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L'amie de Maman

Chapitre 11

mise à l'épreuve

SM / Fétichisme
Le lendemain de cette folle et jouissive soirée, Florence décréta une séance de sport pour se tenir en forme, elle prêta à Emeline un de ses pantalons de yoga ultra moulant avec un mini débardeur. Une véritable incitation aux attouchements pour Emeline qui dût se retenir pour ne pas se jeter sur sa mère, et réciproquement à en croire les regards appuyés de Florence. Mais elles parvinrent à se contenir et partirent courir pendant 1h autour du quartier, faisant se tourner de nombreuses têtes masculines et féminines qui dévisageaient ouvertement ces deux beautés dont les poitrines ballottaient au rythme de leurs courses.
 Une fois rentrées, elles enchaînèrent par une séance de yoga mais lorsqu’Emeline se pencha pour toucher le sol avec ses mains tout en maintenant les jambes tendues, Florence ne put se contenir plus. Elle baissa le pantalon d’Emeline d’un coup sec et plongea sa bouche au milieu des fesses pour venir lécher la raie suintante de sueur.   -Maman arrête, rigola Emeline. On n’a pas encore fini ! -M’en fout, dit Florence, la voix étouffée par les fesses d’Emeline. Tu m’excite trop petite salope.    Florence se releva et donna une fessée très appuyée à Emeline qui cria de surprise.   -Contre le mur, vite. Cambre-toi.   Florence s’harnacha de son gode-ceinture préféré et pourfendit le vagin d’Emeline sans préambule. La jeune fille jouit rapidement sous les assauts de sa mère et fut sommée ensuite de lui rendre la pareille en la léchant, ce dont Emeline s’acquitta avec joie.   -Tu me rends folle Emeline, dit Florence en reprenant son souffle. Dès que je te vois j’ai envie de te faire subir les turpitudes les plus dépravées, j’ai tellement envie de toi que je n’arrive plus à penser à rien. -C’est réciproque maman. J’ai envie que tu me fasses l’amour, j’ai envie que tu me fasses mal pour te montrer à quel point je peux souffrir pour toi. Aime-moi maman. Fouette-moi, bat-moi, mais par pitié aime-moi.   Florence embrassa sa fille en souriant.   -Demain nous retournerons voire Aby, on va voir jusqu’à quel point tu peux aller ma chérie...   Et le lendemain, après une journée plutôt paisible où les deux femmes se tinrent tranquilles pour une fois, Florence et Emeline arrivèrent dans la petite maison de la jeune tatoueuse en banlieue parisienne.   -Bonjour Aby, dit Florence en embrassant son amie. Tu as eu mon message ? -Il m’a ravie ! J’ai tout préparé. -Bonjour Aby, s’avança Emeline pour embrasser à son tour la jeune femme.
   Elle eut la surprise de se voir retourner une retentissante gifle qui la sonna légèrement et elle comprit que le jeu avait déjà commencé.   -Toi la jeune chienne, tu ne parleras que quand je te l’ordonnerai. Entrez !   Une fois à l’intérieur, Emeline fut conduite sans ménagement dans le donjon personnel de la tatoueuse qui évoquait une véritable salle de torture médiévale avec son pilori, sa croix de Saint-André, ses stocks de cordes, et divers instruments destinés aux plaisirs de la souffrance. Aby attacha Emeline à la croix et dévisagea la jeune fille.   -Alors... on veut découvrir véritablement la jouissance par la souffrance ? Rassure-toi, tu vas prendre vraiment cher aujourd’hui. Ta petite maman chérie et moi allons te faire pleurer.  Un peu inquiète par cette annonce brutale, Emeline réussit à rester stoïque et regarda Aby droit dans les yeux, ce qui lui valut une autre gifle cinglante.   -Florence, ta fille est une petite effrontée. -C’est pour ça que je l’aime, rigola l’intéressée. Mais tu vas lui apprendre les bonnes manières non ?   Aby ricana et cracha sur le ravissant visage de la suppliciée qui l’accueillit sans broncher. La tatoueuse se saisit ensuite d’une paire de ciseaux avec lesquels elle entreprit de découper méthodiquement les vêtements d’Emeline pendant que Florence lui susurrait des obscénités à l’oreille.   -Ma petite chérie, jusque-là, nous t’avions relativement épargnée, désormais, Aby et moi allons te baiser, te fouetter, te faire subir les pires outrages. Ainsi je saurai si tu es vraiment faite pour te tenir à mes côtés. Mais si jamais tu souhaites arrêter, prononce le mot « jonquille » et nous te libérerons. Tu seras toujours ma fille mais certaines portes te seront fermées.   