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L’amnésique (adoucit les mœurs)

Chapitre 11

Erotique
Vanessa se cambre encore un peu plus comme pour mieux s’offrir à ma caresse, tandis que j’entends son souffle devenir plus présent. Cependant, dans cette position de guignol, il m’est difficile de continuer longtemps ce cirque sans m’essouffler, et c’est pourquoi je décide cette fois de passer à la vitesse supérieure en glissant un doigt à l’intérieur de sa rosette, puis un second. La réaction de ma vertibaiseuse ne se fait pas attendre, mais n’est pas vraiment conforme à ce à quoi je m’attendais.
— Et si vous me fourriez votre queue ? Je n’en peux plus d’attendre...
Seulement, moi, j’ai encore l’épée au fourreau... Elle tourne la tête, s’en rend compte et, sans me laisser une seconde de répit, s’agenouille devant moi et d’un geste précis dégaine mon arbalète qu’elle s’empresse d’engloutir tout au fond de sa gorge. Mon Dieu ! Si Marie-Charlotte est et reste une experte à ce jeu, je crois que je lui ai trouvé un challenger !
Elle se débrouille d’ailleurs tellement bien que, bien que je ne me sois pas totalement remis de mes cavalcades nocturnes avec Marie-Charlotte, le couvercle de la gamelle est bien près de sauter. Il me faut donc la décoller de mon sexe avant que le vase ne déborde...
Le message reçu cinq sur cinq et, toujours sans dire un mot, Vanessa reprend la pose, appuyée sur le balustre. Cette fois, pas hésitation : je présente ma queue débordante de salive sur l’entrée de son rectum aussi détrempé et, d’un coup de reins, j’entre en elle. C’est délicieux...
Quelques allers et retours ainsi que pas mal de gémissements plus tard, l’inévitable se produit et je me vide tout au fond de ses reins. Vanessa a apprécié, c’est certain, mais de là à jouir... Il me faut très vite réparer cette injustice et, malgré la sueur qui me coule encore dans les yeux, je l’attrape par la main pour l’emmener jusqu’à la salle de bain. L’endroit est véritablement insolite puisqu’à quelque chose près, il dégage une vue sur 360° et la sensation que l’on éprouve est assez curieuse, mélange de plaisir et de gêne.
Puisque ma partenaire ne semble absolument pas s’en émouvoir, autant faire de même.C’est à mon tour de m’agenouiller devant elle, mais, cette fois, pas question de réjouissances buccales puisque c’est aux brides de ses escarpins que je m’attaque, avant de me débarrasser de ces derniers en les lançant un peu plus loin, hors de portée de la douche. Puis c’est au tour de ses bas de glisser sur sa peau. Je les enroule soigneusement autour de ma main avant d’aller les déposer soigneusement sur l’unique meuble de la pièce. C’est alors au tour du zip de son uniforme de descendre lentement, et sa robe tombe alors sur le sol.
C’est la première fois que je vois Vanessa nue, et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle est splendide. Des petits seins aussi menus que haut perchés, un ventre quasiment plat et un mont de Vénus où quelques poils épars ne parviennent pas à cacher son adorable sexe. La prenant par la main, je l’invite à se glisser sur le côté. Je me penche alors pour ramasser sa robe qui va aussitôt rejoindre ses bas. Tandis que je me déshabille à mon tour, elle me regarde avec des yeux ronds.
— Quelque chose ne va pas, Vanessa ?— Non, non, rien... Continuez, je vous en prie.
Dans un coin, tout près de la vitre qui nous sépare de l’extérieur, il y a la douche proprement dite. L’eau est délicieusement tiède. J’invite ma belle à se glisser sous le jet bienfaisant et, toujours sans un mot, commence à la savonner doucement. Je serais bien incapable de définir le parfum capiteux de ce gel, mais il est tout simplement exceptionnel.
Vanessa se laisse docilement faire, visiblement sans deviner quelles sont mes intentions. Ce n’est que lorsque je me glisse derrière elle et que mes caresses deviennent plus précises au niveau du sillon de son sexe qu’elle comprend subitement. Oui, tu vas jouir, ma fille... Je n’ai d’ailleurs pas à insister très longtemps, son bouton d’amour m’a tout l’air d’être hypersensible et la donzelle particulièrement réceptive à ce genre de caresse.
— Je veux vous entendre crier, Vanessa...


