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L’amnésique (adoucit les mœurs)

Chapitre 14

Erotique
Comme bien souvent, les piaules du personnel de maison sont situées sous les toits. Mais ici – et cela reflète assez bien l’état d’esprit qui semble être celui de Marie-Charlotte – ces chambres sont loin d’être un trou à rats. De l’espace, de la lumière, des meubles de qualité, un petit coin-cuisine... Je ne peux pas assurer que tous les personnels de maison du monde soient logés à la même enseigne. Vanessa apparaît.Là, oubliant allègrement le protocole, elle me saute au cou.
— Monsieur ! Monsieur ! Vous êtes revenu ! J’ai eu si peur...
Elle se blottit dans mes bras.
— Dites-moi que c’est pour moi que vous êtes revenu, murmure-t-elle.— C’est-à-dire que...— Je le sais, que c’est faux... Mais dites-le-moi quand même.
Je souris.
— Dans ce cas, oui, Vanessa, c’est pour vous que je suis revenu.— Non... Tutoyez-moi, s’il vous plaît.— Si tu veux. Ce n’est que pour toi que je suis revenu.— Merci ! Maintenant, dites-moi que je suis une petite salope et que vous allez me baiser jusqu’au bout de la nuit.
Difficile de décrire l’expression de son visage à cet instant, mais il reflète autant le désir que la sincérité.
— Ce que je vais te dire, Vanessa, c’est que tu commences à avoir beaucoup d’exigences, je trouve.

