. La deuxième femme s’allongea et Emeline fut prise en sandwich entre les deux. Elles ne la prirent pas en même temps, mais alternèrent les coups de bite dans sa chatte tout en l’embrassant, lui pétrissant les seins, lui tirant les cheveux, lui claquant les fesses.
Au bout de vingt minutes de rodéo, Emeline s’effondra dans un nouvel orgasme. Elle n’en pouvait plus et les deux femmes s’arrêtèrent. Elles se redressèrent au-dessus d’Emeline allongée sur le dos et commencèrent à se palucher. Quelques instants après, de grosses giclées de sperme jaillirent et vinrent arroser la tête de la jeune fille qui se délecta de cette douche. Les deux femmes partirent sans demander leur reste et Florence revint sur le lit.
— Oh ma petite fille, tu es si belle, si impudique comme ça. Le vagin ouvert, le visage recouvert de sperme, les cheveux en bataille. Tu es magnifique, la plus magnifique des filles. Maman est très fière.
Florence embrassa doucement Emeline et doucement, ramena le sperme avec sa langue vers la bouche d’Emeline qui se remplit petit à petit.
— N’avale pas sans ma permission.
Florence continua et une fois Emeline nettoyée, elle ajouta sa salive dans la flaque blanchâtre qui remplissait la bouche de sa fille. Elle en aspira un peu pour elle avant de dire à Emeline.
— Vas-y ma fille, avale, goûte à ce nectar.
Emeline s’exécuta et apprécia le goût étrange, légèrement métallique du jus de bite.
— Alors ? s’enquit Florence.— C’est... étrange comme goût. Mais j’aime bien ça. Merci de m’avoir fait découvrir ça maman.
Florence sourit et s’allongea à côté de moi. Elles étaient bien toutes les deux, se caressant et s’embrassant tout en se susurrant des mots doux à l’oreille. Un moment de tendresse entre une jeune fille et sa mère adoptive.
— Et bien et bien, quel joli portrait !
C’était Aby qui venait de surgir dans la chambre. Entièrement nue, ses fiers seins ballotant sous ses pas.
— Flo, ce n’est pas bien de se cacher, tu sais bien que tu ne m’échapperas pas. Et ta nouvelle soumise non plus, dit-elle avec un sourire carnassier.— Doucement Aby, Emeline vient de connaître sa première bite, enfin « ses premières bites de trans » pour être exact.— Quoi ? Tu l’as offerte à Carmen et Rosa sans m’en parler ? J’aurai payé cher pour voir ça !— Il y aura d’autres occasions. Mais ne reste pas plantée là, ce lit est assez grand pour trois.
Aby les rejoignit et se plaça entre elles. Elles s’embrassèrent à tour de rôle en se caressant, les haleines d’Aby et d’Emeline sentant le sperme à plein nez, nul doute que la tatoueuse avait bu plus que sa dose elle aussi ! Puis Aby se mit à quatre pattes au-dessus d’Emeline et la dévisagea longuement. Emeline détourna le regard, gênée, mais Aby lui prit le visage au creux de sa main et la força à la regarder.
— Ouvre la bouche.
Elle m’exécuta. Et reçut la bave d’Aby en bouche qu’elle avala.
— Tu permets Flo ?— Vas-y, mais ne me l’abime pas. Ce n’est plus que ma soumise désormais. Emeline est ma fille.— Ta fille ? Oh je vois qu’on pousse la perversion à son comble. Et bien est-ce que la mère de cette petite salope me permet de prendre sa fille comme une petite chienne ? dit Aby en se léchant les lèvres.— Elle est à ta disposition.
Aby se jeta sur les lèvres de la jeune fille et l’embrassa sauvagement. Emeline sentait sa longue langue lui lécher la cavité buccale et s’enfoncer le plus loin possible. Elle caressait même la glotte, ce qui lui déclenchait des haut-le-cœur qui la faisaient rire. Puis Aby passa la seconde et gifla Emeline, lui crachant à nouveau dessus avant de la réembrasser. Pendant de longues minutes, elle alterna baiser, gifles et mollards et une fois que le visage d’Emeline fut rouge écarlate et recouvert de salive, elle vint s’asseoir sur sa tête en posant directement son clitoris sur sa bouche. Soumise, Emeline se mit à lécher consciencieusement tandis qu’Aby se faisait masser les seins par Florence qui s’était glissée derrière la tatoueuse. La jeune fille se régalait de la mouille abondante d’Aby qui coulait directement dans sa gorge.
