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Amira et Orion, rencontre

Chapitre 2

Zoophilie
Après s’être aimés à la plage, la jeune fille et son chien retournèrent en ville pour se promener. Comme c’était un Dimanche après-midi, il y avait relativement peu de monde dehors. C’était un village de bord de mer, avec quelques terrasses et un joli parc aménagé comme une clairière, avec des arbres tout autour et une mare au milieu. Amira voulait y aller justement.En une heure de promenade, chacun reprit tranquillement ses esprits. Mais si d’habitude le fourreau d’Orion ne trahissait pas ce qu’il faisait à sa maîtresse, la nouvelle forme de son pénis, c’est-à-dire une grosse masse molle de trente centimètres, fit clairement remarquer ce qui avait pu se passer. Amira apparaissait maintenant comme ce qu’elle était: une petite cochonne en puissance, bien perverse, bien obsédée, et bien satisfaite à-travers des rapports sexuels malsains avec son chien lui-aussi bien pervers... Elle en était fière, mais n’était pas arrogante au point de se faire remarquer davantage. Ses parents devaient quand même ignorer quelques détails à-propos d’Orion...Plus d’un riverain regarda Orion avec effarement, et Amira entendit quelques remarques bien senties, du genre "je te l’avais bien dit!" ou "on pouvait s’en douter". Alors qu’elle trainait dans une rue, il sembla même à la jeune fille qu’un pari fut conclu avec un passage de monnaie. Impressionnée par la réputation qu’elle se découvrait, elle se sentit soudain chauffer de l’intérieur, et décida de presser le pas pour arriver plus vite au parc.Sur-place, elle s’assit sur la pelouse dégagée et mit Orion devant elle. Debout, le chien se laissa volontiers manipuler, et elle recommença de lui tripoter le sexe. Celui-ci était toujours rouge et flasque, mais elle savait quoi faire pour le rendre dur. En explorant la bite encore distendue de son chien, elle finit par glisser un doigt dans son urètre. Cela l’impressionnait. Comme Orion avait l’air d’apprécier cela, elle tira son vibromasseur de sa poche et le mit à la place de son doigt. Orion se mit alors à haleter et son sexe commença d’enfler. Dans un premier temps, il gonfla sans se développer, et cela eut pour effet de coincer le vibromasseur sur-place. Orion ne sentit que plus fort les intenses vibrations qu’il émettait, et ne résista pas à l’envie de se coucher dans l’herbe. Amira se pencha pour lécher la verge brûlante, et passa gentiment ses doigts dessus en contemplant sa croissance. Elle atteignit bientôt les cinquante centimètres habituels, mais poussa encore un petit peu, jusqu’à environ soixante. L’expérience extrême de la plage avait visiblement eu des effets secondaires tout-à-fait bénéfiques.— Oh mon amour! Gémit-elle. Regarde ça, ta bite a gagné dix centimètres. Elle a jamais été aussi grosse au naturel... Est-ce que tu veux bien me la mettre dans le cul comme ça?Sans attendre de réponse, elle se mit à quatre pattes et commença de mettre les doigts dans son anus. Sa rondelle habituée avait une grande élasticité, et en quelques secondes de manipulation, la jeune fille put mettre une main entière dans son rectum. Elle l’en retira après avoir lâché quelques soupirs, et appela:— Allez, mon bébé, c’est l’heure de satisfaire maman! Viens enfoncer ton pieu dans mon cul, je veux que tu me donnes un bel orgasme anal comme la dernière fois!Le chien obéit docilement et se plaça derrière elle. Il la ceintura avec les pattes et commença de pomper avec son bassin. D’un coup, sa verge dure tapa dans son bassin, et s’enfonça peu après dans sa rondelle.— Oh oui! Aah, c’est bon! S’écria Amira.Elle avait oublié son vibromasseur dans l’urètre du chien, et elle en ressentait maintenant les vibrations: c’est comme si le chien avait un pénis vibrant. Et il n’allait pas rencontrer de problème pour éjaculer, puisqu’elle lui avait copieusement séché les bourses deux heures auparavant. Ils étaient tranquilles, libres d’explorer leur érotisme bestial.Quand le bulbe pénien du chien les verrouilla, ils se calmèrent à l’unisson devant la perspective de rester unis comme cela pendant au-moins trente minutes. Amira appréciait beaucoup la sensation d’avoir le cul rempli de chien, et Orion avait pour immense satisfaction que c’était sa chair à lui qui occupait ce volume.Attachés l’un à l’autre, ils se sentaient seuls au monde, comme si tout leur appartenait et qu’ils pourraient faire la même chose n’importe-où. Ils le faisait souvent en-public, certes, mais jamais directement aux yeux de la foule. Cela ne les empêchait pas d’être découverts de temps en temps, et ils se fichaient pas mal de l’impression qu’ils pouvaient laisser. Une fois, quelqu’un était venu les prendre en photo, et Amira bien excitée sur le moment, avait gentiment pris la pose pour satisfaire le paparazzi lubrique. Cela ne leur était plus arrivé, et la plupart du temps, ils rencontraient simplement des promeneurs, et ceux-ci s’enfuyaient toujours en s’excusant.Après avoir copulé dans le parc de cette petite ville, les deux amoureux décidèrent de s’en aller, car il allait se faire tard et la jeune fille redoutait