Cela lui fait l’effet d’une douche froide. Je reprends :
— Oui, je vais te baiser toute la nuit si tu le veux ; mais pour le moment, j’ai besoin de toi pour autre chose. Où est Osiris ?
Le cœur de l’installation vidéo est situé au second étage, et je suis surpris que l’endroit ne soit finalement que peu sécurisé. À l’intérieur, une chiée d’écrans de toutes sortes, reliés à des caméras à très haute définition et disposés visiblement aux points névralgiques du château. Et, sur l’un d’eux, je reconnais la chambre de Marie-Charlotte.
— Ce n’est pas trop difficile de travailler en se sachant continuellement espionné ?— Non, pas du tout. En fait, seuls les endroits importants sont surveillés ; il y a une multitude de pièces et de couloirs qui ne le sont pas, répond-elle, sérieuse.
Elle poursuit d’un ton coquin :
— Vous savez, si vous voulez me baiser entre deux portes et sans que cela se sache, je connais plein d’endroits pour cela...
Puis, redevenant professionnelle :
— Cela dit, le circuit comporte une foule d’autres caméras, invisibles cette fois, qui ne se mettront en marche qu’en cas d’attentat, de prise d’otages ou de catastrophe naturelle. Là, même une mouche ne pourra passer inaperçue ; et cette fois, croyez-moi, le système est protégé.
Reste à savoir sur quels critères tout ce fourbi peut déterminer s’il convient ou non de basculer dans le mode alerte, sauvetage ou je ne sais quoi. Mais après tout, Claude Dubreuil a bâti sa fortune sur des logiciels high-tech et du matériel électronique de haute volée ; il n’allait pas confier sa propre sécurité aux bidouilleurs du coin.
Mais pour le moment, mes préoccupations sont toutes autres. White Chapel m’a confirmé ce que je sais déjà : les relations entre la belle-mère et sa bru ont toujours été extrêmement tendues.C’est donc avec une relative inquiétude que je m’installe dans le fauteuil de contrôle. Quelques trifouillages de Vanessa plus tard, les principaux écrans diffusent le même programme, celui qui se joue dans la chambre de Marie-Charlotte.
Si, lors d’une tentative de conciliation à Miami, elles en étaient même venues aux mains, elles en sont cette fois au corps à corps puisque Patricia vient de basculer sa belle-mère sur l’immense paddock. Elle plonge sa tête entre ses jambes ; il faut dire que l’opération est d’autant plus aisée que, comme à son habitude, le sexe de Marie-Charlotte est libre. Tiens, je crois bien que je ne vais pas tarder à apprendre si ma chère fille se plie, elle aussi, aux saines habitudes de la maison, puisque je viens de voir apparaître la lisière de ses bas. Elle se penche en avant ; je vais savoir, ça ne va pas tarder... Eh bien non, elle porte une sorte de culotte brésilienne de dentelle rouge.Comme on pouvait s’en douter, il s’agit d’un modèle de marque, mais je ne suis pas bien certain que tout cela serve véritablement à quelque chose : l’ensemble est si transparent que je peux affirmer que Patricia n’est pas une vraie blonde et que son abricot est totalement épilé.
À l’autre bout, si j’ose dire, elle vient d’attraper les petites lèvres de Marie-Charlotte comme pour mieux accéder à son petit bouton qu’elle lèche et suce avec avidité. Pas la peine d’activer le son : l’expression du visage de sa belle-mère est assez explicite et son bassin assez remuant pour savoir qu’elle y prend beaucoup de plaisir. Finalement, je ne crois pas que j’aie vraiment besoin de m’inquiéter...
Mais si je me fais du souci, ce n’est apparemment pas le cas de tout le monde, à commencer par Vanessa. Elle s’est tranquillement assise dans l’un des fauteuils de ce bureau et, un pied sur la console de contrôle et la jupe largement retroussée, elle est tranquillement en train de faire coulisser son index au fond de son sexe, les yeux rivés sur le grand écran. Je la foudroie du regard.
— Je... je... je suis désolée, je ne sais pas ce qui m’a pris...
Je souris.
— Ne le sois pas, Vanessa. Tu sais, si tu veux vraiment que je te dise que tu es une petite salope, il va falloir me le prouver.
Son regard est plein d’incompréhension.
— Si le spectacle de ta patronne et de sa belle-fille t’excite, il n’y a aucune raison d’en avoir honte. Par contre, je veux que tu ne t’occupes pas de moi et tu te fasses jouir.— Vous... vous voulez que je me branle devant vous ?— Oui, surtout si tu veux m’entendre te dire que tu es une petite salope.
Si, dans un premier temps, Vanessa est hésitante, cela ne dure que quelques minutes à peine avant qu’elle ne parte dans une branlette furieuse, à moins que ce ne soit une furieuse branlette.
Naturellement, je n’en perds pas une miette, même si je continue d’observer les écrans du coin de l’œil. Et vas-y que je me masse le clito, et vas-y que je me mets deux doigts, et vas-y que je m’écarte la chatte jusqu’à plus soif, le tout accompagné de gémissements qui ne laissent aucun doute sur la réalité de son plaisir. Comme, par-dessus le marché, rouge comme un drapeau de manifestant sans que je ne puisse déterminer si c’est de honte ou de plaisir, son regard ne cesse d’aller et venir entre l’écran et le mien, j’avoue que cela me donne une trique d’enfer. Pour le moment, l’urgence est ailleurs, mais quelque chose me dit qu’elle ne va pas regretter d’être venue, la petite.
Sur l’écran, les choses viennent d’évoluer. Je ne sais à quel moment cela s’est produit, mais les deux femmes sont désormais quasiment nues. Patricia ne porte plus que ses bas, Marie-Charlotte n’ayant de plus que son porte-jarretelles. Comme les deux femmes, sans que je ne sache pourquoi, on a conservé toutes deux leurs escarpins, j’ai véritablement le sentiment de mater l’un de ces pornos chics dont la toile n’est pas avare... Et ce n’est pas de voir la première, le cul en l’air et la tête dans les coussins, se faire pratiquer une formidable feuille de rose par la seconde qui va me calmer.
Et tout cela s’ajoute aux gémissements de Vanessa... « Les couilles prêtes à exploser », vous dites ? Heureusement qu’il ne s’agit que d’une expression, sans quoi une bonne partie du château serait déjà en ruines.
Un cri. Non : en fait, ce n’est pas un cri, mais un véritable hurlement qui vient de ponctuer la jouissance de Vanessa dont le corps continue encore et encore d’être secoué de spasmes. Comme là-bas, sur l’écran, Marie-Charlotte vient également de prendre son pied, il ne me semble plus indispensable de continuer la surveillance. Par contre, malgré le phénoménal mandrin de concours que je trimbale, mon cerveau n’est pas totalement déconnecté.
— Demain matin à la première heure, il faut que tu demandes à Georges de me prendre un rendez-vous avec Maître Rousseau, et un autre avec Edgar en lui précisant que c’est pour qu’il convoque le conseil d’administration. Ah, et puis encore un détail : il faut que les deux filles, en bas, n’en sachent rien. N’oublie pas, s’il te plaît, c’est important.
Bien qu’elle soit en train de se rhabiller et qu’elle ne sorte qu’à peine de l’orgasme qu’elle vient de se procurer, Vanessa reste quand même professionnelle :— Ce sera fait, Monsieur. Vous pouvez compter sur moi.
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