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L’amnésique (adoucit les mœurs)

Chapitre 5

Erotique
À peine une demi-heure plus tard, c’est au volant d’un sublime cabriolet Bentley que ma belle inconnue m’emmène. À peine la grille de l’hôpital psychiatrique franchie, celle-ci s’adresse à moi. Elle parle à voix basse, comme si elle craignait d’être entendue.
— Autant vous le dire tout de suite, Monsieur, vous n’êtes pas mon mari. Je vous assure sincèrement que j’ai cru le reconnaître lorsque j’ai aperçu votre portait à la télévision, mais vous n’êtes pas lui.— Ah ? Et dans ce cas, pourquoi avez-vous prétendu le contraire ?— Parce que votre physique fait peut-être de vous un homme providentiel. Cela fait bientôt dix ans que mon mari a disparu, et si vous acceptez de vous faire passer pour lui, je vous devrai une fière chandelle. Et vous n’aurez pas affaire à une ingrate.
Que veut-elle dire, cette chère Marie-Charlotte ? Qu’a-t-elle à m’offrir : son cul, ou son pognon ? Parce que, quitte à paraître prétentieux, je sais exactement comment me procurer l’un et l’autre.
— Et c’est légal, votre truc ?— Ce n’est pas aussi simple que cela. Attendez que nous soyons arrivés, je vous donnerai tous les détails et, à ce moment, vous prendrez votre décision.— Et pourquoi pas tout de suite ?— Parce que c’est long, compliqué et délicat. Et que je m’en voudrais de tout foutre en l’air en commettant une erreur.
Vu sous cet angle, je ne vois pas bien ce que je pourrais trouver à redire. Par contre, je remarque le soudain changement de son registre de langage. Je me risque :
— Je m’en voudrais de vous offenser, mais il me semble que nous n’ayez pas toujours été une grande dame...
À ma grande surprise, elle sourit.
— En effet, nous sommes issus du même monde.— En êtes-vous bien certaine ? Je vous rappelle que moi-même, je n’en sais rien.— Quasiment... Dans les temps reculés où je ne portais pas de vison, l’existence s’est chargée de m’apprendre à juger un homme du premier coup d’œil et, croyez-moi, je fais rarement fausse route.
Je ne saurais expliquer pourquoi, mais j’ai bien envie de la croire.
— Et Montrant ?— Une vieille connaissance, hélas, qui remonte d’ailleurs à cette époque. Et d’ailleurs, quand on parle du loup...
Elle me fait discrètement signe de regarder dans le rétroviseur.
— ... il me semble que nous ayons de la compagnie.
La petite route que nous empruntons depuis quelques kilomètres est sinueuse à souhait, mais malgré tout, il m’est effectivement facile de repérer le véhicule en question, une Twingo blanche.
— Qui est-ce ?— Je ne sais pas, mais cela ressemble fort à du Montrant. Nous allons nous en assurer.— Ah ? Et vous comptez faire quoi ?— Oh, c’est très simple... Nous allons nous arrêter, et vous allez me baiser dans la voiture.
Si tous les hommes politiques de tous bords cessaient soudain de raconter des conneries, j’en serais moins surpris.
— Pardon ?— Vous m’avez très bien compris... Je suis votre femme, vous êtes mon mari, cela fait dix ans que nous ne nous sommes pas vus, nous sommes encore presque jeunes et beaux ; que croyez-vous qu’un couple ferait dans une telle situation ?
Je flaire le coup pourri.
— Vous êtes bien certaine de ne pas me prendre pour un con ?
Elle reste totalement imperturbable.
— Absolument. Encore une fois, je ne vous connais pas, mais je sais déjà que vous ne faites pas partie de ces types qui réfléchissent avec leur bite.
Encore une fois, il y a un sacré contraste entre la bourgeoise qu’elle semble être et le vocabulaire qu’elle n’utilise d’ailleurs que par intermittence.
— Par contre, si vous ne me baisez pas, ces deux lascars vont continuer de nous coller au train comme des morpions à... euh... vous m’avez comprise.
Bah, que faire ? Elle est très consommable, Marie-Charlotte. Après tout, un petit coup de queue, cela n’engage à rien.
— C’est entendu. Arrêtez-vous.
Je n’ai pas le temps de finir ma phrase que sans prévenir et surtout sans ralentir, Marie-Charlotte vient de s’engouffrer dans un chemin creux. La lourde voiture n’en finit pas de faire des soubresauts sur les nids de poule... Enfin, nous nous arrêtons ; et sans attendre, la conductrice déboucle sa ceinture et vient m’embrasser à pleine bouche.
Nous sommes censés être en représentation, me semble-t-il. Alors, normalement, j’aurais dû avoir droit à un patin de cinéma, mais tout au contraire, sa langue chaude vient brusquement se mêler à la mienne. Et pendant ce temps, sa main gauche vient de faire sauter l’ensemble des boutons de mon jean... L’instant d’après, elle a fait jaillir la bête qu’elle s’empresse d’emboucher, et j’ai soudain l’impression d’être relié à une pompe aspirante ! Sa langue virevolte autour de mon sexe dressé, j’en vois des étoiles...
