Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 80 J'aime
  • 0 Commentaire

Aminata, esclave au temps de la colonie

Chapitre 3

Sur le pont

Avec plusieurs hommes
Alors que le navire faisait voile vers l’Europe depuis quelques semaines maintenant. Aminata commençait à s’ennuyer dans sa cellule. Elle n’était pas habituée à être enfermée. Elle avait besoin de pouvoir aller et venir à sa guise, d’être libre. Désormais esclave d’Arthur, elle devait se plier aux exigences de son propriétaire. Cela elle l’avait bien compris.
La cellule où elle se trouvait avait des barreaux très peu espacées par rapport à celles des autres esclaves. Et en plus elle n’était pas verrouillée. Au cours de la nuit, qui s’est avérée très longue, l’africaine a eu plusieurs fois l’idée de tenter une évasion. Mais elle se posait une question. Qu’allait-elle faire une fois sorti de la cellule? Et si elle se faisait rattraper sur le pont? Comment allait-elle faire pour rejoindre la terre ferme?
Perdu dans ses pensées, elle ne remarqua pas le regard d’Arthur, debout en haut des marches qui menaient à la cale.
— N’y penses même pas.
Surprise, Aminata leva les yeux vers lui. Il portait une chemise blanche à demie boutonnée. Des poils hirsutes se dressaient sur sa poitrine.
— Penser à quoi? Maitre.
Arthur sourit.
— Tu cherchais bien un moyen de t’évader? Non?
— Non maître, répondit-elle en baissant les yeux.
— Alors tant mieux, car demain tu seras présentée à l’équipage. Nous devons te préparer pour le roi.
— Comme vous voulez, maître.
— Je vois que tu es devenue docile, j’ai eu ai raison. Avec de l’entrainement tu pourrais devenir la plus rouée des catins. On passera te prendre demain matin. Le présentation se fera sur le pont, repose toi. Tu auras besoin de toutes tes forces.
En prononçant cette dernière phrase, Arthur sourit. Aminata sut dès lors que la journée de demain allait être inoubliable.

***Quelques rayons de soleil vinrent caresser le visage de la belle africaine. Elle se réveilla paisiblement, sereine, confiante pour la suite des évènements. D’ailleurs, après qu’elle se soit faite tringler comme une chienne par Diallo, elle ressentait un manque. Ce vide ne pouvait être comblé que par une bite. Et Julien avait parlé de présentation. Cela laissait sous-entendre qu’elle serait plus que satisfaite.
Sa longue attente fût veine, le soleil était à son zénith et toujours pas de traces d’Arthur ni de Louis. Elle commençait à perdre patience. Le soleil et la captivité aidant, elle se voyait assise sur Diallo, sa longue bite allait et venait en elle. Elle ne put se retenir et commença à se frotter le clitoris.
Le plaisir montait inévitablement, elle sentait malgré tout que celà n’était pas assez. Elle fit coulisser son majeur à l’intérieur de sa chatte et poussa un léger gémissement. Elle commença doucement les aller-retours. Elle adorait cette divine sensation. Ce doigt qui lui procurait des vagues de plaisir tout en se frottant contre les parois intimes de sa moule.
— Ne refais plus jamais ça!
Surprise, Aminata retira aussitôt son doigt. En face d’elle se trouvait Arthur, complètement nu.
— Tu n’as pas le droit de te toucher sans notre permission, maintenant lève toi. Et approche.
Elle obéït, honteuse de s’être fait surprendre. Arthur gravit les marches, suivi de l’esclave.
Sur le pont se trouvait une douzaine de matelots et quelques colosses noirs. Tout le monde était nu, le sexe au garde à vous après quelques minutes de branlette. À l’arrivée d’Aminata, des sourires se dessinèrent sur les visages de ces hommes. Elle savait ce qu’elle avait à faire.
Elle fût rapidement entourée et débarrassée des haillons qui lui servait de vêtements. Les matelots avaient été choisis à cause de la longueur de leurs bites, cela se voyait. Elle se mit à genoux et avança vers le premier d’entre eux. Elle saisit sa verge de la main droite et commença à le branler doucement tandis qu’une autre bite réclamait l’attention de sa main gauche.
Elle leur astiquait la hampe avec vigueur, comme si sa vie en dépendait. Les commentaires commencèrent à fuser.
— Qu’est ce qu’elle est experte... ça se voit qu’elle est douée...
Aminata chercher à ne pas le montrer, mais elle avait hâte de sentir une bite en elle. Elle voulait se faire défoncer dans les règles de l’art. Ses deux mains étant occupés, Arthur présenta son sexe devant la bouche de la voluptueuse africaine qui titilla son gland avec sa langue tout en veillant à continuer de branler les deux compères.
— Suce-moi.
Elle ouvrit sa bouche pour accueillir les 15 centimètres de chair de son maître. Arthur poussa un râle de plaisir et lui tint la cheveux afin de pouvoir lui dicter son rythme. Il commença à lui baiser la bouche de plus en plus rapidement. Des filets de bave sortaient de la bouche d’Aminata à chaque fois qu’il daignait retirer sa bite de son gosier.
— Ohh putain, la catin... à ce rythme je ne vais pas tarder à jouir... oh ouiiii... qu’est-ce qu’elle est bonne. Tu es la reine des suceuses.
Ayant hâte de se faire baiser, Aminata se laissait faire. Louis, debout derrière elle, entreprit de la doigter lorsqu’il se rendit compte qu’elle mouillait.
— Hé Arthur, vises un peu. Elle mouille, la salope.
Constatant les dires de son ami, il stoppa de lui baiser la bouche.
— Alors elle aime ça la coquine, on ne va plus la faire attendre.
Joignant le geste à la parole, il l’amena près d’une table. Elle se cambra, prête à accueillir son dard en elle. Sa moule était pleine de cyprine, mais au lieu de la baiser, Arthur entreprit de lui brouter le minou avec sa langue.
Aminata commença à gémir. Il accéléra les mouvements de sa langue sur son clitoris pendant qu’il lui insérait deux doigts dans la chatte pour la préparer. Elle hurla de plaisir.
— Hummm oui, maître, c’est trop bon. Hummm... oh ouiiii... j’aime çaaaaaaaa... continue... plus foooort...
Arthur ne se faisait pas prier et l’amena au bord de la jouissance. Il arrêta soudainement et la retourna de façon à ce qu’elle se retrouve en levrette, sa chatte et son cul offert et prête à être defoncée.
Arthur regarda ses 2 orifices avec satisfaction.
— Maintenant nous allons passer aux choses sérieuses...
À suivre
Diffuse en direct !
Regarder son live