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L'amie de Maman

Chapitre 13

retournement de situation

Lesbienne
Sitôt ces paroles sorties de sa bouche, Emeline ressentit comme un immense poids qui quittait ses épaules, elle se sentait libérée. Pour sa mère en revanche... A l’annonce de sa fille, elle s’était figée et ses yeux écarquillés passaient de l’une à l’autre. Elle était estomaquée et ne savait comment répondre.
— Répète-moi ça Emeline ? Tu es... Lesbienne ? Et avec Florence ?— Oui maman, répondit la jeune fille qui évitait de croiser son regard.— Mais...
Les pensées de Marie arrivant enfin à former un tout cohérent, elle jeta un regard noir à Florence.
— Comment as-tu osé toucher à ma fille ? éructa-t-elle. Tu te rends compte que tu es trois fois plus âgée qu’elle ? Elle est tout juste majeure ! Je te l’envoie pour qu’elle t’aide à faire du ménage et qu’elle se fasse quelques sous, et toi tu la pervertis ! Emeline, prends tes affaires, on s’en va. Il est hors de question que tu restes une minute de plus chez cette femme qui t’a manipulé l’esprit. Tu vas rentrer à la maison, loin de cette ville de tarés et tu rencontreras un homme.
Le regard de Florence se fit méprisant au fur et à mesure de ce discours. Mais Emeline la devança dans sa réponse.
— Non maman. Je t’assure que tout ça est librement consenti. J’aime Florence et...— Cesse donc de dire des sottises Emeline. Tu n’es pas lesbienne. Elle t’a juste retourné l’esprit.— Tu as fini ton cirque ? dit Florence d’une voix hautaine. Oui des femmes peuvent s’aimer entre elles. J’aime ta fille, elle m’aime et depuis que nous vivons ensemble, nous sommes heureuses et c’est un véritable bonheur. C’est ainsi et tu ferais mieux de l’accepter, au risque de perdre ta fille !— Hors de question, elle va venir avec moi et rentrer à la maison, loin de tes influences perverses.— Ce ne sera pas possible maman... dit Emeline en secouant tristement la tête. Je reste ici.— Je te l’interdis ! hurla Marie.— Bon ça suffit, intervint Florence. Emeline, montrons à ta mère à quel point nous nous aimons.
Et sous les yeux ébahis de Marie, Emeline posa ses lèvres sur celles de Florence et les deux femmes échangèrent un profond baiser, sensuel, langoureux, passionné.
— Non, non, non, non, non... dit Marie en fermant les yeux. Ce n’est pas possible, c’est un cauchemar...— Ouvre les yeux et regarde ! Vois comme ta fille est bien dans mes bras. Regarde avec quel plaisir elle m’embrasse !— C’est contre nature... Emeline, cesse, je t’en prie...

Loin d’obtempérer, Emeline redoubla d’ardeur dans son baiser. La langue de Florence s’insinuait profondément dans sa bouche et pour prolonger l’instant et encore plus appuyer cette embrassade, elle pressa une main sur la nuque de Florence tandis que cette dernière commençait doucement à caresser le dos de sa jeune protégée. Un gémissement de plaisir étouffé échappa à Emeline tant son excitation grimpait en flèche, et ceux malgré le regard horrifié de sa génitrice à côté d’elle.
— Alors la prude, se moqua Florence. Ton mari ne t’a jamais embrassée comme ça hein ? Il ne t’a jamais fait mouiller rien qu’en t’embrassant ? — Arrêtez ça... s’il vous plaît...— Ma porte est ouverte, pars donc si tu ne veux pas assister au spectacle de l’amour. Car je vais faire l’amour à ta fille ici et maintenant. N’est-ce pas ma chérie ?
Pour toute réponse, Emeline se mit à genoux et embrassa doucement les jambes de Florence.
— Emeline... supplia sa mère d’une voix brisée.— Reste et regarde maman, s’il te plaît... Regarde comme je suis heureuse avec Florence. Si tu pars, tu ne me verras plus jamais.
Prenant les choses en main, Florence fit se relever Emeline et lui ôta son haut et son soutien-gorge avant de faire glisser son jean et son string, mettant à nu la jeune fille.
— Regarde comme ta fille est belle, dit Florence en passant derrière Emeline et en lui empoignant les seins. Regarde ce corps de déesse. Comment aurais-tu voulu que j’y résiste ? Chaque fois que je la vois, j’ai envie de lui faire l’amour encore et encore. Et c’est ce que nous faisons, hein mon amour... dit Florence en embrassant la jeune fille dans le cou.
