Il était déjà 18h30 lorsque Karine et moi décidâmes de différer le visionnement de la fin du film que nous étions en train de regarder. Ma soeur alla prendre une douche tandis que je rangeais le disque du film dans son couvercle pour le remettre dans ma chambre. Sortie de sa douche, Karine prépara quelques sandwichs que nous mangeâmes sans nous presser. Après ce maigre repas, nous eûmes tout juste le temps de nettoyer la table avant que la sonnette ne retentisse. Comme convenu, je courus me dissimuler dans ma chambre tandis que ma soeur allait ouvrir la porte pour faire entrer Axel et lui donner un baiser sur les lèvres avant de le guider vers le salon. — Tu veux boire un petit quelque chose ?— Non, ça ira. Merci. — Pas de problème. Mais avant de faire ce pourquoi tu es venu, j’aimerais savoir une chose : est-ce que tu as couché avec Sophie depuis ce qui est arrivé entre nous trois ?— Non. Elle voulait le faire et me harcelait presque pour que je la baise mais j’ai toujours prétexté ne pas être en forme pour y échapper. Je te l’ai dit : c’est toi que j’aime. Je devais faire un choix et je l’ai fait. Je veux être avec toi. Dès que je sortirai d’ici, je romprai avec Sophie. — C’est triste pour elle. Je n’ai jamais voulu qu’elle souffre mais je suis heureuse que tu m’aies choisie. Karine et Axel s’échangèrent un sulfureux baiser sur les lèvres tandis que les mains de ma soeur s’affairaient à faire glisser la fermeture éclair du short de son amoureux. Les deux amants, de baisers en baisers et de balades manuelles en balades manuelles, finirent par être totalement nus l’un en face de l’autre. — Hum... Belle queue que tu as là, mon chéri !— Et toi, belle chatte et bonne paire de mamelles. Que dirais-tu de me montrer ce que tu sais faire dans ta chambre ?— Il n’y a pas assez de place pour nous deux sur mon lit. Tu risquerais d’avoir un peu de peine à te mouvoir et je veux sentir ta bite me remplir. Si tu veux changer du salon, je te propose la cuisine. — La cuisine ? Voilà qui me donne une idée ! Va pour la cuisine. Karine et Axel se levèrent du canapé et se dirigèrent vers la cuisine. Entrée à la suite de son amoureux, ma soeur prit soin de laisser la porte entrouverte, souhaitant apparemment que j’assiste à ses ébats. Je sortis donc discrètement de ma chambre et me dirigeai vers la cuisine. À travers l’entrebâillement de la porte, je vis Karine, le ventre appuyé contre la table, m’offrant une vue imprenable sur son magnifique fessier dont elle m’avait fait si généreusement cadeau quelques heures auparavant. Axel, de son côté, était occupé à fouiller dans les armoires de la cuisine. Il en sortit un pot de miel, un de Nutella et un autre de confiture. Il disposa le tout sur la table, sous le regard curieux de Karine.
— Assieds-toi seulement, ma belle. On a toute la soirée pour s’amuser toi et moi. Ne t’en fais pas : ton cul va bien prendre. En attendant, astique un peu la queue qui va te donner du plaisir. Ma soeur s’assit tandis que son amant badigeonnait son sexe de miel. Karine se lécha les babines à la vue de cette verge entièrement recouverte de miel qui allait lui servir d’apéritif. Sans se poser de question, lorsqu’Axel présenta son biscuit mielleux devant ses lèvres, ma soeur le goba jusqu’à la garde en prenant bien soin d’avaler tout le miel qui maculait la verge de son amoureux. — Beau travail, petite coquine. Ma bite est toute propre. À mon tour de te préparer un peu. Oh ! Je vois que ta chatte est totalement épilée. Ça m’aidera beaucoup dans ce que je veux faire. S’il y avait eu des poils, cela se serait avéré plus compliqué. Allez, lève un peu les jambes. Le copain de Sophie trempa ses doigts dans le Nutella et l’étala sur le sexe de Karine qui émit un petit couinement mêlant surprise et excitation. Lorsque le calice de ma soeur fut entièrement recouvert de la pâte à tartiner, Axel trempa à nouveau ses doigts dans le pot de Nutella et en badigeonna le petit orifice de ma soeur. Une fois sa tâche accomplie, il