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L'amie de Maman

Chapitre 15

un amour de mère - épilogue

Inceste
Florence fut réveillée le lendemain matin par des coups frappés à sa porte. Elle se leva et enfila un peignoir pour aller ouvrir à l’importun qui osait la déranger à cette heure si matinale. C’était Marie.   -Je… J’en veux encore… gémit la mère d’Emeline sur le pallier, les cheveux en bataille, les yeux rougis par le manque de sommeil. Qu’est-ce que vous m’avez fait ? J’ai sans cesse le souvenir de ce que vous m’avez fait subir hier qui me revient et je… -Entre, l’interrompit Florence. Viens prendre un café pour commencer.  Les deux femmes s’installèrent dans la cuisine et Florence servit deux tasses d’un café corsé pour s’éclaircir l’esprit.   -Alors, dis-moi Marie. Vas-y doucement. -Je… Quand je suis partie hier, je suis allé à l’hôtel et j’ai pris une longue douche pour me laver de ce… de ce que nous avons fait. Mais rien que le fait de voir mon corps nu… Ça me faisait tout drôle et je repensais sans cesse à ton corps, à celui d’Emeline… Et aux plaisirs que vous m’avez donné. Je me suis… masturbée sous la douche en repensant à vous… Et plusieurs fois encore dans la nuit car il m’a été impossible de trouver le sommeil. Et pour ne rien arranger, mon connard de mari m’a appelé hier soir pour me reprocher je ne sais quoi encore… C’est là que j’ai compris que je ne pouvais plus vivre avec lui, il me rend malheureuse. Alors qu’Emeline et toi… En à peine un après-midi, vous m’avez prodigué plus de joie que ces vingt dernières années.  La voix de Marie se brisa et elle réprima un sanglot.   -Je suis perdu Florence. Je ne sais pas quoi faire. Vous avez foutu en l’air tout ce en quoi je croyais mais j’en veux encore !  Une paire de bras enlaça soudainement Marie par derrière.   -On t’a plutôt ouvert les yeux maman, dit Emeline en embrassant tendrement sa génitrice. Faisons l’amour encore. Ça ira mieux après tu verras. -Ta fille à raison Marie. Nous t’avons fait découvrir le plaisir, l’amour, le véritable sexe… A toi d’assumer désormais. Fais l’amour avec ta fille et lorsque tu jouiras à nouveau, tu sauras quoi faire.  Emeline embrassa à nouveau sa mère avec de petits baisers sur tout le visage, murmurant de petits mots doux en même temps.   -Laisse-toi aller maman. Je vais à nouveau te faire jouir. Je t’aime. -Oh Emeline ! Mon bébé, ma petite fille ! Oui ! Fais-moi à nouveau jouir ! Enfonce à nouveau ta langue dans ma chatte !  Sentant sa mère à fleur de peau, Emeline ne perdit pas de temps et se glissa entre ses jambes. Elle décala simplement la culotte de sa mère et huma avec plaisir les effluves qui s’échappaient du vagin déjà humide d’excitation.