En vérité, je ne sais absolument pas si elle a compris un traître mot de ce que je viens de dire. Concentrée sur la montée de son plaisir, les yeux mi-clos, l’ensemble de son corps tangue au rythme de mes doigts qui vont et viennent de sa caverne intime à son bouton d’amour. Cela ne dure que quelques minutes, jusqu’à ce qu’un terrible orgasme la terrasse. Elle accueille la délivrance avec un hurlement de bête à en faire trembler les vitres. Tiens, est-ce une coïncidence, ou la harde de sangliers qui se promenait toute près de nous l’a entendue ? Quoi qu’il en soit, elle vient de disparaître dans le sous-bois. Vanessa paraît honteuse de son plaisir.
— Je... je suis désolée... Je ne sais pas ce qui m’a pris... Veuillez me pardonner...
Je ne vois pas bien pourquoi il conviendrait de s’excuser d’avoir pris du plaisir, mais tout sourire, je saisis la balle au bond :
— Non, je ne vous pardonne pas, Vanessa. Ou alors, à une condition...— Laquelle ?— Vous allez comprendre...
Cette fois, plus de chichis. J’expédie promptement l’ensemble de nos vêtements par terre et, attrapant Vanessa par la taille, je l’assieds sans ménagement sur le meuble sur lequel j’avais déposé ces foutues fringues. Nue, assise et les jambes écartées, mon sexe à quelques centimètres de sa grotte d’amour, je pense que l’invite est assez explicite.
— Je veux vous entendre crier une seconde fois, Vanessa. Vous êtes prête ?
Qui ne dit mot consent ; et ça, pour le sentir, elle va le sentir... D’un trait, je m’enfonce en elle jusqu’à la garde et commence aussitôt à la pilonner frénétiquement. Elle crie, elle braille, elle grogne, elle geint au rythme de mes coups de reins, mais rien n’y fait : je ne ralentis pas la cadence.
Tout cela ne dure naturellement pas très longtemps puisque, pour la seconde fois en moins d’une heure, je sens la sève monter de mes reins et je me déverse en elle. Comme pour faire bonne mesure, c’est le moment précis que Vanessa choisit pour jouir elle aussi, tout en poussant un cri peut-être encore plus terrible que le premier.
Nous restons comme ça, enlacés, soudés l’un à l’autre, mon sexe toujours au fond du sien. Elle ne dit plus rien, et c’est à ce moment que je sens quelque chose de chaud couler sur mon épaule. Des larmes ; ses larmes.
— Vanessa ! Que vous arrive-t-il ? J’ai fait quelque chose de mal ?— Non, Monsieur, ce n’est pas cela...— Alors, parlez, Vanessa. Pourquoi pleurez-vous ?— C’est que, c’est que...
Ses sanglots repartent de plus belle. Comme dans la salle, il y a un canapé, je la prends dans mes bras et vais la déposer dessus. Puis, de nouveau, je la prends dans mes bras. Elle se calme.
— Expliquez-vous, je vous en prie... J’ai horreur de voir une femme pleurer.— C’est que... c’est que... Ce n’est pas possible, Monsieur n’est pas Monsieur.
Le ciel me tombe sur la tête.
— Pardon ?— Vous n’êtes pas Claude Dubreuil. Vous lui ressemblez, mais vous n’êtes pas lui.
J’essaie toutefois de cacher mon désarroi.
— Et qu’est-ce qui vous fait dire cela ?— Le vrai Claude Dubreuil n’aurait jamais pris soin de me sodomiser sans douleur. Le vrai Claude Dubreuil n’aurait pas pris le temps de me déshabiller, de me savonner, et encore moins de me faire jouir comme vous venez de le faire.— J’ai peut-être changé, vous savez...— Non... Claude Dubreuil avait un sexe beaucoup plus petit que le vôtre, il ne serait jamais parvenu à me faire jouir comme vous la seconde fois.
Comme pour mieux noyer le poisson, je hausse les épaules.
— Bah, comme vous le savez, je suis amnésique. Peut-être, après tout, que je ne suis effectivement pas Claude Dubreuil. Ne bougez pas, je vais vous chercher vos vêtements.
Le temps d’aller et de revenir, elle est de nouveau en larmes.
— Ne pleurez pas, ce n’est pas si grave...— Si... Comment vais-je annoncer cela à Madame ?
Cette fois, je souris.
— Le plus simple est de ne rien lui dire, tout du moins pour le moment. Si vous connaissez votre patronne, vous savez quel tempérament elle a, et qu’elle m’a déjà beaucoup pratiqué. Sexe plus gros ou pas, elle ne s’en est pas émue.
C’est à son tour de sourire.
— Peut-être, après tout. N’en parlons plus... Vous êtes Claude Dubreuil, point. Cela vous convient-il ?
Je l’embrasse sur le front.— Absolument. Maintenant, rentrons.
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