Ce soir je change encore d’appartement pour aller dans celui d’une amie comme à chaque fois que sa colocataire n’est pas là ; je viens me taper l’incruste, ce soir n’échappe pas à la règle. Je sors de cours et vais manger avec elle, il est une heure, nous restons dans sa chambre toute l’après-midi, à faire tout un tas de trucs ; je réfléchis également à mon anniversaire, mes dix-neuf ans arrivent à grands pas, elle en a déjà vingt. J’ai juste été chercher mon oreiller pour m’installer comme il faut pour ne pas avoir mal au dos. Le soir nous sortons manger avec notre bande de potes, nous choisissons tacos, cela faisait longtemps, nous retournons à notre résidence et comme tous les soirs, nous allons dans nos apparts chercher de la bouffe, ses clopes et son briquet avant d’aller dans l’appart de notre pote faire une ou deux parties de poker. Après ça, je l’accompagne fumer à vingt heures et demie, elle fume tranquillement, je ne peux m’empêcher de lui jeter quelques regards, une fois sa cigarette finie, nous retournons dans l’appart de notre ami. Ils continuent à jouer jusqu’à vingt et une heures, moment où nous décidons de retourner dans nos apparts respectifs pour faire nos devoirs avant d’aller nous coucher. Je vais chercher quelques affaires dont j’ai besoin pour prendre ma douche, m’habiller, et mes cours de demain. Je ramène donc tout ça dans son appart en faisant plusieurs aller-retour. Elle en a profité pour écarter les deux lits une personne qui lui servent de lit double pour m’en laisser un libre. Je me pose dessus pour deux jours. Nous discutons, elle et moi, de tout et rien, nous faisons nos devoirs et je la laisse aller à la douche. J’augmente le son de ma musique pour m’empêcher de penser, je ne veux penser à rien, juste me concentrer sur la musique qui me sert pour l’instant d’échappatoire. Je ne sais pas pourquoi, mais je trouve que ce soir elle prend plus de temps que d’habitude ; je sais qu’elle devait faire ses cheveux, mais j’ai eu le temps de regarder une vidéo de plus de vingt minutes et d’écouter presque une petite dizaine de chansons... Ça commence à devenir long, j’ai peur qu’elle se soit fait mal et que je n’ai pas entendu à cause du son presque au maximum dans mes oreilles. Elle m’envoie alors un snap, comme souvent quand nous allons à la douche, disant qu’elle s’est bien amusée. Je comprends donc mieux pourquoi elle a pris tant de temps. Je continue d’écouter ma musique ; au bout de deux nouvelles chansons, elle finit par sortir de la salle de bain et s’asseoir sur son lit. Je prends mes affaires, éteins la grande lumière à sa demande et vais à mon tour à la douche ; je lance une nouvelle fois ma musique et rentre dans la cabine de douche sans fermer la porte comme à mon habitude lorsque je squatte son appartement. Au bout de cinq minutes, j’entends la porte s’ouvrir, ce qui me fait tourner le dos à celle-ci malgré la vitre plus ou moins faite pour ne rien voir. Elle est là, je le sais. Continue, fais comme si j’étais pas là. Hum... Je continue de prendre ma douche, ce n’est pas qu’elle soit là qui me dérange, ce qu’il me dérange le plus actuellement c’est de devoir me raser alors que je sais qu’elle va l’entendre. J’ai de gros problèmes en ce qui concerne les bruits qui peuvent émaner de ma personne. Je me rase quand même en essayant de faire abstraction du fait qu’elle est aussi dans la salle de bain. N’empêche je peux faire plein de trucs là. Comme ? Te piquer ta serviette ou tes fringues. J’avoue.