de dépasser le couvre-feu imposé par ses parents. Malheureusement, sur le chemin du retour la jeune fille constata que son chien possédait toujours une bite anormalement grande et suintante d’amour. Si ses parents la voyaient dans cet état, ils pourraient comprendre ce qui se passait.Cela ne dérangeait pas la jeune fille de se faire découvrir à la plage ou dans ce village, car ses parents n’y allaient jamais. Pour Amira, c’était un peu le territoire de son exhibitionnisme, et le fait de s’adonner à de telles activités faisait partie de son érotisme.Quand elle arriva chez elle, elle contourna la propriété pour arriver dans le jardin par-derrière et attacher Orion dans sa niche sans être remarquée. Ensuite elle rebroussa chemin et se présenta à la maison frontalement, limite en attirant l’attention. Elle entra chez elle, salua ses parents, et resta près de la cuisine en attendant l’heure de manger. Enfant unique, elle subissait une attention étroite qui menaçait la relation qu’elle avait avec son chien. Mais cette situation avait aussi favorisé le talent de la jeune fille quand il s’agissait d’être discrète et de ne laisser aucune trace.Après avoir mangé, elle monta dans sa chambre pour mettre sa chemise de nuit, et passa vite des bas résilles et une belle paire de sandales à talons hauts pour redescendre. Son apparence aguicheuse lui coûta une remarque de sa mère, mais elle s’excusa en disant qu’elle avait oublié de nourrir Orion. Elle comptait le faire bien sûr, mais voulait aussi lui montrer ses belles jambes dans ces bas et ces sandales sexy. Toute excitée, elle partit dans le jardin et se mit à-l’abri, derrière la niche du chien. Celui-ci arriva immédiatement vers elle et regarda ses chaussures. Elle savait que le chien adorait cela, et elle guetta son sexe.— Tu vas pas bander pour ça, si? Demanda-t-elle. Tu veux lécher mes jambes? Allez, essaie, on va avoir notre compte tous les deux...Le chien s’exécuta et commença tout de suite de promener sa langue sur les jambes de sa maitresses, depuis les chevilles jusqu’aux cuisses. Arrivé à la bonne hauteur, il entreprit de satisfaire sa jolie maitresse par le cunilingus, et lui lécha lentement le clitoris. Excitée, la jeune fille répondit en attrapant ses petites lèvres entre les doigts et en tirant pour les écarter. Les chairs internes de son vagin étaient ainsi tout-à-fait exposées à la langue douce et chaude de son amant, qui mit un point d’honneur à y appliquer ses caresses les plus satisfaisantes. En quelques minutes il fit soupirer, haleter, gémir, puis geindre langoureusement son amoureuse humaine, avant de la laisser pour compte. Il savait que quand elle allait reprendre ses esprits, les sévices sexuels dont elle avait le secret allaient s’abattre sur son pénis canin, et déclencher chez lui l’état de satisfaction dans lequel il adorait être le plus longtemps possible.Amira s’était adossée a la niche pour reprendre son souffle, et s’était laissée descendre jusqu’à poser les fesses sur ses talons. Après quelques minutes elle releva la tête, puis se remit debout sans regarder derrière elle, se défit de sa chemise de nuit pour exposer son corps, et délaça une de ses sandales à talon. Elle se débarrassa d’un de ses bas en résille sous le regard attentif et impatient de son chien, et remit sa sandale. Alors elle s’agenouilla près du chien et constata en un toucher qu’il était déjà en semi-érection.— On va commencer tout de suite. Confia-t-elle joyeusement.Alors elle roula son bas dans ses mains, comme avant de l’enfiler sur une de ses jambes, mais c’est sur la verge de son partenaire qu’elle le plaça. Cela excita Orion et son érection se remit à grandir. Il avait la bite plus épaisse que les mollets de son amante, si bien que le bas s’avéra trop étroit pour lui. Son vît se retrouva alors saucissonné comme un boudin dans le filet noir, formant un réseau de bourrelets en forme de losanges. Impressionnée, Amira tomba à-genoux et caressa la verge excitante avec les mains, avant d’y mettre la bouche. Le chien éjaculait un petit peu, car sa réserve de jus avait commencé à se reformer, et elle en profita pour s’en mettre sous la langue.Amira avait un vagin chaleureux à-souhaits, des seins fermes et magnifiques, un anus de prostituée, mais son plus grand talent était la fellation. Sa langue de velours savait caresser la verge d’un chien pour lui arracher orgasme sur orgasme, et le bienheureux Orion, élu de son coeur et de son désir, en avait l’exclusivité. Le dogue allemand savait qu’il ferait des jaloux si on apprenait que l’entraînement nécessaire pour que sa maitresse acquière un pareil talent, c’est aussi lui qui en avait profité, des dizaines et des centaines de fois. Elle savait ce qu’elle faisait, et elle le faisait divinement bien.Alors que le chien jouissait paisiblement pendant que sa petite maitresse lui astiquait la verge en aspirant son extrémité à la force de ses lèvres étroites, l’herbe du sol frémit sous le pas d’une présence inattendue, et la mère de la jeune fille s’écria soudain:— Amira? Mais qu’est-ce que tu fais, t’es malade?
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