— Flo ?— Oui Aby ?— J’ai envie de pisser.— Vas-y chérie. Emeline doit avoir soif. N’est-ce pas ma fille adorée ?
Emeline hocha la tête et un jet d’urine claire vint remplir sa bouche. Aby y allait doucement, laissant à Emeline le temps de bien avaler entre chaque gorgée. Après avoir longuement abreuvé la jeune fille, Aby se releva et finit d’uriner en aspergeant Emeline sur le visage et le corps.
— Putain, ta fille est exceptionnelle Flo. Tu as trouvé la perle rare.— Je le pense bien, dit sa maman en venant la lécher pour goûter l’urine d’Aby. Ma petite puce adorée. Tu rends maman très fière, tu sais ?
Emeline sourit à sa mère et l’embrassa amoureusement.
— Vous êtes belles, dit Aby en souriant, j’espère trouver aussi ma moitié un jour, dit-elle en soupirant.— Ça viendra, dit Flo en venant embrasser Aby.— Je sais ! Mais pas de sentimentalisme, je suis là pour baiser moi ! Merci Emeline, merci Flo, à plus !
La tatoueuse repartit et Florence accompagna sa fille au jacuzzi de l’immense salle de bains de la maîtresse des lieux. Un couple était déjà présent à l’intérieur, tous les deux étaient légèrement âgés, une bonne soixantaine, mais très bien conservés.Madame avait des cheveux blancs, longs et lisses qui encadraient un visage harmonieux, légèrement ridé, mais cela ajoutait à son charme de femme mature. Monsieur avait les cheveux courts, poivre et sel, et était bien entretenu physiquement.
— Oh, pardon de vous interrompre Monsieur et Madame de XXX, dit Florence.— Allons très chère, vous savez que vous êtes la bienvenue, et vous n’interrompez rien du tout. Jean et moi échangions sur cette soirée des plus réussies. Mais qui est donc cette adorable jeune nymphe à votre bras ?— Je vous présente ma fille adoptive, Emeline. J’ai commencé son éducation depuis quelques jours et j’ai décidé de l’adopter pour lui faire découvrir les plaisirs de la vie. Emeline, voici Madame et Monsieur de XXX, tous deux issus d’une famille de haut lignage et de généreux donateurs dans l’organisation de nos « petites soirées ».— Enchanté de vous rencontrer, dit la jeune fille en s’inclinant, un peu gênée, car ce couple d’aristocrates était vraiment l’antithèse totale de sa famille.— Quelle jeune beauté que voici, dit la femme en sortant de l’eau et se dirigeant vers elle. Observez donc Jean cette poitrine, ce tour de taille. Assurément Florence, vous avez toujours eu d’excellents goûts. Si j’étais tombé sur cette jeune fille avant vous, je ne sais ce que j’aurais pu faire. Puis-je ?— Bien sûr, dit Florence en souriant. J’ai amené ma fille pour lui faire découvrir de nouveaux plaisirs. Si elle est consentante, et je ne doute pas qu’elle le soit, vous pouvez vous amuser avec elle.
Emeline sourit et s’agenouilla devant la femme.
— Ah. Et elle est très soumise, dit Florence en souriant.
Mme de XXX, que nous appellerons de son prénom, Maryse, s’empara d’une longueur de cheveux d’Emeline et l’amena avec elle au jacuzzi, sous l’œil attentif de son mari qui se réjouissait d’avance de la tournure des évènements. Florence s’installa dans le jacuzzi pour se relaxer tout comme Maryse et Emeline. La jeune fille ne fut pas autorisée à se détendre, car Maryse lui mit la tête sous l’eau pour qu’elle lui prodigue un cunnilingus aquatique. L’aristocrate poussa rapidement des petits cris, tandis qu’Emeline se débattait pour lécher le vagin en retenant sa respiration. Maryse la faisait régulièrement reprendre son souffle avant de lui replonger la tête dans le bassin ; heureusement pour Emeline, ses coups de langue qui devenaient experts à force de pratique intensive firent rapidement jouir sa maîtresse de l’instant. Reprenant son souffle, Emeline fut accueillie dans les bras de Maryse qui se mit à lui pétrir les seins en l’embrassant dans le cou.
