Depuis la franche déclaration d’amour qu’elle avait faite à Axel, Karine était devenue beaucoup plus sûre d’elle-même et commençait peu à peu à retrouver le sourire. La journée de la veille s’était déroulée sans incident particulier. Après avoir passé l’après-midi à regarder un film à la télévision, nous avions dîné léger avant d’aller nous coucher, non sans une certaine impatience du lendemain du côté de ma soeur. Le jour suivant, le "jour J", comme à leur habitude, nos parents étaient partis de bonne heure en raison de leurs obligations professionnelles. Le petit-déjeuner et les tasses de café ayant déjà été préparées au préalable, Karine et moi n’eûmes plus qu’à savourer notre repas matinal. Ma soeur et moi fîmes ensuite la vaisselle et, après avoir chacun fait sa toilette, Karine alla tranquillement bouquiner dans sa chambre tandis que j’allumais le téléviseur afin de visionner un film que j’avais enregistré la veille. Environ une heure plus tard, alors que j’étais au beau milieu de mon programme, Karine débarqua dans le salon, son téléphone à la main. Je mis donc le film sur "Pause" et attendis qu’elle m’énonce la raison de son irruption dans la pièce. — Ça y est ! Ils y vont !— Qui ? Où ?— Axel et Sophie, bien sûr ! Ils vont à la plage naturiste.— Et donc ? Que comptes-tu faire ?— On va y aller, nous aussi.— On ?— Oui, on. Je me suis fait la promesse de ne pas trahir Sophie mais si elle commet un seul écart, je ne raterai pas l’occasion d’aider Axel à lui rendre la pareille. Comme je ne peux pas surveiller ce que fait Sophie et éventuellement fricoter avec Axel en même temps, j’aurai besoin de toi pour épier les moindres faits et gestes de Sophie. — Bon, d’accord. Je le fais pour t’aider, c’est tout. — Merci, Xavier. Tu es vraiment le meilleur petit frère du monde. Ma soeur me fit une bise sur la joue et s’en retourna vers sa chambre mais lorsque je voulus reprendre la lecture du film, Karine revint dans le salon. — J’oubliais ! J’ai quelque chose à te montrer. Ma soeur me mit l’écran de son téléphone sous les yeux. Il s’agissait une fois de plus d’un message d’Axel plus qu’éloquent.
« On va à la plage naturiste avec Sophie. Si tu veux me rejoindre pendant que Sophie aura le dos tourné, trouve-moi au bungalow 17. » — Il ne te lâche vraiment pas, ce Axel. Tu comptes réserver un bungalow pour nous ?— J’en ai réservé deux. Un pour chacun. — Deux ? Tu as réservé avant de me demander mon avis ?— Je me suis permis de le faire parce que je savais que tu accepterais.— Tu me connais trop bien.— C’est vrai. Tu auras le bungalow 13 et moi le 21. Comme ça, on sera suffisamment proches d’Axel et Sophie pour les surveiller sans qu’ils se rendent compte de notre présence. — Parfait. Dans ce cas, allons-y. J’éteignis le téléviseur et ma soeur prépara le matériel nécessaire pour passer une journée à la plage, à savoir serviettes et crème solaire. Suite à plusieurs vérifications, nous prîmes la direction de la plage. À notre arrivée, Karine et moi nous annonçâmes à la réception et le réceptionniste nous remit les clés des bungalows que nous avions loués pour la journée, non sans avoir un regard plus qu’insistant sur la poitrine de ma soeur. Lorsque je pris possession de mon bungalow, comme l’exigeait le règlement de la plage, je me dévêtis et laissai mes vêtements dans une armoire à disposition. L’idée de me retrouver entièrement nu en public me gênait quelque peu de prime abord puis, en pensant aux éventuelles jolies filles dans la même situation de nudité que moi, je sentis rapidement mon sang affluer de ma poitrine vers mon sexe et lui donner une belle rigidité. Selon un plan préétabli avec Karine, j’attendis de voir Axel ou Sophie sortir du bungalow 17 ou un message de ma soeur m’avertissant de quelque chose. Heureusement, il ne me fallut pas attendre très longtemps pour recevoir un message de Karine. « Sophie et Axel sont sortis. Sophie se dirige de ton côté et Axel vers le bar dansant que nous avons vu en arrivant ici. Je vais y faire un tour. Toi, de ton côté, surveille Sophie et avertis-moi si elle s’approche du bar ou si tu la vois faire quelque chose de mal. » Je répondis brièvement à ce message pour signifier à son expéditrice que j’avais bien compris les spécificités de ma mission. Je sortis donc entièrement nu de mon bungalow et attendis de voir Sophie suffisamment éloignée pour la prendre en filature. En la voyant passer, quelques jeunes hommes la sifflèrent mais elle ignora leur appréciation et continua de marcher le long de la plage. Sophie décida ensuite de piquer une tête. En remontant à la surface, Sophie rencontra une autre jeune femme avec laquelle elle commença une conversation. Les deux filles sortirent de l’eau et se dirigèrent vraisemblablement vers le bungalow de l’inconnue qui se situait plus éloigné encore de celui de Sophie que le mien. N’y voyant aucun danger, je décidai de faire un tour du côté du bar dansant afin de voir comment les choses se passaient pour Karine. En arrivant, je n’eus aucun mal à la reconnaître. Avec sa peau bronzée et ses longs cheveux noirs, elle était immanquable au milieu de tous ces gens à la peau plus claire. Alors que j’allais m’approcher d’elle pour lui exposer le résultat de ma filature, je vis qu’un homme me devançait. En faisant plus attention, je n’eus aucune peine à reconnaître Axel. Je m’approchai discrètement afin d’entendre ce qui se disait entre les deux amoureux cachés. — Tu as décidé de venir, finalement. Ça me fait plaisir. — Je me suis dit que je pouvais toujours essayer, histoire de faire une expérience mais je ne m’attendais pas à tomber sur toi. — Mais tu l’espérais.