Emeline gémit une nouvelle fois, son entrejambe était en ébullition et pour toute réponse, elle tourna la tête pour embrasser une nouvelle fois sa mère adoptive. Elle n’osait pas encore l’appeler « maman » devant Marie qui regardait la scène les yeux écarquillés. Mais signe positif, elle était toujours là comme figée et incapable d’effectuer le moindre mouvement.Emeline déshabilla Florence à son tour et une fois les deux femmes nues, elles pressèrent leur corps l’un contre l’autre tout en continuant de s’embrasser passionnément, lançant le visage de l’amour à celui de l’intolérance et de l’incompréhension. Les mains se firent pressantes, les caresses plus appuyées et plus précises. Elles se palpèrent les seins, se caressèrent leur vulve qui s’humidifiait à vitesse grand V et une fois Florence bien chauffée, Emeline l’invita à s’asseoir sur le canapé avant de se glisser entre ses jambes et embrasser avec amour cet entrejambe qu’elle connaissait par cœur désormais.
— Emeline... gémit sa mère.— Regarde Marie... soupira Florence qui savourait cette langue experte en même temps que la tête dépitée de la mère d’Emeline. Ta fille est exceptionnelle, elle est de loin la meilleure lécheuse de chatte que je connaisse. Et crois-moi, c’est un sacré compliment venant de ma part. Ooooow ! Vas-y ma chérie, lèche bien, doigte-moi, agace mon clitoris...
Quelques minutes furent suffisantes à Emeline pour l’amener à l’orgasme, et Florence explosa de jouissance bruyamment, en en rajoutant un peu pour montrer à Marie à quel point c’était agréable. Sans perdre de temps, elle renversa Emeline sur le sol et la fit s’allonger sur le tapis, venant la dévorer à son tour tout en lui malaxant les seins. Emeline, tout comme Florence, exprima bruyamment sa jouissance.
— Oooh c’est trop bon !!! Continue ! Oooooh Maman ! Maman c’est trop bon !
Emeline ne savait même pas à qui elle s’adressait en s’exprimant ainsi. Exhortait-elle Florence à continuer ou voulait-elle montrer à sa mère à quel point les étreintes saphiques étaient passionnelles ? Sûrement les deux, se dit-elle alors qu’elle était balayée par un puissant orgasme qu’elle partagea en soupirant longuement, tandis que Florence se jetait sur sa bouche pour l’embrasser et lui faire goûter sa cyprine. Les langues se rejoignirent une nouvelle fois et le concert de gémissement reprit alors qu’Emeline, qui en voulait toujours plus, se mit à frotter son entrejambe contre celui de sa seconde mère qui se positionna pour faciliter cette position. Calant une jambe sur son épaule, Florence remua son bassin pour que leurs vagins bouillonnants s’embrassent également, pressant les lèvres intimes l’une contre l’autre. Florence regardait en plus Marie qui restait tétanisée devant ce tableau de débauche et de plaisir lesbien.
Elle, la petite femme mariée, propre sur elle et il faut le dire « légèrement coincée », découvrait un monde de plaisir où le sexe et le plaisir étaient partagés et d’une puissance inimaginable pour elle qui n’avait jamais autrement couché qu’en missionnaire avec son mari. Ces suppliques avaient d’ailleurs cessé et elle ne perdait pas une miette du spectacle qui s’offrait à elle, observant sa fille gémir et se trémousser de plaisir sur le sol tandis qu’une femme trois fois plus âgée qu’elle frottait son entrejambe contre le sien. Florence constata d’ailleurs avec un sourire pervers qu’une des mains de Marie s’était inconsciemment dirigée vers son propre entrejambe.
Enfin, dans un concert de clapotis et de soupirs de plaisir, les deux femmes jouirent à nouveau avant de tomber dans les bras l’une de l’autre.
— Alors ? demanda Florence sardoniquement. Redis-moi en face que c’est contre nature maintenant.— Je... Euh...— Ça change de la petite baise classique avec ton mari hein ? Je suis sûre qu’il ne t’a même jamais fait jouir. Il doit juste tirer son coup sans se préoccuper de ton plaisir non ? — Je ne te permets pas de...— Je me permets ce que je veux ! Tu es ici chez moi et si j’ai envie de te dire que tu n’es qu’une pauvre coincée, je te le dis. Mais il n’est pas trop tard Marie... Tu peux goûter toi aussi au plaisir...— Qu’est-ce que tu veux dire ? Tu crois que je vais me laisser faire par toi ? Jamais de la vie !— Cesse de te mentir à toi-même Marie ! s’énerva Florence en venant se placer à dix centimètres d’elle. Tu crois que je ne t’ai pas vue pendant que je faisais l’amour à ta fille ? Ton regard ne trompait pas, ça t’excitait ! Ça t’excitait de voir ta fille prendre du plaisir, la voir exploser de jouissance alors que toi tu n’as jamais goûté à ce bonheur.