Je continue ma douche tranquillement en sachant qu’elle est là. Une fois que j’ai fini et que je m’apprête à sortir. Tu veux que je me tourne ? Oui s’il te plaît. Elle se tourne, j’entrouvre la porte et regarde si ma serviette est à sa place avant de constater qu’elle n’y est plus. Putain elle est où ? Tu cherches ta serviette peut-être ? Oui s’il te plaît. Faut que tu viennes la chercher. T’es sérieuse...? Très, après faut que je me retourne pour te la rendre. J’ai compris vas-y. Je suis toujours dans la cabine de douche, je dois aller chercher ma serviette bon... Elle me la tend ouverte, si je me jette dedans ça passe non ? Je ne sais pas, au pire j’y vais en reculant... Je finis par sortir dos à elle et à marcher à reculons pour aller récupérer ma serviette, je la récupère rapidement et m’enroule dedans. Merci. De rien. Tu fumes. Hein, ha oui j’aime bien prendre des douches trop chaudes. Je remets ma serviette correctement et comme d’habitude regarde ma tête dans le miroir. Je me sèche plus ou moins tandis qu’elle essaye de tirer sur quelques endroits de ma serviette pour me la faire lâcher. Si je tire plus fort elle tombe, on est d’accord ? Oui. Tu peux si tu veux. Je lui ai dit ça en regardant mon pull.Elle tire d’un coup sec, ce qui fait que je me retrouve de nouveau nue, je me tourne dos à elle et enfile rapidement mon pull. Putain je colle de partout. Normal t’es encore mouillée. Merci j’avais remarqué. J’aime pas ça, en plus je colle de partout... Elle regarde mes affaires au sol d’une manière particulière, je me demande à quoi elle pense. Elle vient d’enfiler son sweat et uniquement son sweat, elle ne va pas rester comme ça. Dis-moi, je peux embarquer tes affaires...? Oui, vas-y. Merci c’est gentil... Quoi, attends, t’as dit quoi ?! Oui ? Parce que tu vas rien... fin... ? Oui je vais juste rester en sweat. Ah bah d’accord... Je prends donc ses affaires et sors de la salle de bain avec, je vais les poser sur sa chaise avant de me coucher dans mon lit. Je la vois sortir de la salle de bain avec mes affaires, je la laisse faire, j’ai pour habitude de dormir sans sous-vêtement, question de confort. Je prends mon téléphone et ouvre snap, je lui envoie une photo avec marqué :"J’ai pas pu faire joujou est-ce que ça te dérange si je fais ça dans mon lit, il y aura plus de place ?" Je reçois pour toute réponse : "Tu crois vraiment que ça va me déranger ?— J’avoue, j’avoue, mais on ne sait jamais, je préfère demander." Je sors de la salle de bain après avoir fini de me sécher les cheveux. Je vais sur mon lit et m’y assois, les jambes repliées sous moi, mes fesses sur mes pieds. Je regarde mon pc en me demandant si je le garde ou non ; après cinq longues minutes de réflexion, je décide de le ranger, car il me gêne plus qu’il ne m’aide. Je le pose donc à l’autre bout du lit avant de positionner mon oreiller comme il le faut pour bien me caler. Elle m’envoie un snap que j’ouvre l’immédiatement:[SMS]>T’as commencé ?<Non pas encore j’aime pas faire du bruit.>Mais vas y je m’en fiche.>Monte ta musique et profite. Je retire mon pull, me cale bien contre mon oreiller et sous mes draps. Je commence doucement à me toucher. Nous continuons à parler enfin plutôt à débattre sur mon problème avec le bruit. Elle finit par gagner.<Je mets mes deux écouteurs, je vais monter le son comme ça je ne m’entendrai pas.>D’accord, lâche-toi te retiens pas.<Je vais essayer. Je me perds dans mes pensées et ne réfléchis plus à rien d’autre que mes doigts en moi ainsi qu’à elle qui doit m’écouter. J’essaye de ne pas faire de bruit pour commencer, je commence à en avoir marre et je finis par laisser tomber cette idée. Je laisse échapper les bruits de ma mouille et mes halètements. Je fatigue rapidement et vers 1h20 lui dis queb: <Je ne vais pas tarder à m’arrêter j’en peux plus...