   -Oh ouiiiii ! cria Marie en sentant la langue agile de sa fille venir agacer son clitoris et lécher toute la surface de l’entrejambe.  Marie plaqua ses mains sur le crâne de sa fille et la força à continuer cette délicieuse pratique, même si Emeline n’avait pas besoin de cette motivation supplémentaire tant elle adorait manger une chatte. Sous la langue habile de sa fille, Marie ne tarda pas à jouir à nouveau, exprimant bruyamment son plaisir sous le regard amusé de Florence qui se caressait doucement en observant ce délicieux spectacle.   -Ooooh, soupira Marie une fois l’orgasme passé. Que c’est bon ! Comment ai-je pu vivre sans ça aussi longtemps ? -Fais attention, on y prend vite goût. Emeline, je suis ravie que tu aies satisfait ta mère mais je dois cependant te rappeler à tes obligations matinales ! -Oh pardon maman, dit la jeune fille en se précipitant vers Florence et en s’agenouillant. -Je vais devoir te punir vilaine fille. Qu’en penses-tu ? -Oui, punis-moi maman, gémit Emeline en baissant les yeux. J’ai manqué à mes devoirs, je suis une vilaine enfant qu’il faut corriger ! -Euuh qu’est-ce qu’il se passe ? demanda Marie, perplexe. -Ta fille, ou plutôt ma fille… à l’obligation de me satisfaire dès mon réveil. Elle ne l’a pas fait aujourd’hui, elle sera donc punie. -Punie ? Comment ? -Tu verras. En attendant… Emeline, ouvre la bouche.  Agenouillée, la jeune fille s’exécuta, sachant très bien ce qui l’attendait. Florence ouvrit son peignoir et écarta ses lèvres vaginales, plaçant son entrejambe à deux centimètres à peine de la bouche grande ouverte d’Emeline.   -Bois ma petite chienne. Tu dois avoir soif après tous ces efforts.  Un fin jet d’urine s’échappa, atterrissant droit dans la bouche d’Emeline. Contrôlant son jet, Florence remplit la bouche de sa fille qui avala d’une goulée la pisse matinale de sa mère adoptive. Son autre mère, fascinée, s’était rapprochée et regardait avec attention sa fille, n’en revenant toujours pas de constater à quel point sa petite Emeline était devenue une petite salope dévergondée.   -Elle adore ça, commenta Florence avec un sourire pervers. Hein mon petit bébé ? Bois ton jus matinal ma chérie. Dommage que tu n’aies pas de papa également ici, il t’aurait assurément donné du bon lait chaud en plus…  Souriante, Emeline but proprement cette boisson spéciale, n’en laissant pas échapper une goutte au sol.    -Bravo mon bébé ! Maman est fière de toi. Dis-moi Marie… Tu n’aurais pas une petite envie également ? Je suis sûre que notre petite salope adorerait boire ton autre jus de chatte. -Euh… Et bien oui, j’ai une petite envie aussi… -Tu as entendu Emeline ? Double ration pour toi ce matin, tu es pourrie gâtée ma chérie !  Hésitante, Marie approcha sa chatte de sa fille mais Florence l’interrompit.   -Attends j’ai une idée. Elle s’est déjà désaltérée mais notre petit bébé doit également prendre une bonne douche ! Pisse là-dedans Marie, on va la nettoyer après !  Florence tendit une bassine à une Marie perplexe mais excitée qui urina dedans. C’était assurément plus qu’une petite envie car elle pissa longuement, remplissant de manière conséquente le récipient. -Oh chouette ! s’enthousiasma Florence. On va pouvoir bien récurer notre petit tâcheron !  Elle prit une grosse éponge qu’elle imbiba copieusement d’urine.   -Prête ma chérie ?  -Oui maman, lave-moi je t’en supplie ! répondit une Emeline, follement excitée par le spectacle de l’éponge dégoulinante de la pisse de sa mère.  Florence écrasa l’éponge non essorée sur son visage, frottant partout, lustrant le visage d’Emeline de l’urine maternelle.   -A toi Marie ! Lave-lui les cheveux maintenant !  