Tout en continuant de s’affairer sur mon sexe dressé, je la vois trifouiller l’un des boutons de la console, et la capote commence à se replier silencieusement. Puis elle se décolle de mon engin, et après avoir rapidement retiré les brides de ses escarpins, monte sur le dossier du siège conducteur pour venir s’asseoir là où se trouvait quelques instants plus tôt la lunette arrière.
Ça, question spectacle, ils vont être servis, nos chers paparazzis ! En effet, du coin de l’œil, je constate avec amusement que Marie-Charlotte avait raison : la Twingo est bel et bien arrêtée un peu plus haut, et de là où je suis, j’aperçois même le reflet d’une paire de jumelles.
Mais pour moi aussi, le spectacle vaut le déplacement. La belle vient de se retrousser, et si je ne suis finalement qu’à moitié surpris de voir apparaître la lisière d’une paire de bas crème et l’attache noire d’une jarretelle, je ne m’attendais pas à découvrir une ravissante petite touffe rousse libre de tout écrin. Je ne peux m’empêcher de manifester ma surprise.
— Vous... vous ne portez pas de culotte ?
Elle sourit.
— Non, je n’en porte jamais, c’était l’une de vos exigences, je vous le rappelle. Mais bien sûr, vous ne vous souvenez pas.
En attendant – et bien que ce ne soit pas l’envie qui m’en manque – pas question pour moi de l’embrocher sans un minimum de préparation. Déjà, même si je ne connais cette Marie-Charlotte que depuis une petite heure et que je n’ai aucune idée de qui elle est et de ce qu’elle compte faire de moi, autant essayer d’être à la hauteur de ses espérances, au moins sur le plan sexuel. Pour le reste, on verra plus tard !
Alors, ôtant précipitamment cette satanée ceinture de sécurité, c’est à mon tour de m’agenouiller sur le cuir fauve pour mieux me glisser entre ses jambes. Son sexe sent délicieusement bon ; le soin qu’elle porte à sa petite personne ne se limite visiblement pas à la partie classiquement accessible de son anatomie.
Ai-je la berlue, ou l’entends-je déjà soupirer ? Pourtant, ma langue ne s’est infiltrée entre ses lèvres que depuis quelques secondes, mais déjà je sens son bassin chavirer sous ma caresse. Vais-je m’arrêter en si bon chemin ? Certainement pas, mais je m’efforce, malgré la façon dont elle vient de m’attraper la tête pour mieux la mener là où elle a envie, de ne pas entreprendre tout de suite son petit bouton. Je glisse, virevolte autour de lui, ne m’en approche que pour mieux m’en éloigner...
Bien entendu, tout cela ne peut durer éternellement, et après quelques minutes à tourner autour du pot, ma langue s’attaque enfin à ce petit organe qui n’en finissait plus de quémander. Aussitôt le contact établi, la réaction ne se fait pas attendre : ce ne sont plus des petits cris, mais de véritables hurlements que Marie-Charlotte commence à pousser ! En fait-elle des tonnes, ou est-elle sincère ? Dans le doute, autant ne plus finasser : allons-y franchement ! Je la lape cette fois sans retenue. J’ai beau essayer de varier les plaisirs en tentant de redescendre jusqu’à sa grotte d’amour, mais ses mains, désormais de chaque côté de mon crâne, me tiennent si fort qu’il m’est impossible de m’extraire de ce diabolique petit bouton...
Là-haut, le tonnerre gronde. Si ce n’est que de la simulation, elle est sacrément douée, Marie-Charlotte ! Pourtant, je jurerais que tout cela n’est pas du bidon et que sa jouissance est proche. J’en ai confirmation quelques secondes plus tard lorsque tout son corps s’arc-boute autour de ma langue et qu’elle explose en un violent orgasme qui me laisse totalement à bout de souffle.Logiquement, s’il s’agissait simplement de donner le change vis-à-vis des deux types vissés derrière leurs jumelles, cela devrait suffire. Personnellement, cela ne me déplairait pas puisqu’après tout, et si elle semble être une baiseuse hors normes, il n’en demeure pas moins que je n’ai toujours aucune idée de ce que cette très chère Marie-Charlotte attend de moi dans les jours qui vont suivre.
Mais pour l’immédiat, il semblerait bien que la partie ne soit pas finie, puisqu’après m’avoir fait me relever du compas de ses jambes en m’attrapant par l’épaule, c’est à mon membre viril qu’elle vient de s’accrocher telle une naufragée à sa bouée de sauvetage. Elle tire, elle tire et elle tire encore... Pas la peine de résister – et cela tombe bien, je me surprends à finalement ne pas en avoir tellement envie – et c’est sans avoir le temps de dire ouf que je me retrouve enfoncé jusqu’à la garde dans son antre brûlant. « Mon Dieu, qu’elle est serrée, surtout pour une dame qui ne doit pas en être à son coup d’essai ! » Cette fois, ce ne sont pas des étoiles que j’aperçois, mais des systèmes solaires, des nébuleuses, des galaxies...
Réfléchir ? Essayer de penser ? De toute façon, il est bien connu que, chez l’homme, la Nature n’a pas prévu assez de sang pour irriguer à la fois le cerveau et le sexe. Alors, puisqu’il en est ainsi, allons-y gaiement ! Ramonage et pilonnage sont les deux mamelles de la France...
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