s’agenouilla aux pieds de Karine et entreprit de lui prodiguer un cunni le plus appliqué possible tout en prenant bien soin d’ingérer le Nutella qui se trouvait sur son calice jusqu’à ce qu’il n’en reste plus rien. Ce petit préliminaire ayant eu son effet sur Karine, Axel la souleva de sa chaise et l’allongea sur la table en lui faisant relever ses jambes aussi haut que possible. La tête entre les cuisses de ma soeur, il s’appliqua à lui lécher le derrière afin de nettoyer celui-ci de toute trace de Nutella. — Bravo, mon chéri, tu fais vraiment des bons cunnis ! Je suis toute trempée maintenant. Allez, viens me prendre. Axel, qui devait attendre ces mots depuis ce qu’il s’était passé à la fête foraine, ne se fit pas répéter l’invitation deux fois. D’une seule poussée, il s’enfonça dans la grotte d’amour offerte de Karine qui poussa un hurlement de délectation. — Oh oui, mon chéri ! J’adore avoir ta queue en moi ! Elle me remplit si bien ! Excité par cette petite provocation, Axel se mit à la pilonner puissamment, ses bourses venant buter sur ses fesses. Toute à son bonheur de sentir cette verge la pénétrer, Karine gémissait de plaisir et communiquait cette sensation à son partenaire en croisant ses jambes derrière son dos. Un peu trop tôt au goût de ma soeur, Axel se retira de son antre d’amour. — Je crois que j’ai encore un autre endroit à remplir, ma chérie. Sur ces mots, Axel souleva ma soeur et s’assit sur une chaise en lui demandant de venir s’empaler sur sa verge. Sans discuter, Karine obtempéra et lorsque la verge de son amant se fut enfoncée jusqu’à la garde dans son sombre conduit, elle ressentit le besoin de le sublimer davantage dans son effort. — Hum... Oh oui ! Vas-y, mon amour ! Encule-moi bien ! Fais-moi sentir ta grosse queue dans mon cul ! Bien échauffé par ces encouragements, Axel crispa ses mains sur les hanches de Karine et la fit monter et descendre sur son sexe, lui arrachant sporadiquement des soupirs et des cris de plaisir. Ils demeurèrent quelques minutes dans cette position puis Axel sentit qu’il allait se déverser dans le postérieur de ma soeur. Cependant, il ne l’entendait pas de cette oreille. Il se souleva ma soeur et la reposa à terre. — Prends la confiture et mets-en sur tes seins. Mets-en le plus possible. Je veux que tes seins soient recouverts de confiture ! Karine se saisit du pot de confiture et se badigeonna la poitrine avec son contenu. Sentant ce que son amant allait lui demander, elle s’agenouilla devant lui tandis qu’il se masturbait avec force. — Ah ! Je vais jouir ! Ma soeur se caressa les seins en jetant un regard vicieux à Axel. Sous l’effet du petit manège de Karine, il expédia trois jets de sperme sur la poitrine offerte. Lorsque son amant se fut totalement vidé les bourses, ma soeur mélangea la semence de celui-ci à la confiture qu’elle s’était mise sur les seins au préalable et avala la mixture ainsi obtenue. — Hum... Délicieux ! C’est comme avaler du jus de framboise.— Dans ce cas, on pourrait remettre ça bientôt, petite coquine. Comprenant que leur rapport avait pris fin, je retournai dans ma chambre en catimini tandis que les deux amants sortaient de la cuisine pour aller retrouver leurs vêtements abandonnés dans le salon. Lorsqu’ils se furent rhabillés, Axel promit une nouvelle fois à Karine de quitter Sophie pour qu’ils puissent vivre comme un vrai couple. — Avant que tu ne partes, j’aimerais que Sophie ne sache pas tout de suite pour nous deux. Je lui expliquerai moi-même le moment venu. — Je comprends. Je lui dirai donc que je ressens le besoin d’être un peu seul pour me reconstruire. — Ça marche. Je t’aime. — Je t’aime aussi. Karine et Axel s’échangèrent un long baiser plein d’un amour sincère et réciproque. Ma soeur n’avait jamais été aussi heureuse qu’à ce moment-là mais, en constatant ce bonheur, je me pris à me demander quelles seraient les conséquences pour les deux amoureux si Sophie venait à apprendre la vérité plus vite qu’escompté. [ à suivre ]