— Hmmm, jeune fille, c’était délicieux, Florence, mes compliments pour votre dressage.— Merci Madame, dit Florence en souriant. Emeline, voudrais-tu honorer Monsieur ?
Jean s’assit sur le rebord du jacuzzi et exhiba une belle verge d’environ 18 centimètres, épaisse, veineuse avec un long prépuce qui masquait un gland hors norme et qui était accompagné d’une lourde paire de couilles tombantes. Il ne dit pas un mot, se contentant de regarder Emeline qui s’approcha et qui doucement, vint déposer de petits baisers sur ce mât. Elle lécha doucement, sensuellement et sur toute la longueur, la hampe dressée avant de descendre sur les testicules qu’elle prit en bouche un par un avec douceur. Jean ne put réprimer un grognement de satisfaction en sentant le doux écrin de la bouche d’Emeline se refermer sur ses bourses. N’étant pas pressé de jouir, il laissa faire la jeune fille à son rythme, qui s’amusa à découvrir avec précision le sexe masculin et ses zones érogènes. Remontant le long du sexe, elle darda sa langue dans le prépuce sans décalotter le gland, appréciant le goût du pré-sperme qui commençait à suinter.
Elle titilla l’urètre, ce qui fit frissonner Jean et avec une main, décalotta enfin le gland qu’elle se mit à lécher plus vigoureusement. Ne pouvant plus se contenir, Jean plaqua ses mains contre la nuque de la jeune fille et lui fit gober sa bite. Emeline hoqueta, mais se laissa faire, avant de se mettre à sucer du mieux qu’elle put. Elle n’arrivait pas à la prendre entièrement, des haut-le-cœur se déclenchant dès qu’elle l’enfonçait trop, mais elle compensa son manque d’expérience par une réelle volonté de donner le maximum de plaisir. Apparemment, cela marchait, car Jean grognait de plus en plus fort, et il sortit du fourreau humide de la bouche de la jeune fille pour la prévenir qu’il allait jouir. Emeline apprécia sa prévenance et souhaitant lui faire plaisir, elle reprit le sexe en bouche pour recueillir directement la semence qui se déversa abondamment dans sa bouche.
Elle en avala le plus possible, mais une partie s’échappa de la commissure de ses lèvres et vint s’écraser sur sa poitrine.
— Ooooooh, fit Jean en fermant les yeux. C’était divin, jeune fille. Tu es une perle rare, il me tarde de mieux te connaître.
Emeline sourit du compliment et vint s’asseoir à côté de Florence qui l’embrassa amoureusement.
— Tu es parfaite ma chérie. Maman est si fière de toi.— Jean, dit Maryse en questionnant son mari. Je pense que vous serez d’accord pour inviter nos amies pour un week-end privé ?— Absolument ma chère. Florence, nous vous ferons parvenir une invitation dès que possible.— Avec grand plaisir, nous nous ferons une joie de vous revoir, n’est-ce pas Emeline ?— Tout à fait, dit la jeune fille en souriant et en se léchant les lèvres. J’en serai ravi.— Parfait. Profitez bien de cette fin de soirée.
Le couple d’aristocrates s’en alla et Florence et Emeline profitèrent quelque temps du jacuzzi pour se relaxer après toutes ces émotions, puis Florence décida de rentrer, la jeune fille en ayant assez vu pour ce soir. Elles quittèrent la soirée après avoir chaleureusement remercié la maîtresse des lieux, mais ne purent dirent au revoir à Aby qu’elles ne trouvèrent pas. Et pour cause, la jeune tatoueuse était en ce moment même attachée à une croix dans une cave sordide du sous-sol de la résidence, en train de se faire fouetter vigoureusement par un colosse noir qui s’apprêtait à lui perforer les entrailles avec un gigantesque sexe...
Diffuse en direct !
Regarder son live