Marie, désormais bien chauffée et désinhibée, imbiba à nouveau l’éponge, savourant le contact chaud de son urine sur sa peau, et écrasa à nouveau l’éponge sur le crâne de sa fille, l’essorant pour bien faire dégouliner le liquide sur la tête et les cheveux d’Emeline. Marie eut une sensation étrange, se revoyant laver avec tendresse sa fille alors qu’elle était un bébé, et voilà que désormais, elle refaisait les mêmes gestes mais d’une façon tellement plus perverse. Et étrangement, au lieu de se sentir mal à l’aise, Marie n’en fut que plus excitée et attendrie, commençant à comprendre la relation maternelle qui avait germée entre Florence et sa fille. Il est vrai que le spectacle de la jeune fille alanguie et souriante, le visage ruisselant et les cheveux humides d’urine, avait de quoi attendrir le cœur d’une mère qui voyait son enfant heureuse.   -Allez, finissons sa toilette, dit Florence, inconsciente des émois de Marie.  Elle prit Emeline par les cheveux et lui plaqua la tête dans la bassine, noyant son visage dans l’urine et plongeant ses cheveux pour bien les tremper de la pisse chaude de Marie.   -Voilà petite chienne ! Désormais tu seras bien propre ! Qu’en dis-tu Marie ? -Je… J’adore… C’est si délicieusement pervers ! -Et ce n’est que le début… Fais-tes propres expériences, ne te limite pas, amuse-toi ! Baise ! Avec des hommes, des femmes, tout ce que tu veux ! Profite de la vie !  Sentant Emeline s’agiter, Florence relâcha la pression et Emeline put se redresser pour aspirer de grandes goulées d’air.   -Que tu es belle, murmura Marie à sa fille, en voyant sa pisse lui dégouliner dessus en cascade. -Merci maman ! dit la jeune fille souriante.  Les deux femmes s’embrassèrent, Emeline faisant goûter à sa mère le goût de l’urine à travers son haleine. Ce fut un baiser passionné que Florence interrompit en se saisissant de Marie et d’Emeline par leurs cheveux.   -Maintenant, faites-moi jouir mes petites chiennes !  Elle s’assit sur une chaise et ouvrit grand les jambes, attendant de se faire brouter. Emeline, en fille dévouée, se jeta sur le fruit juteux qu’elle adorait tant. Son ardeur à la tâche amusa Florence qui la repoussa gentiment.   -Doucement ma chérie, laisse-en un peu à notre invitée. Viens Marie. Viens me déguster, goûte donc à ta première chatte.  La mère d’Emeline s’agenouilla aux côtés de sa fille et doucement, approcha sa bouche du vagin de Florence.   -Guide là Emeline s’il te plaît. -Vas-y maman, encouragea la jeune fille. Pose ta bouche dessus, embrasse-lui la chatte. Respire bien son odeur intime.  Marie s’exécuta, suivant les conseils de sa fille pour effectuer son premier cunnilingus. Passé l’étrangeté du geste et du goût sur les premiers instants, Marie découvrit qu’elle aimait ça, elle aimait sentir la chaleur humide de la cavité vaginale, elle aimait agacer le clitoris de sa langue, elle aimait lécher avec ardeur et aspirer ce jus avec ardeur. Ces gestes n’étaient certes pas aussi précis que ceux de Florence ou Emeline mais elle mit du cœur à l’ouvrage et grâce aux conseils de sa fille, elle parvint à faire jouir Florence qui resserra au moment de la jouissance ses cuisses autour de Marie, l’emprisonnant dans ce délicieux écrin de chair.   -Aaaaah ! Je vois que la mère est une aussi grande amatrice de chatte que sa fille ! Les chiens ne font vraiment pas des chats à ce que je constate.                   Et ainsi, la journée se poursuivit dans un trio déchaîné de sensualité, de cris de jouissance, de clapotis de mouille, d’aspiration de clitoris, de doigtage frénétique… Ce ne fut qu’en fin d’après-midi que les trois femmes rendirent les armes, leurs corps emmêlés, épuisés par leurs innombrables jouissances… Le tableau était saisissant. Trois femmes nues, allongées, repues de jouissance. Une fille et ses deux mamans. Un amour puissant et une soif de plaisir inextinguible. A cet instant, Emeline était la plus heureuse fille du monde et sa nouvelle vie de plaisir ne faisait que commencer !  
 Fin du premier arc narratif. Merci à tous d’avoir suivi cette histoire jusque-là.La suite des aventures d’Emeline arrivera… un jour !
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