Sans laisser le temps à Marie d’intervenir, Florence glissa une main sous la jupe et la culotte de Marie qui glapit à ce contact.
— Tu es trempée... Je m’en doutais.— Ôte ta main de là ! s’insurgea Marie qui s’était mise à trembler.— Ne refoule pas tes envies Marie, laisse-les s’exprimer.— Non ! C’est... C’est dégradant, dégoûtant...— Dégradant ! Mais regarde comme ta fille est épanouie et belle dans sa jouissance ! Emeline, qu’en dis-tu ?— Maman... Je n’ai jamais été aussi heureuse que depuis que j’ai rencontré Florence... Nous nous aimons et cet amour me comble de bonheur...
Prenant Marie par surprise, Florence écrasa sa bouche sur celle de Marie et l’embrassa de force. Marie écarquilla les yeux et voulut rompre le contact, mais Florence la maintenait entre ses mains. Enfin elle la libéra et c’est avec un air triomphant qu’elle contempla la pauvre femme qui ne savait plus du tout où elle en était.
— Florence je...— Laisse-moi te guider Marie. Tout comme j’ai guidé ta fille. Laisse-moi te faire découvrir le véritable plaisir. Car réponds-moi honnêtement, ton mari t’a-t-il déjà fait jouir comme j’ai fait jouir ta fille ?— Je... Non... avoua tristement Marie.— Alors, abandonne-toi à moi.— S’il te plaît... Ne fais pas ça...
Marie protestait, mais bien plus faiblement. Elle ne pouvait le nier, le spectacle de sa fille et de Florence l’avait tourneboulée et elle ne savait plus quoi penser. Toute sa vie, on lui avait répété que l’homosexualité était contre nature, qu’il fallait combattre cela et voilà qu’une de ses amies, non contente de coucher avec sa fille, voulait également coucher avec elle. Elle aurait dû fuir et les abandonner à leurs plaisirs pervers, mais elle était tétanisée et son entrejambe était en ébullition, une sensation qu’elle n’avait plus ressentie depuis belle lurette, car Florence avait bien deviné. Son mari se contentait simplement de se vider en elle sans la prendre en considération. Aussi, quand Florence l’embrassa à nouveau, plus doucement cette fois, elle ne la repoussa pas et quand sa langue frappa contre ses lèvres, elle les entrouvrit.
Procédant doucement pour ne pas brusquer sa proie, Florence se fit sensualité et douceur, venant caresser de sa langue l’intérieur de la bouche de Marie, glissant sur ses dents, agaçant la langue de Marie qui se mit doucement à remuer, venant timidement chercher celle de Florence.
— Abandonne-toi, susurra la grande femme blonde.
Emeline de son côté était estomaquée, jamais elle n’aurait pensé que sa mère se serait laissée faire par Florence. Apparemment, elle cachait un mal-être profond avec le père d’Emeline. Bien qu’elle n’ait rien de particulier contre son géniteur, elle ne pouvait dire qu’elle l’appréciait plus que cela, l’homme ne lui avait jamais montré plus d’affection que cela et le fait de découvrir le malaise de sa mère renforçait son opinion sur lui. Encore nue, elle s’assit au pied du fauteuil occupé par Marie et regarda Florence, chevauchant sa mère, l’embrasser avec tendresse et douceur.
Florence susurrait des mots qu’Emeline n’entendait pas, mais cela arrachait de petits cris à Marie qui s’abandonnait de plus en plus à son premier baiser lesbien. Y allant toujours très doucement, Florence fit glisser les bretelles de la robe de Marie et découvrit le soutien-gorge. Une pièce de tissu plus que classique, loin de la lingerie affriolante qu’affectionnait Florence. Cette dernière empauma un sein tout en continuant son baiser, caressant le grain de la peau avant de le sortir du bonnet. Elle fit de même avec l’autre et Emeline s’amusa du fait que sa mère et elle avaient le même type de poitrine, ronde, ferme et bien remplie sans être énorme. Florence caressa doucement les seins, agaçant les mamelons tout en quittant la bouche de Marie pour l’embrasser sur la joue, descendant doucement dans le cou, remontant pour mordiller le lobe de l’oreille.