Emeline acquiesça en sentant déjà l’excitation - et l’inquiétude - monter en elle tandis qu’Aby arrivait derrière elle pour lui pétrir les seins avec rudesse tandis que Florence s’emparait d’un martinet et se mettait à fouetter doucement sa fille.   -Plus fort Florence, l’encouragea Aby. On va la marquer cette petite pute.   La tatoueuse s’empara d’un petit fouet qu’elle fit claquer au sol. Le bruit fit tressaillir Emeline qui devint craintive et se contracta lorsqu’Aby arma son bras. La lanière de cuir s’abattit en plein sur son sein gauche et laissa une légère marque qui persista quelques secondes tandis qu’Emeline criait de douleur.   -Silence ! ordonna Florence qui avait changé son martinet pour le même modèle de fouet qu’Aby.   Bien que la jeune fille tentait de retenir ses cris, lorsque les deux femmes se mirent à la fouetter sans douceur, elle ne put s’empêcher d’hurler de douleur et plus d’une fois, elle faillit prononcer le mot de sécurité. Mais elle devait, et voulait, être forte pour satisfaire Florence... Aussi, elle purgea sa douleur en criant et en pleurant tandis que les lanières de cuir marquaient petit à petit ses seins et son buste de longues estafilades.   -Assez, dit Florence en lâchant son instrument.   Elle s’approcha de sa fille qui pleurait doucement tant son corps la brûlait. Florence lui caressa doucement le visage et vint recueillir ses larmes avec sa langue tout en lui murmurant à l’oreille.   -Je suis fière de toi ma chérie, continue comme ça. Tu es très forte et très courageuse, je sais que tu peux le faire. Je t’aime...   Emeline voulut répondre mais la gifle que lui administra Florence l’en empêcha.   -Silence, je ne t’ai pas autorisée à parler. Aby, le pilori désormais.   Emeline fut décrochée de la croix et fut mise au pilori, passant la tête et les mains dans les emplacements prévus de l’instrument. Jouant de la position abaissée de sa fille, Florence s’arma d’un gode ceinture et l’enfila d’un coup dans la gorge d’Emeline qui s’étouffa à moitié.   -Allez ma petite pute, mange la bite de maman. Je vais te remplir ta gueule de salope, ça t’empêchera de gueuler comme une truie.    Florence pilonna la gorge d’Emeline qui fit de son mieux pour avaler l’imposante verge de plastique mais elle fut prise de violents hauts le cœur qui la firent abondamment saliver et même légèrement vomir mais Florence n’en avait cure, elle continuait son matraquage impitoyable tout en tirant les cheveux d’Emeline et la giflant. Pendant ce temps, Aby s’était emparé d’une badine et assénait des coups de plus en plus secs sur les fesses et le dos de la jeune fille. Emeline cria de plus belle, enfin, elle essaya compte tenu du fait que sa gorge était remplie et se faisait sévèrement pilonner, et se remit à pleurer sous le coup de la douleur et des assauts des deux femmes. Une fois son côté pile lui aussi marquée d’estafilades, Aby et Florence cessèrent leurs assauts pour donner du répit à Emeline qui s’effondra dès qu’elle fut libérée du pilori, le corps marqué et le visage marqué par ses sillons de larmes.   -Alors salope, dit Aby en ricanant, on ne tient pas le rythme ? Tu sais que ça ne fait que commencer hein ? Regarde-toi, incapable de tenir debout, tu penses que ta mère est fière de toi ?   Malgré sa douleur et son envie d’arrêter, Emeline rouvrit les yeux et tenta de se remettre debout. Mal lui en prit car Florence lui donna un coup de pied pour la maintenir au sol.   -Reste à ta place. Regarde comme tu es sale, tu as besoin d’une douche.   Les deux dominatrices se placèrent de chaque côté d’Emeline et se mirent à uriner copieusement sur la jeune fille qui se laissa faire, profitant même de cet intermède plus calme et savourant la sensation du liquide chaud se rependant sur son visage.   -Ouvre la bouche ! Bois-nous !   Emeline s’exécuta et aussitôt, les deux jets envahirent sa bouche et la jeune soumise dut avaler rapidement pour ne pas s’étouffer. Florence s’assit ensuite sur la bouche de sa fille et lui ordonna de la lécher, ce dont elle s’occupa avec plaisir tandis qu’Aby lui enfonçait directement quatre doigts dans le vagin et forçait petit à petit le passage pour insérer sa main entière dans la matrice d’Emeline qui gémissait tout en savourant la mouille de sa mère. Florence jouit rapidement et pour remercier sa fille, elle l’embrassa et la gifla. Pendant ce temps, Aby la fistait sauvagement.   -Il est temps de la remplir tu ne penses pas ?   Les deux femmes s’armèrent d’imposants godes ceintures et tandis qu’Aby pilonnait le vagin d’Emeline, Florence s’inséra plus lentement mais implacablement dans l’anus de sa fille qui gémissait de douleur et de plaisir mêlés. Une fois bien au fond, les deux femmes synchronisèrent leurs mouvements pour faire subir à Emeline une double pénétration sauvage qui la fit jouir rapidement et intensément, une fois la première douleur passée et remplacée par cette incomparable sentiment de plénitude et d’accomplissement en étant remplie des deux côtés en même temps. Malgré l’orgasme d’Emeline, les deux femmes continuèrent longuement leur pilonnage, ravageant les entrailles de la jeune fille qui ne s’arrêtait plus de crier de plaisir, et ne songeait plus du tout à arrêter cette soirée.   -Cette chienne est totalement accroc à nos queues putain, on va voir si tu prends encore ton pied avec ça...   Aby s’empara de pinces à seins et les installa sans ménagement sur les tétons d’Emeline qui cria à nouveau de douleur sous la morsure impitoyable de l’acier. Aby accrocha les pinces à un cintre qui pendait du plafond et tira la chaîne au maximum, faisant crier Emeline de douleur alors que ses tétons étaient étirés à leur maximum. Elle crut devenir folle tandis que la douleur et le plaisir du pilonnage de ses orifices se mêlaient dans son esprit. Rapidement, sa raison se déconnecta et elle ne fut plus qu’un instrument de plaisir pour autrui, sans plus aucune volonté propre. Florence lui pétrissait les seins, enfonçait ses ongles dans la chair tendre tout en la sodomisant puissamment et Aby matraquait son intimité en l’embrassant, lui crachant dessus et en la giflant sans ménagement. Plus d’une demi-heure de ce traitement impitoyable amena Emeline aux portes de l’inconscience alors que son corps était parcouru d’un énième orgasme et qu’un flot de liquide s’échappait de sa chatte.   -Alala, quelle superbe chienne, s’extasiait Aby. On est en train de la ravager et elle éjacule comme une fontaine. Mais… C’est qu’elle se pisse dessus également !   En effet, totalement inapte à se contrôler, Emeline était en train d’uriner sans pouvoir s’arrêter. Aby rit aux éclats et se retira d’elle pour venir boire cette urine qui s’échappait en un véritable geyser.   -P… Pi… Pitié… haletait Emeline. Je… Je ne peux plus…   -Aby, on va la rafraîchir un peu, dit Florence en arrêtant à son tour sa chevauchée infernale et en retirant les pinces du corps de sa fille.   Emeline s’étala au sol, à deux doigts de s’évanouir mais elle fut bien vite réveillée par le sceau d’eau froide que lui versa Aby dessus. L’électrochoc fit crier une nouvelle fois la jeune fille mais cela eut au moins le mérite de lui éclaircir un peu l’esprit.   -On va s’arrêter là je pense, dit Florence à Aby qui acquiesça.  -Oui, je pense que c’est mieux, elle a vraiment bien encaissé ce soir. -Merci pour ton aide en tout cas, je vais la ramener. -Dormez ici plutôt... Mon lit est assez grand pour trois et ça lui évitera de devoir trop bouger.   Florence releva Emeline qui gémissait et sanglotait doucement et la guida avec Aby jusqu’à la chambre. Les deux femmes se couchèrent de chaque côté d’Emeline, lui caressant très doucement le corps et lui susurrant des mots doux à l’oreille, un contraste saisissant comparé à la brutalité de la soirée.   -Bravo Emeline, dit Aby à voix basse. Tu n’as pas craqué alors que bon nombre de soumises ont abandonné sous le fouet. Tu peux être très fière de toi chérie. -Tu es la plus parfaite des petites filles, renchérit Florence qui embrassait amoureusement sa fille de dizaines de petits baisers. Je t’aime tellement, tu me rends si fière de toi. -Mer… Merci maman, merci Aby… dit Emeline qui ne put terminer sa phrase, s’endormissant instantanément.   Aby et Florence sourirent et embrassèrent chacune Emeline avant de s’accoupler langoureusement toutes les deux, se faisant jouir juste à côté du corps endormi et martyrisé de la jeune fille qui avait subi avec brio leurs assauts de la soirée.
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