— Je l’avoue, oui. Mais comme je t’ai dit, pas de sexe entre nous. Tu devras seulement te contenter de la vue de ma chatte et de mes seins.— Tu es vraiment cruelle. Si tu ne veux pas coucher avec moi, je comprends mais accorde-moi au moins une danse. — Juste une danse ? Dans ce cas, pourquoi pas ? Karine mit ses mains sur les épaules d’Axel tandis que celui-ci plaçait les siennes sur les hanches de ma soeur. Ils commencèrent par danser sur un petit air de samba puis le DJ décida qu’il était temps de mettre un slow. Karine et Axel se rapprochèrent l’un de l’autre, peut-être plus que de raison au vu de la situation, et dansèrent lascivement. Les seins de ma soeur touchaient les pectoraux de celui qu’elle aimait tandis que les mains de ce dernier commençaient à se crisper de plus en plus sur la croupe de Karine. Axel devait sûrement apprécier le fait de sentir la poitrine de ma soeur contre la sienne et Karine, de son côté, devait être en confiance puisqu’elle n’esquissa pas le moindre geste pour écarter la main d’Axel qui lui caressait le fessier. Bien au contraire, loin de la gêner, ce contact la poussa à faire glisser sa main de l’épaule de son amoureux jusqu’à son sexe endurci pour le caresser. Les deux danseurs demeurèrent ainsi à danser lascivement en osant chacun peu à peu observer de manière tactile le corps de l’autre. Sentant que l’ambiance s’amoindrissait, le DJ lança un morceau beaucoup plus endiablé, faisant sortir Karine et Axel du quasi état second dans lequel leur slow les avait mis. Ce réveil musical ne refroidit pas pour autant les ardeurs d’Axel. Il fit pivoter Karine de façon à ce qu’elle se retrouve dos à lui et cala son sexe entre les fesses de ma soeur qui, sans piper mot, se frotta à lui dans un mouvement de hanche chargé d’érotisme. Pendant que sa queue était délicieusement malmenée par le postérieur de Karine, Axel décida d’occuper ses mains en lui caressant les seins. Après plusieurs minutes dans cette position, fatigués de danser, Axel et Karine allèrent s’assoir à une table située à quelques mètres de la piste de danse. — Merci pour cette danse, Karine. — Tout le plaisir est pour moi. Et puis, tu danses bien, toi aussi.— Tu sais, avec Sophie qui a fait de la danse, il fallait bien que je me mette à niveau. D’ailleurs, en parlant de mise à niveau, il manque encore un tout petit quelque chose. Sur ces derniers mots, Axel désigna du doigt sa verge encore toute ragaillardie par le contact du fessier de Karine. — Je t’ai déjà dit que pour ça, ce serait non. — Tu ne vas quand même pas me laisser dans cet état ? Je n’aurai même pas besoin de te baiser. Il te suffira juste de me branler. Rien d’autre. — Juste une branlette ? Si j’accepte, est-ce que tu me promets de ne plus chercher à me baiser durant tout le reste de la journée ?— Juste une branlette, je te le promets. — Très bien. Dans ce cas, on va aller dans mon bungalow pour y être plus tranquilles. Karine prit Axel par la main et les deux amoureux cachés se dirigèrent vers le bungalow de ma soeur. Je les suivis de loin afin de ne pas me faire remarquer. Lorsque j’arrivai devant le bungalow 21, je pus voir par la fenêtre qu’Axel avait tenu parole. Karine était agenouillée devant lui et le masturbait d’une main tandis qu’elle se caressait un sein de l’autre. Les bungalows n’ayant pas été insonorisés, je pus entendre distinctement ce qui se disait entre Karine et Axel depuis ma position. — Tu ne m’as pas menti, Axel ! Ta queue est vraiment très dure. Tellement dure que je vais attraper des crampes à la main si tu ne jouis pas très vite. — À qui la faute, petite coquine ? Si tu n’avais pas un si beau cul, je ne serais jamais autant au garde-à-vous.— C’est moi qui t’ai mise dans cet état ? Tu me flattes.— Ne fais pas l’innocente. Tu sais très bien que tu me fais de l’effet.— Arrête de parler et savoure la branlette que je te fais. Allez, mon chéri, jouis sur mes seins. Karine accéléra son mouvement et Axel, excité par les provocations de ma soeur, éjacula sur sa poitrine offerte dans un râle de plaisir. — Whaou ! Tu branles bien, Karine ! Qu’est-ce que ce sera le jour où on baisera ?— Il faudrait déjà que ce jour arrive pour le savoir. En attendant, tu devrais retourner à ton bungalow sinon Sophie se posera des questions et il ne faut pas qu’elle sache que je suis là. Moi, je vais me baigner un peu. Après avoir embrassé ma soeur sur les lèvres, Axel sortit du bungalow de Karine et prit la direction du sien afin d’y retrouver Sophie sans éveiller ses soupçons. Peu après, je vis ma soeur courir vers l’eau, les seins encore maculés du sperme d’Axel. Certains hommes l’ayant remarqué, ils ne manquèrent pas de le lui faire savoir en la sifflant admirativement. Lorsqu’elle ressortit de l’eau, lavée de la semence d’Axel, je la vis arborer un magnifique sourire. Elle aussi espérait bien plus que quelques branlettes entre elle et Axel. [ à suivre ]