— Sens l’excitation monter... Tu aimes ce que je te fais n’est-ce pas ?— Oui... gémit Marie. Mais c’est mal...— Rien n’est mal dans le plaisir. Ce qui est mal, c’est de refréner ses envies. Laisse-toi porter par le fleuve du désir, je vais te noyer de plaisir.
Se levant, Florence invita Marie à faire de même.
— Emeline, aide-moi à déshabiller ta mère s’il te plaît.— Non... Ne mêle pas ma fille à ça s’il te plaît, supplia Marie.— Chuuut... Tu n’as pas ton mot à dire. Tu te tais et tu profites...
Passant dans le dos de sa mère, Emeline fit entièrement glisser la robe jusqu’au sol avant de dégrafer le soutien-gorge et d’ôter la culotte blanche. Marie tremblait de tout son être, partagée entre le désir et la peur.
— Laisse-toi aller maman, chuchota Emeline à l’oreille de sa mère. Tu vas voir, le plaisir est incroyable et Florence est une experte. Tu vas connaître le bonheur tout comme moi.
La fille embrassa sa mère sur la joue tout en lui caressant les épaules. Florence lui sourit et lui indiqua gentiment de s’asseoir.
— Profite du spectacle mon cœur.
Emeline sourit et se resservit un verre d’alcool, le savourant désormais, maintenant que le stress de l’annonce de son homosexualité à sa mère était passé. Si elle s’était doutée que désormais ce serait sa mère qui serait dans un état de stress intense alors qu’elle s’apprêtait à connaître sa première étreinte saphique ! La jeune fille s’assit confortablement et prenant une gorgée, observa avec joie sa maîtresse et mère adoptive butiner de sa bouche le corps de sa mère biologique. Marie poussait de petits cris alors que Florence embrassait ses seins puis ses mamelons, les agaçant du bout de la langue avant de les mordiller. Ne tenant plus sur ses jambes, Marie se rassit, ou plutôt s’effondra dans le fauteuil, et Florence s’agenouilla pour se positionner face à cette vulve humide qui palpitait de plaisir. Elle souffla légèrement dessus, arrachant un cri à Marie.
— Tu es trempée Marie... Combien de temps cela faisait-il que tu n’avais pas été dans cet état ?— Ooooh... Je... Je n’en sais rien...— Tu veux que je te lèche ?— Non... Oui ! C’est mal... Mais j’en ai trop envie...— Dis-le. Dis-le que tu veux que je te mange la chatte. Vas-y Marie, dis-le.— Non ! Je... Je ne peux pas...— Dis-le où je te laisse dans cet état !— Non ! S’il te plaît Florence...— Dis-le, ordonna cette dernière en continuant d’agacer par son souffle l’entrejambe de Marie.— Lèche... Lèche-moi s’il te plaît.— Non. Dis que tu veux que je te mange la chatte. Que je te broute le minou. Assume ton plaisir sinon je te laisse comme ça !— Mange-moi... gémit Marie d’une voix tremblante. Mange-moi la... la chatte s’il te plaît.— A ton service ma chère !
Florence ouvrit grand la bouche et la ventousa contre la vulve dégoulinante de Marie qui frissonna. Mais lorsque Florence sortit sa langue et commença à jouer avec les lèvres, la cavité, le clitoris... Marie ne put s’empêcher de pousser un cri de plaisir et de surprise. Florence lui faisait découvrir d’inédites sensations et elle ne pouvait contrôler son corps qui s’abandonnait à ce plaisir nouveau.
Pour Emeline, le spectacle était absolument fascinant. Sa mère, entièrement nue, avait passé ses jambes par-dessus les accoudoirs du fauteuil et Florence était à genoux, la tête entre ses cuisses, mettant tout son art du cunnilingus en pratique pour faire jouir cette femme qui découvrait enfin le sens du mot « plaisir ». Tout le corps de Marie convulsait et elle poussait de petits cris alors qu’elle sentait la langue et les doigts de Florence s’insinuer en elle. Enfin, ce fut l’orgasme, ravageur et libérateur. Tout le corps de Marie s’arqua et elle poussa un long cri de jouissance, plaquant la tête de Florence contre son vagin. Elle fut prise de convulsions et ses yeux s’écarquillèrent alors que tout son corps était parcouru par une véritable tempête. Son cri se bloqua dans sa gorge et elle agrippa les accoudoirs pour se maintenir sur le fauteuil alors que Florence passait quelques derniers coups de langue pour prolonger cet orgasme destructeur.
— Alors ? demanda-t-elle à la femme alanguie dans le fauteuil.— C’est... C’était... Divin... haleta Marie.— Et surtout pas fini...
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