>Continue je t’en supplie.<Savoir que t’es à côté ne m’aide pas des masses tu vois ou plutôt m’aide trop...>Encore un peu, lâche toi tu te retiens trop...<Je commence à plus être assez mouillée et je veux pas m’arrêter pour me lécher les doigts.>Tu devrais utiliser tes deux mains.>Ouais je sais mais j’ai pas envie de te poser.<Sans même me toucher j’arrive à mouiller comme une salope putain je le sens...<Tu me fais kiffer, tu le sais ça ?>Je pensais pas à ce point là.<Je te jure que si putain...<Tu me donnes trop envie putain T^T<J’ai trop envie de te rejoindre.>Tu sais très bien ce que j’en pense...<Oui je sais.>Rejoins moi...<Je peux pas sinon j’arriverai pas à me contrôler...>Pas grave, je suis déjà en train de perdre la tête.>Je préférerais avoir tes doigts a la place des miens.<C’est bon, me tente pas...>Je vais finir par venir te chercher, tu vas voir.<C’est ça, on y croit. J’entends un bruit de sommier, pitié dites-moi qu’elle s’est levée. Je commence à avoir un peu peur, je tourne la tête et vois qu’elle est assise sur son matelas les pieds par terre de mon côté. Elle se lève et vient s’asseoir sur mon matelas. Je ne sais pas trop quoi faire, j’avoue que je flippe un peu... Je suis là... Oui j’ai entendu. Je retire mes doigts de leur orifice et m’assois. T’es sûre de toi ? Je crois que je n’ai jamais été aussi sûre de quelque chose depuis que je suis née. Abuse. Juste un peu. Je ne la vois que très légèrement vu que la lumière est éteinte, mais j’arrive à la distinguer, j’ai envie de l’embrasser. Je n’arrête pas de la fixer inconsciemment, je ne le fais pas exprès... Tu veux bien arrêter de me fixer... Excuse-moi... Mais c’est compliqué de ne pas te fixer alors que tu es là et que si tu as bougé je sais que ce n’est pas pour rien. C’est vrai je devrais peut-être retourner me coucher, il est pas trop tard pour arrêter... C’est la dernière chose dont j’ai envie maintenant. Je capte son regard et nos yeux ne se lâchent plus.Je me rapproche doucement et viens l’embrasser, elle me répond avec une envie que je sens dominatrice. J’aime ça. Je me laisse dominer par son baiser. Elle m’allonge doucement. Je l’allonge sentir son corps chaud, si chaud sous mes doigts qui viennent se balader sur celui-ci, dépossédé de tout vêtement. Je continue de l’embrasser, je la sens se détendre au fur et à mesure. Je pose ma main sur sa hanche et la glisse entre ses jambes, je remonte jusqu’à son trou où j’y insère deux doigts sans problème. Vas-y, tes doigts sont tout fins. Je suis censée comprendre quoi, là dedans. J’entame des va-et-vient entre ses lèvres. Je la sens se cambrer pour chercher le contact de mes doigts. Plus de doigts... D’accord. J’entre un troisième doigt suivi rapidement d’un quatrième. Elle lâche un sublime gémissement entre quelques halètements. Mes mains sont vraiment plus petites que les siennes, je me demande si je peux essayer ça... Dis-moi, je peux tester quelque chose ? Je t’en prie, fais ce que tu veux, c’est déjà tellement bon... Je serais toi, je parlerais pas trop vite... Je sors doucement tous mes doigts et ferme le poing. Je l’enduis de ma salive et essaye de le rentrer doucement en elle, je me dis que ça peut fonctionner vu la taille de ma main. Et j’ai raison. Je lui fiste doucement sa chatte de salope qui dégouline de mouille. Je ne pensais pas que ça passerait si bien, je l’entends gémir de plus belle et viens l’embrasser pour la faire taire, les murs de l’appart ne sont pas épais et je ne préfère pas que l’on nous rappelle à l’ordre pour ça. J’avale ces gémissements et continue quelques minutes avant de retirer mon poing empli de mouille. Je la sens commencer à parcourir mon corps avec ses mains, elle soulève mon sweat et me le retire lentement, je sais qu’elle m’observe même si nous sommes dans le noir, je sais que son regard est posé sur moi. Je rougis. Je la regarde, l’admire, je ne peux qu’admirer ses formes malgré l’obscurité, je peux distinguer sa silhouette. Je pose mes mains de chaque côté de ses hanches et les remonte le long de ses côtes jusqu’à ses seins, je m’y arrête et commence à jouer avec, je ne m’y attarde pas plus que ça, car je sais que ce n’est pas ce qu’elle préfère. Je descends mes mains jusqu’à l’élastique de son jogging, je passe doucement ma main à l’intérieur. Je rencontre l’élastique de son caleçon. J’attends une réaction de sa part pour me dire ou non si je peux continuer. Qu’est-ce que t’attends ? Oh, je vois madame se rebelle. Je n’attends plus, sachant que je peux, je passe alors ma main sous toutes les couches de tissu sans une once de doute et viens titiller son clitoris sans attendre. Notre position n’est pas la plus simple ni la plus agréable pour nous deux. Je décide alors de la basculer sur le côté, dos à moi, je lui retire ses derniers vêtements et la colle à moi. Je reprends où j’en étais en posant ma main sur sa cuisse, je viens poser sa jambe sur la mienne pour que j’ai un meilleur accès et passe ma main sur tout l’intérieur de sa cuisse jusqu’à arriver à sa chatte. Je commence à titiller son clitoris. C’est tout ce que tu sais faire ? J’ai horreur qu’on me cherche comme ça et je sais qu’elle adore provoquer, ça risque d’être chaud. Tu vas voir ce dont je suis capable. Je rentre un doigt en elle et commence directement à faire des aller-retour en essayant de rapidement trouver son point G. J’en rentre un deuxième, je sens qu’elle mouille sur mes doigts, c’est putain d’agréable. Je continue mes aller-retour, elle essaye de ne pas gémir. Arrête de te cacher, d’essayer de faire le dur, ça sert à rien, laisse tomber toutes ces barrières. J’entre délicatement un troisième doigt et continue de marteler son point G avec mes doigts, elle lâche prise et finit par lâcher des gémissements non contrôlés. Je tourne sa tête dans ma direction pour cette fois-ci l’embrasser à pleine bouche avec une envie folle de lui faire passer tout mon ressenti de cette nuit. Je continue sur cette lancée jusqu’au moment où je sans qu’elle n’est pas loin de finir. Je retire donc mes doigts, elle râle, c’est mignon. Je la cale à ma place et viens me caler entre ses jambes pour reprendre ce que j’y faisais tout en la léchant avec ardeur jusqu’à ce qu’elle finisse par jouir sur mon visage. Je retire doucement mes doigts, la lèche et la pénètre avec ma langue avant de la laisser se remettre de son orgasme tranquillement. Je viens l’embrasser rapidement avant de lui chuchoter. Je vais à la douche, remets-toi doucement. Je pars donc prendre une douche rapide, j’ai bien fait de m’attacher les cheveux, pas besoin de les relaver. Je me lave rapidement le corps et sors de la douche au moment où elle y arrive encore légèrement tremblante. Ça va aller ? Oui, ne t’en fais pas. D’accord je reste là si t’as besoin. Je fume juste avant. D’accord. J’ouvre la petite fenêtre et elle met le tapis pour éviter que l’odeur ne change de pièce.Elle prend son temps, fume, va à la douche et sort tranquillement.Nous finissons par aller dormir toutes les deux dans son lit l’une dans les bras de l’autre, le mien méritant un petit nettoyage.
